Hostilité au grand feu.. Je commence par une petite entrée concernant l'Espagne et le Maroc, dont les relations ne font que s'améliorer depuis le reconnaissance par Madrid de la Marocanité du Sahara. Une position qui est à l'origine, en parallèle, de la détérioration des relations Algéro-Espagnoles. Cependant, la confirmation de cette position du gouvernement de Pedro Sanchez n'est pas acceptée par tous les courants politiques Espagnols, surtout par certains opportunistes qu'ayant dégusté la saveur (amère) des offrandes du pétrodollar Algérien.
Pire encore, certains partis considèrent que Sanchez a satisfait les exigences Marocaines sans contrepartie. Cela ne prédit que du malheur pour les Espagnols, et forcément, certains finissent, dit-on!, par se produire. Sa notoriété dépasse bien des frontières et elle n'est bien rentable que pour le Maroc.(sic).
C'est le cas du parti d'extrême droite Vox qui reproche au gouvernement d'Espagne de se «coucher» devant le Maroc. Ce parti exige du Maroc la reconnaissance de la souveraineté de l'Espagne sur les enclaves Marocains de Sebta wa Melilia.
En effet, il demandait au gouvernement de défendre «l’intégrité territoriale de l’Espagne» et d’exiger du Maroc de reconnaitre, de son côté et de manière «explicite» l’Espagnolité de ces deux villes, faute de quoi, cela rendra le voisinage Maroco-Espagnol instable et plus palpitant que jamais.
Les opportunistes Espagnoles engagés par le lobby Algérien qui chassent dans les boues stagnantes, écument radios et plateaux-télé privés, pour s’exonérer de toute lâcheté, donnant leurs recettes miracles contre le Maroc. Mais ils ne sont pas audibles, étant qu'ils sont bannis par l'opinion publique locale et rejetés par les leurs qui, les prennent pour des idiots, obéissant à qui les engage pour y faire du bruit au profit des séparatiste Catalans, via la gêne d'autrui, voyageant au bout de l'enfer.
Sachant, pour mémoire, que l'Espagne de Mr.Pedro Sanchez reconnait, solennellement, la Marocanité du Sahara, soutenant, en substance, la demande Onusienne de recensement des assiégés de Tindouf, ce qui fait paniquer davantage la bande Algérienne et son Polisario.
Témoignage palpitant : Du côté inverse, la lâcheté géographique nous a imposé le voisinage, le plus lâche de la planète, de façon à ne pas s'attendre ni respect ni considération d'un pouvoir criminel qui, fait de son agenda,l'hostilité grandissante envers le Maroc, la liquidation physique des siens, surtout ses opposants qui le contredisent, à l'intérieur, comme à l'extérieur. Un témoignage, noir sur blanc, raconté par deux Français ayant vécu tout près des bourreaux et qui connaissaient bien les lieux et les aboutissements des crimes en Algérie.
Dans le livre «Le mal algérien» , co-écrit par deux Français..Jean-Louis Levet et Paul Tolila, les deux économistes ayant été en poste en Algérie durant plusieurs années, ne se contentaient pas de brosser un impitoyable tableau de la prédation exercée par les dirigeants militaires Algériens depuis 1962.
Ils l’inscrivent dans le cadre d’une histoire fabriquée destinée à légitimer la mise en coupe réglée de l'Algérie par une curieuse «alliance des coffre-fort des biens publics et des baïonnettes» formant un Système mafieux de gouvernance.
Ce document, met en évidence les racines de ce que ses auteurs définissent comme le plus «mal douloureux», un livre qui devrait être, lu et relu, par ceux qui continuent à voir l’Algérie et sa frivolité par des «yeux de Chimère», surtout par la gauche Française qui porte un regard négatif sur le Maroc, mettant en parallèle, ses genoux à terre dès qu’elle parle de l’Algérie
Les auteurs suivaient, pas à pas, la fabrication de la fausse histoire de l’Algérie dont son naufrage social dû à l’immense corruption-prédation opérée par les militaires, sidérés par l’ampleur des règlements de comptes entre les clans qui se disputent le pouvoir, se retournant, en colère, à la poursuite des activistes, les plus irréductibles des Kabyles et du mouvement Azawad au sud de l'Algérie pour les liquider, privant le mouvement Touaregs qui s'est révolté en 2012 pour réclamer son indépendance de l'Algérie, ce que refuse la junte, considérant que simple emploi de cette dénomination est séditieusement inacceptable.
