L'Algérie sapait dans tous les sens, même dans le social
LE SOCIAL AUSSI N'EST PAS EPARGNE,L'ALGERIE SAPAIT DANS TOUS LES SENS ,DES L'AUBE DE SON INDEPENDANCE ET MEME AVANT, QUE POUR NUIRE AU MAROC,!!
L'algerie ne tient pas que ses engagements avec le Maroc au sujet de la frontière, mais elle vole aussi les arrérages de simples travailleurs Marocains dans le secteur des mines. Avant de passer à ce sujet ,je dois souligner que le malheurs guêtte souvent le Marocain dans tout son destin..! Des tirailleurs Marocains et Sénégalais ayant participé au coté de la France durant la 2° guerre mondiale,se sont libérés des camps de prisonniers de guerre allemands et démobilisés. Débarqués le 21 novembre 1944 à Dakar,où ils se sont rassemblés dans un camp à quelques kilomètres de la capitale. Mais ils attendaient de recevoir les arriérés de leur solde et de pouvoir échanger le mark Allemand. En France, malgré leurs réclamations, on le leur avait refusé sous divers prétextes, et on leur avait promis que tout se ferait au Sénégal. Mais en France rien non plus ne se faisait, on leur proposait l'échange de leur argent à la moitié de sa valeur, ils recevaient un nouvel ordre de départ...
C'en était trop. Les tirailleurs protestèrent, manifestèrent sans doute. Ils séquestrèrent un général qui leur donna satisfaction pour être relâché... La nuit suivante, le 1er décembre 1944, l'armée française intervenait en bombardant et mitraillant le camp. Les tirailleurs n'avaient pas d'armes. Combien de morts? peut-être: 25, 35, 60 ou plus? Quelques uns de ceux qui n'avaient pas été tués passèrent en jugement et furent emprisonnés jusqu'à ce qu'une grâce présidentielle leur soit accordée en avril 1947, lors du voyage du président Français Vincent Auriol en Afrique de l'Ouest. ( Jules-Vincent-Auriol -1884/1966- était un homme politique français qui fut le premier Président de la 4° République de 1947 à 1954. , faisant de lui l'une des trois personnes,avec Charles de Gaulle et Alain Poher,qui ont été chefs d'Etat de la République française sur deux prises distinctes..)
En France on ignore tout,ou plutôt,on s'intéresse pas.Mr. Léopold Sédar Senghor ,alors député sénégalo-Français en parlait à l'assemblée Nationale Française,pour rappeler aux députés français:" la mauvaise récompense que la France de la métropole consacrait à ses sujets d'Outre-mer.Il criait " au voleur" pour que ces guerriers africains, qu'ils soient morts ou vivants ne soient pas déhonnorés et trainés par terre par la France,et de cette manièrre. pour êtres bloqués dans un nouveau camp de concentration,face à leur destin incertain!!)
C'est l'éxelmple le plus signifiant qui montre la malchance que le Marocain est toujours contraint de confronter malgré lui dans ses destinées.Oui l'Algérie ne tient pas que ses engagements avec notre pays au sujet des frontières et la Sahara oriental,mais elle dérobe aussi les biens et les arrérages de simples travailleurs Marocains. Avant l'indépendance de l'algérie,l'algérie française comptait un nombre considérable de Marocains qui travaillaient dans les vignes,chez des colons Français et dans le secteur minier .Une fillière de la Française minière L'Alsace-Lorraine qui portait l'intitulé de la: Houllière de Sud-Oranais,dont le siège était à Kenadsa dans la Saoura (Sahara Marocain Oriental) spécialisée dans l'éxtraction de charbon. Elle employait presque 600 Marocains,éparpillés entre les puits-sièges de charbon de Kenadsa,Bidon2 et Kssi-ksou dans les alentours de Colomb-Béchar. Ces travailleurs Marocains avaient les mêmes droits en égalité,que les autres travailleurs.(Français,algériens,Espagnols et Portugais).
Quelque peu avant l'indépendance de l'algérie Mr.Thomas,le directeur général de la fillière H.S.O.négociait avec les algériens les formalités de transfert du dossier capital des droits de la main d'oeuvrer qu'il employait,dans la perspective de quitter les lieux avec bonne et dûe forme.Ce dossier qui englobait tous les acquis des ouvriers,telles que les rentes,les arrérages et les épargnes de retraite est passé entre les mains des algériens en vertu d'un texte protocole qui dégage la responsabilité de la socièté sortante,et engage celle la nouvelle constituante algérienne dans ce domaine,fixant en parallèle les modalités de versement aux ayants droit.
