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La frontière-est

  • Maroc-Algérie : Aux origines du sale Système algérien face à la grandeur Marocaine..!

                                                                                                                        drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                                                                                           

                                                                          

                                                                                                     Tebboune sous pression de la bande

    Au leadership-ma... Je commence tout d'abord par préciser aux Algériens l'ancienneté et l'enracinement du Maroc à travers l'histoire. Il est le fort voisin à qui ils ont affaires malencontreuses, pour le concurrencer, voire pour l'affaiblir, sans en avoir le minimum d'ingrédients d'intelligence dans leurs sales Cabessa. Ce géant Royaume qu'ils prennent vachement en leur ennemi classique, occupe malgré leur hostilité, l'avant-garde, le leadership Arabo-Africain et tiers mondiste.

    Dans l'histoire, qu'elle soit, ancienne ou contemporaine, ce Maroc existait tout le temps qu'entité Souveraine à part entière. Il s'appelait «l'Empire du Maroc», reconnue en Afrique et ailleurs comme interlocuter crédible. Ses frontières telles que documentées dans les archives de 4 pays européens qui dominaient le monde, en tant que grandes puissances coloniales.

    Les sources méconnues sur la frontière Sud du Royaume du Maroc se trouvent dans des documents officiels de cartographie et des livres d’histoire publiés entre 1455 et 1782 au Portugal, Italie, France et Allemagne. Ils patientent depuis des siècles et représentent des arguments de grande valeur historique qui décrivaient pour la première fois l’Empire du Maroc tel qu’il s’est brillamment déployé en Afrique, jusqu’en Guinée au sud et en Méditerranée au nord.

    Trois vieilles cartes du monde dans la galerie de photos dans Google - (carte géographique de l'Empire du Maroc) dans les archives de 9ces pays européens, les frontières du Royaume du Maroc sont tracées depuis le 15ème siècle par les géographes successifs comme s’étendant jusqu’au fleuve du Sénégal, regroupant, historiquement, le prolongement de la Mauritanie actuelle.

    Ainsi le cartographe génois (Bartolomeo Pareto - le prêtre Italien) a publié en 1455 en Italie une carte du monde («Carte portulan représentant la façade de l’océan Atlantique nord, les Açores, les Canaries et les côtes de l’Irlande, du Portugal et du Maroc» où le Maroc était bien engoncé en atlantique et dans ses deux Sahara Marocains «occidental-oriental» et bien même au-delà, jusqu'aux pays du Sahel.

    La carte montre que tout le territoire sur lequel lorgne l’Algérie actuelle n’a jamais été autre que Marocain, et a toujours fait partie stratégiquement du Royaume, prouvant que cette Algérie d'ennuis n'a vu le jour qu'en 1962.Pour cacher cette réalité ses gouvernants inventent leur naissance sur des illusions datant du temps du (singe et Sidna Nouh! comme en dit en dialectal Marocain.

    Analyse Deutsch....Un premier témoignage écrit de grande qualité d’analyse sur l’expansion de «l’Empire de Maroc» (ainsi étai-il désigné par l’auteur) en Afrique, publié en langue allemande à Lausanne entre 1776 et 1782 par un certain Anton Friedrich, géographe et philosophe luthérien plongeant les racines du Maroc jusqu’à la Guinée, englobant le Sénégal, la Mauritanie, le Mali et dont l’influence allait jusqu’à la Côte d’Ivoire.

    Le Sultan du Maroc de l'époque était appelé en Afrique selon cette source: «Empereur d’Afrique et Roi des quatre royaumes». On découvre dans l'intitulé «Empire de Maroc» la façon dont était administrée l’Afrique de l’Ouest par les Sultans Marocain :

    «Le Souverain prend le titre d’empereur d’Afrique, roi des quatre royaumes, seigneur de Gago et de Dahra (ces deux anciens territoires forment l’actuel Burkina Faso), et de Guinée, Grand déscendant du prophète Sidna Mohamed (sws). Sa volonté faiait une loi sacrée couvrant toute la planète (…) .

    Ses revenus étaient grands : il n’y avait pas de domaines particuliers, tout l’Empire était son domaine. Les États étaient gouvernés par des caïds, à qui il leur cédait, volontairement, les revenus de leurs gouvernances, et en récupérait annuellement les sommes reliquats, lorsque les gouvernants meurent, en s’emparant, loyalement, de leurs biens et les donnant avec des charges civiles ou militaires aux fils en état d'exercer, faisant élever, entre autre, ceux qui sont encore dans l’enfance et marier les filles pauvres de ses sujets au compte de l'Empire.

