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Risques du métier

  • Le destin tragique des présidents, les Algériens en exemple..?

                                 La course à la présidentielle algérienne de 2014.                

    Les présidents Algériens; de Gauche à Droite : Ben Bella, Boukharouba, Ferhat Abbas, Chadli Benjdid et Mohamed Boudiaf.  Les deux premiers sont les maudits ennemis du Maroc.  Les 3 autres sont modérés et respectés par les Algériens eux-même et hors frontière . Mais celui qu'on salut au fond de la gravure,  fait honte aux algériens.                                                                                                          

    Bouteflika ment et ne veut pas du bien au peuple algérien?.. Comme de tradition, un conseiller à la présidence algérienne a lu un message au nom du chef de l’État algérien à l’occasion de ce que les algériens appellent,  "journée du chahid". Dans l’adresse de l’année passée, selon la presse algérienne, il était question de réformes. Même si, pour Bouteflika, celles-ci ne devaient, alors, pas être hâtives et irréfléchies, elles étaient encore à l’ordre du jour. Ces réformes étaient alors salutaires. Elles devaient tendre à faire admettre les postulats qui consacrent le processus démocratique, consolident les institutions constitutionnelles, rétablir la suprématie de la loi et protéger les libertés individuelles et collectives, autant d’objectifs nobles auxquels aspiraient vos soi-disant "chouha-da”.

    Une année plus tard, “les réformes artificielles” sont déjà accomplies ! Un peu comme si elles s’étaient réalisées sans même que les algériens en apercevront : “L’Algérie, qui avance à pas sûrs selon les inventions spectaculaires de celui qui disait un jour à Setif  "Tab Jnanou", elle connaît, de grandes mutations, à tous les niveaux et dans tous les domaines, depuis plus d’une décennie, sous une direction qui a pris la responsabilité de traduire la réforme dans les faits disait-il.”  Bouteflika se réjouit ainsi de créer le mensonge et de s'inviter lui même et les siens à le croire!, d'autant plus qu'aucune considération n'est donnée au peuple algérien qui se trouve à six mois du rendez-vous de la prochaine présidentielle pour s'assurer de la réalité de ces réformes fantoches. Mais rien ne donne à penser que c’est le cas, en l'absence de vision, de dynamique et de débat politique entre les hommes et les partis en lice. Tout le monde attend de voir un signe qui lui indiquerait la direction à pendre ou essayerait cette vulnérabilité.

    Nous Marocains observateurs, de même que les algériens, ne nous avons pas vu, “des grandes mutations”. Tant on continuait en Algérie à vivre de pétrole exporté, de farine et pommes de terre porcine importées… tant rien n’a changé, “depuis l'arrivée de Bouteflika à la magistrature suprême de l'Algérie, au contraire, le pays est dans une économie en panne, face à une administration plus bureaucratique que jamais, une justice injuste qui frappe à tort et travers,  et attend sa libération, un nombre croissant de problèmes sociaux, de disparus forcés, de mal-logés, de Hitistes, de chômeurs et de grande humiliation "La Hogra" qui tue l'ambition  populaire, en particulier chez les opprimés et déprimés.

    Seule activité à avoir cependant connu une progression palpable : la corruption, rien que la corruption et l'anarchie totale. Et malgré,  Bouteflika, son entourage, les thuriféraires, les opportunistes et les hypocrites algériens s'en vantent encore et se réjouissent de clamer "tabarak allah a3lik ya Jazaer", terre de fièreté, de dignité et de justice sociale.!

    L'Algérie se trouve au point mort sur une tôle chaude bien laminée par le désespoir collectif, sans conviction aucune, sans fournir d'efforts et sans le moindre égard pour l'opinion, la volonté du peuple, les espoirs de la jeune génération et son aspiration pour le changement via un choix libre, démocratique et en toute responsabilité de celui qui succédera à Bouteflika et présidera aux destinés de l'Algérie.

