Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Algérie : En perte de vitesse, les perversions mensongères-dz ne résistent pas à l’épreuve du réel Marocain..!

                                                                                                                                                               drapeau-du-maroc-image-animee-0008  
                    
                                                                                                                                                                                                  Ben Q'riha, giflé par¹  : -الصحراء الغربية هي خلى الجزائر.
       

                                 

    Chute libre au fief Mandela (31/5/24) : Au cours des législatives en Afrique du sud...Cyril Ramaphosa et Jacob Zuma, ou encore plus la sorcière Dlamini Zuma, étaient la risée de leurs concitoyens, incapables d'éviter le naufrage de leur ANC. Pas l'ANC d'autrefois, de Nelson Mandela et son support Marocain Dr.Abdelkrim Lkhatib.

    Ces polisalgériens sont en chute libre et le paquebot "Prétorien" anti-Maroc a subi ainsi, un revers historique, et ca serait un autre démon de moins, aprés l'assassinat du Cheitane d'Iran Brahim Raissi, que la malédiction divine l'accompagnera à l'enfer..!

    Le Maroc est contraint malgré lui, de récolter les mauvais fruits de sa générosité et de ses bienfaits, sous peine de forclusion de : «Méfiez-vous du mal de celui à qui vous avez fait du bien»  «اتق شر من احسنت اليه», avec la volonté de déjouer les méfaits de nos frères-ennemis d'à côté !

    Chaque jour rapporte aux Algériens, de nouveaux scandales. dernier en date parvient de l'intelligence Algéroise sous les auspices de la bande des généraux d'Alger, un énième épisode d'humiliation leur a été offert, en utilisant les eaux usées et les déchets pétroliers  pour irriguer les légumineuses et y atténuer la soiffe en leur apaisant l'effet de faim en semoule, tout en minimisant la longueur de fils d'attente qui s'allonge ,de jour en jour aux rayons du soleil brûlant.

    En plus, le régime assoiffe les Algériens et la colère gronde et fait boule de feu!!.pendant que le régime d’Alger compte ses échecs politiques dans tous ses déserts, les habitants se soulèvent contre une dramatique pénurie d’eau dans presque tout le pays.  

    Cette folle, via  ses caporaux et son jeton rouillé, s'entête davantage, laissant son peuple bâtir ses fils d'attente interminables, nécessité obligé, pour s'en procurer, dans le meilleurs des cas du  poudre-lait, du semoule ou d'une bonbonne de gaz, dans un pays producteur de toutes les merdes, en plus du pétrole et du gaz, ce qui contribuerait à alimenter davantage, chez l'Algérien trop de jalousie et de haine contre tout ce qui est Marocain, provoquant que la méfiance, de part et d'autre et que la confiance mutuelle ne sera jamais rétablie.

    Et pourtant, il se voit bien,  que toutes les vérités se valent. Il n’y a pas de vérité plus importante qu’une autre. C'est la logique qui le dit. Nous Marocains, nous apprécions, volontairement, ce concept et nous l'acceptons de bon gré, étant que nous sommes mûrs et responsables. Mais la voisine de l'Est n’est pas de cet avis. Un simple exemple à ne pas négliger :

    Comment voulez-vous qu'on pourrait convaincre un homme de 50 ans qui est, né et vécu, toute son existence, dans une atmosphère amère, pleine d'ambiguïté et d'en croire à une fraternité éternelle avec une voisine complétement folle. Cette voisine est bel et bien cette Algérie qui a enfanté que des mouchards, ennuyeux qui, cassent la quiétude  et ébranlent le rythme de bon voisinage.

    Ce n'est pas nous seuls Marocains qui le disent, mais aussi d'autres voisins qui l'entourent, qui sentent en silence et amertume, avec mépris, évitant d'empirer les choses et de mouiller encore la pate avec une folle qui ne s'ennuierait pas de déchirer ses habits en plein public.

    Cela qui ne contribuerait, évidemment, qu'alimenter trop d'hurlement et d'abois à l'écurie, pour ne pas dire le sale palais d'ElMouradia d'Alger. En face la pression Marocaine et la négligence des frivolités Algériennes risquent d’êtres si intenses que les gouvernants-pisseurs n’ont pas assez de noms pour les baptiser.

                                                                                                                       -:-

     

    En toile de fond d'escroquerie...Dans la foulée de désordre qui régit en Algérie, le nombre d'escrocs et d'arnaques se multiplie davantage. En prend d'exemple une arnaqueuse qui a réussi à tromper l'entourage officiel Algérien en s'en prenant d'intelligente dans un monde Algérien inconscient..