    Ainsi, ce récit présentait déjà le Maroc comme un «-lieu de rencontre international-» pour le commerce des Européens dans cette partie du monde. Les Hollandais, Anglais et Français payaient un droit de commerce aux Sultans pour utiliser les circuits financiers et de transport de l’Empire Chérifien :

    «Les marchands achètent aussi chèrement le droit de commerce, et celui de faire entrer des marchandises étrangères : les Français, les Anglais, les Hollandais trafiquaient dans cet État; ils y apportaient des draps et autres marchandises de leurs fabriques; pour les échanger contre des cuirs, du pastel, du sucre, de l’huile, de l’or et de la cire: ils en avaient même, des consulats dans quelques-unes de ces villes Marocaines».

    On le voit, depuis 570 ans au moins, le Sahara Marocain dit occidental est une région dépendante entièrement du Royaume. La logique même de l’expansion du Maroc en Afrique requiert des voies de passage entre le Nord et le Sud, qui fut assuré à partir de la côte Atlantique, passant par les routes de Tafilalet jusqu’en Guinée. Un bel Empire reconnu et craint de tous, magnanime et juste avec ses populations, dont on peut être fiers.

     

                                         Aux origines du «Système Algérien»...

     

    Avant de passer au sujet, je voudrai rappeler à tout lecteur Marocain qu'il  doit avoir de l'amabilité pour supporter, même à contrecœur les d'Algériens, concernant le Maroc et sa grandeur, voire son leadership à travers les temps tant que les Algériens sont tous, dépourvus, au bas degré, de la probité intellectuelle, nécessaire au comportement et de voisinage, comme l'est le Marocain.

    Pour ce fait, le Maroc est devenu le rempart de coopération effective. En preuve, les pays du Sahel sont confortés par les opportunités qui sont offertes par l’Initiative Royale pour l’Atlantique.

    Ces pays ont mis en avant la Vision de Sa Majesté le Roi pour promouvoir la coopération sud-sud et assurer leur développement et l’essor du continent africain., étant que l’Initiative Atlantique vise non seulement à intégrer les Etats riverains de l’océan atlantique mais aussi à donner accès à la mer aux Etats du Sahel, considérant «bonne» initiative Royale qu'on ne trouverait pas ailleurs.                                                                                                                       

    Comprendre comment le «Système algérien» s’est établi, c’est comprendre le fonctionnement toujours en vigueur de la gouvernance fragile en Algérie et le marqueur d'hostilité permanente contre le Maroc, bafouillant, entre autres, toutes les règles de là bienséance.

    Au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, les architectes du «Système» ont réprimé les combattants qui ont lutté contre la France coloniale et lancé une offensive militaire contre le Maroc pour, dit-on vachement, sauver le pays du chaos et faire face aux ambitions du voisin de l'Ouest, ce Maroc, qui selon leur fausse conviction chercherait, à force de bras, leur imposant, ce qu'ils appelaient en terme vague (hougrouna Lamrarka) à rapatrier ses territoires amputés au profit de l'Algérie Française.

    Mais la réalité était le début d'une lutte acharnée entre les vrais (Moujahid) de l’intérieur, dont les rebelles n'étaient que : -Tahar Z'biri et Mohamed Belhaj- et les membres de l’armée des frontières téléguidée par le maudit -Mohamed Boukharouba, alias Houari Boumediene que la malédiction divine l'accompagne à l'enfer.

    En plus, c'était l'exacerbation de la question de l’identité Algérienne entre arabisme et berbérisme qui dominait la scène, puis sur ordre putschiste du maudit Egyptien Abdenacer, l'Adjurent Maroco-Algérien Ahmed Ben Bella, le premier sale président de l'Algérie, créa ce qu'on appelait :

    «La guerre des sables 1963»  Le 8 octobre 1963, l’armée algérienne attaquait deux points d'eau Marocains dans la Province d'Ouarzazat.. Hassi Beida. et Tinjoub. Un acte de trahison et de lâcheté de la part de l'Algérie appuyée par l'Egypte de Abdenacer.

    Mais les FAR, sous le commandement du faucon Marocain le général Driss Benomar feront payer cher à Boukharrouba et ce pour détourner l’opinion Algérienne de ses vrais problèmes, tout cela fit que les trois premières années de l’indépendance algérienne furent chaotiques. Or, ce fut à la faveur de ces évènements que naquit le «Système actuel algérien» que le Algériens souhaitent honorer en haut, falsifiant une histoire imaginaire à leur mesure de vanité et fausse intelligence.

    Et pourtant, l'Armée des frontières s'est imposée en protagoniste contre GPRA  (Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne)...En 1958, après la création du GPRA à Tunis, les conflits s’étaient exacerbés entre trois forces :

    1- Entre le «noyau dur» de cet organisme, composé de Krim Belkacem, Abdelhafid Boussouf et Lakhdar Bentobbal d’une part, et les cinq prisonniers détenus en France depuis le détournement, du ciel Marocain, de leur avion le 22/10/1956, à savoir Ahmed Ben Bella, Hocine Aït Ahmed, Mohamed Boudiaf, Mostefa Lachraf et Mohamed Kheider d’autre part.

