Les amputations subies au Maroc au profit de l'Algérie Française et les préjudices encourus..!

SM le Roi, la fierté du Maroc

Que l'on sache!...Le dicton Algérien, le plus rigollot se caractérise par la première sortie médiatique, de celui qu'on appelle en Algérie "le Président!", le jeton désigné et imposé par les militaires d'Algérie, pour ne pas dire élu par les stupides doigts bleus Algériens. Ce h'layqi disait avec forte conscience de :
«Qui sortira de la ligne subirait». Et depuis, ce super-con d'Alger était sous le feu des critiques. Il s’était attiré les foudres de l’opposition Algérienne qui aboyait, elle aussi, en exil, mais également de son propre entourage, dont le caporal-pisseur d'Amgala (!) qui lui reprochait de ternir l’image de l'Algérie avec ses sorties de clown.
Pour s'en concrétiser, le Maroc garde ses boulets défensifs au secret pour se protéger de toute frivolité parvenant de la voisine de l'Est. Cela étant nous assurera davantage, que «la Marocanité de nos deux «Saharas, occidental et oriental», est irréfutable», écartant toute présomption de sa réalité intransigeante. C'est l'objectif avenir de tout Marocain, souhaitant réajuster l'intégrité territoriale Marocaine d'autrefois!.
Allons y au sujet : la conquête française d'outre mer, menée entre 1880 à 1903 a privé le Maroc de ses vastes étendues territoriales, équivalentes à la superficie de la Grèce, aujourd’hui placées sous le joug Algérien. Riches en eau fossile, en or et en hydrocarbure, ces zones ravivent les revendications Marocaines depuis l'indépendance en 1956.
Les tensions avec Alger s’expliquent en substance, comme les a rappelé indirectement, sans avoir tord, le chef de la diplomatie Russe Mr.Sergueï Lavrov, visant les territoires amputés d'ici et de-là, par la colonisation française au profit de l’Algérie française.
À l’aube du 20ème siècle, la France s’emparait de étendues situées au sud de l’ex-Régence Ottomane d’Alger, baptisées par la suite de ce qu'on appelle les «Territoires Algériens du sud». Zone englobant «le Sahara oriental Marocain constitué de :«Touat, Gourara, Tidikelt, Reggane et Ain Salah» où s’égrenaient plus de 300 Ksars.
Ces territoires furent conquis par la France pour y être rattachés à son Algérie Française, où elle croyait rester à l'infini, terres annexées et léguées à l’Algérie actuelle convergeaient les routes caravanières menant vers le Soudan occidental.(le Mali et le Niger actuels).
La preuve de leur spoliation ne venant pas, seulement du Maroc, mais aussi du chef de la diplomatie Russe, qui lors de la conférence de presse qu’il a tenue dernierement à Moscou, rappelait à l’Algérie que ses frontières sont tracées, à base d'une règle et héritées du colonisateur Français.
Cette réalité était choquante pour l'Algérie qui s'en vante et se dit n'importe quoi. Rappelant la réponse pareille, donnée par Mr.Omar Hilal l'ambassadeur Marocain à l'ONU qui, avec sa grimasse éblouissante de toujours avait tiré à bout portant, sur une journaliste prépayée de la (Sky news Arabia), qui aurait été engagée par la diplomatie Algérienne pour remuer les boues et évoquer, la question du «Sahara Marocain occidental», ne respectant pas les points prévus à l'ordre du jour.
Contrôle des axes caravaniers: la région du Sahara Marocain Oriental spolié aujourd'hui par l'Algérie était un carrefour important pour le commerce transsaharien, administré auparavant par le Maroc, et que la France a décidé autrement.
Un télégramme officiel adressé à l'époque par le gouverneur général de l’Algérie française, déclassé des archives d’outre-mer d’Aix-en-Provence, en témoigne de façon implicite : «La région du Sahara Marocain Oriental relevait du département d'outre-mer du Sud-Oranais d'autrefois pour des questions de ravitaillement et de sécurité ».
Malgré quelques ajustements mineurs et des missions de délimitation sur le terrain, la frontière établie en 1903 entre l'Algérie Française et le Maroc était restée en vigueur, devenant frontière internationale, imposant le faux principe :«l'intransigeance des frontières!» que l'Algérie d'aujourd'hui tient en vogue et en devise.
