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  • Malgré les abois de ceux d'à côté,le Royaume avance de facon indigérable par la junte-dz!).

                                                                                                                             drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                         
     
     
     
    L'art de fâcher...L’Algérie a l’art de se fâcher avec tout le monde. Mr.Emmanuel Dupuy, président de l’Institut prospective et sécurité en Europe (IPSE) et enseignant en géopolitique décrypte, dans une interview avec un site électronique Marocain les raisons de l’hostilité désormais ouverte de l’Algérie à l’égard du Maroc et récemment avec les Émirats arabes unis. Il y analyse également les origines des crises à répétition d’Alger avec les pays du Sahel, notamment avec le Mali et le Niger.
     
    Ce géo politologue français de renom, explique par le menu comment la politique étrangère d’Alger provoque des tensions avec nombre de ses voisins et de ses anciens partenaires.La crise, un temps latente, entre l’Algérie et les Émirats arabes unis éclate au grand jour, le président algérien Tebboune ayant notamment déclaré que «partout où il y a des conflits, l’argent de cet État est présent, au Mali, en Libye ou au Soudan».
     
    Que cherche donc le régime algérien à travers ces démonstrations d’hostilité avec tout le monde?.Répondant à une question sur les raison de rappeler que l’hostilité n’est pas nouvelle. Elle s’est récemment exprimée à travers les récents propos tenus par Tebboune, où il a parlé du péché d’orgueil des Émirats arabes unis (EAU) et précisément de leur président Mohamed ben Zayed. Mais il faut avoir à l’esprit que l’Algérie et les EAU sont en crise depuis 2020. Pourquoi cette date symbolique de 2020?
     
    C’est à ce moment que les Émirats, en plus du Bahreïn, du Maroc et du Soudan, ont signé les accords d’Abraham, accompagnant une normalisation avec l’État d’Israël et, joignant l’acte à la parole, les Émirats ont ouvert un consulat dans la ville de Laâyoune et anticipé, de facto, des investissements d’entreprises émiriennes.
     
    C’est l’une des principales récriminations du régime algérien.Dans les propos de Tebboune, il y a un contexte, notamment celui de la Palestine, où les Émirats arabes unis apparaissent comme les médiateurs et discutent avec celui que l’Algérie considère comme un agresseur.
     
    Dans sa constitution, l’Algérie ne reconnaît toujours pas le droit à Israël d’exister, se veut le défenseur absolu de la Palestine et reproche aux Émirats d’avoir un peu dérogé à ce soutien.On pourrait également ajouter les accusations de présence plus active des intérêts économiques et militaires des EAU au Sahel, avec une coopération militaire qui s’est établie depuis quatre ou cinq ans entre le Maroc et les Émirats.
     
    «L’Algérie n’en est pas à sa première crise diplomatique avec un certain nombre de ses partenaires historiques, que ce soit au sein de la Ligue arabe ou avec ses voisins.» .On précise aussi que l’Algérie n’en est pas à sa première crise diplomatique, que ce soit au sein de la Ligue arabe ou avec ses voisins. Elle s’est fâchée avec le Mali sur fond d’accueil non accepté par les autorités Maliennes de l’imam Dicko à Alger.
     
    Elle s’est également fâchée il y a quelques jours avec le Niger sur fond d’accusations d’expulsion de migrants, ce qui lui a valu la convocation de l’ambassadeur Algérien à Niamey.C’est la politique de voisinage et la politique étrangère algériennes de mensonges qui provoquent des tensions avec ses voisins Malien, Nigérien et toujours avec le Maroc, et il y a de cela quelques années avec le voisin libyen.
     
    Souvenons-nous quand le président Tebboune avait menacé d’intervenir militairement à l’intérieur du territoire Libyen si des troupes du maréchal Haftar se rapprochaient de la frontière. Il ne faut pas oublier non plus que l’Algérie s’est fâchée avec son voisin, le plus corrompu Tunisien pour les mêmes questions des frontières.En plus évidemment de l’animosité accélérée ou de la tension aggravée avec le Maroc depuis 2021, la rupture des relations diplomatiques aidant et l’interdiction du survol des appareils Marocains au-dessus de l'écurie Algérienne.
     
