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  • Algérie: L'obscurantisme politique,l'incertitude et la cocaïne font rage au sein du pouvoir d'Alger.

                                                                                                              drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                 الأبعاد النفسية لهوس الجزائر بالمغرب .. هزيمة "حرب الرمال" وعقيدة العداء

                                                    Chengriha pleure l'incapacité de venger les gifles qu'il a subi en 1976 à Amgala.(!) 

    Eliminer ses adverses d'abord...L’arrestation mi-juin de deux généraux et de trois colonels issus de la racaille-armée Algérienne une fois encore l’agonie d’un «Système» politique éclaté entre plusieurs clans militaires rivaux, qui se livrent une lutte à mort, amplifiée par la perspective de la prochaine mascarade présidentielle.

    L’Algérie doit tout à ses deux anciennes puissances colonisatrices. Elle doit à la France ses frontières formées à son ouest, de territoires arrachés au Maroc (Tidikelt, Gourara, Colomb-Béchar, Kenadsa,  Taghit, Tindouf, Tabelbala et tout l'Oued Saoura); et à la Turquie ses mœurs politiques héritées des méthodes expéditives des janissaires de la période Ottomane jusqu'au 1830.

    Au sein du «Système algérien», les rapports de force n’ont cessé de changer depuis l’indépendance, de nouvelles «familles» s’étant introduites dans le cercle fermé des profiteurs et d'opprtunistes de l’indépendance. Entre elles, le marchandage est âpre et complexe, car leurs intérêts économiques et politiques, sont contradictoires.

    Pour y revenir aux dernières années de l'Algérie Française, dite actuellement indépendante, voyons ce qui s’est passé durant tout le temps qui prédisait l'anatomie miracle, pratiquant même le systhème de -Deux poids et deux mesures-. Tous les présidents qui se sont succédés en Algérie ont décliné la générosité Marocaine.

    Par frivolité à l'algérienne, chaque locataire de l'écurie d'Al Mouradia d'Alger se basait, de façon inappropriée sur ce qu'il croyait, ses supposantss soutiens,qui lui permetteront d’asseoir durablement son pouvoir et d’enraciner son «Système à lui» en faisant du bruit au Maroc.

    La volonté divine ne pardonnait pas, elle punie la triche et l'ingratitude, du fait que les fondateurs de l'Algérie, ont disparu, mais leurs héritiers forment toujours la colonne vertébrale du pouvoir militaire à travers l’emboîtement de clans politiques, du fait qu'en 2015, un ancien ministre jeta, pavé dans la mare, quand il déclara que «tout le monde sait que 95% de ces anciens moujahid, sont des faux».

    Sachant que la recherche effrénée du statut d’ancien moujahid s’explique parce que les titulaires de cette carte-chiffon, ainsi que leurs ayants droit, touchent, dans le cadre d'opportunite «Qui bafouille, en profite mieux» une rente permanente du budget de l’État et, bénéficient de prérogatives, jouissant de prébendes et disposent de passe-droits.

    L'Atlantic Council...Face à cette foulée d'abois, d'hurlement et panique, et pour cacher ses faiblesses, le pouvoir-(pisseur) d'Alger se fixe, sur ses dimensions psychologiques de l’obsession pour le Maroc…sur la défaite de la «guerre du sable» et sa doctrine de l’hostilité, officialisant sa haine contre le Maroc et ce pour réduire et récaler l'écart qui l'éloigne de son troupeau-peuple.

    Le groupe de réflexion Américain précité, a confirmé dans un récent document d'analyse publié sur son site Internet, sous le titre «L'obsession de l'Algérie pour le Maroc», tuait les perspectives de réconciliation, mettant l'Algérie dans l'embaras, insistant, follement, à utiliser l'artificiel conflit sur le Sahara Marocain pendant presque son âge d'existence (1962).

    Il a souligné que derrière le soutien de l'Algérie au Polisario «se cache une situation bien plus complexe que la détermination de ce pays à venger, ce qu'il appelle -Hagrouna- et à empêcher le Maroc à mettre  en agenda le rapatriement de ses terres amputées, ce qui pourait accroître sa profondeur stratégique et son leadership incontesté en Afrique.

