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L'armée Algérienne a le moral en berne..

 

                         L'armée Algérienne a le moral en berne..

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Une source d'information locale,indique que l’armée algérienne accuserait des signes d’essoufflement face à la situation explosive prévalant à ses frontières poreuses avec la Libye, la Tunisie, le Mali, le Niger et la Mauritanie. Cette racaille va-t-elle finir par désarmer?

Les fortes charges que lui, distribue à tout bout de champ, les danses de coq de son chef Gaid Ahmed Salah ne seraient pas dues qu’à la seule rivalité avec le Maroc. C’est ce qui ressort d’une recommandation faite, via son dernier bulletin d’information, diffusé par son état major, appelant la diplomatie à redoubler d’efforts afin d’apaiser les foyers de tension s’exacerbant aux frontières algériennes d'une longueur de plus de 6.340 km!.

Ironie de la géographie, les groupes surarmés de l’armée doivent parcourir 1.370 kilomètres pour contrôler juste la frontière commune de leur pays avec le Mali !

D'aucuns diraient qu'elle n’a pas besoin de faire du “footing” pour sillonner cette frontière, tant que les responsables militaires au sein de la racaille laissent entendre que les radars de surveillance électronique sont suffisants pour détecter les mouvements suspects en provenance des voisins du sud et de l'Ouest. Mais que pourront bien faire ces radars face à une région vague, devenue le QG de terroristes de tous bords : «Ansar Eddine  -  Mouvement Unicité et Jihad en Afrique de l’Ouest  - Al Mourabitoune de l'Algérien Mokhtar Belmokhtar  (le

Il c'est avéré dans ce sens que les flashs intermittents de découvertes de caches d'arme, d'abattage et de repentance présumés de terroristes, diffusés presque hebdomadaires par l'état major de Gaid Salah sont que des périodiques de routine ne reflétant pas la réalité, ils la contredisent sur terrain et ne convaincront personnes, si on croit un militaire encore en activité qui soufflait ces failles de l'armée-dz  à ses proches, quelque part au Sahara Marocain oriental spolié!.

Ces radars de détection ont-ils d’ailleurs pu empêcher Mokhtar Belmohtar, de s’infiltrer en terre d'Algérie en 2013, - en pleine opération Française Serval, pour déloger les terroristes dits Ansar Eddine -, et effectuer, sur le site gazier Ain Amenas-Tiguentourine, dans le sud-est de l'Algérie, l’une des prises d’otages les plus sanglantes de l’histoire de l'Algérie, au cours de laquelle 37 otages et 29 terroristes ont trouvé la mort.

Cette prise d’otages, qui a valu à l’Algérie une tempête de critiques de la part de la communauté internationale, avait mis en évidence l’échec indéniable de l’armée Algérienne à contrôler ne serait-ce que sa seule frontière commune avec le Mali. Que dire encore de celle que l’Algérie possède avec la Libye (982 km), la Tunisie (965 km), le Niger (956 km) et le Niger (956 km)?

Pas besoin d’égrener, ici, les menaces que font planer sur l’Algérie les terroristes d’Ansar Charia au mont Chaânbi en Tunisie, l’antenne libyenne du présumé «Etat islamique», le Mouvement unicité et jihad en Afrique de l’Ouest , (Niger), les réseaux internationaux de trafic d’armes et de drogue latino-américains s’activant à la frontière Mauritano-Algérienne soutenus par les mercenaires-séparatistes du polisario.

Mais au delà, il ne faudrait pas non plus aux Algériens d'oublier la frontière de l’Algérie avec le Maroc et la conversion séparatiste du Polisario, son produit pur jus, dans l’activité terroriste et le trafic de toutes sortes. Remarquez que l'Algérie est cernée de toutes parts. Entretenant des relations plus que tendues avec presque ses voisins. Pour le plus grand malheur d'une armée déjà au bout du rouleau.

Une Algérie effondrée, à l'image de l'état de santé de son ex-président, jeté dans la poubelle de l'histoire par une rue mouvementée depuis plus de 42 semaines, déterminée à éradiquer tout un système corrompu!.

Quand à cela, il faut ajouter la crise politique sans précédent que vit le voisin de l’Est, en raison du vide institutionnel causé par l’entêtement d'un vieux général qui détient, dents et corps, un pouvoir perdu qu'il vient subitement découvrir sans maître, les Algériens avérés ont vraiment de la peine à imaginer comment leur pays s’en sortira du tunnel de ses sales bottes .

L’Algérie a des frontières de 6000 km avec 7 pays dont la Libye et le Mali où la situation est troublée. Avec son ingérence dans les affaires des autres pays dont le Maroc, l’Algérie s’est attelée à installer d’énormes moyens matériels et des milliers d’hommes militaires pour se faire, unilatéralement, un leadership à sa mesure, se comportant au poids de gendarme de la région nord-africaine.Mais elle n'arrive même pas à sécuriser ses frontières.

Faites vos jeux..En preuve, le business et particulièrement celui des militaires spécialisés dans le trafic d’armes, de drogue, de carburant et de produits alimentaires en tous genres se déversent en flot au, su et vu, des gardes-frontières .

Dans les wilayas ayant des frontières avec le Mali, le Niger ou la Libye toute activité est payante effectivement cash. Il ne se passe plus un jour sans que l’armée algérienne parvienne à négocier avec des trafiquants ou des terroristes.

Les groupes terroristes armés comme les trafiquants de toute espèce en font fi. Les terroristes d’AQMI, par exemple, ont leurs bases arrières dans le sud-ouest de la Libye et tentent de se réimplanter dans le nord-est du Mali, dont ils ont été chassés en 2013 par les militaires français. Entre les deux régions, plus de 1 500 km de pistes sommaires dans le désert, traversant l’Algérie ou le Niger.

La majorité des localités du nord du Mali, Tombouctou en tête, étaient arrosées par ces produits «made in Algeria» grâce à des bras militaires bien huilés et aux ramifications tentaculaires. Les groupes terroristes locaux, comme Aqmi, prélevaient bien entendu une dîme sur ce trafic juteux. Les circulations des groupes terroristes dans le secteur ne s’effectuent pas gratuitement, contrairement aux alibis avancés par les flashs intermittents de Gaid Salah sur les chasses à l'homme qu'il ne cesse de présenter en menus gastronomiques aux Algériens chaque fois qu'il se sentait trop banni.

Par sa présence sur la frontière du Mali, le régime algérien profite de la famine aux portes du Mali pour soumettre ce pays et les groupes terroristes évoluant sur le terrain à un chantage systématique. Sur le terrain géré horizontalement et verticalement par l’armée algérienne, le terrorisme, la criminalité trans-nationale, le trafic d'armes et la contrebande sont en bonne entente. Il ne se passe pas un acte de terrorisme dans le Mali, le Niger, la Mauritanie, le Burkina et le Tchad sans que l’armée algérienne ne soit mêlée directement ou indirectement.Bonne lecture.

                                                        Cordialement,Chihab25

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