    La preuve, par l’issue problématique des printemps arabes : Les évènements et faits déplorables survenant ici et là, et tout près de vous algériens dans plus d’un pays arabe, et indépendamment des aspects manifestes, démontrent le degré de gravité de ce qui se trame derrière la scène chez vous”, on vous disaient que l’Algérie a déjà vécu son "printemps noir" durant la décennie noire des années 90 que pour perdurer la situation au terme du statu quo, isolant l’Algérie de son entourage régional et du monde extérieur.
     
                                                                           Attention : Présidence à risques..!       

    Ferhat Abbas : est le premier président du gouvernement provisoire de la république algérienne GPRA de 1958 à 1961. Homme de culture et de la science, il sera sollicité par Abane Ramdane* dés 1955, pour composer le noyau politique de la révolution. Par son rayonnement personnel, par la coalition politique qu’il a rassemblée autour de lui, il a donné à la révolution un rôle qu’elle n’avait encore jamais tenu et qu’elle a conservé jusqu’aux accords d’Evian, en 1962. Il sera écarté et placé en résidence surveillée après l’indépendance, jusqu’à sa mort.

    Ben Youcef Benkhedda : fut le successeur de Ferhat Abbas (1961-1962). Ce pharmacien de formation, fut décapité comme son prédécesseur, alors que son apport à la cause Algérienne reste majeur. Sans doute a-t-il eu des lacunes, des illusions et des échecs. Mais, par son style, ses méthodes et ses idées, l’insurrection du 1er novembre 1954 a pris une dimension internationale. Humilié et sali  pour avoir soutenu l'engagement de l'Algérie dans l'accord  passé avec le Maroc le 6/7/61 par le GPRA de Ferhat Abbas sur les frontières, il sera écarté de la vie politique et assigné à résidence surveillée jusqu’à la fin de sa vie. Une réclusion de laquelle il ne se relèvera plus.

    Ahmed Ben Bella : premier président algérien, ne termine pas son mandat suite au complot du 19 juin 1965, redressant, dit-on en Algérie, la trajectoire tordue de l'Algérie, putsch mené par le colonel Houari Boumédiane, alors ministre de la défense. Cette mule blanche "Marrakchi", était sur le point de déclarer l'Algérie "Mohafadha Misria", car il fut emporté aveuglement par le socialisme Naceriste, exécutant sans réserve les orientations de son parrain égyptien Abdenaceur contre le Maroc. Bekbachi Abdebaceur projetait à républicaniser les monarchies et Émirats arabes, en essayant après le Yémen de jouer avec le feu contre l'authenticité du Royaume Chérifien du Maroc, un pays ancré dans l'histoire, doté depuis des siècles d'une monarchie constitutionnelle stable. Il voulait éliminer tout simplement, le Roi feu Hassan II, après avoir réussi de comploter facilement le roi Mohamed El Badr du Yémen, en recasant son pion Yéménite Abdallah Sellal.

    Le tyran Bekbachi créa ainsi, avec la complicité de l’adjudant Ben Bella, comme moyen d'intervention au Maroc, la «guerre des sables en octobre 1963», où l'alliance Égypto-Algérienne fut déjouée en 4 jours par l'Armée Royale Marocaine. La volonté divine de sa part,  a bien voulu dévoiler le plan logistique Égyptien contre le Maroc, par la capture inattendue, d'un gros poisson Égyptien en terre Marocaine. De simples citoyens Marocains de la localité de Ain Chouater, actuellement dans la province de Figuig, ont capturé un hélicoptère Algérien qui avait perdu la boussole, avec à bord 5 officiers Algériens et 4 autres officiers Égyptiens,  en mission de prospection logistique à la base militaire  algérienne de "Hamaguir" dans la région d'Abadla, au delta d'Oued Guir. Cet appareil était ce jour-là en tournée de reconnaissance  à la frontière algéroc-Marocaine en plein guerre. Le pilote Algérien s'est trompé, au lieu d'aller vers l'amont d'Oued Guir il a pris la direction de son aval pour atterrir, à son gré et pas en catastrophe, dans une localité Marocaine frontalière loin du front de bataille. (Pour en savoir plus, voir en blog la catégorie "La guerre des sables 1963").