    Ce cercle d'analystes Français, ajoutait en surplus une énième analyse : «La philosophie pratique de l'Algérie a toujours été basée sur la stimulation de l'enthousiasme populaire contre ses ennemis Marocains(!)».

    Au cours des quatre ou cinq dernières décennies, ce pays a constamment eu besoin de se créer des ennemis imaginaires à l'extérieurs pour détourner sonopinion publique locale de la situation socio-politique stagnante que connaît le pays .

    La même cercle d'observateurs Américains n'a pas ignoré ce qu'a qualifié de «dimension psychologique de l'hostilité chronique» entre le Maroc et l'Algérie, soulignant que les dirigeants militaires et politiques d'Alger nourrissent des griefs non résolus contre le Maroc, ajoutant en outre que :

    «le Maroc est l'un des Monarchies ancestrales les plus anciennes du monde, et a su maintenir sa Souveraineté pendant la majeure partie de son histoire riche de progres et de victoires», ce qui ne peut pas être dit de l'Algérie, qui n'a que 60 ans d'existence en tant qu'Etat, soulignant que ce fait :

    «rend le régime local réticent à explorer pleinement le passé, de peur qu'une plongée profonde dans l'incertitude ne donnerait de la crédibilité à cette affirmation. Certains critiques affirment que l'Algérie, dans touts ses aspects, est la création de la France de De Gaulles.»

    Le Conseil a noté que «le Maroc était un fervent partisan du mouvement de libération pour l'Algérie, contribuant, financièrement et logistiquement à l’effort de guerre contre l’hégémonie française».

    Il évoquait également, que la défaite de l'Algérie face au Maroc lors de la guerre du sable de 1963 qu'elle a bien créée elle-même, a constitué pour elle une barrière psychologique, alors que les générations d'élites militaires et politiques ont grandi, avec l'idée de se venger du Royaume pour l'humiliation subie par leur pays, ajoutant que "le mécontentement de l'Algérien, à l'égard du Maroc, s'est transformé en un désir de revanche.

    Aprés l’indépendance de l’Algérie, ses dirigeants ont rapidement blanchi cet épisode bien documenté de solidarité et de générosité Marocaines, et ont donné un aperçu du ferme désir de l’Algérie d’être le leader de la région nord-Africaine, même dépourvue d'ingrédients pour se faire.

    A cet égard, le rapport affirmait que le soutien de l'Algérie à son Polisario est le point culminant de la stratégie de ses gouvernants militaires, visant à obtenir la primauté régionale en créant un État vassal dans le sud du Maroc, poursuivant :

    «Alors que l'Algérie déclare son soutien à un peuple, dit-on, -Sahraoui opprimé-, son objectif premier est de mettre, vainement, le Maroc instable, en provoquant et prolongeant des conflits artificiels dans la région pour l'empêcher de rouvrir le dossier du Sahara Marocain oriental qui n'est pas encore résolue et qui constitue le vif de toutes les tensions.

    Cela étant, s’inscrit dans le cadre de la rivalité entre les deux pays, qui «est entrée dans une phase déterminante depuis 2017, avec le réapparition et le retour du Maroc à l’Union africaine au moment où l’Algérie profitait de son absence et de sa chaise vide au Conseil de paix et de Sécurité¹, créant en parallèle, son agenda Africain avec cailloux en mains (photo) pour dresser le meilleurs fil d'attente. 

     

                                                                                                       Des images qui parlent de l'Algérie

    Que dit-on chez l'oncle Sam...? Le rapport souligne le mécontentement Algérien face à l’influence continentale Marocaine croissante, et ses manifestations sont évidentes dans «trois efforts régionaux entrepris par l’Algérie ces dernières années pour contenir le leadership montant du Maroc, dont le premier est une tentative de relancer le conflit transsaharien».

    Projet néfaste pour faire obstacle au projet de gazoduc Maroco-Nigérien, puis projet d'imagination d'établir des zone commerciale de libre échange avec le Niger et le Mali pour du bruit à l'initiative atlantique du Maroc. Sachant que régime algérien a échoué quand il tentait, vainement, de créer son -Union Maghrébine- sans le savoire-faire de son maitre Marocain.