L'Algérie et l'effet de casernes
Le terrorisme de l'Etat...Depuis 1991, l'État Français craint l'extension du conflit algérien en France mais aussi que les Français d'Algérie, laïcs ou religieux, soient la cible potentielle de groupes jihadistes.
-Le 21 septembre 1993, deux géomètres français, ont été assassinés à Sidi Bel Abbès par un groupe du GIA conduit par le borgne Algérien Mokhtat BelMokhtar.
-Le 24 octobre 1993, trois agents consulaires Français, deux époux et un collaborateurs sont enlevés à Alger mais mystérieusement libérés sans contrepartie.
-En décembre 1993, douze ouvriers croates ont été égorgés. Les auteurs ont séparé musulmans et chrétiens, pour ne tuer que ces derniers. Trois autres en réchappaient, grâce à la solidarité d'un ouvrier Bosniaque musulman qui les a avisés, si on croit le témoigneront des moines dans une lettre écrite révélée par le journal Français La Croix le 22 janvier 1994.
-Dans la nuit du 26/3/1996, un groupe de vingt individus se présentait aux portes du monastère. Ils pénétraient de force à l'intérieur et enlevèrent sept moines qui dormaient dans une autre pièce du monastère, échappaient aux ravisseurs.
-En 2010, irruption nocturne d'une bande armée, tuant un groupe de religieux de passage. Les ravisseurs repartaient avec sept moines, soit le nombre escompté et confirmé par les autorités locales.
Certains observateurs et journalistes suggèraient qu'il s'agit d'un faux enlèvement organisé par le DRS pour démontrer le sérieux de la menace islamiste et faire avaliser la politique de répression du gouvernement algérien, voire des services secrets Français pour monter l'opinion Française contre les islamistes de France. Aujourd'hui encore, l'identité des personnes ayant enlevé les moines reste incertaine pour le grand public en Algérie.
De même, et pendant plusieurs jours, il n'y avait pas de nouvelles officielles sur les moines, sauf un communiqué d'APS l'attribuait au Groupe islamique armé, du borgne et de son co-équipier Hassan Hattab assurant qu'ils sont sains et saufs. Il proposait un échange de prisonniers, usant d'une célèbre phrase : L'assassinat fait référence à la mort depuis1996.«Si vous libérez, nous libérerons…»
Les autorités algériennes cherchaient à cacher la disparition des corps. Pour entretenir l'illusion, elles lestent les cercueils des moines avec du sable. Mais l'obstination du moine trappiste a pu identifier les corps, ce qui permettait, alors, de découvrir la manœuvre. Les faits alimentent ainsi les doutes quant à la véracité de la thèse officielle du «crime islamiste» pour expliquer leur décès.
En raison de l'absence d'enquête judiciaire algérienne, les commanditaires de l'enlèvement des moines, leurs motivations ainsi que les causes et les circonstances réelles de leur assassinat demeurent mal connues à ce jour. La version officielle d'Alger impute toute la culpabilité au GIA. Mais des témoignages d'anciens agents des services secrets algériens, pointent le rôle des services secrets algériens dans l'enlèvement.
L'enquête de la justice Française montre également le rôle trouble des algériens dans cette affaire. Dans une vidéo, l'opposant Algérien Hicham Aboud s'explique, entre autre, sur le cas du président feu Mohamed Boudiaf. «Qui a tué Boudiaf et avec quel mobile?».
D'un autre volet loin de tout ça, une interrogation émise par François Soudan, le directeur de l'hebdomadaire -Jeune Afrique-, par laquelle, il se demandait : «à qui profite le crime?» Allusion aux dernières attaques de Hamas contre Israël et au droit de cette dernière à riposter sans limites? et je me suis dit pourquoi-pas émettre même interrogation à ce que trame le pouvoir d'Alger contre le Maroc depuis plus d'un demi-siècle!.