Les autorités algériennes,et par initiative douteuse prémiditée qu'ils inventaient, se veulent être le bon élève de la classe,en conditionnant en substance que tout versement aux bénéficiaires quels qu'ils soient, ne peut être que sur le sol algérien.les bénéficiaires se trouvant ailleurs seront passibles,à des mesures de restriction ou de forclusion,au détriment de ce grand nombre de travailleurs Marocains qui auraient,soit quitter l'algérie à cause des retembées de la guerre des sables,soit avant, durant les circonstances de la guerre de libération contre la France.Un Problème qui durera presque 20 ans,de 1962 à 1983, créé pour rien,seulement pour nuire aux Marocains.
Au lendemain de ce problème,le gouvernement Marocain conscient qu'aucun résultat ne peut y avoir lieu avec les autorités algériennes dans ce domaine,étant donné que le torchon commence à brûler parait--il avec eux,il s’était ainsi confié à un de ces amis -la France- pour remédier à cette situation qui est la sienne ?. Dès les premières marches que l'interlocuteur français eut à gravir, il fut pris d’étourdissements et de sourd d'oreille. Il passa devant plusieurs commis de l'état algérien et eut l’impression de la sécheresse et de l’inutilité dans tout dialogue si factice, et qui ne valait pas les courants d’air et de soleil , qu’il se rappelait plus éclatant, plus différent de tout ce qu’il connaissait Mr.Thomas,le négociateur et passeur de consignes aux algériens. Mais, grâce à des articles de pression et de critique que publiait à l'époque la presse Française en l'objet,et à des contacts silencieux en coulisse que menait l'ambassade de France à Alger.
Le quartier général, directeur de l'ex-Houllière du Sud Oranais à Paris, remarqua pour la première fois des petits pas de progrés dans les débats avec les autorités algériennes,et que le sable était rose à l'échelle du ministère des affaires sociales en Algérie, et enfin la précieuse matière d'un toute petite pan de mur est acquise dans ce sens qui constituait une affaire d'opinion publique ouvrière,surtout chez les patrons des syndicats au niveau de l'Alsace-Lorraine au nord de la France.. Malgré que des gestes étourdissants augmentèrent dans le sphère du problème ; la France agissait en instance concernée,elle attachait son regard, comme un enfant à un papillon jaune qu’il veut saisir,sur la récupération pure et simple de l'ensemble de droits des travailleurs non algériens et le rapatrier en France. « Enveloppe de 470 millions de Francs » Cependant la gravité de l'état n'échappait pas aux dirigeants de l'ex- employeur.. «Je ne voudrais pourtant pas, se disait-il Mr.Thomas, être pour les journaux du soir le fait divers de ce petrin que la défaillance de uns,et l'égoisme des autres, allaient nous tacher la figure avec des ayants droit innocents». La France qui était la plus concernée par ce jeu algérien,s'est vue satisfaite par cet éxlpoit, et elle ordonnait l'ordonnancement des fonds aux bénéficiaires Marocains et autres,à partir de sa trésorerie métropolitaine et clôre ce dossier une fois pour toutes, et avec beaucoup de succès.De même le gouvernement Marocain se voyait trés réjouit et ne tardait pas à remercier les intervenants français en l'objet.
On constate par les faits que l'algérie indépendante sapait dès lors, que pour créer des problèmes à notre pays par une volonté de lâche même au détriment des personnes innocentes loin de la politique d'Etats.Le colonel Boukharouba,alias Houari Boumediane,allait plus que ça !.Pour se venger de l'opération de la Marche verte Hassanienne,il éxpulsait en verdict personnel enragé en décembre 1975, 47.000 familles marocaines,soit un nombre de 250.000 personnes environ, pour un crime unique qu' "ils sont des Marocains ",prévoyant que la riposte Marocaine sera de même.Un convoi algérien de camions semi-remorques s'est immobilisé, à Meghniya,une petite ville frontalière algérienne.Un convoi de premiers camions convoyeurs de transfert est présent sur place, il attendait au poste frontalier terrestre "Zouj Bghal" pour y recevoir en échange les algériens résidant au Maroc,candidats éventuels au refoulement. Mais la sagesse et le génie politique de feu Hassan II que Dieu ait son âme, ne voyait pas de cet oeil d'ogre et ne cédait pas à la haine.. En preuve,aucun algrérien résident au Maroc n'a été touché par cette opération frivole,au contraire aucun petit geste harcèlement ne se faisait remarqué,ni enregisté de la part des Marocains,et Boumediane se faisait grincer les dents pour avoir était enroulé par le silence de feu Hassan II. et le manque de réaction des autorités Marocaines.! Et la série de haine et de rage des algériens contre notre pays se poursuit aveuglement.
Cordialement,Chihab25
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