    Le même cercle américain soulignait que «la diplomatie Afro-Marocaine obtient davantage des résultats moraux, en échange du déclin de l’influence diplomatique de l’Algérie sur l’ensemble du continent». Plus important encore, la diplomatie Marocaine s’étend  somptueusement désormais à des pays comme le Kenya, l’Éthiopie, le Rwanda et le Nigeria qui, malheureusement, durant un certain temps flou, de forte propagande Algérienne étaient emportés, inconsciemment, par les vents  et chasses-poussière d'Alger.

    Le rapport en a souligné également, que les évolutions observées dans la question du Sahara Marocain occidental confirment clairemaient que "les rêves d'autodétermination ont été enterrés et que le règlement et le retour aux tables rondes sont obligatoirement, puique c'est la seule voie viable pour parvenir à des solutions permanentes et politiquement possible à toutes les divergeances avec le Royaume, soulignant que l'hostilité entre les deux pays ne serverait en rien.

    Ce Conseil a recommandé aux États-Unis «d’accorder plus d’attention à leur coopération militaire avec le Maroc, et de faire pression sur l'Algérie pour qu'elle revienne à la raison, en s'adhèrant aux dispositions des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU sur la question du Sahara Marocain depuis 2018, appellant l’Algérie à coopérer, pleinement, avec l'ONU à la recherche de solution politique au conflit, à l'instar du plan d'autonomie présenté à ce sujet par le Maroc en 2007.

    Le rapport conclut que «cet objectif restera insaisissable si Washington adhèrerait à une diplomatie équilibrée qui l’empêche de soutenir sans équivoque la souveraineté du Maroc sur son Sahara Marocain occidental, ajoutant, je cite : «Il est temps pour les États-Unis de rompre avec cette politique de chantage!!».

    La Cocaïne encore... (Nouvelle affaire de poudre..) C'est bien le domaine de nage des filles et fils de hauts responsables Algériens, dont Khaled Tebboune, le fils gaté de Tebboune qui est bien perfectionné en l'objet!. Il était en prison en 2018 pour trafic de cocaïne, aprés avoir été impliqué dans une affaire du genre qui avait fait scandale, au moment où son père était rien de rien! comme diait la chanson Française de Charles Aznavour.

    Pour rappel, la saisie au port d'Oran, d'une cargaison de 701 kg de cocaïne. Tebboune-père qui était l'élu favori de la racaille Algérienne, via l'inhumé, ex-général Gaid Ahmed Salah, osait dès ses premiers pas au pouvoir d'acquitter et libérer, avec indiscrétion, son fils et d'autres fils gatés des galonnés, impliqués dans une affaire qui remonte au 29/5/2018, baptisée affaire «Kamel El Bouchi» un scandale qui avait secoué l'Algérie

    Il s'agissait d'un narcotrafiquant de drogue Algérien (Kamal Cheikhi) qui a vu sa carrière de boucher de viande congelée prendre fin à Oran, aprés la découverte en sa possession 701 kg de cocaïne.Questionné sur l'inculpation de son fils dans cette affaire, Tebboune a préféré de ne pas parler du sujet.

    Selon un communiqué Algérien, le fond de l'affaire de la cocaine sasie récemment, aux portes du sud Algérien, remonte au fait que les agents de la Douane de Laghouat, ont perquisitionné un véhicule au niveau de la route reliant (Laghouat à Jelfa), où une quantité de drogues dures a été trouvée. Il s'agit de  Cocaïne estimée à 44,5 tonnes, sous forme de draps dissimulés, en pêle-mêle, au véhicule.

    Après l'enquête et les investigations, la compétence a été étendue à plusieurs wilayas du pays, permettant l'arrestation d'un groupe de sept trafiquants, avec la saisie de  véhicules, de téléphones portables, et de sommes d'argent estimées à des millions de centimes en devise Algérienne, d'euros et de dollars.

