Face à la diplomatie de l’illusion et d'arrogance Algérienne : «le Maroc Monarchique» d’abord, et toujours.


Le mot qui dérange : Il est devenu pour les Algériens suspect et condamnable, de voir les Marocains oser défendre la Grandeur de leur pays, sa Monarchie, ses institutions, ses forces vives, son socle de stabilité, semblant pour eux Algériens, un acte de traitrise, de défiance devenue amère, chez l'opinion publique Algérienne opprimée par les pisseurs militaires et leurs mots d'ordre.
À peine prononce-t-on les mots de joie et de fierté «Aâch AlMalik», vers le Roi, le bougre Algérien, considère par jalousie, ce geste noble, dont il est dépourvu, en «épithète infamant», jetant vers les Marocains le qualificatif qu'il créa pour nuire à la pudeur Marocaine, se croyant dire un terme humiliant «Ayacha».
«Ayacha» disaient-ils!. Oui c'est uniquement nous Marocains qu'avons l'honneur et le privilège d'acclamer des vivats à nos Monarques, fiers de le faire, criant volontairement par émotion innocente. «Aâch Al Malik - Aâch Sidna», et nous le répétons, loin de toute pression, si cela dérange davantage, l'indigne voisinage, tant que ses stupides ingrats, ne respectant, ni ordre divin, ni sa sentence spirituelle «Obéissez à Allah, au Messager, et à ceux d'entre vous, qui ont de l'autorité».
Cela prouve effectivement, ce que disait le diction Royal de Sa Majesté le Roi génie feu Hassan II, qui conclut avec ennui et supplication : «Nous demandons pas de reconnaître la Marocanité du Sahara, plus que nous demandons d'y voir, avec qui le Bon Dieu nous a rassemblés au voisinage!».
La Monarchie Marocaine est pour eux, un péché, une compromission servile, voire un acte de trahison existentielle, tant qu'ils sont eux, un mélange d'entités venues de nulles parts. Je dis bien un mélange, et j'ajoute : «bourré d'envie, de haine et de méchanceté contre le Royaume». Quelle triste époque, de mentalités de merde!, où tout est assimilé à un manque d’intégrité morale en Algérie.
Le mot «Ayacha», lancé avec dédain, ne porte pas en lui qu'une violence linguistique pour nous Marocain. Mais aussi, une reconnaissance de faiblesse de l'entité Algérienne, celle du mépris de soi, celles de haine et d'ingratitude, occupant son fond qui, ne possédant pas de bonté, cherchant et recherchant, tout moyen susceptible de contaminer le sentiment noble et authentique du peuple Marocain.
Avec ses combats diplomatiques silencieux et fructueux, le Royaume demeure un ilot de stabilité, convoité autant que jalousé. Cette stabilité dérange la voisine de mal d'à côté -Algérie- qui irrite et intrigué. Et pourtant, le Royaume se tient debout, préservant sa stabilité qui attire les regards autant qu’elle aiguise les rancœurs!.!.
Et jamais le Maroc n’a eu autant besoin d’être défendu qu’en ces temps où les menaces verbales d'Alger sont devenues plus subtiles, que sournoises, presque imperceptibles. Elles s’infiltrent dans les discours impolis de tout diplomate Algérien, prenant la parole aux conférences qui se tiennent à l'échelle internationale, même si ne faisant pas partie des points inscrits à l'ordre du jour, de telle ou telle conférences.
Dernière en date, l'échec dépité par l’isolement de son pays au sein du Conseil de sécurité lors du vote de la résolution sur le Sahara Marocain, le représentant de la racaille Algérienne, Ammar Ben Jamaa, s’est livré à un show pathétique pour tenter de dissimuler une cuisante défaite de la diplomatie, de son pays, devant la crédibilité et la clarté de la cause Marocaine, présentée, vigoureusement, par l'ambassadeur du Maroc à l'ONU Mr.Omar Hilal.
À quoi sert-il de défendre une cause artificielle!, si ce n’est pour réduire la sienne en cendres?. Le caporal pisseur et ses convoyeurs qui s'accaparent, frauduleusement, du pouvoir d'Alger, masquent leurs intentions : «Ils brandissent eux-mêmes la violence, ils l’incitent, la provoquent, l’alimentent par la marchandisation cynique d'une affaire Polisalgérienne née-morte».
Ces canards isolés dans leurs cavernes dogmatiques, méprisent le soi-disant État, dans sa cabine de pilotage un «engagé civil» bien choisi du bar du coin, pour se loger gratuitement à l'écurie d'AlMouradia d'Alger, pas en tant que président effectif, à part entière, mais en simple «-clown obéissant-», aux ordres des caporaux d'Algérie.
Cela étant, leur permettrait de dicter leur frivolité et leur -savoir-faire primitif en politique, tournant dos aux sacrifices de leurs symboles...ceux qu'ils appellent désormais, leurs martyres, tout en profitant, sans gêne, de la sobriété du Maroc, profitant, au maximum de temps pour traire la vache pétrolière Sonatrach.
A mon avis, le Maroc tant jalousé mérite mieux que cet étalage d’ingratitude de la part des Algériens. Il mérite mieux que cette dérive nihiliste visant à détruire tout ce qui demeure debout. Certains apaches Algériens vivent en quiétude au Maroc, mais le Maroc ne vit pas en eux. Il est des moments où le silence n’est plus une élégance mais une complicité, où le mensonge répété appelle une réponse ferme, mesurée, mais implacable.
