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Espace: Algérien sans voix - Page 2

  • 1/3.Maroc-Algérie :Une preuve de plus..

     

             Pour ce qui est du problème artificiel du Sahara Marocain occidental, le visiteur est invité à écouter, cette importance conférence qui relate,avec beaucoup de précision, l'appartenance historique de nos provinces du sud à la mère patrie. Un éxcellent exposé qui pourra éclabousser, accabler l'attitude néfaste de l'Algérie en l'objet. Conférence présentée à l'occasion de l'anniversaire de la glorieuse "Marche verte"  par le professeur-député Mr. Lmaqri L'idrissi Abouzaid, de la faculté des lettres et sciences humaines, Ben Msik Sidi Othmane, de Casablanca.. ( http://www.dailymotion.com/video/xow1j_).

     

            En ce qui me concerne d'autre part, je me lance, selon mes modestes moyens, avec une certaine délectation, à combattre les délations et les impostures, émis avec insistance vênimeuse par les services secrets algériens contre notre pays. Le blog poursuivra sa ligne palpable contre l'intransigeance de l'Algérien qui se vante défendre le droit des peuples à la souverainté, jusqu'à ce qu'elle soit écaillée,épluchée par l'épilation des vents de la vérité,sachant que son régime têtu n'est qu'un meneur de la productivité haineuse, et chercheur d'un leadership dans le mirage. ! par contre notre pays, sous l'égide éclairé de son roi, y arrivera en parallèle au bon port..

     

     

    Le chanteur libanais Ghassan Khalil glorifie SM le roi Med VI.(voir vidéo)

    http://www.youtube.com/v/Ne5d-5Mhx9I&color1=0xb1b1b1&color2=0xcfcfcf&hl=fr_FR&feature=player_embedded&fs=1"></param><param

                                                                                                                                     

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    -.Une voix sincère d'un "Faux Algérien" se manifeste d'au delà de la frontière.-(1ère Partie)

     

                                                     

              La rédaction du blog a le plaisir de publier avec beaucoup d'intérêt,un long article qui lui est parvenu ces jours-ci par Msn,adressé par un blogueur de la ville de Colomb-Bachar dans le sahara marocain oriental qui on le surnomme làbas,  "Le faux algérien ",et qui n'est qu'un Marocain d'origine, enthousiaste et impulsif.  L'article retrace avec hônneteté l'historique et quelques séquences du problème chronique avec l'Algérie.

     

             Vu la longueur du texte, la richesse de sa teneur, et l'affection de l'auteur, j'invite respectueusement le lecteur de lire l'intégralité de l'article en séries,(3 parties) et ce pour une bonne lecture et appréciation. Merci de votre confiance et de votre fidélité.l'Admin.

     

     

                                                                      

     

    Monsieur Chihab,webmaster du blog: Royaume Chérifien du Maroc.:salmo alaika wa rahmat allah.

     

    Aprés tant d'hésitations et de réflections,j'ai décidé de m'aventurier et prendre les risques d'écrire dans un sujet trés sensible qui fait mal au coeur de l'Algérie.Je m'adresse à votre blog aprés avoir été soupçonné parmi d'autres,d'être à l'origine d'écritures murales en faveur du Maroc..

    Laissez-moi tout d'abord éxprimer en préface de mon texte,mes sentiments personnels dans cet espace que vous consacrez " Pour l'Algérien sans voix".

    Je suis éffectivement Marocain d'origine,et j'en resterai toujours malgré que je suis contraint de porter comme les gens de mon patelin,une nationalité imposée

    .Pour mon impulsion bien claire,certains me surnomment ici,dans ce territoire opprimé par l'Algérie (Colom-Béchar)  "le faux Algérien". Oui je suis un faux algérien certes,puisque j'appartiens à une tribu marocaine,qui malgré elle,comme d'autres tribus chevauchant la frontière, se trouve à cheval entre l'Algérie et le Maroc.Son encêtre fondateur est inhummé honorablement dans le même mosolée avec Moulay Hassan Chérif, le grand père de la dynastie Alaouite règnante au Maroc,qui se trouve à Rissani dans - LeTafilalet notre mère -,au sud du royaume du Maroc.