    A la recherche d'une histoire, même truquée, Alger emprunte toutes pistes pour en écrire une à sa mesure. Dernière en date, elle se fait enroulée par une jeune femme escrocs, parait-il, se faisant passer comme : Jeune dame syro-algérienne née à Alger, mais ayant principalement vécu en Syrie, au Liban et aux États-Unis.

    Il s'agit d'une certaine -Karima Chami- qui a réussi, pendant des années, à se faire passer, pour la petite-fille de celui que la stupidité Algérienne l'appelle...(l’Emir Abdelkader).

    De son plein gré l'arnaqueuse précitée s'est dévoilée au grand jour, avant de s’auto-dénoncer, révélant tout le système de corruption qui l’a hissée au sommet de l’État algérien et les privilèges qu’elle a tirés de son faux statut. Un scandale qui en dit long sur la déliquescence d’un système prêt à tout avaler pour s’inventer une Histoire et des figures.

    A propos du soi-disant Jed'ha, "l'Emir Abdelkader", il n'était qu'un simple individu Marocain des campeurs dans la région de Fès. Il appartenait à un monde de jonglage, celui qui s'activait, comme à l'accoutumée, aux souks hebdomadaires .Cherchant d'utiliser son intelligence au bon, il se prenait en savant, en pieux avec du chantage pour gagner sa vie.

    Il était banni, voire rejeté par son propre milieu qui l'accusait d'abuser de la quiétude des siens, en le contraignant à migrer en terre de Dieu et ne trouva qu'un monde de dingues, en espaces éparpillés, chez qui il devint une personne respectable, quittant ainsi de l'ombre de -persona non grata- qu'on réserve souvent, aux personnes intruses. Il s'auto baptisait, unilatéralement, en «un Emir, issu de ce qu'il appelait en -Dynastie Chérifienne- voire d'une Grande Zaouia, de haute renommée, se trouvant quelque part au Maroc. 

    Brutalité et barbarie...Comment le monde perçoit-il, ainsi les opinions des dirigeants brutaux et barbares de l’Algérie?. Parmi les signes clairement visibles qui montrent clairement la différence entre l'homme sauvage et l'homme civilisé avancé, l'environnement vital nous prouve que le civilisé évolue dans le sens de la consolidation de son humanité, en poussant dans le sens de la lutte contre les manifestations et  sauvagerie, dont souffre actuellement l'Algérie d'aujourd’hui, ou plutôt, la force de frappe de Tebboune.

    L'une des entités qui est devenue internationalement célèbre, pour sa brutalité et sa falsification des principes de la raison est une entité appelée l'Algérie, une manière, dont elle le fera toujours, avec le ramassage d'excréments de ses défaites politiques et diplomatiques, surtout envers le Maroc.

    Nous n'entrerons pas dans la présentation d'exemples, ou d'effet de cabarets français sur le comportement malencontreux du pouvoir d'Alger afin de prouver la brutalité de sa mafia militaire qui le gouverne, car ceux de l'opposition-carton algérienne, que ce soit à l'intérieur de l'Algérie ou ailleurs, ont fait de moindres efforts pour dénoncer les caporaux qui règnent sur leur peuple.

    Ces sales bottes n'ont rien à voir avec le peuple, si j'ose dire qu'il y a vraiment un peuple Algérien vivant, ni avec ce monde de dupes dans lequel nous vivons en cet espace-bleu internaute!...C'est ainsi, je crois, que le monde perçoit les dirigeants algériens et les souffrances de leur peuple-troupeau avec eux...

    Dans le sens inverse, on ne cache pas, nous Marocains notre fierté de la crédibilité Monarchique, qui persiste et signe : «l'engagement total envers la moralité, les bonnes mœurs et les attributs d’une bonne réputation, et son souci de respecter l’honneur, la considération et la dignité qui caractérisent la personnalité Marocaine, en tant qu'authenticité particulière Marocaine d’une part, et en tant que «Royaume à grandiose lointaine» défendant les intérêts suprêmes des sujets de Sa Majesté le Roi d’autre part».

    L'opposition algérienne à l'étranger doit changer l'équation, passant de la dénonciation à l'ignorance du peuple Algérien opprimé : il ne fait aucun doute que l'adepte du travail de l'opposition algérienne s'efforce de dénoncer les scandales de l'autorité illégitime qui dirige l'Algérie, et le fait dans la perception, que cela fait partie de l'éducation du peuple, qu'il faut secouer à l'évidence, afin de se réveiller, se rebeller et se révolter, aujourd'hui avant demain, contre les sales bottes et c'est - bien sûr - la logique sans chercher de détails.

