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  • Algérie: Affrontements feutrés entre pouvoir et armée, le feu a atteint la discorde Algéroise..!

                                                                                         drapeau-du-maroc-image-animee-0008   

                                                                                   

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    Intuition...Avant de développer cette saleté Algérienne, j'invite le lectorat à une anecdote amère : «Tebboune continue ses conneries en public, disant : Avant, pendant et après le colonialisme, l'Algérie a perdu 5.630.000 martyrs et pourtant, elle avoisinait à l'époque 7 millions d'habitants. Au lectorat de bien rigoler de cette fourbie, si ce n'est vraiment, qu'un puissant voisin de rien qui s'enfonce dans la largeur d'inconséquence de conduite. Et pourtant, il n’a pas été en mesure de sagesse d’avoir plus de soutien pétrodollar pour arracher une victoire diplomatique contre la crédibilité du Maroc.

    Il échoue devant  les dures vicissitudes de la vie quotidienne des Algériens. Il brille par ses conneries, nommant les Marocains par (Lam'rarka). Oui, nous sommes «L'M'rarka», fiers de l'être et fidèles sujets de Sa Majesté le Roi, à la Monarchie Marocaine ancestrale, une Monarchie âgée de 14 siècles de règne parfumés par force d'Etat et de stabilité.

    C'est de l'honneur pour nous Marocains, un spécificité Marocaine qui, en manque à une malheureuse entité voisine, qui languit sous des illusions et sous des hallucinations de sales bottes, provoquant l'oppression d'un peuple devenant objet de désillusion imposée par la lâcheté de ses gouvernants. Ce qui les dérange visiblement, c'est que ce Maroc, qui est «Un creuset de dynasties et de cultures», ne faisant pas partie de ceux qui tombaient, subitement, du plafond Français comme leur Algérie.

    La preuve venait de l'avis de Joe Bidan, la voix appropriée d'Amérique, la plus écoutée, osant déclarer que le : «Maroc était le premier pays ayant reconnu l'indépendante des Etats Unis d'Amérique en 1776», considérant ainsi, l'appui clair des USA aux intérêts suprêmes du Maroc qui est le pivot régional de la stabilité de l'Afrique, laissant l'Algérie souffler sur les braises et vivre dans les convulsions de sa politique aveugle envers le Maroc.

    Chaque pays a sa propre histoire : des faits historiques, des événements et des dates marquantes qui sont rapportés jusqu’à ce jour pour attribuer au pays en question sa juste valeur historique, dont celle du Maroc en demeurera le parfait exemple. Avec ses plusieurs dynasties qui se sont succédés à travers les temps, à savoir les dynasties : «Idrisside, Almoravide, Almohade, Mérinide, Saâdiynne,  Alaouite».

    Le Maroc est considéré un pays pluriculturelle reconnu à l’échelle internationale. Je me pose la question, si tout observateur pourrait remarquer l'équation de la frivolité algérienne. Bientôt un énième sommet arabe en Arabie Saoudite, un an après le fiasco de celui d’Alger. Les enjeux vont toujours aborder l'anecdote arabe «Les arabes sont 'unanimes' pour ne plus êtres d'accord».

    Alors, ce pion de jonglage dit (-le président Tebboune-) et ses sponsors militaires, baisseront-ils la tête face aux dernières humiliations qui ont été infligées à l’Algérie par l'Union Européenne au sujet de l'étouffement de la liberté d'expression?, feront-ils preuve de leurs «Nif d'égo». Nous le saurons prochainement certes, surtout du côté -sales narines- qui ne sentent, apparemment, que du tabac à chiquer.

    La présidentielle-dz (2024)..  Le palais présidentiel d'AlMouradia d'Alger est en ligne de mire par des luttes acharnées au cœur du régime pour le renouvellement du mandat de Tebboune en 2024. Ce rendez-vous mascarade approche à grands pas. Un rendez-vous qui fait ressurgir les conflits d’influence entre le capo-général pisseur et la présidence. Le point d’orgue de cette rivalité a trait au soutien, ou non, de la racaille (armée) à un second mandat au profit de imposé en exercice. Une situation qui serait derrière les arrestations et les lourdes condamnations de journalistes ayant osé crier au voleur, jetant de fumigènes aux alentours de l'écurie d'AlMouradia, déplorant la récurrence de décisions politiques indécentes et inappropriées, menaçant la souveraineté interne et externe de l'Algérie.

