Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Maroc-Algérie : Quelle bonté attendrons-nous de l'ingratitude Algérienne ?

                                                                                          drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                                                              Tebboune avoue son illégitimité

    Tout d'abord : La crédibilité diplomatique silencieuse du Maroc prend constamment, de l'épaisseur, ce qui n'est pas le cas de la diplomatie d'autruche de l'autre côté, les (Klaghli) ce qui veut dire, les métis turco-algériens) ou tout simplement «les Algériens du nez, les descendants des ex-serviteurs de l'État Ottomane d'autrefois» et ce grâce à l'efficacité de la diplomatie Royale, animée par le ministre-faucon Mr.Nacer Bourita, le locataire de mérite du siège de département ministériel sis au 7 rue, Franklin-Roosevelt à Rabat, prouvant en veilleuse continue, la défectuosité de la thèse Algérienne anti-nationale et la démolition des remparts -Polisalgériens-, devenant «le Cheval  de troie noir» de toute autre diplomatie ennemie, hostile au Royaume.Tenant au viseur vigilant la posture officielle Algérienne , qui est elle-même imbibée d’ambivalence,contre les intêrets du Maroc

    La malédiction divine plane toujours sur le régime Algérien depuis l'ère Boukharouba à celui de Tebboune. L’état de santé de celui-ci suscite de vives inquiétudes au sein du régime Algérien. A l'âge  de vieillard ayant souffert de complications sévères du (covid-19) ses capacités physiques et son aptitude à gouverner sont sujettes à plusieurs questions alors qu’il envisage de se présenter pour un deuxième mandat en 2024.

    D'autant plus, en un temps record, une pluie de punitions et de retrait de reconnaissance en casquettes du mirage Polisalgérien tombe, au fur et à mesure، aux champs des pays de la raison. Les plus indisciplinés, largement devant les autres partis crédibles, sont les mini-Etats corrompus du tiers monde qui se sont emportés par l'odeur du pétrodollar Algérien. Côtoyant la déviation de diplomatie et de crédibilité, le Togolais (Edem Kodjo), ancien Secrétaire général de l’OUA (devenue UA) qui jouait le rôle d'enfant au profit du mal Algérien dans le conflit Maroco-Algerien autour du Sahara Marocain.

    Via un chèque à blanc, endossable, ce haut représentant corrompu d'Afrique a soutenu thèse et cadence Algériennes en réservant, vachement, siège et présence, au bâtard d'Alger (Rasd) à l'OUA, contrairement à la vocation internationale, dont l'objectif était de garantir, paix et développement en Afrique par le renforcement de son Unité, ce qui poussa le Maroc, alors, à claquer la porte, sortant de cette entité régionale, censée être honnête, loin de toute sorte de corruption diplomatique à haute échelle.

    La énième sortie du régime de disgrâce et l'ignominie est que l'Algérie, qui son âge réel ne dépasse pas soixante ans, renouvelle son soutien au parlement Européen, qui a bouleversé toutes les normes de la crédibilité diplomatique au comble de l'arrogance et le gonflage du ballon militaire Algérien, "déjà percé et déchiré". La presse jaune d'hygiène d'Alger affirmait que Tebboune réitère son soutien indéfectible à ce qu'elle appelle "le peuple Sahraoui de Tindouf", garantissant ainsi la continuité d'un héritage amer de Boukharouba que la malédiction divine soit toujours sur sa tombe. 

    Ce que je crois : Je suis un libre de bonne foi, respectueux à l’être humain, sauf à la sale race d'à côté. Je sais où s’arrête ma liberté d'expression, tout en préservant ma devise, celle de tout Marocain Royaliste : "Allah Lwatane AlMalik". Ne considérant pas de respect à la sale devise coloniale Française «liberté-fraternité-égalité» derrière laquelle certains Franco-Algériens se cachent pour y boire de la saleté de la seine sans s’arrêter là où commence la dignité des autres.