    Houari Boumediène (Mohamed Boukharouba, son vrais nom) : Ce maudit président algérien est à l'origine de tous les maux du Maroc les avec l'Algérie. Il jeta à la largeur du mur l'accord Maroco-Algérien du 6/7/1961, passé avec le GPRA sur l'avenir des frontières avec l'Algérie indépendante, en le baptisant "Chiffon de papier". C’est lui qui créa le problème actuel du Sahara Marocain pour étendre sa main  gauche vers l'océan atlantique, laissant entendre, qu'avec cela, il mettait la pierre au soulier du défunt S.M.le Roi Hassan II que Dieu ait son âme, le monarque génie qui apparemment, constituait, pour lui et pour ses parrains au Kremlin,"la bête noire de l'occident". Avec la volonté divine, Boumédiane n’achève pas sa mission agressive contre le Maroc et meurt à Alger fin 1978, une mort méritée de chien empoisonné après l'échec de la médecine Soviétique dans son cas.

    Chadli Ben Jedid : le président de la décennie quatre-vingt, contraint de démissionner au cours de son second mandat pour avoir instauré, d'une part, le multipartisme, suite aux événements d'octobre 1988, laissant la voie libre aux putschistes de janvier 1999 et d'autre part, pour son rapprochement au Roi feu Hassan II, au point que la junte militaire qui courtise le pouvoir algérien dans les coulisses ne lui pardonnait pas sa participation impulsive aux parties de chasse au sanglier qu'organisait en sa faveur le roi dans la province d'Ifrane au moyen Atlas au Maroc (!). En jetant l'éponge, il meurt calmement en dignité contrairement aux autres présidents. C'est  d'ailleurs, le seul président que regrettent les algériens.

    Mohamed Boudiaf :  prend les rênes du pouvoir 1992. membre fondateur du FLN, un des chefs historiques de la guerre d’indépendance algérienne et membre du (GPRA), au poste de ministre d’État de 1958 à 1961 puis vice-président jusqu’en 1962, il entre en opposition contre le régime militaire qui a pris de force le pouvoir, et s’exile durant près de 28 ans à Kénitra au Maroc. Rappelé en Algérie en pleine crise politique, à la tête de l’État, en tant que président du (HCE) Haut Comité d’État, organe en charge provisoire de la gestion de l’État, du 14 janvier au 29 juin 1992,  assassiné à Annaba, lors d'une conférence par les généraux qui l’ont courtisé durant des mois, dont le tueur à gâche n'était que son garde du corps, le lieutenant M'Barek Boumaârafi, un officier commandité par le général Smain Lamari,alors patron du DRS (les services secrets algériens).

    Ali Kafi : un court passage, en sa qualité de bouche trou, comblant la vacance, conformément à la loi fondamentale algérienne. Ce vieux ingrat était fonctionnaire à l'époque de la guerre de libération algérienne au ministère Marocain des affaires étrangères, il occupait un poste qui lui permettait d'accéder librement aux archives de ce département, d'où il a pu voler des documents importants justifiant l'engagement du GPRA dans l'affaire des frontières, un engagement non tenu par l'Algérie indépendante qui refuse, à ce jour, de remettre au Maroc son Sahara oriental, un territoire qui n'était jamais algérien.

    A noter que ce maudit Ali Kafi était membre actif dans la délégation du GPRA qui négociait avec la France de De Gaules les accords d’Evian ayant permis aux Algériens d'accéder à l'indépendance, il s'est transformé en "leader féroce" qui incitait, à maintes reprises, la délégation Algérienne à claquer la porte, quand les négociateurs Français proposaient de mettre à coté l'avenir des territoires Marocains attachés par la France à l'Algérie Française 1903. La France savait alors de quoi elle parlait aux algériens, faisant allusion à la totalité du Sahara Marocain oriental qui regroupe : Ain Salah, Adrar, Timimoune, Touat, les Ksours de la grande Saoura, Colomb-Béchar,Kénadsa, Abadla et Tindouf.