    L'historien Français africaniste -Mr.Bernard Lugan- ne s'est pas ennuyé, se réjouissant davantage de jouer à la fantaisie historique de l'Algérie et de son Polisalgérien. Il nous présente chaque fois dans ses chroniques, la réalité de l'Algérie et de son mélange, dit : "Sahraoui de Tindouf". Ethnographiquement, il n’existe pas de «peuple sahraoui» au sens donné par l’Algérie. Quant à l’existence d’un «État sahraoui», l’histoire n’en a pas davantage connaissance que même celle d’un «État algérien» avant le mois de juillet 1962…selon la conviction du général Charles De Gaulles, l'ex-président-faucon de France.

    Qui sont donc ces «Sahraouis» que créait, défendait et continuera encore davantage l'Algérie?...Forment-ils un peuple distinct du peuple Marocain?...Ont-ils, à un moment ou à un autre l’histoire d'un «État?».

    Au sens purement géographique, les «Sahraouis» sont tous les habitants, nomades, semi-nomades, sédentaires, citadins ou ruraux vivant dans l'immensité  du désert, s’étendant de l’Atlantique jusqu’à la mer Rouge. Tous ses habitants  sont donc des «Sahraouis» au bon sens du terme.

    Les sahraouis» sont les Maures de Mauritanie, les Touaregs d’Algérie, du Mali, du Niger, de Libye, les Toubou et les Zaghawa du Tchad, ou encore les Bedja du Soudan. Au Maroc, un habitant d’Ouarzazate, de Rissani, de Figuig ou de Zagora est «sahraoui», comme l’est également un Algérien de Biskra, un Libyen de Masrata ou encore un Malien de Tessalit.

    Partagé entre le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Libye, le Tchad, le Niger, le Mali et la Mauritanie, l'immense désert dit "Sahara" est donc peuplé par des populations de mélange, parfaitement identifiées, irréductibles les unes aux autres, et divisées en tribus elles-mêmes subdivisées en clans, et qui relèvent de nationalités différentes.

    Quant à celles des populations sahraouies vivant dans les «Sahara Marocains occidental et oriental», à savoir dans les régions Marocaines de la Saquia El Hamra et de l’Oued Eddahab, et le Grand Saoura spolié actuellement par l'Algérie, il serait illicite de les envisager comme formant un peuple autonome «sahraoui non Marocain».

    Elles se répartissent en effet en trois grandes populations-confédérations subdivisées en de nombreuses tribus, celle des Arabes Beni Maâkal, celle des Rguibat et celle des Tekna dans l'Oued None. Or, ces trois grands ensembles sont tous originaires du Maroc septentrional et ont des liens, ou même, sont directement apparentés à ses populations. La plupart des tribus de ces Sahara Marocains, ont en effet des attaches avec le reste du Maroc d’où sont originaires leurs ancêtres ou leurs fondateurs.

    Elles étaient tournées vers le Nord du Maroc, leurs immenses zones de transhumance s’étendant jusqu’à la basse Moulouya et à l’Anti-Atlas. Les tribus appartenant à ces trois grands groupes avaient des rapports d’allégeance avec les Sultans du Maroc.

    À noter également que toutes les composantes des tribus du Sahara Marocain, dit "occidental!" n’y vivent pas exclusivement. Certains Ouled Delim sont ainsi présents dans les régions de Marrakech, d’El Jadida, de Sidi Kacem et de Rabat où leurs ancêtres ont reçu des terres en échange de leur soutien militaire aux Sultans en règne.

    L’Algérie vit au rythme des affaires, dignes de scandales d’Etat. Celle qui se faisait passer de simple arnaqueuse,  a réussi à duper le centre de décideurs, de son entourage jusqu’au sommet du pouvoir Algérien.

    Malgré la Fausse vantardise...? Très peu savent que Chengriha est également supérieur dans d'autres domaines, comme la peur et l'anxiété. Pourquoi pas ? Les détails dont nous disposons indiquent que le général pisseur a peur de beaucoup de choses, y compris des foules.

    Il a hâte de se retrouver face à de grandes foules, car sa plus grande crainte est qu'une balle mortelle soit reçue. visant lui, le laissant couvert de sang, comme cela est arrivé à l'ancien président Boudiaf...

    Je termine, malgré moi, par une question insatisfaisante...«La continuité en ligne de la frivolité Algérienne contre la raison et de son entêtement contre l'ogre Marocain», contribue tragiquement à davantage de déchirures entre les peuples Marocain et Algérien..