Ces moments où dans les salons feutrés de la diplomatie d'autruche Algérienne, doivent laisser place à la vérité nue, portée sans trembler, face à l’indignité qui ose s’ériger en leçon. Ce 28 avril, dans l’enceinte du Conseil de Sécurité, l’Algérie a tenté de manœuvrer, en une énième de plus. Mais cette fois encore, elle a trouvé sur son chemin la fermeté inébranlable du Maroc, incarnée par la voix du faucon d'Omar Hilale.
À ceux qui s’imaginent que la diplomatie se conjugue seulement au conditionnel, Omar Hilale a rappelé que certaines vérités exigent le présent de l’indignation. Car lorsque l’ambassadeur algérien Ammar Ben Jamaâ croit détourner, à sa guise, toute une tribune sur les déplacement forcé de son peuple multicolore de Tindouf, pour en faire un micro de propagande, ce n’est pas la cause des réfugiés qu’il défend, mais l’illusion d’un récit falsifié qu'il porte sous l'épaule. Un récit qui vacille, s’essouffle, et que le Maroc a choisi de pulvériser avec l’élégance d’une plume et la précision d’une lame.
C’est donc dans une lettre magistrale, adressée au président du Conseil, qu’Omar Hilale remet l’Algérie à sa juste place : «non pas celle d’un observateur neutre ou d’un voisin inquiet, mais celle d’un acteur direct, complice actif d’un demi-siècle de souffrance imposée à des populations Marocaines séquestrées sur l'une de ses terres Marocaines amputées» (Tindouf).
Le droit contre l’arrogance...Or depuis un demi-siècle, l’Algérie défie le droit international, refuse aux réfugiés le droit fondamental au choix, à la liberté de mouvement, à la citoyenneté. Pire encore, elle sous-traite sa souveraineté à son groupe armé le «Polisalgérien» en contradiction flagrante avec toutes les normes internationales relatives aux réfugiés et à la protection humanitaire.
C’est là justement l’architecture cynique du mensonge algérien : faire croire à une oppression venue du Maroc, alors même que c’est l’Algérie qui orchestre le silence, verrouille les camps, et interdit obstinément au Haut Commissariat aux Refugiés, depuis plus de cinquante ans, de recenser dans les camps. Pourquoi ce refus ? Parce que la vérité des chiffres briserait le mythe et révèlerait, au grand jour, le scandale des aides détournées par Alger.
Le Maroc déchire ainsi ce rideau de fumée avec la précision d’un chirurgien à travers une lettre de mise au point. Mieux encore : une leçon de droit, d’éthique et de vérité diplomatique, par raison et poids du droit, lorsqu' Ammar Ben Jamaâ évoque encore une prétendue «occupation» , il remonte sur la scène d’un théâtre déserté par tous le monde. Car l’histoire a parlé. Le droit a tranché. Les Accords de Madrid de 1975, actés par la résolution (3458 B) de l’Assemblée Générale, ont entériné le retour du Sahara Marocain à la mère patrie.
Aujourd’hui, le Conseil de Sécurité ne s’y trompe pas : il traite ce dossier dans le cadre du Chapitre VI de sa Charte, relatif aux règlements pacifiques, et non à une quelconque décolonisation. Mais il fallait bien que le Maroc rétablisse la chronologie, le droit et la mémoire pour déchirer les masques. Par ailleurs, l’Algérie s’acharne, prisonnière de ses propres mirages, nourrissant une fiction diplomatique que plus personne ne prend au sérieux, si ce n’est elle-même.
Comme à son habitude, le Maroc, lui fort de sa légitimité historique, juridique et populaire, remet les pendules à l’heure et repose les fondations de la vérité : «l’Algérie n’est pas un voisin neutre. Elle est l’instigatrice, le protectrice d’un conflit artificiel hérité du maudit Algérien Boukharouba, qui coute à la région Nord-Africaine, stabilité, cohésion et avenir commun».
Et pendant qu’Alger s’enferme dans ses obsessions, le Maroc lui, propose l'issue sereine à suivre, si elle veut bien sauver sa face!, lui rappelant, à cet effet, que : depuis 2007, le Maroc tend la main avec l’Initiative d’Autonomie, saluée par la communauté internationale comme crédible, et conforme à toute autodétermination préjugée?. et c'est le verdict, le seul d'ailleurs, à prendre ou à laisser, qui doit anéantir toutes les merdes émanant de l'Algérie.
C’est dans ce sens que tout en dénonçant l’inaction délibérée de l’Algérie avec ses jonglages à répétition depuis la nomination des différents Envoyés Onusiens au sujet du conflit Algéro-Marocain autour de la Marocanité du Sahara. Omar Hilale rappelle, que le véritable chemin vers une solution durable passe par l’Initiative Marocaine d’autonomie, reconnue par le Conseil de Sécurité comme crédible et soutenue par plus de 120 États, dont deux membres permanents du Conseil de Sécurité. De facto, cette initiative incarne le compromis, la paix, et le respect en conformité avec la résolution 2756 qui en a fait le socle d’une solution unique.
Dans le silence poli de l’ONU, la voix du Maroc a fait trembler les murs de l’hypocrisie. Incontestablement, le Sahara Marocain n’est pas une question ouverte. Il est Marocain de droit, de cœur et de destin et une affaire résolue, et la seule question qui reste, est celle de la dignité des séquestrées à Tindouf, victimes d’une impasse que l'Algérie et le reste de ses dindons corrompus refusent de voir se résoudre.. Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25