    Si le sahara occidental avait crié " wa hassanah? " le sahara oriental lui, crie avec une voix d'amertume aigue  " wa maghrebah?".Nous sommes fiers de notre appartenance marocaine, du fait que nous nous considérons ici dans le sud-est du Maroc,pas dans le sud-ouest algérien qui nous est imposé forcement par l'Algérie qui,hélas ! n'a jamais tenu ses engagements avec le Maroc..

    Le destin divin,et la volonté de Dieu mettaient notre tribu dans l'embarras continu,combattue en premier lieu par la France coloniale durant le début du 20e siècle du 2e millénaire,et voilà encore depuis 1962, l'Algérie indépendante se fixait le relais et prenait volontairement la relèvre pour continuer à nous combattre dans notre identité .!Celà étant ne peut jamais éradiquer le sentiment spirituel qui nous attache à nos racines marocaines.

    Il va de soi de dire que dans nos fonds,nos âmes font partie intégrante des âmes qui survolent avec quiètude le ciel Marocain, loin de l'insécurité pésante qui interpelle ici notre quotidien

     Nos pères,nos grands pères sont toujours là, malgré le poids de l'âge,nous y sommes là avec eux,nos regards virés vers l'ouest, vers le libérateur marocain... dans l'attente du moment crucial que la machine à prospecter le temps n'a pas pu encore le procréer..!,le moment de voir les drapeaux marocains flottant dans les cieux du sahara marocain oriental triste .

     

    Je vous écris pour vous demander d'éditer le plutôt possible sur les colonnes du blog,dont je suis le visiteur assidu, cet article que j'ai minutieusement préparé,article qui reflète me parait-il, la vrais histoire de cette région qui pleure sa marocanité historique.

    Je ne peux enfin comme vous pourrez le savoir dévoiler mes coordonnées, Mais pour crédibiliser mes allocutions je signe mon article quand même, sans pouvoir autant éxposer au public,ni mon nom,ni mon Identifiant Personnel,que je vous prie de bien vouloir les garder en anonymat pour mesures de sécurité.Merci pour l'éffort que vous déployez.Le faux Algérien de Béchar.

                           

      Béchar: 29-03-2010 - de sar95 .................................?.fbx.proxad.net
    Les relations entre l’Algérie et le Maroc n’ont jamais été au beau fixe, loin de là. La rivalité entre les deux pays est à la fois territoriale et idéologique. Dans les années qui ont suivi l’indépendance de l’Algérie, le régime
    «progressiste » du FLN incarnait, tout particulièrement après la prise de pouvoir par HouariBoumediène, le modèle d’une décolonisation « de gauche » qui voyait la revendication nationale se doubler d’une guerre révolutionnaire.

    Pour l’Algérie socialisante, proche de l’URSS mais aussi en pointe dans le mouvement des États dits « non alignés », le Maroc était un modèle à combattre : celui d’un pays allié à l’Occident et représentant une tête de pont du monde libre au nord du continent africain. A Alger, on entendait souvent dire, jusqu’en 1978, que la « Révolution » échouerait si elle s’arrêtait à la frontière occidentale. Ce n’était d’ailleurs pas nouveau, l’élite révolutionnaire algérienne avait toujours estimé qu’elle était dépositaire d’un projet d’indépendance et de développement pour l’ensemble du Maghreb et l’ancêtre du FLN, l’Étoile nord-africaine de Messali Hadj,souhaitait la création d’un grand État maghrébin incluant la Tunisie et le Maroc. Du reste, lorsque les protectorats avaient été balayés, en Tunisie et au Maroc, ces  deux pays avaient servi de base arrière aux combattants de l’ALN.

    (Armée de Libération Nationale Algérienne)En conséquence de quoi, Alger soutenait avec constance la gauche marocaine qui cherchait, dans les années soixante, à renverser la monarchie Marocaine Alaouite. Ainsi, le dirigeant de l’Union nationale des Forces populaires (UNFP) Mehdi Ben Barka s’installa-t-il àAlger. De son côté, le Maroc allait plus tard accueillir des opposants au colonel Boumediène et, au premier chef,Mohammed Boudiaf.

