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  • Maroc-Algérie : Ça fera vibrer en Algérie, tant mieux..!

                                                                                                                   drapeau-du-maroc-image-animee-0008                                          

                                                 

                                                    «lli ya'kol, ya'kol «l'guass(¹)», ou lli yas-hab, yas-hab alliss».

    En avant-première...Conformément à cette anecdote, on est ami d'Israël en pleine bouche. En compensation, le Royaume possède déjà de redoutables «Armes kamikazes» tandis que l'Algérie est embourbée dans sa misère.et dans les légumineuses. Un nouveau pas vient d’être franchi dans le renforcement de la coopération militaire entre le Maroc et Israël. Les autorités israéliennes viennent de fournir de nouveaux drones kamikazes, une des armes sophistiquées qui peut provoquer de graves dégâts au champ de bataille ennemi. Le Maroc vient d’acquérir des drones spécifiques qui font couler beaucoup d’encre en raison de leur potentiel destructeur. Et c’est le célèbre média israélien Haretz qui vient de révéler cette information en toute objectivité.
     
    D’après le journal, c’est le fabricant Israël «Aerospace Industries» qui a livré ces drones au Maroc, mais le nombre précis n’a pas été révélé. Ce fabriquant israélien est effectivement réputé comme étant l’un des détenteurs des technologies les plus innovantes dans ce segment particulier de drones. Le quotidien a révélé également que le Maroc aurait acquis également des drones Harop, une autre très prestigieuse marque israélienne de destruction. En clair, le Maroc s’est rapproché ainsi de tous les industriels israéliens respectivement (Aeronautics, Elbit Systems et IAI) pour s’équiper d’une flotte hyper-moderne et sophistiquée, y compris la nouvelle génération des drones sous-marins.
     
    Je suis pas militaire spécialisé dans ce sens, mais je dirais quand même qu'il est opportun de signaler, selon ma modeste connaissance, que les drones Kamikazes Israéliens sont des segments qui se développent rapidement. Ils sont essentiellement produits en Israël, aux Etats-Unis, en Turquie et en Chine. Ils ont déjà séduit une vingtaine d’armées selon diverses sources médiatiques spécialisées dans l’actualité de la Défense et la Sécurité.
     
    De l’avis commun de ces experts, les drones en question peuvent changer le cours d’une guerre si la junte d'Alger se chauffe la tête et s'aventurer dans ce jeu. Preuve en est dans le conflit au Haut-Karabakh, ou ce qu'on a souvent entendu parler à notre plus jeune âge, dans les années soixante durant les conflits entre Azerbaïdjan et l'Arménie...(Norodom Karabakh), les drones kamikazes ont offert un avantage déterminant à l’armée Azerbaïdjanaise dans sa guerre contre l’Arménie voisine. C’est dire enfin que les acquisitions de ces drones par le Royaume Maroc ne manqueront pas de susciter l’inquiétude et les craintes de la junte d’Algérie qui voit d’un mauvais œil, la constitution de cet axe militaire Rabat-Tel-Aviv.
     
    Le drone-ma et la junte-dz...Il est indéniable que les drones Iraniens fournis au polisario par l’Algérie constituent une menace réelle à l’encontre du Royaume. Le Maroc n’est pas le seul pays à avoir alerté contre les conséquences des liens militaires entre l’Algérie et l’Iran pour l’Afrique du Nord et le Sahel. Aujourd’hui des voix s’élèvent un peu partout dans le monde pour dénoncer, condamner et alerter sérieusement contre cette coopération qui favorise la déstabilisation de cette région stratégique du monde via l'engagement de mercenaires "made in Algéria". 
     
    Après l’expert Américain en Affaires stratégiques, (Lewellyn King), qui avait mis en garde contre les manœuvres du régime Iranien dans la région -avec la complicité de l’Algérie, fournit des drones à la milice du polisario, c’est l’analyste géopolitique Alexander Grinberg qui vient d'évoquer de son coté la dangerosité des liens militaires entre l’Algérie et l’Iran, je cite :
     
    «Les drones Iraniens sont désormais déployés en Afrique du Nord et constituent une menace directe pour le Maroc. Basé à l’Université de Tel Aviv, ce doctorant est un expert de l’Iran a indiqué que, “l’exportation de drones par le régime iranien vers de mauvais acteurs déstabilise désormais, non seulement la région mais, comme l’a clairement montré la guerre de Poutine en Ukraine, le monde entier”. fin de citation.
     
    En effet, les missiles et principalement les drones font partie intégrante de la politique des conflits et du chaos depuis 2017, qu’a adoptée la République islamiste des Ayett Echaitanes afin de soutenir tout mandataire du terrorisme à travers le monde y compris l'Algérie, qui perd tout sens de crédibilité, en tant qu'entité dirigée par des criminels, selon l'opposant Algérien en exile, Anouar Malek qui critiquait, haut et fort, son pays spécialisé, en fils d'attente de tout genre.
     