    A force de s’accrocher à une seule constante, en l’occurrence tenter de contenir le Maroc, le régime algérien a non seulement atteint une aporie politique dans le sens que sa démarche arrive à la limite du rationnel, mais aussi amorce un processus de sabordage d’un Etat préfabriqué par la France depuis Charles 10 jusqu’à De Gaulle.

    En effet, l’attitude plus que hargneuse de la junte militaire avec sa façade civile n’a jamais cessé d’animer les esprits dans les alcôves d’Alger. La seule différence, néanmoins, demeure tout simplement une question de style et de manière : à titre d’exemple, les dirigeants algériens jusqu’à Bouteflika avaient gardé, force est de le reconnaitre, une éducation et classe, probablement empruntées durant leur séjour dans les cités Marocaines de Nador et d'Oujda.

    Ce n'est pas notre guerre à nous autres Marocains, nous le disions "haut et fort". C'est au peuple Algérien d'exprimer sans nuances ses mécontentements, étant  qu'on ne peut plus supporter la cherté de vie. La réalité en expliquera que les sales bottes du pouvoir d'Alger sont responsables du pouvoir d'achat du simple Algérien rabougri.

    Quand Tebboune et son entourage rendent responsable la France de la mauvaise situation sociale de son pays. Au palais d'AlMouradia, on juge, certes, attribuer en déficits politiques les conséquences des conflits artificiels «Avec un Royaume fort Le Maroc. Ainsi les relations entre Alger et Rabat ont atteint le niveau zéro depuis les gifles de la guerre des sables d'octobre 1963? Et depuis, la presse jaune d'Alger ne cessent d'interpréter ainsi les esclandres entre les deux pays provoqué par la défaite Algéro-Egyptienne de 1963 contre le Maroc…

    Une agence poubelle..L'APS, l'Agence d'information officielle Algérienne publie ponctuellement des dépêches de rare violence verbale contre la grandeur du Maroc dont les titres laissaient peu de place à la nuance : «Cette Agence poubelle» qui supervise l'audiovisuel extérieur de l'Algérie, n'arrête pas de déverser sa haine sur le Maroc et ça continue davantage, aujourd'hui et demain activant en parallèle, les relais corrompus dont dispose l'Algérie en soutien contre le Maroc. 

    Elle applaudit aveuglement à beaucoup de bla-bla et le peu de crédibilité de ses acolytes, en exemple : Pourquoi l’Afrique du Sud, nous casse-t-elle les pieds?  Les Sud-Africains nient le testament de gratitude de Mandela envers le Maroc, comme les Algériens l'ont fait contre la gratitude de Mohamed Kheider, Hocine Ait Ahmed et de Mohamed Boudiaf. Ils ne savent rien de notre Maroc et de l'ancestralité de sa Royauté, rien de son histoire, de sa culture et de ses institutions…

    Mais il est bien commode et évident, que ce pays, sous la conduite malveillante du trio du mal Jacob Zuma, sa femme Dlamini et Cyril Ramaphosa se bataille, vainement que pour du dollar, sans pour autant préserver la valeur de l'ANC d'autrefois et cacher le pipi du chat qui l'entache, tambour battant, contrairement à ce témoignage bibrant de Mr.Pierre Péan, le journaliste d'enquête et essayiste Français, donne son point de vue exaltant. Il a publié il y a quelques années une biographie de Jacques Chirac intitulée «L’inconnu de l’Elysée».

    Je livre ci-après au lectorat le passage le plus intéressant pour nous autres Marocains (pages 8/9),  sachant qu'il est plus clair que non seulement Sa Majesté le Roi génie, feu Hassan II aidait l’ANC dès le départ, sur ses deniers personnels, mais il avait choisi un jeune ministre français, Jacques Chirac, pour constituer un réseau international pour soutenir l’ANC qui, depuis quatre décennies et plus, ne cesse de nous pourrir le quotidien!.

    Début citation : «Bien des années plus tard, Chirac me disait tout : - J’ai été militant de l’ANC de Mandela depuis la fin des années 60 (…). J’ai été approché par Hassan II, le Roi du Maroc, pour aider au financement de l’ANC. Il l’a soutenu dès le départ. Le souverain, qui avait une fortune personnelle importante. Il avait même constitué un réseau de gens  pour venir en aide morale aux noirs sud-Africains contre l'appartheide.