    Bref, de sa nature frivole, «l’Algérie a l’art de se fâcher avec tout le monde». On pourrait même ajouter qu’elle se fâche avec la France, ou plutôt que la France n’arrive pas à normaliser ses relations avec l’Algérie.Alger est dans une forme de tension très vive, rendue possible par les choix diplomatiques qui sont les siens, avec un rapprochement avec la Russie et des coopérations militaires avec l’Iran, avec des accusations de soutien de groupes politico-militaires et de fourniture de matériel militaire Iranien à  la racaille armée algérienne, dont on subodore et soupçonne qu’il pourrait être utilisé par des proxys Algériens, notamment le Polisalgérien.
     
    C’est d’ailleurs l’un des éléments dont les Émirats arabes unis accusaient en retour l’Algérie, en affirmant qu’elle soutenait ce mouvement qui met en péril la stabilité régionale, que ce soit au Sahara Marocain ou dans la partie occidentale de l’Afrique.Les accusations des Émirats, qui rejoignent celles d’un certain nombre de partenaires de la Ligue arabe, témoignent l'isolement diplomatique total de l'Algérie, au prorata de l’affaiblissement politique de son président-menteur Tebboune.
     
    «L’Algérie veut proposer un contreprojet en expliquant à un certain nombre de pays qu’il vaut mieux entrer dans son alliance excluante, plutôt que dans une autre alliance incluante ou inclusive. Le président algérien a exprimé son souhait d’établir un bloc économique nord-africain, mais sans le Maroc?. Un souhait exaltant rejeté par ses voisins, même si faibles et pauvres.Il faut le percevoir dans un contexte géopolitique plus large. 
     
    Sa Majesté le Roi a émis, en novembre dernier, une proposition de la création d’une nouvelle organisation visant à fédérer les 23 pays de la rive atlantique Africaine, une sorte d’africanisme atlantique dont la cohérence est évidente par rapport à l’émergence de la zone économique Sud-Sud.Il ne s’agissait pas de marginaliser l’Algérie, mais de fédérer des pays atlantiques, dont l’Algérie ne fait pas partie. Mais, de facto, l’Algérie s’en est offusquée et en a sans doute pris ombrage en se rapprochant d’une logique visant à devenir une puissance méditerranéenne, avec la mise en avant de ses possible coopérations avec le diable.
     
    C’est la raison pour laquelle la brouille avec le Niger perturbe sensiblement cette contre-narration voulant que l’Algérie et un certain nombre de pays de la profondeur Africaine ouvrent des cohérences.La zone Africano-Atlantique, telle qu’elle a été proposée par le Maroc, vise aussi à désenclaver les pays avec lesquels l’Algérie souhaitait développer des relations militaires et diplomatiques plus fortes, comme le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad. 
     
    Or, ce sont ces quatre pays qui se sont rendus à Marrakech en novembre dernier, validant l’idée que le projet géostratégique Marocain d’ampleur et particulièrement innovant allait évidemment désenclaver ces pays, en plus du gazoduc entre Lagos et Tanger, qui va les désenclaver sur le plan énergétique sûrement.Bref, l’Algérie exhume des cartons un vieux projet qu’elle a elle-même détruit. L’Union du Maghreb arabe, qui n’avait vu le jour qu’à travers le sommet de Marrakech de 1989, a été bloquée par les Algériens, qui n’en voulaient pas.
     
    Des opposants-carton-dz...Ô opposants algériens, à l'étranger et à l'intérieur, vous devez le savoir en orientant aujourd'hui votre peuple algérien vers la compréhension de la corruption qui s'opère sous le règne des généraux. Ce peuple n'est pas le peuple de Belmahidi, Didouche Mourad, Boudiaf et autres martyrs. Ce ne sont même pas les gens des années 60 et 70.
     
    Depuis le siècle dernier, ces gens du troisième millénaire sont ceux qui battent leurs mères et leurs pères pour leur prendre les quelques dinars. les groupes cibles auxquels nous devrons adresser nos propos ont changé, nous devons donc changer les contenus pour que ces ignorants les comprennent, mais l'affaire n'est pas facile...alors quelle est la solution ?
     
