Maroc-Algérie : Une Algérie emportée par du vent d'orgueil et d'illusions de grandeur...!
Un Maroc majestueux...«Le mariage, c'est la seule guerre où on dort avec l'ennemi. Mais avec l'Algérie, ce ne serait pas du mariage, c'est un champs de bataille ouvert depuis la naissance de cette voisine de mal, avec laquelle le volonté divine nous a géographiquement mis à l'épreuve, comme le confirmait, dans son vivant, feu Hassan II à savoir : «Nous ne demandons pas au monde de reconnaître la Marocanité du Sahara, mais nous l'invitons à savoir avec quel voisinage la divinité nous a-t-elle emprisonnés?».
A ce propos, nos ennemis Algériens doivent prendre en considération que sur instructions Royales le Maroc tient fermement à mettre à la disposition des pays frères et amis son capital humain crédible, perfectionné et performant, profitant au bon sens de son leadership, à échanger avec le monde les savoir-faire qu’il compte à son actif dans divers domaines, une position fructueusement bénéfique à l'autre.
Je ne dis pas n'importe quoi à ce sujet, la preuve à l'appui : «La présentation à Sa Majesté le Roi et au grand public Marocain les modèles d’initiative Marocaine de la 1ère marque d'automobile et du prototype à hydrogène, officialisant le Label ("Made in Morocco")».
Nous voyons، en image de couverture, le Souverain, présidant au Palais Royal de Rabat, la cérémonie de présentation de voitures construites par des Marocains, deux projets novateurs qui permettront de renforcer et de conforter la promotion du Royaume comme une plateforme compétitive de la production automobile.
Une fierté de grande tonalité qui en manque à l'autre coté qui, de sa nature haineuse, pourrait avoir engagé, dans une sémantique bouleversée, des agents doubles pour copier ce qui se passe au Maroc qui précisément, on lui colle, par envie et curiosité, le qualificatif déshonorant, tel que le Maroc ne fabrique même pas une brouette du fait qu'il brille seulement qu'au «gonflage de pneus!». Construire des véhicules par le Maroc est, une réalité indigestible par l'ennemi Algérien. Devant cette réalité, outre que gonfler les pneus, comme en avançaient, le Maroc, malgré tout, continue de vexer l'Algérie, progressant davantage, que cela plaît ou déplait Tebboune et ses sponsors militaires.
Or, cette folle entité déséquilibrée se contente de gonfler les cervelles des siens par de conneries, se faisant toujours accompagner de son 'polisario', étant qu'il est son compagnon de taille, dans les instances, là où il y a que du blal-bla évidemment, occupant, en priorité absolue, toutes ses agendas d'extérieur, pour au moins faire quelques retouches à sa figure de mensonges étrangères, une figure qui se fait entachée de toutes saletés diplomatiques. Sans se rendre compte, la junte militaire d'Alger devient à cet effet une hantise du monde, se traînant dans ses boues d'illusions de supériorité, voire dans ses oscillations suprêmes, perdant totalement toutes les boussoles devant l'emmener au bord de la raison et de la délivrance.
On ne peut plus au Maroc êtres épatés de ses mauvais comportements, laissons-le égratigner, négligeant son outrage. C'est normal, puisqu'il s'agit de l'axe du Mal liant l’Algérie à l’Afrique du Sud, cela reflète substantiellement les projets séparatistes, la fabrication de l’anarchie et les manœuvres en vue de diviser les Etats influents en Afrique et les perturber».
Cela passe au moment où nous occupions de nos oignons. Officiellement, nos officiels, aux affaires étrangères ne perdent pas de temps à répondre aux fourbies-dz qui ne servent à rien, même si on ne communique plus de la même façon qu’il y a soixante ans. C'est pour cela, les messages-Bourita sont courts, percutants. On n'aime pas les slogans à odeur de tabac à chiquer Algérien…
Chez nous, pour faire dépasser un message politique provoquant Algérien ou autre, il faut que ça claque, que ça marque les esprits au -fer rouge- en un laps de temps ultra rapide. Le Maroc n'est pas seul à crier au voleur, il y a aussi de quoi en juger sa clarté envers l'attitude néfaste de l'Algérie contre le Royaume. Un témoignage piquant vient de justifier la vision Marocaine envers le pouvoir Algérien. Mr.Taieb Larbi Baccouche, SG du l'UMA a clairement pointé du doigt, le blocage que l’Algérie ne cesse d’opposer, bloquer ou du moins rouiller les roues-libres de ce qu'on appelle le grand Maghreb.