    En Afrique du Sud, ce sont les blancs qui dominaient l’industrie, les affaires et la finance. Les noirs de l’ANC devraient donc s’occuper du reste, c’est-à-dire gérer le secteur public qui leur en procurait les moyens, de s'enrichir illicitement et faire du bla-bla en politique, quelle soit à l'intérieur du pays ou à l'extérieur. C'est ce qui touche, énormement, la générosité Marocaine. Mais ils sont incompétents, sauf de se jeter, inconsciemment, dans les couloirs sombres de la propagande Algérienne anti-Maroc et gagner, sans peine aucune, des offrandes du pétrodollar Algerien.Ils n’arrivaient non plus à assurer l’ordre public.

    On est aujourd'hui dans le pays de Nelson Mandela et de Abdelkrim El Khatib (...) devenu le pays, le plus violent d’Afrique et le plus corrompu, où tout est capable de tout, de dérober, ou de s'embarrasser de quoi que ce soit. Alors, ses dirigeants se réfugaient dans une rhétorique soi-disant "révolutionnaire" pour masquer leur impéritie. Ça ne leur coûte rien de publier, gratuitement, des communiqués et des résolutions sur tout vent et sur n’importe quoi! -fin de citation.

    Malgré toutes les allégations provocatrices Algériennes contre le Maroc, la réaction de nos intellectuels Marocains, aujourd’hui sur le net reste insuffisante, malgré qu'elle est souvent constituée d’initiatives libres et personnelles. Ce sont des professeurs, chercheurs, juristes ou économistes et des individualités de la société civile, tous patriotes, attachés à leur pays, à sa Monarchie ancestrale et à ses Institutions, mâchant de manière, modestement décente, leurs critiques et appels aux caporaux-fr d'Alger de revenir à la raison.

    Par contre, l’avènement du binôme «Chengriha-Tebboune» à la tête de l’Algérie en 2019 a ouvert, encore plus, les vannes de cette haine «énigmatique», mais bien structurelle, contre le Maroc. Une déferlante qui a submergé leurs médias officiels et les réseaux sociaux d'Algérie, pour atteindre des seuils inédits dans la malveillance. Cette haine est, en vrai, à la hauteur de la valeur pourrie, de la déception et de la douleur de la junte.

    Alors que le Royaume enregistre des percées irréversibles sur l'authenticité réelle de son Sahara atlantique, par contre le régime Algérien se contente de minimiser les acquis et réalisations diplomatiques du Royaume sur la scène internationale. Une question saluée comme le "messie" par la presse jaune du régime se pose actuellement en Algérie : «Qu’est-ce qu’a bien fait Ahmed Khattaf, ministre aux mensongères, appelé en rescousse pour redresser la barre fissurée de la diplomatie algérienne en perdition à cause de l'incapacité diplomatique de  ses jongleurs?».

    Depuis que ce Khattaf est en poste, deux pays Européens majeurs ont reconnu la prééminence du plan d’autonomie, proposé par le Royaume en 2007, pour régler le différend qui oppose Alger à Rabat. L’Allemagne a cité pour la première fois le plan d’autonomie et l’Espagne a fait un choix historique, attaqué localement de tout bord, qui reconnaît l’autonomie comme l’unique base pour trouver une solution à ce problème qui hante, tragiquement la diplomatie Algérienne, nonobstant surtout, avec le nombre de consulats ouverts par plusieurs pays étrangers à Laâyoune et à Dakhla…

    Au vrai, la diplomatie Algérienne a enregistré ses pires échecs depuis le rappel de Lahmamra et de son remplaçant de secours Ahmed Khattaf, cela étant la réalité, et quand on la saisit, on comprend la rage, l’hystérie et les excès qui sont devenus le pain quotidien de la junte d'Alger. Plusieurs observateurs internationaux déplorent que la détestation du Maroc par l'Algérie soit devenue l’exclusive «grille de lecture» du monde, et que depuis la confiscation de l'Algérie par ce duo octogénaires, il y a eu une radicalisation de propagande anti-crédibilité.