La rédaction du blog, se voit obligée de s'arrêter, un peu là, pour préciser un acte de corruption diplomatique, qui avait entaché l'ère corrompue de l'ex-OUA, via son secrétaire général de l'époque, le Togolais «Edem Kodjo», l’homme qui s’est vendu au pétrodollar Algérien.
Il en avait cédé à la pression d'Alger, faisant entrer à l'organisation Africaine, la fantoche «République de Tindouf» l'entité bazarde, rappelons-le, qui a été enfantée sur terre Lybienne en 1973, adoptée en suite par la maison close d'El Mouradia d'Alger, comme tutrice d'une naissance bâtardise et illégale.
Et depuis le régime Algérien la prenait en charge, dès son baptême en l'imposant à son monde corrompu, comme «membre fondateur» de l'OUA, tandis que l'Algérie, elle même, n'a eu naissance qu'en 1962, tout juste une «année» avant la création de l'OUA en mai 1963 à Addis-Abeba en Éthiopie.
Instrumentalisation...En mai 1978, un télégramme de l’ambassade de France à Bamako, tomba à Paris, portant un ton calme, presque clinique, mais l’enjeu diplomatique révélé était brulant, indiquant :«l’infiltration du Polisario en territoire Malien, soutenu par l’armée Algérienne».
Un demi-siècle plus tard, une clé de lecture agit, esquissant qu'Alger comme «sponsor du terrorisme».et depuis février 1978, la presse Malienne ne manquait pas d'évoquer régulièrement les activités menées conjointement, par le Polisalgérien et la racaille-armée Algérienne dans le Sahel, confinant au Mali et Niger!.
En cette optique, l'Algérie avait mobilisé certaines tribus nomades établies près des frontières du «Mali, Niger, Mauritanie», les impliquant activement dans des opérations militaires en soutien aux mercenaires de Tindouf.
Les logiques d’alliance tribale furent habilement exploitées par Alger pour transcender les frontières et établir des liens avec les tribus nomadisant aux pays du Sahel. Tous les moyens étaient bons pour servir une cause en manque de légitimité et d’ancrage identitaire.
Le nord du Mali était ainsi devenu une zone privilégiée pour le recrutement et l’action du Polisario, comme l’indique le télégramme précité:
:«Le Polisalgérien compte dans le nord du Mali sur l’aide de certaines populations qui lui sont favorables, dont les tribus maures, transhumant entre le Mali et l’Algérie, en particulier :-Troumouze originaires en totalité de Mauritanie et -Laghnanma de la Saoura aussi favorables aux mensonges Algériens. Toutes deux seraient arrivées au Mali en provenance du sud algérien.
C’est parmi eux que les mercenaires Polisalgériens auraient recruté quelques uns, allant jusqu’à contracter des mariages mixtes au sein de ces tribus pour deux objectifs : 1) recruter plus de mercenaires. 2) établir des camps prétendument humanitaires le long de la frontière Malienne.
La Maroc, rappelons-le à ce sujet, avait toujours crié, haut et fort, qu'à Tindouf, il ne s'agit pas de vrais ressortissants issus du Sahara Marocain, d'autant plus qu'un mélange de personnes, ramassées d'ici et delà!. C'est pourquoi l'Algérie avait toujours refusé l'opportunité d'ouvrir la voie de recensement aux instances Onusiennes.
Cette politique de peuplement reflétait une instrumentalisation des populations locales par l’Algérie, dans une optique non seulement militaire, mais aussi géopolitique, dépassant dès lors, le simple soutien politique et s’engage dans le conflit, brouillant délibérément les frontières entre l’appui affiché et l’action militaire effective.
En preuves via des notes et rapports circonstanciés à l’appui, que les média français surtout par «Le Journal du Dimanche» sont parvenus, dans le cadre d’une enquête exclusive, a démontrer l’implication directe de l'Algérie, dans les «barbouzeries algériennes commises en France, en Espagne», ciblant sans distinction, les opposants au régime et tous ceux qui contestent le service général des casernes.
Relations à l’usage d'Europe. Je m'interroge curieusement, en tant que simple observateur : «Comment peut-on faire la différence entre quelqu’un de vraiment cultivé (le Maroc) et quelqu'une qui ne fait qu'aplomber sa frivolité dégénérée par tous (l'Algérie!)».
Je croix, que seuls qui pourront acter la bonne réponse à cela, ne seront que les politologues : MM.Bernard Lugan du coté Français et Mustapha Sehimi du côté Marocain, lesquels métrisent par connaissance, les divergences Algero-Marocaines.