Sachant, qu'au point de vue académique, chaque conflit génère son lot d’horreurs érigées en douleurs et celui-là n’échappe pas à la fatalité. Il y a eu, depuis, la venue de cette Algérie au monde beaucoup d'harcèlement, voire beaucoup de provocations Algériennes contre le Royaume. Mais à chaque fois, le Royaume se met à la retenue, pour éviter les carnages, face au terrorisme d'Etat de l'Algérie qui s’est glissé dans toutes les failles et sillages de gouvernance.
Un sale régime qui enfante que des profiteurs de chaos, émergeant des ruines d'une révolution révolue avec ses conséquences, offrant aux lâches cartes blanches pour aveugler un peuple déjà myope d'arrogance extrême et de préjudice au mal. La rédaction du blog contrainte de clore par les phrases signifiantes qui suivent.
Des rebelles Touareg en pause
Peur de la peur... Je n'ai peur que de ceux qui ont peur, écrivait Victor Hugo dans Choses vues, j'ajouterai dans ce sens, en ce moment de panique et de désordre sévissant en Algérie:Une fraternité trompeuse et insoumise avec laquelle, on entend claquer des genoux d'Algériens, par peur de l'ogre Marocain». Sommes-nous stupides, fluides et suicidaires en voisinage et en générosité? je le pense point certes. Quant à eux Algériens, ils sont terrifiants, éradicateurs, avec leurs haine et hostilité et couteaux-tirés envers un Grand-Maroc».
Malgré qu'en géopolitique, il n’y a ni bon ni mauvais, ni méchant ni gentil, ni juste ni injuste; mais il y a des forts, des moins forts et des faibles. Et vaut mieux pour nous Marocains de ne point se trouver parmi les plus faibles. qui sont, en l'occurrence, que nos voisins de l'Est.
Nous enregistrons enfin avec regret le blocage politique et l'échec de la diplomatie d'arrogance Algérienne hostile au Maroc, nonobstant ce qu'on a vécue avec une Algérie instable depuis 1962, qui dresse un constat, sans appel, d’une relation gangrenée par les manœuvres fallacieux d'un pouvoir de lâches.
Le Royaume, pour se faire, analyse les différents moyens dont il se dispose, pour en faire face à la haine et l'hostilité Algériennes, renforçant, parallèlement, sa présence dans un monde mouvementé, en quête d'intérêts, où le pouvoir mafieux Algérien repose toujours sur l'ingratitude et le narratif anti-Marocain.
Alger a perdu toute influence au-delà de ses frontières du Sud. Au moment où des acteurs nouveaux entrent en jeu, et avec le rejet par le Mali de l’Accord d’Alger, l'Algérie devient instable avec le scénario de la création d’un État Touareg, ce contre quoi le pays a lutté pendant des décennies, hante la presse jaune de l’Algérie.
Influence Targuie...À sa signature, en 2015, l’Accord d’Alger avait été considéré comme une prouesse pour la diplomatie algérienne.Aujourd’hui, cet accord représente le signe le plus patent de l’échec de cette même diplomatie, qui patauge désormais dans les boues de son tabac à chiquer (chemma) et dans ses longues fils d'attente pour des futilités alimentaires.
D’après le pouvoir de transition à Bamako, l’Algérie prend cet accord comme un alibi qui lui permet de s’immiscer dans les affaires intérieures du Mali et également essaye d’imposer à sa guise une période de transition au pouvoir en place au Mali, tout en faisant pression sur ses dirigeants, en accueillant ses opposants, qui sont des personnalités accusées de terrorisme et de tentative de déstabilisation du Mali.
Le Mali a réagi avec fermeté, rappelant son ambassadeur à Alger, prélude d’une rupture des relations entre les deux pays.En toute logique, les dirigeants aux commandes au Mali, pays de surcroît non reconnu par une grande partie de la communauté internationale, ont eu tout intérêt à ménager leurs voisins, le temps de leur installation.
L’Algérie aurait donc eu tout intérêt à profiter de l’occasion, mais le régime au pouvoir s’est empressé de retourner contre lui l’équipe qui venait de s’installer. Résultat, explique un quotidien Marocain(Al Ahdath AlMaghribia), l’accord, à l’origine source de stabilité tout au long de ses frontières sud, grâce au cessez-le-feu prévu entre le Mouvement armé de l’Azawad et le pouvoir central au Mali, a sauté, et la parenthèse s’est refermée.Cette zone est donc devenue source de tensions et d’insécurité pour le pouvoir algérien.