    Liemine Zeroual : est élu en novembre 1995 au suffrage universel parmi quatre candidats. Il se retirera à mi-chemin, en février 1999 et ne terminera pas son mandat à cause de fortes pressions de son chef de cabinet, le général Larbi Belkheir et la junte de Ben Aknoune d'Alger en particulier les généraux Mohamed Lamari,Chef d’État major général de l'armée et Mohamed Mediene (Toufik), le chef de la toute-puissante Sécurité militaire (SM), alors dans un climat de guerre civile, que le président Zeroual, le plus estimé des algériennes et algériens a décidé de mettre un terme à son mandat de chef de l’État.  Sa gestion du pays ne convenait non plus au goût de ses pairs de la junte, alors qu'il se préparait de trouver un entente avec les islamistes du FIS pour sortir l'Algérie de l’impasse et remédier à la situation.

    Abdelaziz Bouteflika : est sur le point d'achever son troisième mandat,mais il est à bout de souffle et gouverne à partir d'un fauteuil roulant. Y a-t-il une malédiction qui traîne du côté  du palais d'El Mouradia ou est-ce le peuple algérien si compliqué et si difficile qui «achève» ses présidents sans pitié ?. Sûrement, c'est la particularité Algérienne  qui domine le destin tragique des présidents algériens,   Bouteflika, un cas à suivre, ...

    Raisonnement, l’armée algérienne reste une institution clandestine au-dessus de la présidence algérienne, elle agit en coulisses, refusant à tout gouvernement l’autorité nécessaire à la direction de l’État et à la gestion du pays, et ce depuis le 1er novembre 1954. Il faut rappeler à cet effet, que tous ceux qui ont cherché une autonomie ou une gestion démocratique des institutions, ont été liquidés physiquement, comme l’indique si bien le sort tragique réservé aux symboles de la révolution algérienne en l’occurrence : Abane Ramdane, Mohamed Kheider, Abou Bekr Belkaid, Mohamed Boudiaf et Kasdi Merbah, tous effacés d’un revers de la main par des caporaux incultes de l'armée Française, seulement soucieux de leur carrière personnelle.

    A noter que depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962, l'armée a toujours choisi le président: Ahmed Ben Bella (1962-65), Houari Boumediène (1965-1978) Chadli Bendjedid (1978-1992), Mohamed Boudiaf, ramené de son exil marocain pour être assassiné six mois plus tard en juin 1992, Liemine Zeroual (1994-1999) puis Abdelaziz Bouteflika. Le prochain ne sera sûrement en 2014, qu'un lauréat de l'école de la junte militaire du Daly Brahim d'Alger.


      

          Le pouvoir Algérien au croisé du chemin, pas de feuille de route, sauf contre le Maroc.

    En conclusion, l'ambiguïté qui règne en Algérie est accompagnée d’une inertie dans de nombreux secteurs. Elle contribue à ralentir le changement et participe au déclin des valeurs et des principes et à l'effondrement de la morale algérienne. Cette situation aura sans aucun doute des conséquences et créera des scissions et des déséquilibres politiques et sociaux, tels que ceux qui se produisent actuellement en Kabylie, Ghardaia, Ouargla, Borj Baji Lmokhtar et dans le grand sud Algérien, en matière  de soulèvement et d'insécurité. Compte tenu des désaccords et des mensonges qui règnent au sein des deux partis de la majorité et du gouvernement algérien-même, ainsi que la confusion, l’hésitation et la peur que vivent les autres formations politiques et les associations, en l'absence d'une présidence réelle, dont le silence est devenu sa seule arme pour dissimuler ses intentions et éviter de provoquer des réactions néfastes qui ne seraient pas à son avantage !