     

    A deux reprises, cette véritable guerre froide du Maghreb s’est transformée en guerre ouverte.Le premier affrontement ouvert remontait à 1963. La deuxième fois qu’Algériens et Marocains s’affronteront directement sera la bataille d’Amgala en 1976, en pleine « Guerre du Sahara ». .
    En octobre 1963, un bref conflit armé oppose les armées marocaine et algérienne,c’est la Guerre des Sables. En cause, les territoires du Sahara, autour de Tindouf,que la France avait annexés à sa colonie algérienne en 1952.

     

    Après la bataille d’Isly en mai août 1844, la révision des frontières qui avait suivi la défaite marocaine, avec le traité de Lalla Maghnia, le 18 mars 1845, donnait à l’Algérie Tindouf, le Touat, la Saoura et
    Tidikelt. L’Algérie, dans les années soixante, défendait âprement le principe de « l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation». Mais il n’en avait pas toujours été de même.

     

    Le Maroc et la Tunisie avaient promis, face au GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne), le 6 juillet 1961, qu’ils ne soulèveraient aucune question territoriale avant l’indépendance et le GPRA avait admis, de son côté, que les frontières coloniales n’étaient pas opposables à ses voisins. Une convention bilatérale entre le Maroc et le GPRA affirmait d’ailleurs que «les accords qui pouvaient intervenir à la suite de négociations franco-algériennes ne sauraient être opposables au Maroc quant aux délimitations territoriales algéro-marocaines…»

    En mars 1963, Ahmed Ben Bella confirmait cette convention à l’occasion d’une visite de Hassan II à Alger. Dans ses mémoires, Hassan II écrit que Ben Bella lui adéclaré : « Je demande à votre majesté de me laisser le temps  de mettre en place en Algérie les nouvelles institutions. Lorsque, en septembre ou octobre, cela sera fait,alors nous ouvrirons ensemble le dossier des frontières. Il va sans dire que l’Algérie indépendante ne saurait être l’héritière de la France en ce qui concerne les frontières algériennes ».

    Une fois au pouvoir, Ben Bella reviendra sur cet engagement et de nombreux Marocains seront expulsés d’Algérie. Pourtant, le coeur des populations penchait bien, semble-t-il, vers le Maroc. Dans une note de juin 1962, « le Colonel Chevalier Chantepie, chef du centre d’exploitation des renseignements, écrit à propos de Tindouf que les populations Reguibat et Tadjakant de ce centre ont déjà fait leur choix qui est « incontestablement marocain 148 ». Au début du mois de septembre, la presse algérienne s’en prend violement à Hassan II qualifié de «pantin ». Le 8 octobre, c’est Alger qui déclenche les hostilités : l’Armée nationale populaire attaque les Forces armées royales à Hassi Beida. Les combats cesseront le 4 novembre 1963.

    Ignace Dalle, qui a longtemps travaillé au Maghreb comme journaliste, estime : « Ce qui est certain, c’est que, dans ce dossier complexe, la qualité des  arguments marocains et le comportement « fraternel » de Mohamed V pendant la guerre d’Algérie - même s’il était peu concevable qu’il en fut autrement –méritaient un traitement plus convenable, moins cavalier et provocateur de la part de l’Algérie ».

    La Guerre des Sables, quoiqu’il en soit, est gagnée par Rabat, même si le Maroc ne renencera point la récupéreration de ses territoires perdus, et le traité d’Ifrane de «Fraternité, bon voisinage et coopération » signé le 15 janvier 1969, est laisse beaucoup à désirer pour clore définitivement le chapitre.

     
    Mardi 8 octobre 1963. L'armée algérienne attaque un détachement des Forces armées royales au lieu-dit Hassi Beïda, non loin de Colomb-Béchar (aujourd'hui, Béchar). Dix soldats marocains sont tués. Très vite, les affrontements s'étendent à la région de Tindouf et de Figuig. La « guerre des Sables » a commencé. Elle va durer près de trois semaines.
    Il existe depuis longtemps un contentieux territorial à propos des régions du Sud rattachées à l'Algérie par le colonisateur français. En janvier 1957, celui-ci met au point un projet d'organisation commune des régions sahariennes (OCRS) dont l'objectif est de faire du Sahara une entité autonome de l'Algérie. Les Français proposent même aux Marocains, qui ont accédé à l'indépendance l'année précédente, d'en exploiter conjointement les immenses ressources. Or non seulement ceux-ci refusent la proposition, mais ils en informent leurs frères algériens. En juillet, Hassan II et Ferhat Abbas, le président du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), reconnaissent l'existence d'un contentieux territorial et conviennent d'en différer l'examen jusqu'à l'indépendance de l'Algérie.