    Ainsi, la diplomatie des drones de barbes et de turbans Perses, renforce évidemment la quête du régime Khomeiniste pour étendre sa base de pouvoir et dans la région du Golf arabique et en Afrique du nord et au-delà, comme en Syrie, en Iraq, au Liban et au Yémen Houtiste…et actuellement en Algérie pour soutenir le polisalgérien.L’Iran a fourni des drones au groupes terroristes qui lui sont fidèles à travers le Moyen-Orient, notamment Hezb  Echaitane de Hassan Sakhtt-Allah, les Houthis au Yémen, le Hamas de Hanye à Gaza, et les milices pro-Iraniennes en Syrie et en Irak.
     
    Autre fait, ces drones iraniens sont également assemblés au Venezuela en Amérique du sud et portent le nom d' «Antonio José de Sucre-100 en lieu et place des Mohajer-2 iraniens». Le président vénézuélien Nicolas Maduro, lors d'une visite à Alger avait fait la promesse de fourniture de drones Iraniens au polisario et à l'Algérie, ce qui a suscité des inquiétudes quant à la stabilité de ce qu'on prend aujourd'hui en orphelin -le Grand Maghreb.   
     
    Le média iranien a explicitement évoqué les inquiétudes du Maroc et d’Israël sur la coopération entre l’Iran et l’Algérie dans le domaine des drones. “La fourniture par l’Iran à la fois, de munitions et de drones d’attaque à l’Algérie, intensifiera les liens entre les deux régimes autoritaires. Par exemple, le pilotage de drones nécessite une longue formation sur place, et l’Iran est susceptible d’envoyer des instructeurs arabophones du Hezb Echaitane au Liban à cette fin. Dans les deux cas, cet axe de plus en plus audacieux, est une mauvaise nouvelle pour les intérêts occidentaux dans la région.
     
    Barak-MX Marocain.. Comme attendu, le Maroc commence depuis le début 2023 à recevoir ses premières livraisons du système de défense antiaérienne et antimissile Barak-MX. Le Royaume figure ainsi parmi les rares pays à se disposer d’une telle technologie, aussi avancée et franchit un pas de plus dans sa stratégie de modernisation de son arsenal de défense et le général faucon Mohamed Berri en manque rien en la matière pour gifler le caporal-pisseur de la racaille des Hitistes Algériens.
     
    L’information figurait parmi les «Pentagon Leaks» qui avaient commencé à «fuiter» au début de cette année. Si le plus gros des révélations contenues dans ces documents, ayant à l’époque écumé les réseaux sociaux, portait sur l’armée américaine et la guerre en Ukraine, certaines informations concernaient d’autres pays, notamment Israël. C’est ainsi que nous apprenions que l’État hébreu s’apprêtait à livrer son système de défense antiaérienne et antimissile Barak MX au Maroc, un deal qui devrait être opérationnel à la mi-2023.
     
    C’est désormais chose faite. Sur ses pages Facebook et Twitter (rebaptisé «X»), le bien informé forum Far-Maroc nous apprend dans ce sens que les premières livraisons de ce système commencent effectivement à être acheminées vers le Royaume. Cette livraison entre dans le cadre de l’accord signé en février 2022 entre le Maroc et Israël pour des contrats d’armement portant sur un montant important de dollars.
     
    Le système Barak MX a été développé et produit par -Israël Aerospace Industries-, géant de l’armement dirigé par un certain Amir Peretz, ancien ministre de la Défense, aussi fier de ses origines Marocaines (de Be'jaâd) que particulièrement impliqué dans les accords de coopération militaire entre Rabat et Tel-Aviv. Le Barak MX est un dispositif flexible et modulaire qui peut protéger contre les menaces de missiles et véhicules aériens sans pilote (téléguidés). L’acquisition du système Barak MX par les Forces armées royales constitue une longueur d’avance du Maroc sur le plan de la technologie militaire.
    Si des pays comme l’Inde et les Émirats disposent déjà de cette technologie, d’autres devront patienter jusqu’en 2026 pour pouvoir y accéder..tandis que la grogne monte en face, chez les voisins, en Algérie pour l'incapacité d'en procurer, insultant, en parallèle, le temps de pisseurs de l'armée.
     