    La solution est de rééduquer à nouveau ces génération de dupes. Après avoir vu et entendu ce que l'opposant Anwar Malik a dit lorsqu'il a raconté l'incident de l'attaque dont il a été victime à Bruxelles, les experts qui suivent la chose Algérienne ont écrit des articles dans lesquels ils ont conclu certaines choses, notamment :«-Le peuple algérien n'est pas seulement un peuple en retard, ce qui signifie ignorance, pauvreté et maladie non.
     
    Non, il y a lieu plutôt d'être convaincus que le peuple est un peuple ignorant aux doigts bleus. Cette ignorance s'est enracinée en lui jusqu'à des signes de la sauvagerie et la primitivité commencent à apparaître en eux, et l'évidence est qu'ils ne comprennent plus ce qu'on leur dit, ni ce qui leur fait le plus de mal, empruntant, dès l'aube les files d'attente pour s'en procurer des futilités qui les préoccupent au quotidien!.
     
    «-Ce peuple a désormais besoin d'être extrait du stade de la sauvagerie jusqu'au stade de l'humanisation... J'ai réfléchi et repensé encore et encore au contenu de ce que nous entendons de l'opposition Algérienne à l'étranger, en particulier le célèbre ceux-là, ces contenus qui ne vont pas au-delà de la publication des scandales, de leur tyrannie et oppression, et suivant que la stupidité et l'ennui sur les questions intérieures et extérieures, tout en confirmant, que les dirigeants de l'Algérie ne sont pas des Algériens, ce sont simplement des «enfants nus de l’interdit» et d’ailleurs, le premier à leur avoir donné cette description fut l'opposant Algérien en exil à Londres Hisham Abboud qui interloquait le diable en lui disant, je cite  :«Après une longue réflexion, j’ai décidé de contribuer à accélérer le mouvement. Expulsion de l'autorité.
     
    Les militaires en Algérie et d'ailleurs je n'utilise jamais le mot « (le système) car tout système de gouvernement est un ensemble d'institutions choisies par le peuple et toutes se réunissent dans un système qui gouverne le pays.
    Cela n'existe pas en Algérie parce qu'en Algérie il y a une institution, qui est l'institution militaire, qui est le véritable dirigeant, donc j'utilise le mot (autorité sauvage) au lieu de (régime).
     
    Puisque l’Algérie a une  institution de caserne, nous ne pouvons pas l’appeler un régime. L’autorité au pouvoir là-bas n’est qu’une bande de sales bottes qui a usurpé le pouvoir et l’argent en Algérie et a dirigé tout cela contre le Peuple algérien, qu'il reste au pouvoir jusqu'au Jour de la Résurrection.» fin de citation.
     
    Premièrement : Comment le monde perçoit-il les opinions des dirigeants brutaux et barbares de l’Algérie ?. Parmi les signes clairement visibles qui montrent clairement la différence entre l'homme primitif et sauvage et l'homme civilisé avancé, nous mentionnons que le civilisé évolue dans le sens de la consolidation de l'humanité de l'homme en poussant dans le sens de la lutte contre les manifestations de primitivité et de sauvagerie.
     
    Nous n'entrerons pas dans la présentation d'exemples. du comportement des cabarets français auprès du peuple algérien afin de prouver la brutalité de la mafia militaire au pouvoir en Algérie, car l'opposition algérienne, que ce soit ici et là, a fait de grands efforts pour dénoncer le comportement des monstres qui règnent sur le peuple algérien.Elle a exposé les parties intimes parce que, d'une part, lez caporaux ne sont pas humains, et de l'autre, ils ne le seront jamais.
     
    Deuxièmement : l'opposition algérienne à l'étranger doit changer l'équation, passant de la dénonciation de l'autorité algérienne à la dénonciation de l'ignorance du peuple algérien : il ne fait aucun doute que l'adepte du travail L'opposition algérienne s'efforce de dénoncer les scandales de l'autorité illégitime qui dirige l'Algérie.
     