    A mon avis, la junte militaire et les autorités en place sont interpellées à la nécessité d'instaurer des mesures pour se prévenir de futurs incidents, alors que les collisions diplomatiques, entre celle responsable du Royaume et celle des mensonges, "à l'algérienne", demeurent une préoccupation majeure pour toute l'Afrique du nord.

    La rédaction du blog ne chercherait pas -midi à 14h, on souhaiterait, seulement, une issue de voisinage normal pour se libérer de cette...«farce imposée!» qui entache, pas le côté Marocain, mais l’histoire de toute la région.

    Pourrait-il avoir des interlocuteurs "leadership" du genre de ceux qu’avait enfanté l'Algérie d'autrefois, comme Mohamed Boudiaf, Abdelhamid Mehri et Hocine Ait Ahmed..? Je  le pense pas, tant que cette entité est incapable de se libérer du foudre militaire, et dominée par une bande de caporaux-pisseurs.

    La plus vieille histoire sur le Royaume Chérifien du Maroc est une chronique latine couvrant les années 1208-1250, traduite en «français» à l’avènement de l’imprimerie. Visite guidée de certains des plus beaux trésors littéraires de la Banque Nationale Française sur le Maroc qui regorge de livres sur le Royaume du Maroc, édités entre 16 et 19ème siècle  

    Aujourd'hui, après l'assassinat du démon Iranien, le général Chengriha, il vit dans une peur constante, hanté par des cauchemars et se méfiant de tout ce qui l'entoure, de peur qu'à tout moment il ne se transforme d'un chasseur de personnes en un fugitif paniqué, poursuivi par des soldats  mains sur la gâchette pour le tuer à la manière dont fut liquidé, à l'aube chez lui, son commanditaire le maudit général Gaid Ahmed Salah.

    Quand la distance entre eux et lui est-elle devenue appropriée ? Alors, comment les Algériens peuvent-ils comprendre que le général qui leur a fait croire au pouvoir et à sa puissance, n'est qu'un être humain effrayé et terrifié par la nouvelle de l'assassinat d'un responsable dans l'un des coins les plus reculés du monde ? et considère cela comme un mauvais présage et gâche toute sa journée ?

    Comment pouvaient-ils comprendre que les domestiques de sa luxueuse maison, en particulier les femmes, étaient toujours prêts à fuir dans tous les sens lorsque le «grand» événement se produisait, au point que les baskets poussaient toujours la famille, espérant qu'elle s'enfuirait en du temps des gens qui voulaient tuer Chengriha, qui ont murmuré à ses proches qu'il sent que sa fin approche ?

    En fait, quand on est à l'aise, dans les bureaux climatisés, on se permettait de s'interroge : «Qui pousse à une autre guerre de sables?» Le discours fabriqué sur la possibilité d'une guerre entre le Maroc et l'Algérie est revenu, de manière passionnante, et certains groupes de réflexion d'excitation sont derrière cela, en promouvant cette hypothèse, comme le cas du rapport de l'israélien «Begin-Sadate». Centre d’études stratégiques publié fin avril 2024 à ce propos.

    Si cette guerre était probable en 2021, alors toutes les données actuelles excluent sa survenue en 2024, sauf en cas de guerre interne pour la consommation locale, à laquelle le général "Berri", l'inspecteur général des FAR serait entraîné dans cette guerre contre le gré du capo-général-pisseur à l'autre côté Algérien.

    Ainsi, la guerre, en tout état de cause, pourrait provoquer une confrontation plus globale dans la région, car les pays se connaissent et la défaite de la racaille Algérienne serait similaire à la guerre des sables de 1963.

    C’est pourquoi, du côté adverse, pas d'autres préoccupations outre que du bla-bla autour des légumineuses (Pois chiche-lentille-haricot) et d'inventions de fausses positions rigolades sur l'adhésion de la Palestine à l'ONU. Tebboune..le bras armé de la propagande du régime militaire, branle dans ce sens, distille et manipule à sa guise l’information, quitte à la déformer toute honte bue.

    «Ch'koun Dakhal Filistine?..h'na! - Ch'koun..Dakhal Yasser Aârafat?..h'na! -Ch'koun Aâtah lkalima?..h'na!»  

    Du côté Marocain on ne joue pas aux gros mots. On s’y prépare réellement à toute folie et aventure dans ce sens, par la conscription, la double vigilance, la modernisation des équipements militaires et l’intensification des efforts pour parer à toute éventualité, dont par «la 20ème édition African Lion 2024» démontrant que la détermination des décideurs-FAR, ne pourrait être négligée devant une voisine de mal, assoiffé de vengeance.

    En plus, Dans son livre (en dix questions, le joyau de précision) de l’historien Français Mr.Bernard Lugan,  jette de l'huile au feu, pas de phraséologie tortueuse ou superflue...des faits, des documents, des arguments limpides et implacables qui aveugleraient les myopes gouvernants d'Alger..!.