    A moins de deux ans de cette frivolité-dz de 2024, les Algériens assistent à un affrontement feutré au sommet de l’Etat entre la junte militaire, -omni présente- dans la vie politique, et le président qui souhaiterait briguer un second mandat à la tête du pays. Au-delà de la guerre de clans que se livrent le pouvoir politique défaillant et le sécuritaire que chapeaute Chengriha via le général Toufik, et qui se traduit par une instabilité structurelle à la tête des services de renseignements dont le dernier en date est le limogeage du général, chef de la Centrale de Sécurité de l’Armée, après seulement 6 mois à la tête de sa nomination, l’enjeu actuel est la présidentielle de 2024.

    Selon le journal électronique l'Orient21 (un groupe indépendant, parait-il, de journalistes, universitaires, anciens diplomates qui ont tous l’Orient au cœur, contribuant à une meilleure connaissance de cette région, dont l’image pourtant est si déformée, si partielle), la junte d'Alger hésite encore à afficher son soutien ou non, à un second mandat à (Tebboune) imposé, accidentellement, par le maudit général disparu (Gaid Salah).  L'hésitation de l'armée à ce sujet «reflète les doutes de ses caporaux  sur l’opportunité de se prononcer au profit de Tebboune, alors que celui-ci a déjà démarré une discrète campagne électorale».

    Pourtant, ce Tebboune n’a cessé de donner des signes de sa volonté de briguer un autre mandat pour en profiter davantage de la fourrure du fauteuil  présidentiel.  D’ailleurs, il multiplie ces derniers temps,  ses sorties médiatiques anti-Marocaines, qui ressemblent à un démarrage discret et prématuré de sa campagne électorale, en attendant d’avoir la bénédiction des opportunistes et des militaires.

    Selon les organes médiatiques jaunes du pouvoir d'Alger, les faits marquants montrent que rien n'a changé après la chute de Bouteflika, c’est pour avoir expliqué ce malaise au sommet de l’Etat, un journaliste furieux écrivait un article paru à la presse locale, pour lequel il a été arrêté et jugé, en préméditation, par la juridiction militaire pour avoir proférer des actes dangereux dit-on, en l'occurrence...«Des actes susceptibles de porter atteinte à la sécurité et au fonctionnement normal des institutions (!)».

    Une condamnation qui, parait-il, ne peut s’expliquer que par le fait que ce journaliste, bien informé, avait bien des sources d'informations précises sur les tensions entre les institutions qui se partagent le pouvoir en Algérie : la présidence, l’Armée et les «services de Toufik», regroupant la sécurité, le renseignement et la documentation. La balance entre les trois composants de ce trépied penche en faveur de l’un ou de l’autre, selon les périodes de tendresse de tabac à chiquer. 

    Enfin les caporaux ne sont pas très chauds pour un deuxième mandat. En pleine campagne pour un deuxième mandat, Tebboune est prêt à tout et multiplie fausses promesses et engagements intenables. Quand on peut le plus en matière de balivernes, on peut le moins. Sauf que ses caporaux n’en peuvent plus et pensent sérieusement à le doubler. Aux Algériens de deviner à qui ils pensent pour le remplacer…

    Le duo de mal..Tebboune et Chengriha reprennent la purge au sein de la racaille (armée). Une situation qui a poussé Tebboune à être très méfiant vis-à-vis du remplaçant de l’ancien homme fort Gaïd Salah. Il aura fallu des mois afin qu’un semblant de confiance règne entre les deux hommes sans que cela ne lève carrément la méfiance réciproque entre les deux institutions. La situation est d'autant plus compliquée pour la présidence depuis que l’armée est arrivée à cannibaliser les «Services de sécurité» renforçant son emprise sur le pouvoir.