Le franc-parler de ce diplomate Tunisien lui a immédiatement valu une (-volée de bois vert-) de la part de la junte d'Alger. Il s’est dit surpris, à ce sujet, d’avoir appris, la réaction Algérienne, qu’il qualifie de «tempête dans un verre d’eau». Sans savoir que ce qu'ils font, inlassablement, contre la raison est délétère pour leur pays. En définitive, le pouvoir d'Alger cherche toute tangente qui mène au silence du peuple Algérien. Il est claire de ce fait que le peuple Algérien est soumis au sommeil somnifère prolongé, par effet de drogue envahissant l'Algérie, une drogue que les généraux en place, tiennent, paraît-il, à l'imposer au peuple. Il s'agit de la (Shushna¹).
Cela étant prouve une sorte d'hypnose, dont les teneurs de ficelle au cercle du pouvoir, se sont faits approprier en l'imposant à toute l'Algérie, submergés par des illusions de supériorité, accentuant, en parallèle, la terreur, sachant d'autre part, qu'ils sont dépourvus en politique étrangère de simples produits de tiroir diplomatique, inhalant, uniquement, les odeurs fétides de haine et d'hostilité, qui pourraient, selon leur conviction frivole, entacher davantage la grandeur du Maroc».
Un rappel circonstanciel. Non, dit le Spécialiste de la politique étrangère du Maroc Samir Bennis qui est conseiller politique principal à Washington. Il est spécialiste de la politique étrangère du Maroc et est le rédacteur en chef du magazine d’information en anglais -Morocco World News-. En répondant à l'avocat du Polisario, qui a récemment publié, sur les colonnes du quotidien Le Monde, un écrit truffé de contre-vérités sur la situation au Sahara Marocain. La réplique était destinée initialement au même quotidien français, qui a toutefois refusé de la diffuser. En voici le texte intégral :
La tribune de M. Gilles Devers, avocat du Polisario auprès de l’Union européenne, sur la question du Sahara publiée dans le journal Le Monde devrait interpeller la conscience de toute personne allergique aux contre-vérités et aux approximations. À ses yeux, le Maroc serait une puissance occupante qui bafoue le droit international en toute impunité.
Dans son analyse foncièrement à charge contre le Maroc, il confond sciemment des faits historiques dans sa quête d’induire en erreur le public non avisé et passe sous silence le fait que le Maroc a été le seul pays à revendiquer ce territoire entre 1956 et 1965. La Mauritanie a commencé également à le revendiquer, pour pousser le Maroc à la reconnaître comme étant un État indépendant. La tribune feint également d’oublier que c’est à l’initiative du Maroc, en décembre 1966, que l’Assemblée générale de l’ONU a adopté la résolution 2229, demandant à l’Espagne de permettre aux "Sahraouis" de décider de leur propre avenir. Jusque-là, l’Assemblée onusienne appelait l’Espagne à négocier avec le Maroc le sort d’Ifni et celui qu'elle considérait le «Sahara espagnol».
Ensuite, parce que la partie espagnole n’a montré aucune volonté de le faire, le Maroc l’a appelée à permettre aux Sahraouis de disposer de leur propre sort par le biais d’un référendum. Et lorsque le Maroc a opté pour cette solution, il a précisé que cela ne signifiait en aucun cas qu’il renonçait à ses revendications de souveraineté sur ce territoire.
