Face à l’illusion et l'arrogance de l'Algérie : «le Maroc Royal» d’abord, et toujours.


Le mot «Ayacha», lancé avec dédain, ne porte pas en lui qu'une violence linguistique envers nous Marocain. Mais aussi, une reconnaissance de faiblesse de l'entité Algérienne, celle du mépris de soi, celles de haine et d'ingratitude, occupant son fond qui, ne possédant pas de bonté, cherchant et recherchant, tout moyen susceptible de contaminer le sentiment noble et authentique du peuple Marocain.
Et jamais le Maroc n’a eu autant besoin d’être défendu qu’en ces temps où les menaces verbales d'Alger sont devenues plus subtiles, que sournoises, presque imperceptibles. Elles s’infiltrent dans les discours impolis de tout diplomate Algérien, même si ne faisant pas partie de l'ordre du jour, de telle ou telle conférences.
Dernière en date, l'échec dépité par l’isolement de son pays au sein du Conseil de sécurité lors du vote de la résolution sur le Sahara Marocain, l'Algérien, Ammar Ben Jameâ, s’est livré à un show pathétique pour tenter de dissimuler une cuisante défaite de la diplomatie, de son pays, devant la crédibilité de la cause Marocaine, présentée, par l'ambassadeur du Maroc à l'ONU Mr.Omar Hilal.
À quoi sert-il de défendre une cause artificielle!, si ce n’est pour réduire la sienne en cendres?. Le caporal pisseur et ses convoyeurs du pouvoir d'Alger, masquent leurs intentions : «Ils brandissent eux-mêmes la violence, ils l’incitent, la provoquent, l’alimentent par la marchandisation cynique d'une affaire Polisalgérienne née-morte».
Ces cons méprisent le soi-disant État, mettant dans sa cabine de pilotage un «ivrogne» choisi du bar du coin, pour diriger l'écurie d'AlMouradia d'Alger, pas en tant que président, à part entière, mais en simple «-clown obéissant-», aux ordres des caporaux.
Cela étant, leur permettrait de dicter leur frivolité en politique, tournant dos aux sacrifices de leurs symboles...ceux qu'ils appellent désormais, leurs martyres (chouhada), tout en profitant, sans gêne, de la sobriété du Maroc, profitant, au maximum de temps pour traire la vache pétrolière Sonatrach.
A mon avis, le Maroc tant jalousé mérite mieux que cet étalage d’ingratitude de la part des Algériens. Certains apaches Algériens vivent en quiétude, parmi nous au Maroc, mais le Maroc ne vit pas en eux. Car il est des moments où le silence n’est plus une élégance mais une complicité, où le mensonge Algérien répété, appelle une réponse ferme et implacable du Maroc,
Ces moments où dans les salons feutrés de la diplomatie Algérienne, doivent laisser place à la vérité nue, portée sans trembler, face à l’indignité qui ose s’ériger en leçon. Ce 28 avril, dans l’enceinte du Conseil de Sécurité, l’Algérie a tenté une énième manœuvre de plus. Mais cette fois encore, elle a trouvé sur son chemin la fermeté inébranlable du Maroc, incarnée par la voix du faucon d'Omar Hilale qui ne laisse rien en fuite!.
À ceux qui s’imaginent que la diplomatie se conjugue seulement au conditionnel, Omar Hilale a rappelé que les vérités exigent le présent de l’indignation. Car lorsque l’ambassadeur algérien Ammar Ben Jamaâ croit détourner, à sa guise, toute une tribune sur les déplacement forcé de son peuple multicolore de Tindouf, pour en faire un micro de propagande, ce n’est pas la cause des réfugiés qu’il défend, mais l’illusion d’un récit falsifié qu'il porte sous l'épaule. Un récit qui vacille, s’essouffle, et que le Maroc pulvérise, chaque fois, avec l’élégance d’une plume et la précision d’une lame.
C’est donc dans une lettre magistrale, adressée au président du Conseil, qu’Omar Hilale remet l’Algérie à sa juste place : «non pas celle d’un observateur neutre ou d’un voisin inquiet, mais celle d’un acteur, complice actif d’un demi-siècle de souffrance imposée à des populations Marocaines séquestrées sur l'une des terres Marocaines amputées» (Tindouf).
L'exclusion du Polisalgérien, de toute conférence internationale, marque la crédibilité du Royaume, dernière en date, celle au sommet des affaires USA-Afrique tenue (23/6/25) en Angola, constituant une preuve de refus au jonglage politico-Algérien et coup dévastateur pour Alger, après le rejet, de sa diplomatie par presque tout le monde, à part, quelques brebis galeuses qui n'ont pas encore digéré l'appât empoisonné de l'Algérie. Sachant que 96% des pays africains soutiennent désormais l’intégrité territoriale du Maroc et rejettent totalement le «Polisalgérien».
Le droit contre l’arrogance...Or depuis un demi-siècle, l’Algérie défie le droit international, refuse aux réfugiés le droit fondamental au choix, à la liberté de mouvement, à la citoyenneté. Pire encore, elle sous-traite sa souveraineté à son groupe armé le «Polisalgérien» en contradiction flagrante avec toutes les normes internationales relatives aux réfugiés et à la protection humanitaire.
C’est là justement l’architecture cynique du mensonge algérien : faire croire à une oppression venue du Maroc, alors même que c’est l’Algérie qui orchestre le silence, verrouille les camps, et interdit obstinément au Haut Commissariat aux Refugiés, depuis plus de cinquante ans, de recenser dans les camps. Pourquoi ce refus ? Parce que la vérité des chiffres briserait le mythe et révèlerait, au grand jour, le scandale des aides détournées par Alger.