    Un capharnaüm qui a poussé les analystes à accuser les militaires algériens de contrôler de manière excessive la politique algérienne, soulignant que «depuis que le  inhumé général Gaïd Salah a violé la Constitution et transféré les services de renseignement à l'armée, n'importe quel président qui arriverait ne disposera pas des ressources nécessaires pour faire pression sur les casernes». Ce qui explique l’impopularité de l'actuel Tebboune, jugé illégitime par de nombreux Algériens (photo préambule-dernière note), du fait qu’il a été désigné par les militaires provoquant, l'un des slogans favoris des hirakistes était «Tebboune Lemzawer, jabouh L3asker».

    Une manière clairement de défier le président et de lui faire comprendre que c’est la junte qui garantit la sécurité du pays. Et pour nombre d’observateurs, à cause des influences dans chacun des clans, ces affrontements feutrés risquent d’éclater au grand jour avant l’élection présidentielle de 2024 tant le sujet est délicat et sensible. En clair, le choix de Tebboune pour un second mandat à la tête du pays est loin d’être acquis. Et pour cause, les militaires l’accusent de certains échecs politiques et diplomatiques aux conséquences inquiétantes, concernant surtout les échecs diplomatiques devant l'acharnement de la diplomatie Royale du Maroc au sujet de la Marocanité du Sahara.

    Si on peut décrire certains couacs soulevés par de véritables décisions frivole à "l'Agérienne". Ils figurent, entre autres : «1) La perte de l’appui de l’Espagne dans le conflit du Sahara au profit du Maroc - 2) La rupture des relations diplomatiques avec le Maroc favorisant le tissage de bonnes relation avec Israël, que le pouvoir d'Alger considère en menace  à sa frontière occidentale - 3) Les relations difficiles avec la France, la marginalisation de l’Algérie au sein de de la Ligue arabe dont elle assure pourtant la présidence…».

    Bent Chengriha s'en mêle... Elle s'appelle Melissa...un nom de (Swing om). C'est la fille du capo-général-pisseur, chef de la racaille Algérienne (l'armée), elle occupe le poste d'attaché militaire d'Alger auprès des instances de l'ONU à Genève. C'est la fille gâtée de l'Algérie actuelle. Mélissa travaille au niveau de la représentation diplomatique de l’Algérie depuis 2019, date de l'apparition de son père; en tant qu'homme fort de l'Algérie actuelle, juste après l'assassinat à domicile, de son parrain le maudit général Gaid Ahmed Salah. Officiellement, a-t-on découvert au cours des investigations de certains curieux Algériens à l'étranger, elle n’a aucun poste précis ou déterminé. Elle est une “fonctionnaire polyvalente qui joue sur les roulette urinaires de son père”.

    Ceci dit, depuis la date précitée, cette gâtée de l'Algérie occupe le bureau qui revient normalement à l’attaché militaire à l'ambassade de son pays à Genève. Force est de constater que certaines personnes abusent de leur proximité avec Mélissa pour se targuer de (privilèges du régime). Il s’agit notamment d'une certaine dénommée.. (Wissam Ben Bartaoui), représentante générale de l'Air-Algérie pour la Suisse & l’Autriche, basée à Genève, qui fait valoir ouvertement son amitié avec la fille Chengriha.

    C’est pour cette raison, s’enorgueillit-elle, qu’elle reste encore en poste à Genève coûtant ainsi à l'Air Algérie plus de 10 mille euros de salaire par mois en plus de diverses primes élevées. Il est à rappeler enfin qu'il a été publié récemment à ce sujet de salaires élevés, une enquête sur le fonctionnement très onéreux des représentations diplomatiques algériennes à l'étranger et en Suisse particulièrement, décrivant comment de nombreux autres fils et filles de dirigeants algériens ont bénéficié de postes et de salaires onéreux au Consulats d’Algérie à l'étranger, et qu'aucune voix Algérienne, à l'intérieur et à l'extérieur n'a pu crier "au voleur"!.