    2- Entre le GPRA et l’armée des frontières, l’Armée de libération Algérienne, cantonnée au Maroc et en Tunisie.

    3- Divergences entre l’armée des frontières et les survivants des maquis de l’intérieur. L’armée des frontières reconnaissait l’État-major général (…), dirigé par Houari Boumediène, quand les survivants des maquis de l’intérieur obéissaient au GPRA.

    La prise de pouvoir des partisans de l’armée des frontières, réunis dans le «groupe d’Oujda», se fit en cinq étapes :

    1- Ahmed Ben Bella et Houari Boumediene débutèrent leur coup de force au mois de mai 1962, quand le GPRA fut sommé de convoquer le Conseil  de la révolution algérienne en congrès. Leur but était de doubler le GPRA par la constitution d’un bureau politique qu’ils contrôleraient.

    2- Le 28 mai, dès le début de la réunion, l’atmosphère fut extrêmement tendue entre Ben Youssef Ben Khedda, le président du GPRA, et son vice-président, Ahmed Ben Bella, qui s’invectivèrent.

    La direction collégiale explosa alors. Autour de Ben Bella, un groupe de pression réussit à faire adopter le modèle socialiste et le parti unique pour l'Algérie à venir et se confie au camp communiste Soviétique.

    À l’issue du vote destiné à élire les membres du bureau politique devant gérer le début de l’indépendance, Krim Belkacem, Abdelhafid Boussouf et Lakdar Bentobal, tous trois ministres du GPRA, furent mis en minorité.

    Quant à Ben Bella, il se rendit au Caire pour se doter des instructions de son maitre maudit Abdenacer et, de là, au Maroc, où il rejoignit le clan adverse conduit par le maudit Houari Boukharouba, Ahmed Bou Menjel et le colonel Chaâbani qui, tous trois, considéraient que le GPRA n’avait pas de légitimité à gouverner l’Algérie indépendante.

    3- Les combattants des maquis tentèrent alors une médiation. Les 24 et 25 juin,  la Zone autonome d’Alger-capital et les représentants de la fédération de France du FLN se réunirent en Kabylie. Ils y annoncèrent la création d’un «comité inter-provinces», puis ils condamnèrent la «rébellion» de l’armée des frontières dirigée par Boukharouba et ses acolytes.

    4- Le 30 juin, le GPRA se réunit et destitua l’EMG. En réaction, le 2 juillet, Ben Bella et Boumediene demandèrent aux chefs des wilayas de se mettre sous les ordres de l’EMG et ordonnèrent à l’armée des frontières de se tenir prête à faire mouvement vers Alger.

    5- Le 11 juillet, les chefs de la wilaya IV empêchèrent Benyoucef Ben Khedda, le président du GPRA, de tenir une réunion à Blida, cependant que Ben Bella s’installait à Tlemcen. Il y fut rejoint le 16 par le colonel Boumediene et par Ferhat Abbas. Ce dernier, qui était pourtant partisan de l’instauration d’un pouvoir civil, se rallia au «clan de Tlemcen» contre l'autre clan GPRA de Ben Khedda.

    S’agissait-il pour lui de régler un compte avec ceux qui l’avaient évincé quelques mois plus tôt, le 27 août 1961? Espérait-il, en se ralliant aux plus forts, devenir le premier président de l'Algérie? Dans son livre «L’indépendance confisquée», publié en 1984, Ben Khadda, a justifié son choix en expliquant qu’il avait voulu éviter la «congolisation», car, selon lui, les ordres donnés par le GPRA aux combattants de ne plus obéir à leurs chefs risquaient de précipiter l’Algérie dans une guerre civile.

     «Le mythe de la révolution unie avait explosé sur les réalités claniques et le «Système» algérien était né et la foulée (le fort mange le faible) s'installe et prend son ampleur au rythme de continuité dans le flou, l'incertitude, la peur et l'usurpation à chasse-poussières, qui depuis, bloquent l'Algérie dans un rond-point de «mort Clinique» où les Algériens sont contraints d'obéir, avec une junte à agenda spécial : «vol et sauve-qui-peut».

     

                                                                   

                                                                                         Le cas de tout Algérien

     

    Appel à témoin...Pour se convertir en Etat à part entière, les officiels font appel aux officieux pour creuser une fosse héroique, à la mesure de leur petite histoire, laquelle n'ont pas d'autre. Ils font recours à n'importe quel moyen pour en marquer leur existence accidentelle au monde.