    Aujourd'hui, il devient évident qu’à partir de son fauteuil roulant, le Président algérien aspire, en vain, à un quatrième et à un cinquième mandat, voire même à la présidence à vie. Il refuse de porter le titre d'ancien président, malgré son absence de la scène politique, son âge avancé, son vieillissement apparent et son incapacité à exercer ses fonctions et à assumer ses responsabilités vis-à-vis de son peuple. Il continue à tirer les ficelles et à prolonger le suspens en utilisant ses proches et ceux qui bénéficieraient de son maintien au pouvoir. Il tire profit du  soi-disant respect et de l'estime du peuple et de l’institution militaire, ainsi que de la stabilité sociale forcée qui coûte très cher à l'Algérie, de la patience et la compréhension supposée des algériens, et également de la peur et de l’hypocrisie qui règnent dans les milieux politiques et sociaux.

                                                 شقيق بوتفليقة أحد مسؤولي عصابة المافيا الجزائرية           

    وجه حسين مالطي المسؤول الجزائرى السابق في قطاع البترول وأحد مؤسسي شركة المحروقات الحكومية الجزائرية " سوناطراك" ، الاتهام المباشر لشقيق الرئيس الجزائري عبدالعزيز بوتفليقة، بالتورط في قضايا الفساد التي هزت مجموعة النفط العملاقة سوناطراك المملوكة للدولة,الآمر الذي كان سببا في مرض و شلل بوتفليقة                                                                                                                                                                             
    Le silence enregistré laisse à penser que Bouteflika cherche à se présenter pour un nouveau mandat dans les habits de son frère Saïd, du moins ce que souhaiterait son entourage, sans le moindre respect ou égard pour la volonté du peuple algérien et son aspiration pour un nouveau souffle et un changement de figures. Voir l'écran Algérien brouillé, pendant une décennie et demi par les mêmes figures, Oulad Mma Mansouria et leurs valets de chambres..? C'est trop pour un pouvoir myope de naissance.
     
    Pire encore : il ne renoncera pas au trône, car il est convaincu d’être le seul capable de diriger la Nation et qu'en Algérie nul ne peut lui succéder, estimant qu’après lui le pays risque de s’effondrer. Croire que Bouteflika va quitter son poste, renoncer au quatrième mandat et passer les rênes à un autre président et devenir ainsi l’ancien chef de l’État comme l’a fait Liemine Zeroual est une utopie et un rêve qui ne se réalisera jamais.

    Au même moment, les candidats potentiels attendent de voir l'évolution de l'état de santé du Président, conscients que sa maladie est le facteur principal pour déterminer l’avenir. Ils attendent que d’«autres parties» se mêlent pour déterminer la destinée du pays. Ils sont aux aguets, tout comme l’est la classe politique, car personne n’a le courage et la disposition d'initier le débat et de prendre position, trop conscients que la partie est déjà jouée et que la décision n’émanera pas de la volonté populaire comme à chaque fois. Pour le reste, les conditions sociales et déontologiques ne leur permettent pas de montrer leurs intentions et de dévoiler leurs ambitions, car ils risqueraient de payer un lourd tribut qui a coûté très cher à ceux qui l’ont tenté par le passé...

    Tous aspirent à la présidence, observant et attendant sans fournir le moindre effort et sans tenir compte de l’électeur algérien qui ne sera consulté qu’à la dernière minute. En réalité, nul ne se préoccupe du soutien du peuple et du corps électoral en Algérie. Leur souci majeur est d’avoir le support de l’armée, qui semble, comme toujours, ne pas laisser les choses aux mains de la classe politique et du peuple qui devront assumer les responsabilités de leur choix. Ainsi, elle se consacrera à exercer, dans les coulisses bien sûr, ses fonctions constitutionnelle, militaire et sécuritaire et à protéger la légitimité de la corruption et les ressources du pays, qui sont spoliées au quotidien dans l’Algérie de la "fierté, de la dignité et de la justice sociale". Des mots creux, qui ne signifient plus rien aux Algériens. Bonne lecture.

                                                                                                     Cordialement,Chihab25
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    *.-Une figure historique de la révolution algérienne,assassinée par ses pairs de l'ALNA dans des circonstances restées inconnues à ce jour.