    Corée du nord d'Afrique... (l'Algérie), où le peuple peut poireauter des heures durant pour acheter un Sachet de lait. Mais Melissa, la fille de son papa, elle, peut tout se permettre et doit figurer dans le Guinness. Récemment, elle a convoqué à Londres le nommé Toufik Hakkar, le patron de la Sonatrach, qui n’est autre que… son propre patron. Qu’en pense le sénile caporal au gouvernail du pays? La question n’est pas à poser. Surtout pas à lui, mais aux pseudo-politico-intellectuels Algériens qui se dissimulent et se disparaissent devant chaque coup de force émanant de la racaille. Les leçons des années grasses offertes par des cours élevés des hydrocarbures n’ont pas été retenues.

    Du coup, alors que la production pétrolière stagne, en dépit des effets d’annonce, la croissance économique demeure négligeable, portée uniquement par les hydrocarbures, sans véritable création de valeurs et d’emplois. Et c’est conscient de cet échec que le régime a décidé d’accorder des allocations à 2 millions de 'hitistes' et de chômeurs diplômés afin d’éviter éventuellement des tensions sociales.

    Preuve à l'appui, la dissolution des associations -phare-Hirak- se confirme et la répression s’intensifie...En clair, à l’approche de la présidentielle de 2024, les affrontements feutrés entre les militaires et la présidence algérienne risquent de devenir plus perceptibles. Et tant que ce sont les militaires qui désignent le candidat, la transition de l’Algérie vers une vraie démocratie avec sa sortie, préalable, de crises économiques internes alimentées par la corruption en pâtira encore des années durant.

    La situation est d’autant plus compliquée que les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien aggravent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide opposant les renseignements -intérieur et extérieur- privautés par le duo de maudits généraux en retour (Toufik et Nezar) est une lutte de clans qui va s’exacerber à l’approche de la date fatidique de la présidentielle de décembre 2024.                            Au creux de la vague... Le débat se poursuit entre l'armée et la présidence en Algérie, ramenant au cœur des discussions la question du renouvellement du mandat d'Abdelmadjid Tebboune en 2024. Le dossier n'est pas encore tranché, mais le journaliste Ihssan al Kadi qu'on a cité indirectement plus haut de cette note, était la victime de cet affrontement.

    Le vendredi 17 décembre 2022, un remarquable article a été publié à Alger, sous la signature du journaliste Ihssan El Kadi, republié par le site «Orient 21», et traduit les doutes des généraux algériens sur l'opportunité de se prononcer – sans tarder – en faveur d'un second mandat pour l'actuel président Tebboune., alors que ce dernier s'était lancé dans une campagne électorale non officielle. Deux ans avant une élection présidentielle provisoirement fixée à décembre 2024, le moment semble inopportun. D'autant que l'armée estime qu'il n'est pas judicieux de déclarer tôt son soutien à un nouveau mandat pour Tebboune.

    Six jours après la parution de cet article, en pleine nuit, Ihssan al Kadi, qui en plus d'être journaliste, était à la tête du dernier groupe de presse indépendant en Algérie, a été arrêté. Le siège de ce groupe a également été perquisitionné et ses vingt-cinq employés ont été expulsés de leur lieu de travail. Ainsi, ce journaliste courageux  a rejoint près de 300 détenus politiques dans le pays, selon des organisations de défense des droits humains.

    Trois mois plus tard, Ihssan al Kadi a été condamné à cinq ans de prison, dont deux ans avec sursis, pour avoir commis des actes « portant atteinte à la sécurité et au fonctionnement normal des institutions ». La rapidité du «jugement» et la sévérité de la sanction reflètent la tension et la gêne de Tebboune, qui a de (mauvaises) raisons poussé à substituer le junte militaire et à se venger du journaliste.

    Comment un article de journal peut-il menacer «la sécurité nationale d'un pays  qui se prend fort plus que d'autre, et perturber le «fonctionnement normal de ses institutions» d'une «"République démocratique et populaire, la jumelle de la Corée du Nord?» Il n'est censé les menacer de rien, sauf s'il a été publié à un moment de tension entre deux grandes institutions, à savoir la présidence et l'armée.