Cet auteur engagé pour appuyer la thèse Algérienne passait également sous silence que, lors du 18ème sommet de l’Organisation de l’Unité Africaine au Kenya, en juin 1981, le Roi feu Hassan II avait proposé la tenue d’un référendum au cours de l’année 1982. Une proposition que l’Algérie et le Polisario avaient rejetée. Le Polisario avait également refusé cette idée de baser le dit référendum sur le recensement Espagnol de 1974.
Près de trois décennies plus tard, face à l’échec de l’ONU à organiser un référendum, son Secrétaire général Kofi Annan a, en février 2000, demandé à son Envoyé personnel James Baker d’explorer les différents moyens de parvenir à une solution politique consensuelle.
Entre-temps, lors d’une rencontre avec Baker en novembre 2001 au Texas, le président algérien Bouteflika avait proposé une partition du territoire disputé, offre que le Maroc a formellement rejetée. Se demandant, si l’Algérie et le Polisario tenaient tant au principe de l’autodétermination, pourquoi l’ont-ils bafoué à deux reprises, en 1981 et en 2001?
Le Polisario n’est pas le représentant légitime de tous les Sahraouis. Cette organisation a été créée par des Sahraouis, pro-Algériens, mais hors du territoire du Sahara, et est restée longtemps en exil. Ainsi, le Polisario ne peut prétendre représenter tous les Sahraouis, a fortiori ceux qui vivent au Sahara. Il ne représente que les Sahraouis sans voix dans les camps de Tindouf, dont la majorité provient plutôt du Niger, du Mali, de la Mauritanie et du sud de l’Algérie. Il a créé sa légitimité par des moyens trompeurs et grâce au pétrodollar de l’Algérie et de médias dont la couverture tendait à omettre les subtilités et les nuances du conflit.
Le seul représentant légitime des Sahraouis était la Jemaa, (assemblée), qui fut élue par les chefs des tribus. Le 12 octobre 1975, Jemaa et le Polisario ont tenu une réunion à Ain Bentili, au terme de laquelle le Polisario a déclaré qu’il étudierait la proposition. Fin octobre de la même année, la Jemaa a tenu un meeting à Gueltat Zemmour.
Selon le journaliste Américain David Lynn Price, il existe trois versions relatives aux conclusions de cette rencontre. Selon la première version, 74 membres sur les 103 membres de la Jemaa ont voté en faveur de l’intégration avec le Maroc et la Mauritanie. Selon la deuxième version, défendue par l’Algérie, 67 membres ont prêté allégeance au Polisario en tant que représentant légitime des Sahraouis.
Dans la troisième version, Bachir Ould Brahim, membre de la Jemaa, a été enlevé par le Polisario alors qu’il se trouvait à Gueltat Zemmour pour se rallier au Maroc. Il aurait été battu et torturé puis emmené en Algérie pour etre exécuté par la DRS. En plus de lui, 86 autres membres de la Jemaa auraient eut également le même sort en Algérie.
Tout au long de son séjour à Tindouf, Bachir Ould Brahim a affiché, sous pression des services de renseignements de l'Algérie son soutien à l’Algérie. Mais en janvier 1976, il parvint à regagner le Maroc, où il jura allégeance au Roi feu Hassan II. Haj Khatri ould Said El Jemmani, chef de la Jemaa, a également fait allégeance au Maroc immédiatement après la réunion de Gueltat Zemmour. De nombreux Sahraouis ont suivi les pas de Brahim après la Marche verte, sont retournés au Maroc et ont exprimé leur désillusion face à la façon dont l’Algérie avait pris le contrôle du Polisario pour l’utiliser à son avantage.
Selon d’anciens membres du Polisario, tels que Mustapha Salma Oueld Mouloud et Bachir Edkhil, la Jemaa n’a jamais cédé sa légitimité au Polisario, car des désaccords fondamentaux subsistaient entre les deux organisations. La Jemaa a cherché à trouver une solution pacifique, tandis que le Polisario a choisi la lutte armée, avec le soutien de l’Algérie et de la Libye.