Ces propos ne sauraient être tenus par les analystes de la racaille-armée algérienne à l’encontre de deux de leurs proches alliés, si la situation n’était pas aussi grave. Il est donc clair, l’Algérie n’arrive plus à s’assurer l’appui de ses alliés pour mener à terme ses stratégies dans la région, surtout contre le Maroc.
Tebboune vers le sort de Bouteflika
Peur de propagation...Tuer dans l’œuf toute tentative de créer un État Azawad par les Touareg, répartis entre l’Algérie, la Libye, le Mali et le Niger, a toujours fait partie de la «doctrine d’État» en Algérie.Le régime en place à Alger a toujours œuvré pour que ce scénario ne puisse jamais devenir réalité.
Or, ce scénario est aujourd’hui plus proche que jamais de se concrétiser.L’Algérie, qui a dépensé des milliards de dollars et des efforts diplomatiques intenses pour séparer le Maroc de son Sahara Marocain et créer un État fantoche dans ses provinces du Sud, paraît en passe de vivre ce cauchemar, celui du séparatisme.
Le 26 février, les autorités Maliennes ont annoncé leur rejet de cet accord de paix et de réconciliation, signé grâce à une intermédiation de leur voisin au Nord.D’après le pouvoir de transition à Bamako, l’Algérie prend cet accord comme un alibi qui lui permet de s’immiscer dans les affaires intérieures du Mali.
Alger a également essayé d’imposer une période de transition au pouvoir en place au Mali, tout en faisant pression sur ses dirigeants, en accueillant ses opposants, qui plus est des personnalités accusées de terrorisme et de tentative de déstabilisation du pays.
Le Mali a réagi avec fermeté, rappelant son ambassadeur à Alger, prélude d’une rupture des relations entre les deux pays. En toute logique, les dirigeants aux commandes au Mali, pays de surcroît non reconnu par une grande partie de la communauté internationale, ont eu tout intérêt à ménager leurs voisins, le temps de leur installation.
L’Algérie aurait donc eu tout intérêt à profiter de l’occasion, mais le régime au pouvoir s’est empressé de retourner contre lui l’équipe qui venait de s’installer. L’accord, à l’origine source de stabilité tout au long de ses frontières sud, grâce au cessez-le-feu prévu entre le Mouvement armé de l’Azawad et le pouvoir central au Mali, a sauté, et la parenthèse s’est refermée.
Cette zone est donc devenue source de tensions et d’insécurité pour le pouvoir algérien.Plus encore, après avoir également perdu le soutien du Niger, cette zone frontalière située dans ses frontières sud et connue pour abriter un large éventail de mouvements terroristes, menace aujourd’hui l’existence même de l’Algérie.Les raisons en sont non seulement la forte présence d’organisations terroristes, mais aussi l’entrée en jeu de nouveaux acteurs pour lesquels Alger ne représente aucun intérêt.
Une situation, qui pousse la junte militaire au pouvoir au palais d’Al Mouradia à évoquer, via sa presse jaune une situation malsaine, que Alger n’a pas d’autre alternative que de tenter de renouer avec Bamako, auquel cas, l’Algérie sera tenue de lâcher ses alliés que sont les rebelles Touareg, ce qui revient à déclencher une guerre que Mali s’est efforcée durant des décennies à éviter et repousser, tant qu'il est conscient du dangeret du conflit qui peut en découler pour sa stabilité.
Tuer dans l’œuf toute tentative de créer un État Azawad par les Touareg, répartis entre l’Algérie, la Libye, le Mali et le Niger, a toujours fait partie de la «doctrine d’État» en Algérie.Le régime en place à Alger a toujours œuvré pour que ce scénario ne puisse jamais devenir réalité. Or, ce scénario est aujourd’hui plus proche que jamais de se concrétiser. L’Algérie, qui a dépensé des milliards de dollars et des efforts diplomatiques intenses pour séparer le Maroc de son Sahara et créer un État fantoche dans ses provinces du Sud, paraît en passe de vivre ce cauchemar, celui du séparatisme.