    Et cette opposition le fait dans la perception que cela fait partie de l'éducation du peuple algérien que celui qui le dirige ne mérite pas de lui être soumis, mais il faut se rebeller et se révolter contre eux aujourd'hui avant demain, et c'est - bien sûr - la logique sans ​rechercher de détail.Règlement de comptes à l'Algérienne :
     
    D'un autre côté, Tebboune se croyait vraiment un président légitime, du fait qu'il réagit et règle ses comptes avec ses concurrents aux pouvoir. Il vient tout juste de gifler Ramdane Lahmamra l'ex-diplomate de mensonges extérieurs. Rappelé tambour battant au ministère des Affaires étrangères en juillet 2021, que les médias algériens qualifiaient de «diplomate chevronné», a quitté son poste par la petite porte, il se retrouve aujourd’hui privé de son passeport diplomatique.
     
    Ce qui laisse croire qu’il est interdit de quitter l’Algérie, voire placé en état d'incarcération indirecte.Sachant que selon les règles de toute diplomatie, Ramdane Lahmamra, en tant qu’ancien ministre, comme d'autres, a le droit pour voyager à l’extérieur de l’Algérie, de se disposer d’un passeport-chiffon et d'en profiter de tous les privilèges que ce sésame confère à son porteur.Mais, quelque deux mois après son renvoi sans ménagement du gouvernement sur décision de Tebboune, qui voit en lui un potentiel rival présidentiel, Lahmamra peine à se faire délivrer ce document de voyage.
     
    Témoignage à volontier...L’ex-président de la république française de 2007 à 2012, Nicolas Sarkozy hausse le ton. Il a publié un nouveau livre intitulé «Le temps des combats», dans lequel il revient sur son mandat, tout en se projetant vers l’avenir.
    Il n’y cache pas l’affection qu’il a pour le Royaume, et son souverain. A travers la publication du nouveau tome de ses mémoires, le troisième, déjà dans les étals des libraires, Nicolas Sarkozy fait également sa rentrée sur la scène politique.
    Cela dit, d’entrée le ton est dit, il a souhaité «prendre le lecteur par la main, lui faire vivre ces années à l’Élysée comme s’il avait été à mes côtés tout au long de ces événements». Et de promener le lecteur d’anecdotes de ces années passées à l’Élysée.
     
    «-Le Maroc,«apparaît aujourd’hui comme un îlot de stabilité démocratique au sein d’un monde arabe traversé de multiples crises et divisions ». Tandis que sur la personnalité du Roi Mohamed VI : «C’est un Souverain éclairé. Il est un homme que je n’ai cessé d’admirer et de respecter. Il est un homme de large culture et d’une finesse intellectuelle éblouissante».-J'étais toujours surpris «par la profondeur de la vision et la magistrale réactivité du Souverain. Je l’avais trouvé imaginatif, mais je n’avais pas anticipé qu’il serait capable de décider si vite et surtout si fort !», écrira Sarkozy,en rappelant l'apport du Souverain à la nouvelle Constitution 2011 .
     
    -«On ne mesure pas assez en France la chance qu’a le Maroc d’avoir un Roi comme le Monarque Mohamed VI. Il est un rempart contre le fanatisme et les extrémistes. Il est l’un des rares dirigeants arabes sincèrement engagé dans le combat pour le développement d’une réelle vie démocratique dans son pays», a écrit l’ancien président français.
     
    -Pour ce qui est de la vision de la politique étrangère de la France et particulièrement celle de l’Afrique du Nord, On y va pas par quatre chemins: «J’ai toujours aimé le Maroc. Des trois nations d’Afrique du Nord, la Marocaine est celle qui nous est la plus proche». -«Le Maroc est un pays ami. C’est un égal de la France qui doit désormais être considéré comme tel», a poursuivi Nicolas Sarkozy en affirmant que le Royaume est devenu une grande puissance africaine. «Ses entrepreneurs, ses intellectuels, ses artistes, ses élites n’ont plus rien à envier aux nôtres ».
     