                                  Boukharouba                                                  Tebboune
                       
                                               Le sort de l'Algérie contre le Maroc
     
    Les BRICS n’en veulent pas de l'Algérie...l’Algérie est recalée, si elle était un pays normal, son président aurait immédiatement remis sa démission après la gifle retentissante que viennent de lui infliger les BRICS. Rappelons que l’improbable Tebboune avait annoncé -urbi et orbi- que l’Algérie allait bientôt intégrer ce club qui a vocation à représenter le «Global Sud», soit les pays non occidentaux qui entendent contester l’hégémonie des États-Unis, de l’Europe et de leurs alliés. À en croire l’homme, c’était chose faite. Il allait bientôt poser sur la photo avec Xi Jinping, avec Poutine etc. Il se voyait déjà en haut de l’affiche.
     
    N’était-il pas allé plaider sa cause à Moscou et à Pékin? Dans cette ville, il avait d’ailleurs débité une Tebbounerie, encore plus bête que d’habitude: «L’Algérie est à l’Afrique ce que la Chine est au monde.» Que signifie cette phrase? Personne n’a compris, son auteur non plus. Et puis, par habitude, par atavisme, parce qu’il croit que tout se règle en jetant sur la table un chèque tiré sur la rente pétrolière, il a promis un -milliard et demi de dollars- si on le laissait entrer et s'assoir avec les présidents du Brics.
     
    Brahim R'khiss ('persona non grata') à Juhannisburg, interdit d'accéder à la salle de conférence pendant les trois jours du sommet BRICS? C'est à la fin de réunions des BRISC que l'Algérie  réussissait à le mettre en relief pour poser en tant qu'-élément banni par tous- mais présent pour rien parmi d'autres, ce qui prouverait l'éveil de la conscience des pays BRICS, face aux jeux de jonglage et de tables Algéro-Sud Africain en la circonstance. A propos, aprés avoir rejetée l'adhésion de l'Algérie au BRICS, Mr.Sergueï Lavrov, ministre Russe aux affaires étrangères, et opère spirituel de l'Algérie, parlait en homme d'Etat conscient dans une interview, giflant le président d'Alger, lui disant que: Les pays ayant une position internationale, nous les avons admis au groupe BRICS».
     
    On vient d’apprendre en fait, que l’Iran, l’Argentine, l’Egypte, l’Ethiopie, l’Arabie saoudite et les Émirats vont rejoindre le groupe, dès janvier 2024. Selon des observateurs avertis, l'Algérie, ne remplissant aucune condition favorable aux BRICS, elle ne fait pas économiquement leur poids, étant qu'elle n’exporte rien, à part le gaz et le pétrole – et qu’elle ne représente pas grand-chose sur le plan géopolitique des grands. Un pouvoir de nuisance, et rien que ça, ça ne fait pas un grand pays, ni même un pays émergent. Toute sa diplomatie consiste à mener la vie ennuyée, à ses voisins, dont le Maroc.
     
    Le pire, c’est que l'ami de l'Algérie, le président sud-africain Cyril Ramaphosa, son complice des mauvais coups fomentés contre le Maroc, a souhaité la bienvenue au Brics, aux six nouveaux membres, à compter de janvier 2024, regrettant le -non à l'Algérie-, qui selon les experts ne dispose pas de potentialités, économique ou culturelle, lui permettant d'adhérer au BRICS, puisqu'elle n'est capable que d'exporter, les pattes volailles, ne possédant rien d'autre.
     
    En perspective, si l’Algérie était un pays normal, son président aurait immédiatement remis sa démission… Mais non. Gageons qu’il va expliquer sa déconvenue et son humiliation par le bobard habituel criant, entre autres : «C’est la faute des autres! La France, le Maroc, les Kabyles, les Juifs, les francs-maçons ont comploté pour que les BRICS lui disent non!» hissant, en répétition, comme toujours le slogan brisé «avec la Palestine qu'elle soit injuste ou opprimée».  C'est l'un des acquis qu'offrait à l'Algérie le clan interne dit «le Novembriste», en l'emmenant à l'enfer, selon l'expression de l'ex-ministre Algérien, le Kabyle Noureddine Boukrouh dans une nouvelle de ses sorties médiatiques, qu'il en a l'habitude de faire pour alerter ou redresser, s'il y en a l'oreille qui l'écoutait en Algérie.
     
    En tout état de cause, le BRICS a confirmé sa vitalité et le rôle proéminent de la Chine. La logique commerciale l’a emporté, parait-il sur la logique politique et sur le bavardage polisalgérien contre le Maroc. Les bourdes de la diplomatie Algérienne n’ont pas permis aux pays de l'Afrique du nord d’être présents. Au Maroc de faire étalage de ses atouts et de renforcer davantage ses liens avec ce groupement. Le Maroc qui connaissait la haine et l’hostilité de l’organisateur, s'est vite acquitté d'avance du BRICS à cause de toute position, éventuellement néfaste qui pourrait y avoir de la part de l'Afrique du sud en l'objet. Enfin de compte, l'Algérie perdait son adhésion aux BRICS et remporte que la photo de (Ben Battoush) au sommet «BRICS de Cyril Ramaphosa».
     