Mr.Devers ressassait également le mythe selon lequel la décision de la Cour internationale de Justice (CIJ) en 1975 a établi que le Maroc n’avait aucune souveraineté sur le Sahara. Ce faisant, non seulement il a délibérément omis de dire que le jugement a reconnu l’existence de liens d’allégeance entre les tribus sahraouies et le Maroc, mais il a également ignoré les opinions dissidentes de certains juges qui ont pris part au jugement.
Le premier était le juge Fouad Ammoun, qui a déclaré qu’il existait des liens juridiques à caractère politique entre le territoire du Sahara et le Maroc. Et d’ajouter «qu’en tout état de cause, l’allégeance au Sultan Marocain équivalait à l’allégeance à l’État». Le second était le juge Forester, qui a exprimé son désaccord catégorique avec la conclusion de la CIJ.
Il a déclaré que le tribunal avait ignoré les liens religieux entre les sultans marocains et les Sahraouis, liens en vertu desquels les sultans étaient les Commandeurs des croyants. Il a ainsi assuré que la population locale considérait les sultans comme leurs chefs pour les affaires religieuses et temporelles.
Désormais, ce sont les résolutions du Conseil de Sécurité qui constituent la principale référence pour toute discussion sur la solution à adopter afin de sortir de l’impasse politique et diplomatique. Or, depuis 2007, toutes les résolutions du Conseil de Sécurité mettaient un accent particulier sur le fait que toute solution du conflit devrait être basée sur le compromis et guidée par le réalisme.
L’option de l’indépendance est irréaliste, car le Maroc n’accepterait jamais l’établissement sur une partie de son territoire d’un État indépendant qui, dans les faits, serait un État satellite tributaire de l’Algérie, et dont l’existence bouleverserait l’équilibre stratégique dans la région.
Établir un pays de moins de 70.000 habitants, sur la base du recensement espagnol de 1974, défendu par l’Algérie et le Polisario, sur une superficie de moins de 300.000 km2, c’est accepter la création d’un autre État dans un corridor sahélo-saharien en proie à d’incessantes vagues d’insécurité. Appuyer le séparatisme au Sahara Marocain, c’est donc s’ouvrir à l’idée de fournir un terreau propice à l’implantation de groupes terroristes Daêsh et d’organisations criminelles transnationales.
Preuve à l'appui. Des documents secrets américains révèlent le complot de l'Algérie contre la Mauritanie et le Maroc pour créer un mini-État au Sahara. Un document de la CIA, datant de décembre 1977, qui a été déclassifié il y a seulement quelques mois, indiquait que l'ancien président algérien Boumediene, avait utilisé l'Algérie pour soutenir le Front Polisario avec de l'argent et des armes, dans une tentative de cacher l'objectif principal d'affaiblir le Maroc pour prendre le plomb et leadership dans la région du Maghreb, et aussi accéder à l'océan Atlantique.
Le document indique que celui-ci a réévalué la position de l'Algérie après l'accord Maroco-Mauritanien sur le Sahara lors du sommet arabe tenu à Rabat en 1974, et a confirmé que l'Algérie avait alors mené une "guerre par procuration" contre la Mauritanie et le Maroc en utilisant le Polisario. Ajoutant : «La revendication du Maroc sur le Sahara ne repose pas sur une définition de souveraineté. (Il a été dit dans la décision de la Cour internationale de justice en octobre 1975 que les liens de loyauté entre les différentes tribus de la région et le Maroc et la Mauritanie au moment de la colonisation espagnole en 1885 n'étaient pas suffisants pour établir la souveraineté régionale». Presque tous les segments du peuple Marocain, à la fois moderne et traditionnel, ont massivement soutenu la justesse de la politique Marocaine concernant le Sahara.
Il est mentionné, enfin de compte, que dans la même course et dans un autre document datant d'avril 1987, et déclassifié en juillet 2012, les services de renseignement Américains ont conclu qu'Alger se rendra compte, certes, que ses moyens militaires, sa bizarrerie et son intolérance unilatérale ne résoudront pas ce conflit artificiel.