    Crise d'étouffement.. Tandis que l'Algérie cache sa réalité par le tamis. L'Algérie traverse une crise étouffante qu'elle n'a jamais connue auparavant et qui ravagera le régime des généraux, car tout indique que la politique des généraux traverse la pire crise depuis des décennies, et ce dans tous les domaines. sont rouges, et même un miracle ne peut sauver le général Chengriha et son régime.

    L'économie de l'Algérie est chancelante, et les chiffres réels disent que la croissance économique ne dépasse pas 2 pour cent, et les réserves de change ne peuvent couvrir qu'une période de 6 mois d'importations de biens et services, avec la baisse des investissements directs étrangers, et le pays est considéré comme le plus injuste d’Afrique, avec l'existence de liberté d'expression et la détérioration des droits de l’homme en général. 

    La misère touche tout le monde et le spectre de la guerre civile des années 1990 se profile à l’horizon lorsqu’il faut y regarder de plus près. Sur la scène politique générale algérienne avec tous ses reliefs et ses rides, car après trois décennies et demie de ce mal historique.

    Le régime militaire se retrouve cette fois directement face à une crise sans précédent, puisque son chef convoité est devenu le numéro un de la rue et du pays. à l'échelle de toutes les régions du pays, «un État civil et non un État militaire» n'est pas seulement un slogan politique passager,

    Depuis l'assassinat du démon iranien, Chengriha est devenu une personne constamment terrifiée et perturbée, passant la nuit dans des endroits différents, et perdant la cote, même auprès de ses supposés-proches collaborateurs...

    «Il craint, en parallèle, de mourir  comme son ex-parrain, le général Ahmed Gaid Saleh devenu très sévère, -dit-on en coulisses- voire très dangereux menaçant tous, qui a été assassiné par lui et ses co-équipiers caporaux pour y libérer et damer la voie au polichinelle et corrompre en son nom, au guise diabolique, les casernes et se servir de la volonté frélatée d'une racaille-armée».

    Une armée de "hitiste", la plus force dans la région, dit-on vachement au niveau local, stagne au flou, après avoir subi une flopée de critiques par les experts licaux, pour son rôle jugé très inéfficace face à l'ogre Marocain qui la dévorerai en cas d'aventure..

    Oui, c'est la conclusion à laquelle on peut arriver en regardant avec étonnement certains détails de son quotidien, qui est resté déterminé, à l'arrache pieds, pendant près de quatre ans à être le chef politique de l'État, perpétuel candidat à l'illusion au directoire, il en reste piqué-bredouille, aux portes de commande derrière un pion civil en chute libre !!. 

    Le Maroc dans l'histoire d'antan ...Le Maroc cité par le plus ancien livre. La plus ancienne chronique littéraire sur le Royaume du Maroc s’appelle «Annales des Frères mineurs» (2v-3t). Ecrite en latin, elle couvre presque toute l'histoire du Royaume, depuis les Idrisside à l’Alaouite. Elle mérite, vraiment des remords. 

    On y apprend dans des Chroniques que le détroit de Gibraltar était nommé à l'époque le «Détroit du Maroc». De même un autre livre, «Le grand routier, pilotage et encrage de mer», publié en 1579 à Paris, évoque cette appellation : «Trefalguar et le détroit du Maroc».

    À partir de 1600 et tout au long du grand siècle français, avec Louis XIV, une relation diplomatique assidue se noue entre la France et le Royaume du Maroc. 

    «Cette histoire est rare, car il y a peu de gens qui ont parlé des affaires du Royaume du Maroc durant le dernier siècle. Sa matière est ample et excellente, parce qu’elle comprend tout le succès (...) et fait le narré des actions des Dynasties et de leur solide établissement au Royaume du Maroc».

    Aux archives de la Banque Nationale Française, un constat s’impose au fil des siècles: le Royaume du Maroc a été perçu par les historiens, géographes, voyageurs et diplomates français comme un puissant État, au commerce florissant, aux terres arables, à l’armée orgueilleuse et à l’influence attestée dans le concert des grandes nations. Bonne lecture

                                                           Cordialement,Chihab25

     

                --------------------------------------------------------------------

    ¹5ème paragraphe de la note du 11/5/24 : Maroc-Algérie, après son échec de vouloir créer  son - 

    Des Algériens parlent vérité: visionner ces vidéos. -https://www.youtube.com/watch?v=q6qGfI2I95Y -https://www.youtube.com/watch?v=sQLdoC5kJzI).