    Ils n'en trouvaient au viseur que le soi-disant : Émir Abdelkader et le Maroc un charlatan niant pas clairement sa bi-oginalité Maroco-Algérienne; tels que documentés par les archives de l’Algérie française,--Cependant des documents d’époque brossaient un profil démystifié et roublard du personnage, de ses vraies origines familiales, de ses relations politiques et d’allégeance avec le Maroc, pays considéré dans ces archives comme organe fort, qu’il va pourtant, trahir et contribuer à livrer à la France.

    L’Émir Abdelkader Ould Mohyeddine ould Driss Ben Driss (1808-1883) a donné lui-même sa généalogie dans un manuscrit en arabe lorsqu’il était en exil en Syrie intitulé : «Rappel à l’intelligent, avis à l’indifférent».

    Dans ce document, l’Émir Abdelkader affirmait être originaire de la ville de Fès et lointain arrière-petit-fils, du Grand Moulay Idriss 1er  «qui devint le sultan du Maroc et construisit Fès». L’installation de sa famille à Mascara dans l’Ouest Algérien remonte à son grand-père.

    Selon ses origines Marocaines, telles quelles sont citées dans une de mes notes au blog (..), il est dit l’Émir, est aujourd’hui érigé en père de l’Algérie, épaulé dans les manuscrits scolaires par un autre chef-bergers Algérien dite -Cheikh Bou Aâmama- dans l'Ouest Algérien sous forme de combattants et de bâtisseurs, virtuels, de valeurs au 19ème siècle contre l’occupant français.

    Il a fait l'objet du récit : «Enfance et jeunesse d’Abdelkader 1899» du capitaine Jules Pichon, historien et écrivain Français, du 2ème bataillon des tirailleurs algériens aux Archives réservant des livres rares, Paris). «C’est seulement depuis l’époque de son grand-père que sa famille vint s’établir à Mascara en Algérie Française». qui du fait était considérée comme Marocaine par l’armée française avant son annexion à l'Algérie Française en 1848.

    Cette région demeurée Marocaine inquiète le capitaine Jules Pichon, car, dit-il, elle va continuer de faire allégeance à l’Empire du Maroc des décennies plus tard, malgré sa «pacification». «Si les Français étaient à Oran, leur autorité, toutefois, ne s’étendait guère plus loin que les murs de cette ville. (…)

    Les habitants de Tlemcen et la tribu des Beni-amer ne tarderaient pas à reconnaître que le seul remède possible à la situation était de se confier et obéir au pouvoir à un chef investi d’une autorité suprême qu'ils demandèrent au sultan du Maroc, Moulay Abderrahmane.

    Celui-ci leur envoya son neveu Moulay Ali, avec le titre de Khalifa et il semblait déjà que l’ordre commençait à renaître dans les tribus de l'est Marocain, en l'occurrence, dans les Beni Guil, Doui-Menia, Ouled Nacer, et  Ait Khalifa, Ait Moussa et les Ait Khebach de Taouz-Boudenib au sud-est du moyen Atlas Marocain.», ce qui permettrait aussi à un certain «Ben Nouna» de gouverner Tlemcen, avec le titre honoraire de Khalifa du sultan du Maroc.

     L'infidélité à son trop plein...Malgré son allégeance Solennelle au Sultan Moulay Abderrahmane, il était très trublion, coordinateur et facilitateur de la pénétration Française au Maroc. En 1832,  était nommé Émir par le Sultan du Maroc pour lutter contre les Français à la frontière Nord-Est. Il avait alors que 24 ans et est décrit comme un farouche combattant au sabre facile, mais capable de fédérer les tribus de la région.

    Cette cérémonie de Baïa historique où le nouvel Émir fait allégeance au Sultan Marocain Moulay Abderrahmane est consignée dans plusieurs documents de l’armée française. À présent, la vérité selon le rapport militaire de Jules Pichon aurait prit le titre d’émir (prince), sous lequel il avait été acclamé par une délicate déférence pour l’empereur du Maroc.

    Lorsque qu'il était traqué et acculé à fuir, il trouve refuge chez le Sultan du Maroc: «c’était la seconde, après la première fuite de l’Émir, au Maroc». Pichon suggère que l’Émir a été manipulé et utilisé par les services de l’armée française: «Pour arriver à ce résultat (utiliser Abdelkader pour entrer au Maroc), il faut que l’Émir oblige notre armée à pénétrer sur le territoire du Gharb.

    «Le Maroc, ayant donné asile à Abdelkader, on le punait  par les bombardements de Tanger et de Mogador. L’empereur du Maroc a eu l’imprudence d’accepter le combat. Alors il a eu lieu la bataille d’Isly en août 1944 (…) Abdelkader se voyait forcé de renoncer à se réfugier au Maroc et y demeurait à ces jours-ci une boîte de Pandore encore bien verrouillée pour les historiens contemporains. Bonne lecture.

                                                                                     L'Admin, Chihab25                                                                                                                        -------------------------------

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