Le Maroc déchire ainsi ce rideau de fumée avec la précision d’un chirurgien à travers une lettre de mise au point. Mieux encore : une leçon de droit, d’éthique et de vérité diplomatique, par raison et poids du droit, lorsqu'Ammar Ben Jamaâ évoque encore une prétendue «occupation» , il remonte sur la scène d’un théâtre déserté par tous le monde. Car l’histoire a parlé. Le droit a tranché. Les Accords de Madrid de 1975, actés par la résolution (3458 B) de l’Assemblée Générale, ont entériné le retour du Sahara Marocain à la mère patrie.
Aujourd’hui, le Conseil de Sécurité ne s’y trompe pas : il traite ce dossier dans le cadre du Chapitre VI de sa Charte, relatif aux règlements pacifiques, et non à une quelconque décolonisation. Mais il fallait bien que le Maroc rétablisse la chronologie, le droit et la mémoire pour déchirer les masques. Par ailleurs, l’Algérie s’acharne, prisonnière de ses propres mirages, nourrissant une fiction diplomatique que plus personne ne prend au sérieux, si ce n’est elle-même.
Comme à son habitude, le Maroc, lui fort de sa légitimité historique, juridique et populaire, remet les pendules à l’heure et repose les fondations de la vérité.Et pendant qu’Alger s’enferme dans ses obsessions, le Maroc lui, propose l'issue sereine à suivre, si elle veut bien sauver sa sale face!, lui rappelant, à cet effet, que : depuis 2007, le Maroc tend la main avec l’Initiative d’Autonomie, et c'est le verdict, le seul d'ailleurs, à «prendre ou à laisser».
C’est dans ce sens que tout en dénonçant l’inaction délibérée de l’Algérie avec son blocage à répétition, devant les Envoyés Onusiens au sujet du conflit Algéro-Marocain autour de la Marocanité du Sahara. Omar Hilale rappelle, que le véritable chemin vers une solution durable passe par l’Initiative Marocaine d’autonomie, reconnue par le Conseil de Sécurité, comme crédible et soutenue par plus de 120 États, dont deux membres permanents du Conseil de Sécurité. De facto, cette initiative incarne le compromis, la paix, et le respect en conformité avec la résolution 2756 qui en a fait le socle d’une solution unique.
Dans le silence poli de l’ONU, la voix du Maroc a fait trembler les murs de l’hypocrisie Algérienne. Incontestablement, le Sahara Marocain n’est pas une question ouverte. Il est Marocain de droit, de cœur, de destin et une affaire résolue. La seule question qui reste, est celle de la dignité des séquestrées à Tindouf, victimes d’une impasse que l'Algérie et le reste de ses dindons refusent de voir se résoudre, maintenant une impérissable haine envers le Maroc.
Acte inappropriée : Je termine, malheureusement par l'insouciance d'un des nôtres, en chômage politique. La récente position honteuse envers les Perses de l'ex-chef de gouvernement Abdelillah Benkirane, touche au morale Marocaine et, laisse beaucoup à désirer!. Soutener l'ennemi, Irano-Algérien, n'est pas une vertu honorable aux politiciens barbus du Maroc, c'est au contraire une traitrise capitale, punie par la loi et par le peuple.
Benkirane est ainsi sorti, de sa coquille, pas seulement pour briser son isolement politique, mais aussi pour faire entendre l'anfentisme du vieux retraité, à une certaine Mayssa Salama Ennaji, une politico-parasite de quartier, voire de trottoir, parait-il, laquelle ces jours-ci tenait Benkirane par la queue en le provoquant de manière explicitement dégueulasse.
Perdu dans ses grimaces pour détourner les regards , Benkirane déclare soutenir le -Satan perse- que le Maroc avait officialisé son (Takfirتكفير), terme que je n'arrivais pas à traduire en Français!. Mais Benkirane, ignorait ou faisant semblant, que des tensions existaient entre le Maroc et l'Iran depuis la révolution de ce dernier en 1978. Ces relations étaient toujours très tendues, par divergences idéologiques et politiques et ingérence de facto aux affaires internes du Royaume.
Feu Hassan II avait prévu que les «barbus aux toboggans noires», menaceront, certes, la stabilité de notre pays, en raison de l'accueil par le Maroc de l'empereur déchu «Le Shah Med Réda Bahlawi et famille». Effectivement, et depuis les ayet Echaitane, dénommés par l'écrivain Indo-britannique Salmane Rushdi, se sont passés aux représailles, soutenant ouvertement, le Polisalgérien, via l'Algérie. Ils sont même arrivés à camper à Tindouf pour y former et financer les mercenaires de Tindouf, leur répétant l'ingratitude convoitée de Yasser Arafat à Boukharouba : «Vous souffrez avec le Maroc, ce que nous le souffrons avec Israël!»
Par contre, nos inconscients barbus, sont parachutés parallèlement avec cette fumée, moyennant le printemps arabe de 2010, montant sur le faux islamisme des "frends turks Islamist", tambour bâtant, pour y propager, vivant au Maroc, mais par expérience de temps expiré, «le Maroc ne vit pas en eux, même déguisés en barbe d'un hérétique fqih Fezazi».
Prévoyant le bon sens, Sidna, se basant sur son savoir-faire politique de crises, avait joué vite, comme si, en table de Poker, coupant la route à toute éventualité néfaste, offrant à ses sujets en 2011, l'âme des démocraties modernes. Une constitution crédible de taille, permettant aux Marocains une large participation politique, leur garantissant une vie honorablement digne à l'image de pays démocrates. Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25