Au Maroc, il y a cet adage populaire qui dit: «Plus la poule coquette, elle pond plus d'œufs». Ça veut tout dire. : Plus qu'Alger oserait marcher contre courant, elle se contrainte, par force de raison, de marcher pieds nus sur des braises, étalées par l'exploit de la Diplomatie Royale innovante.
Selon l'avis de l'écrivain Franco-Marocain Tahar Ben Jelloun, Il y a plusieurs façons de déclencher une guerre. Celle-ci peut s'éclater d'un moment à l'autre si le régime Algérien jettera l'étincelle pour se bruler dans une autre guerre de sable.
Selon un autre barème, celui des punitions et humiliations, ayant gouté toute l’inventivité d’un régime déclinant ses classiques, rappel d’ambassadeur et pression semblant verrouiller les vannes de gaz, dépassant toutes les bornes avec retour bredouille à l’envoyeur Algérien,
Par contre, le Maroc multiplie ses liens avec des partenaires internationaux. attirant davantage en «Terre, Air, Mer» les investissement étrangers sur la base d'un calendrier serré. Un tempo régulier qui dit beaucoup de la trajectoire suivie par le Royaume, celle d’un pays qui consolide sa place sur l’échiquier sécuritaire, non par des coups d’Etat, mais par la régularité, la méthode et le terrain.
Que nos ennemis d'Alger sachent qu'il leur appartient d'avaler amertument «la montée Marocaine en puissance, en compétence et interopérabilité»…Cela fera traduire la stratégique Royale, en construction et en infrastructures. C'est en fait, le moyen le plus efficace qui mettra le Royaume aux rangs des Grands constructeurs, dernier acte en date :
Le point crucial : il est temps d'aller au suivant et d’ouvrir le dossier du Sahara oriental. Selon la conviction de tout Marocain, l’intégrité territoriale nationale doit être reconnue mondialement aujourd’hui après le succès qui a parfumé le Sahara Marocain occidental..
Le Sahara oriental Marocain devenant curieux lui aussi appelant le rapatriement à la mère Patrie le Maroc, étant une partie inaliénable du territoire Marocain. Et il est temps d’ouvrir son dossier auprès de la 4ème commission de l'ONU chargée de traiter les questions de décolonisation.
«Ici, au Maroc nous considérons que le conflit artificiel autour du Sahara occidental Marocain est définitivement clos, et nous espérons passer au suivant, se préparer à ouvrir l'autre dossier du Sahara oriental, annexé par la France à l'Algérie Française, bien qu’il est historiquement et géographiquement Marocain.
C’est ce qu’affirme de son coté Mr. Charles Dahan, vice-président du World Moroccan Jewry, basé dans la région de Washington, dans un entretien accordé au quotidien Marocain Assabah publié dans son édition du 28 avril 2025.
Par conséquent, «nous estimons qu’il est temps de braquer les projecteurs sur le sujet, tout aussi important pour nous, Marocains : «le Sahara oriental», tant que sa vérité historique, méconnue par certains, faisant partie de la Souveraineté impériale Marocaine d'autrefois, comme en témoignent les cartes, traités et documents antérieurs à l’occupation française».
La question du Sahara Marocain oriental, n’a pas toujours été «pleinement comprise en termes de profondeur historique, ni en termes de justice de la position Marocaine à son sujet, qui a déclenché, rappelons-le, la guerre des sable d'octobre 1963.
Face à cette réalité. «Nous devons adopter une diplomatie douce, des discussions directes, avec à l’appui des documents historiques et une explication claire, appuyées par la vision perspicace de la diplomatie Royale, et a gérer ce dossier avec un grand professionnalisme sur la scène internationale
Après une évaluation minutieuse, le monde doit finalement reconnaître la Souveraineté du Maroc sur son Sahara oriental, une étape décisive pour la communauté internationale, même si «cette reconnaissance aurait dû intervenir bien plus tôt, étant donné que l’histoire du Maroc est claire dans toutes les références et les ouvrages historiques».
Pour ce qui est de la démarche à suivre, nous simples Marocains, nous sommes optimistes de voire le duo d'exécution de la glorieuse diplomatie Royale «Nacer Bourita et Omar Hilal, prêts à toute éventualité, devant creuser davantage, sous l'arbre Algérienne de spoliation et d'illusions, allant en temps opportun, à la bonne exécution de la vision Royale dans ce sens; comme ils l’ont déjà fait; en traitant la question du Sahara Marocain occidental. Bonne lecture.
Cordialementt,Chihab25