    Ce Royaume qu'on déteste. Le mariage de la culture et de la politique n’est pas souhaitable. Nous le savons bien, nous qui, au Maroc, avons dû lutter contre l'idéologie de terrorisme qui tentait de s’imposer partout au Monde. La bonne santé d’une société sereine et crédible se mesure en grande partie aux différentes formes de comportement qu’on y pratique, à la valorisation d’une expression artistique dépouillée de toute influence d'idéologie violente. Mais peut-on pour autant, tout dire et tout faire au nom de la paix, de la cohérence et de la culture?
     
    C’est une question qui se pose à l’heure, où le désordre gagne du terrain. La culture d'«attention, réveillez-vous» ne tolère aucune entorse au principe de justice, de respect et d’équité entre races et sexes, quitte à laver plus blanc que blanc en aspect de paroles d'homme et de voisinage. Au Maroc, ce débat se fait de plus en plus récurrent depuis qu’une vigie 2.0 s’est organisée sur la Toile pour traquer les écarts de langage et de comportement portant atteinte à l’image du Maroc, sa culture, son intégrité territoriale, ses valeurs sacrées, son histoire et ses habitants.
     
    La culture réveillée», à l'Américaine est passée par là, éveillant les consciences sur les mécanismes de pensée issus principalement de la colonisation, à travers lesquels certains se dénigrent et se permettent de nous dénigre
     
    Depuis que les expressions  Regragui «Dirou Niya-Dirou Nefss» sont devenues la tendance,  en a fait le leitmotiv de la Coupe du monde au Qatar, il est grand temps que « tendances o» reprennent du galon. Pourquoi continuer d’accepter sans réagir que les femmes de ce pays se fassent traiter impunément de sorcières et de autres choses déshonorantes sans réagir?  La normalisation avec Israël s'est banalisée, ces derniers temps. Plusieurs pays hostiles à Israël sont rentrés dans le rang sous l'impulsion des États-Unis. Leur nombre s'en va grandissant depuis la normalisation du Maroc avec l'État hébreu. Et en parallèle, plusieurs pays sont sur la liste d'attente dont l'Algérie, selon des médias et des observateurs qui, avale péniblement sa salive que pour normaliser avec le pays Hébreux.
     
    Mais pourquoi les Algériens, les gouvernants, je veux dire, se croient-ils en leur convoitise mensongère? L'Algérie déprime malgré ses indéniables atouts et ses réussites certaines, mis en lumière par «The Economist».D’où vient cette illusion du malheur. Les Algériens persistent à figurer parmi les peuples les plus pessimistes de la planète, croyant avec frivolité que l'herbe était plus verte que le normal chez eux? Au moment où le Maroc gagne des point en avant, l'Algérie s'enfonce dans les futilités, dernière en date : le trafic des lentilles et haricots blancs devient une affaire d’Etat en Algérie. Le régime algérien, qui a isolé le pays du reste du monde, n’en finit pas d’essuyer des échecs sur la scène diplomatique.
     
    Après la gifle du groupe BRICS qui a rejeté en bloc la candidature d’Alger, les militaires au pouvoir voient d’un mauvais œil la normalisation, de plus en plus imminente entre, d’une part, la Tunisie et la Mauritanie, et d’autre part, Israël. Pendant ce temps, Tebboune déploie toutes ses forces pour combattre les trafiquants de lentilles et de haricots blancs.
     
    L'Algérie ! Ce pays riche en contradictions est convoité par de grands cons. Il est au centre des enjeux géopolitiques et de rivalité des puissances (USA-France-Russie et Chine) qui «se battent» sous table, pour le mettre sous leurs tutelles. Même si ce pays contribue, certes grandement, aux conneries étatiques, en fournissant des matières premières de grincement de dents, ne se comptant pas dans la balance des prises de décisions. Lors du dernier sommet des BRICS, les dirigeants de ce groupe, notamment Vladimir Poutine, ont plaidé pour une place, plus importante, aux pays de poids économiques et de crédibilité politique dans les institutions internationales, ce qui n'est pas le cas de l'Algérie actuelle, errent à tort et à travers, sans boussole aucune pour se situer en bonne position d'honorabilité. C’est l'ère de la Tebbounerie et de la -force de frappe- en urinaire militaire.Bonne continuation.
                                                                             Cordialement,Chihab25
     
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    ¹.-l'guass-, c'est une partie inférieure de poitrine, entre les pattes d'avant de chèvre ou de mouton, bien engraissée et délicieuse, sur laquelle se repose l'animal.