    Celle-ci survient en 1962. Très vite, le GPRA est balayé par l'armée des frontières et Ahmed Ben Bella s'empare du pouvoir. Pour lui, pas question d'examiner un quelconque différend, le territoire algérien étant « un et indivisible ». Au cours du mois de septembre 1963, le Maroc masse des troupes le long de la frontière. Ben Bella accuse tour à tour son voisin d'expansionnisme et d'ingérence dans les affaires intérieures de l'Algérie. Tout le monde veut encore croire qu'une solution pacifique est possible. Le 5 octobre, Ahmed Réda Guédira, le ministre marocain des Affaires étrangères, rencontre à Oujda Abdelaziz Bouteflika, son homologue algérien, pour tenter de désamorcer la crise. L'irrémédiable a lieu dans la matinée du 8 octobre, quand les troupes algériennes occupent Hassi Beïda. Le lendemain, Hassan II dépêche d'urgence à Alger Abdelhadi Boutaleb, son ministre de l'Information, et le commandant de la Garde royale. Pour réclamer justice pour les victimes marocaines d'Hassi Beïda et demander l'ouverture immédiate de discussions. L'entrevue avec Bouteflika est un échec total.
    Depuis son palais d'Agadir, où il tient des réunions-marathons avec son état-major, Hassan II appelle ses sujets à défendre l'intégrité territoriale du royaume. Les hostilités commencent. Elles feront, de part et d'autre, plusieurs dizaines de morts. Égyptiens et Cubains volent à la resscousse de l'Algérie,ils envoient sur place de petits contingents pour défendre leurs amis algériens, tandis que les Marocains bénéficient de l'appui des Américains. L'armée algérienne, encore embryonnaire, est bousculée. Les Marocains ont eu la possibilité de prendre Tindouf, mais, curieusement, s'en abstiennent et reculent, peut-être à la suite d'une intervention du général de Gaulle. À Alger, le traumatisme est terrible. La création ultérieure d'une puissante armée « populaire » en sera la conséquence directe.

    Diverses tentatives de médiation échouent, jusqu'à ce que, le 26 octobre, le président malien Modibo Keïta invite Hassan II et Ben Bella à Bamako. Placée sous les auspices de l'Organisation de l'unité africaine, la rencontre débouche sur la conclusion d'un cessez-le-feu, qui prend effet le 2 novembre.
    Le 15 janvier 1969, à Ifrane, un traité de paix est conclu. Mais les germes de futurs différends ne sont pas éradiqués pour autant : l'inextricable dossier du Sahara occidental n'est toujours pas refermé. Comme le dit Hubert Védrine, l'ancien chef de la diplomatie française, « l'affaire du Sahara est une affaire nationale pour le Maroc et une affaire identitaire pour l'armée algérienne ».


    Le journal marocain indépendant, "Nichane" a préparé un grand dossier qui relate au détail après la prise de décision du Roi Hassan II d'entrer en Guerre. Une Guerre défensive suite aux attaques répétées de l'Algérie de Ben Bella contre le Maroc.
    Un jour d'octobre 1963, l'armée Algérienne avait tué une dizaine de militaires marocains et avait brulé les corps de 3 d'entre eux, tout en occupant une zone pas loin de Oujda (Ville Marocaine).
    Le Roi Hassan II avait opté pour la voix diplomatique et de la paix envers ce Pays frère, qui est resté sans réponses de la part de Ben Bella.
    L'Algérie a toujours appris à ses enfants que c'est le Marocqui a commencé la Guerre des Sables. Une quarantaine d'années Après, un éminent opposant, résistant Algérien, Jamel-Eddine Habibi, avait déclaré sur les colonnes d'un magazine Algérien que ce n'est pas Le Maroc qui avait débuté cette Guerre.
    L'armée Marocaine avait écrasé l'armée Algérienne et était arrivée aux portes de la Ville Algérienne de Tindouf. Là aussi, Le Roi Hassan II donne l'ordre à son armée triomphante de rebrousser chemin.

    ( A suivre ) .Cordialement,Chihab25

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