    Récapitulation concluante : Tous les médias Algériens, y compris ceux qui se présentent comme indépendants, sont mobilisés dans cette guerre de frivolité à "l'Algérienne". Et il ne se passe pas un seul jour sans qu’ils n’insultent le Maroc et ses symboles. En face, quelques internautes Marocains réagissaient, mais ils sont peu nombreux. Pour ne pas insulter l’avenir, le Maroc officiel a toujours privilégié la retenue et refusé de répondre aux provocations d'une junte perdant toutes les boussoles de la raison.

    Illustrant cette diversité des profils et prouvant l’autonomie des démarches, ce petit nombre de youtubeurs Marocains usent parfois d’un langage mordant! mais cela resterait, de bonne guerre, quand on écoute les insanités proférées en face! étant que cela ne correspond pas aux attentes du public Marocain. Réactifs et vigilants, ils suivent l’actualité du régime Algérien et ses cascades de décisions irrationnelles. Ils en décortiquent tous les travers avec souvent ironie et humour. Ils sont aussi dans l’analyse sémiologique des images anachroniques que renvoie cette Algérie souffrante et brimée. Finalement, ils ne font que puiser dans le «grand bêtisier» de cette Algérie triste et morose, marquée par les violations de tous les droits de ses concitoyens.

    Par contre, les youtubeurs embrigadés par les renseignements Algériens sont dans la récitation d’une langue de bois usée. Leurs vidéos sont vides et insignifiantes. Ils sont à court de sujets par rapport à notre actualité. Celle d’un pays concentré, paisiblement, sur sa dynamique de développement et ses chantiers. Alors ils compensent en créant des fictions… Pour toujours aboutir au racisme, à l’insulte et à la vulgarité. C’est leur zone de confort. Ils ne savent faire que ça!

    Bien souvent, ces youtubeurs-dz et autres moucherons sont mobilisés en masse pour accompagner les coups tordus et des provocations de la junte. Mais leurs campagnes se dégonflent toujours. Comme lors de cet assaut sur Melilia, où la main d’Alger a été fortement identifiée, mais dont les suites ont abouti, à la grande amertume des généraux, à plus de synergie entre l’Europe et le Maroc pour la gestion de la question migratoire.

    Enfin, il faut souligner que les youtubeurs Algériens, soi-disant : «opposants» à la junte –au-delà des divergences qu’on peut avoir avec certains d’entre eux qui font des sorties quotidiennes, voire pluriquotidiennes, d’anciens diplomates, militaires ou journalistes Algériens établis en Europe, comme (Mohamed Larbi Zitout, Hichem Aboud, Amir Dz, Anouar Malek, et d’autres encore), sont très suivies sur les réseaux sociaux par l’opinion publique Algérienne.

    Une opinion publique qui est d'ailleurs beaucoup plus proche et plus réceptive au discours de l’opposition, au ton libre et critique, qu’à celui du pouvoir et de ses acolytes, qui n’ont pas une once de crédibilité. Ces voix cassées se distinguent, en quelques sortes, par une certaine crédibilité, minimale, de leur démarche, le sérieux de leurs propos et font de grandes audiences. Ils participent efficacement à la mise à nu, aux yeux du peuple algérien, et aux yeux du monde, de cette dictature militaire en perte totale de repères.

    Et si on parle d'un autre volet. Généralement, à chaque mois d’août, commence les bonnes vacances. Ce n’est pas fréquent d’avoir à se réjouir en apprenant une nette amélioration dans certains domaines. D’abord, des informations dont on peut accepter : Le Président français Emmanuel Macron a fini par écrire à Sa Majesté une lettre amicale de félicitations pour la Fête du Trône. La semaine dernière, n’ayant pas eu d’information sur cette missive, qui n’a été rendue publique que dans l’après-midi de lundi 31 juillet, j’épinglais Macron pour son manque de courtoisie et de respect.