    Le pouvoir maléfique...Le président Algérien Tebboune n'a plus la cote même chez lui en Algérie. C'est un mec imposé forcément aux Algériens par des circonstances héritées de l'inhumé général Gaid Ahmed Salah. Il est attaqué de toute part par les opposants Algériens de l'étranger. Cependant, il n'y a pas une attaque qui sort de ce contexte, on traitant de «lâche». On ne mâche pas ses mots, c'est le moins que l'on puisse dire. D'emblée l'icône de l'opposition Algérienne qui sont nombreux dispersés entre Paris et Londres annoncent la couleur. «Dans leurs -live- quotidiens, qu'ils adressent avec tout leur mépris, ne fera peut-être pas réagir objectivement le pouvoir de leur pays et d'y prendre conscience de son inutilité et de sa lâcheté».

    Un passage de paroles que lui adressait un d'entre eux qui pourrait, en dénonciation, attirer l'attention de tout observateur ou analyste de la chose Algérienne, qui s'enfonce parait-il dans l'abîme plongée.. je cite : «Vous faites de l'Algérie une "poubelle" qui vous sert de trône, et vous prenez un plaisir sadique à faire souffrir votre peuple, mais aussi les plus humbles, les plus vulnérables et les plus soumis, en parlant, parait-il, des «Algériens les plus opprimés du pays».

    Le quotidien français Le Monde écrit de son coté que : «Depuis deux ans, voire un peu plus, un climat  de "répression et de terreur" règne en Algérie, avec des arrestations arbitraires de militants de toutes tendances politiques, de journalistes, la fermeture des médias, et les entraves à la libre circulation des gens et des pseudos-intellectuels, ainsi que les condamnations en série». 

    Les caporaux d'Alger s’essaient activement à la concurrence des marches sereines Marocaines, ils se font… électrocuter par la puissance durable, le silence et l'auto particularité du Maroc. En termes de design et en matière d’utilité, c’est une insulte au bon sens qui les entache. Il en va ainsi de la junte au pouvoir d'Alger qui, non seulement incapable de se positionner en Etat crédible, elle se targue aujourd’hui de pouvoir en produire le meilleurs en politique étrangère avec le remaniement partiel aux affaires étrangères de mensonge. Le résultat pour elle est une honte internationale, sans moteur et sans accessoires de rechange.

    Pourquoi le Maroc continue-t-il à être visé et priorisé dans la région comme cible à la haine et l'hostilité Algérienne?. Ce que je crois, pour plusieurs raisons liées entre elles. La première a trait au rôle pivot, voire leadership même du Royaume dans la stabilité de l'Afrique. Se trouvant au carrefour de trois continents et de deux mers, il a une situation géostratégique particulière accentuée par le contrôle du Détroit de Gibraltar, l′une des grandes voies de transport maritime dans le monde. Il a aussi œuvré pour définir et mobiliser la communauté internationale dans la lutte antiterroriste. La conférence mondiale de Marrakech en mai 2022 en était l’une des illustrations, avec la participation de quelque 80 pays.

    Un rôle consacré ailleurs: coprésidence (avec les Etats-Unis, l′Italie et le Niger) du Forum global de lutte contre le terrorisme, bureau de l’ONU à Rabat dédié à la lutte antiterroriste en Afrique... Enfin, le Maroc ne se limite pas à une «boîte à outils» technique et opérationnelle mais se définit aussi par une stratégie complémentaire de développement. Depuis près de deux décennies, cette vision a été développée par Sa Majesté le Roi que Dieu le glorifie par des propositions et des politiques qui intéressent plusieurs pays parce que le «Made in Morocco» est efficient et qu’il a donné des résultats probants. Tandis que l'Algérie en face, devienne la bête noire aux yeux du monde et de ses partenaire d'autrefois en particulier..

    Cependant pour cette voisine enragée et folle, c’est la croix et la bannière pour en promulguer sa politique mensongère ennuyeuse aux pays voisins dont le Royaume et ce à cause de la frivolité d'un pouvoir mafieux de caporaux Français, transformés, de jour au lendemain en généraux, pratiquant la mentalité de casernes, portant en premier lieu, préjudice à leur propre peuple et à leur tracé frontalier de sept bornes, avec dissonances toujours fréquentes avec le Maroc. Bonne lecture.

                                                              Cordialement,Chihab25

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    Une énorme moquerie suit la déclaration d'un conseiller de «Tebboune», à cause de l'histoire de la cigogne « le martyr Haj Ballarj».