Étant habitués à ce genre de frivolités aux vœux pieux, ou à des fiascos qu'optait toujours Alger envers le Maroc, doit-on espérer, pour cette fois au moins, quelque chose de concret Algérien? Je le pense pas..! car plusieurs enquêtes d'opinion montrent qu'à cause de la pratique d'oppression en Algérie, la liberté d'expression et les droits d'homme, sont en chute libre. Les personnes qui se sentent «opprimés» représenteraient aujourd'hui 90% de la population, contre quelques petites doses de liberté collective de l'ère du président Chadli Ben Jdid dans les années 90.
Et pourtant, au moment où l'Algérie est trempée dans du vent abusif de mensonges et d’orgueille. le journaliste Marocain (Tayeb Dekkar³) l'expert des relations Maroco-Algériennes, nous fait entendre un concept irréalisable en Algérie actuelle ou à venir, je cite..«Le retour à la normale des relations Algéro-Marocaines est tributaire d'une véritable transition démocratique en Algérie». Un point de vue consigné dans son ouvrage intitulé : «L'instabilité politique en Algérie éternise la rupture avec le Maroc». J'ajoute de mon coté à cet avis journalistique «l'Algérie ne reviendrait jamais à la raison tant que les militaires s'ingèrent en politique, négligeant le retour aux casernes».
Sachant que cette racaille armée de ("hitistes et de pisseurs") détient la réalité du pouvoir et que les présidents, quels qu’ils soient, servent simplement de façade extérieure de son régime, ajoutant que cette situation politiquement pourrie, conduirait, certes, à la déflagration générale de l'Algérie, compte tenu des insurrections des Kabyle et Touareg, dont le gouvernants n'arrivent pas à les rendre au silence, ni de permettre, en parallèle, aux Algériens, les plus opprimés, de se bonifier avec le temps, surtout si les pisseurs de cette racaille continueront l'entêtement hostile au Maroc, ils en verront que de fortes répercussions à haut risque, dépassant les méfaits de la guerre des sables d'octobre 1963.
D'autre part, certains Eurodéputés Français commencèrent à s'immiscer au sein de l'Union aux propres affaires du Maroc, obéissant au pétrodollar Algérien, ce qui veut dire que la France actuelle, avec ces Eurodéputés corrompus est une paraplégique, ne pourra plus avec eux trouver ses libres mouvements et sa propre amplitude. Lors du vote de la résolution sur les droits de l’Homme en Algérie au Parlement européen (PE), l’attitude antagoniste de certains élus n’est pas passée inaperçue. Certains de ceux ayant voté contre le Maroc quelques mois auparavant, ont fait profil bas concernant l’Algérie.
À ce sujet, nous remarquions, dernièrement des lobbys français à l'UE promptes à dénoncer la moindre atteinte à la liberté de presse au Maroc, n’ont pas cette réactivité quand il s’agit d'Algériens, tout en minimisant, les tonalités de casseroles et la clarté des gilets jaunes qui se moquaient publiquement de leur président Emmanuel Macron.
Ces Eurodéputés Français sont tombés au piège du pétrodollars marchant, au même cadence, que le palais de l'Elysée contre des soulèvements jamais vus ou presque en France, lesquels, selon le Quai d'Orsay, ne changeront en rien, en politiques Française, regardant aux cornes du diable et sans contrariété aucune, leur démocratie se bafouer, par des coups de matraque policiers, en plein boulevards de Paris, appliquant à la lettre le dicton Chinois :
«Quand le sage désigne la lune, l'idiot regarde le doigt». Ainsi, l'idiot c'est l'Algérien (Tebboune) ne comprenant pas le sens des choses, il regarde que la surface, de façon qu'il est prêt pas, à absorber n'importe quel message, mais à inventer que des conneries défigurant la grandeur Marocaine pour gagner la bénédiction de ses maîtres militaires. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
--------------------------------------------------------
1.Shushna signifie en hindouisme, une sorte d'hypnose. 2.Confucius, un philosophe Chinois ayant vecu en 551 avant JC. 3.Journaliste Marocain était correspondant de la MAP en Europe et à Alger.