    N’est sans doute pas né celui qui voudra la leur faire perdre ! La France doit chérir cette relation privilégiée. Elle doit la préserver, car elle ne va pas de soi »Il a également abordé la question du tropisme Algérien d’Emmanuel Macron en ce moment. «Le président Macron n’a pas toujours su trouver les mots ou les gestes que les Marocains attendaient.fin de citation.
     
    Que le Maroc a «réussi son entrée dans le monde moderne sans brader son style de vie, ses traditions, son univers si particulier. Ce n’est pas aux Marocains que l’on a besoin d’expliquer l’importance de la sauvegarde d’une identité nationale », a-t-il affirmé.Dans cette rare prise de position aussi claire et explicite d’un président français, Nicolas Sarkozy a expliqué  son tropisme algérien lui procurera bien des déceptions. C’est sans doute un point de désaccord qui existe entre nous, a lâché M.Sarkozy.
     
    «Je ne crois pas qu’il nous faille multiplier les initiatives auprès des dirigeants algériens dont la représentativité à l’intérieur de leur pays est aussi faible que la popularité. Plus nous essaierons de bâtir une amitié artificielle plus ils la refuseront».
     
    Ils ont besoin d’un adversaire pour détourner l’attention de leur peuple de l’échec patent dans lequel ils ont plongé ce pays », a écrit l’ancien chef d’Etat avec une opinion qui rejoint celle exprimée par l’ancien ambassadeur français en Algérie Xavier Driencourt, un fin connaisseur de l’Algérie puisqu’il y a été affecté pour deux mandats. Et d’exhorter à ne «pas bâtir une amitié artificielle» avec l’Algérie, Nicolas Sarkozy a exprimé à la première personne:«Ces initiatives, dont je peux comprendre les raisons et qui partent d’un bon sentiment, sont à mes yeux vouées à l’échec.
     
    En outre, elles risquent de nous détourner du Maroc. Ce dernier est ulcéré de l’attitude de son voisin, qui lui a fermé ses frontières au nez depuis trente-deux ans!».«À ce jeu-là, nous risquons de tout perdre», a estimé le politicien en s’exprimant sur le jeu auquel Emmanuel Macron se livre en essayant de séduire l’Algérie.«Nous ne gagnerons pas la confiance de l’Algérie et perdrons celle du Maroc.
     
    C’est un pari dangereux, de surcroît condamné d’avance», a-t-il estimé. Sarkozy arrivera in fine par faire la leçon à Emmanuel Macron en parlant sans langue de bois sur le sujet du Sahara Marocain.« La France devrait maintenant prendre clairement position en faveur de la Marocanité du Sahara occidental et pourquoi pas l'autre Sahara Marocain oriental.Cette question est centrale pour les intérêts stratégiques du Maroc.
     
    Elle permettrait d’éviter une république sahraouie dont la solidité et la pérennité laissent tous les observateurs informés plus que perplexes. Savoir choisir ses amis, ne pas craindre d’encourir le courroux de ceux qui le sont moins, s’inscrire dans une perspective longue, s’appuyer sur l’histoire commune : telles devraient être les boussoles du président de la République.S’il est un domaine de la diplomatie française qui mériterait d’être revisité et amodié, c’est celui de notre engagement auprès de nos frères marocains ! », a écrit l’ancien chef d’Etat français.
     
    Passant en revue la lente dégradation des relations franco-marocaines (revenant à un parti pris algérien, constatée depuis la fin de son mandat depuis une décennie, Nicolas Sarkozy dira: « Cette situation est d’abord la conséquence de l’entêtement de mes deux successeurs à vouloir à tout prix surjouer et surinvestir la relation avec l’Algérie ».
     
    Il estime que tant que l’Algérie ne sera pas dotée d’un gouvernement réellement représentatif de la population «et pas seulement des factions qui dominent l’armée», la relation franco-algérienne demeurera une « impasse», en insistant avec pragmatisme: «Nous n’avons pas les moyens de prétendre être proches de tous les pays du monde. Une diplomatie efficiente impose de faire des choix. De mon point de vue, ils sont évidents».Bonne lecture.  

                                                  Cordialement,Chihab25