    Cette lettre a été bien reçue par les Marocains. Chacun l’interprète selon sa connaissance de «la crise franco-Marocaine». Pour moi, elle fait partie des bonnes nouvelles de Tahar Ben Jelloune. Est-ce à dire que les relations vont reprendre comme avant, que la France va faire un pas pour mieux reconnaître la Marocanité du Sahara? et d'ajouter, en parallèle, que Brigitte Macron, la prof et la maitresse de l'Elysée, est plus vieille que l'Algérie.Ce n'est pas moi qui le dit, puisqu'elle était de la rigolade d'un écrivain et chercheur Français..!

    Pourquoi dit-on cela? et quoi que ce soit, ne pourra m'éclipser la vue pour ne pas évoquer, en substance, cette réalité d'ingratitude Française, à la «Macronienne».  Macron est certainement en train de peser le pour et le contre, et force est de constater que la junte qui dirige l’Algérie ne cédera sur aucun point et continuera à culpabiliser la France éternellement. La preuve: "une strophe anti-française a été ajoutée au chant officiel de l'Algérie.   

    On comprend le président français qui ne veut pas heurter l’hypersensibilité du régime Algérien. Durant les manifestations en France contre la mort du jeune Nahel, des drapeaux Algériens ont été exhibés. La junte algérienne est connue capable de créer en France des troubles pour punir une politique qui pencherait du côté Marocain.

    En politique comme en diplomatie, rien n’est gratuit. Macron devrait juste se souvenir qu’il vaut mieux renforcer l’amitié franco-Marocaine que d’essayer d’être complaisant avec les caporaux de ses ancêtres de l'Algérie Française qui ont fait de la haine de la France et du Maroc une obsession et une valeur marchande. Le Maroc est une nation solide et stable. Son amitié avec la France est très ancienne et forte. Les relations entre les deux pays, même quand elles ont connu des difficultés, ont toujours fini par s’apaiser et reprendre leur niveau de qualité.

    Entre la France et le Maroc, il n’y a pas de «rente mémorielle», comme l’a dénoncé Macron à propos de la politique Algérienne vis-à-vis de la France. Nous n’avons pas de mémoire meurtrie et pleine de sang. Le protectorat a été un passage relativement «temporaire», même si les Français n’ont presque rien fait pour développer le Maroc entre 1912/1956.

    Reste que le Maroc ne nourrit aucune malveillance à l’égard de la France Gauloise. Ce qu’il cherche, c’est à être considéré à la hauteur de ce qu’il est devenu et respecté en tant que peuple et Monarchie. Il ne réclame pas de faveur, sauf de rappeler au lectorat le cas de déception du Marocain par la frivolité et la folie d'un voisinage imposé, naturellement, au Maroc par une géographie inclémente.

    Un proverbe Marocain, un peu borderline, dont la traduction approximative serait «inutile de jouer du clairon à l'arrière train du chameau», décrit parfaitement l'imperméabilité des caporaux-fr Algériens aux appels à la raison du Maroc et de beaucoup d'autres pays du monde. Un entêtement jusqu'au-boutiste qui témoigne de l'immense fébrilité d'un régime en décrépitude avancée.

    La succession des gouvernements mis en place par la junte militaire a, en effet, fini par ruiner un pays riche de ressources naturelles et de la stupeur flagrante de son peuple. La dernière trouvaille des caporaux et de leurs serviteurs sur les réseaux sociaux consiste à travestir l'histoire dans le but d'en fabriquer la leur!

    Une démarche improductive car l'histoire a une mémoire inaltérable par quiconque et surtout pas par les mouches électroniques Algériennes, aussi nombreuses soient-elles! Saviez-vous pourquoi cette acharnement Algérienne, tout simplement et je m'excuse du terme, parceque les soldats Marocains violemment  tabassé Chengriha durant sa capture en 1976, quelque part aux falaises du Sahara Marocain.Quand à Tebboune, il était encore vendeur de cacahuètes aux portes de cabarets à Bab-ElOued d'Alger. Bonne lecture.

                                                                               Cordialement,Chihab25