    Des scénarios noirs font l'objet d'un livre dont on parle beaucoup en ce moment de l'armée Française. Son auteure, Alexandra Saviana, y déploie onze hypothèses de conflits armés auxquels se préparait la racaille-armée Algérienne, et le premier de ces conflits opposerait certes, le Maroc à l’Algérie que conduit actuellement le caporal-pisseur Chengriha..

    Au-delà de l’issue de l’affrontement préconisé, ce qui importe au premier chef, c’est la vision que se font les experts français du régime d’Alger. Et cela dit beaucoup de choses, si on y croit les développements de ces connaisseurs de la chose Algérienne, voire ces détenteurs de crânes de vrais Moujahid Algériens pour, éventuellement, faire chanter le régime d'Alger au cas de tensions à venir sur le sort avenir de crânes ou sur l'exportation Algérienne de pattes de volaille ou de chemma vers l'Hexagon.

    S’il y a un enseignement à tirer de ce livre, c’est que les experts militaires, les chercheurs et les diplomates français partagent une conviction évoquant : «l’Algérie est un pays voué au morcellement et au chaos». Car au-delà des hypothèses que déploie l’ouvrage, il y a la perception rationnelle que se font les spécialistes de ce pays, sur leur conviction d'experts chevronnés de l'Algérie. 

    Vers la mi-août prochain paraîtra chez l'éditeur Français Gallimard «Houris», un livre terrible, effrayant, puissant et cruel de vérité sur la guerre civile algérienne entre 1990 et 1999.Un livre dont l'éditeur Français est mis par la diplomatie d'autriche Algérienne sous préssion d'Attirance et d'intimidation pour annuler l'apparition en bibliothèque Françaises.

    L'auteur, est un Kabyle vivant en France, le journaliste Kamel Daoud², il l’a composé sur le réel déchirant une partie de l’histoire de l'Algérie. Et à travers le personnage principal, s’égrène le récit des carnages, des victimes mortes pour rien, oubliées… que le régime cherche à tuer une seconde fois..

    La vision que donne à l’Algérie la majorité de romanciers et experts interrogés sur le réalité de leurs contes, peut être résumée par cette déclaration de -Pascal Ausseur-,vice-amiral d’escadre, directeur de l’Institut Fondation Méditerranéenne d’Etudes Stratégiques : «l’Algérie est un pays qui va structurellement mal, rongé par un cancer» qui le conduira à se morceler en différentes fractions.

    Se méfier du fou..!. Il est normal de prendre ses précautions et ne pas jouer au drogues, surtout de la poudre blanche, la cocaïne. Un livre-référence d'écrivain Français,vient de paraïtre en bibliothèques Françaises. Il se compose de onze hypothèses, chacune se rapportant à un conflit armé où la France serait impliquée, aprés avoir été chassée,dernièrement, du Mali et du Niger.

    Pour élaborer chacune des ses hypothèses, Alexandra Saviana, journaliste Français de l’Express, a interrogé plus de 100 experts. Certains hauts gradés et diplomates Algériens, toujours en exercice, ont préféré ne pas être cités, précisément en ce qui concerne le scénario d’un conflit armé entre le Maroc et l’Algérie.

    Lorsqu’on connaît les purges interminables dans l’armée algérienne, avec plus de quarante hauts gradés derrière les barreaux, il ne faut pas s’étonner de voir les nombreux experts interrogés par l’auteure conclure au morcellement du pays.

    Les leviers de bouclier opératoire du régime d’Alger sont les mêmes auxquels il recourt depuis 1962. Mais cette fois-ci, la défaite militaire pour une junte est particulièrement difficile à digérer. D’où le chaos généralisé qui s’installe.

    En cas de conflit armé entre le Maroc et l’Algérie: l’agresseur, serait bien le régime d’Alger. Cela rappelle parfaitement «la Guerre des sables» que la propagande du Système algérien avait, faussement, transformé en agression Marocaine.

    Alors que tous les historiens savent que le trio du mal (Ben Bella-Boumédiène-Abdenacer) a délibérément ordonné des attaques contre l’armée Marocaine à Hassi Beida et Tinjoub-Ouarzazat pour faire préoccuper le rêveurs Algérois, ne leur laissant pas de chances de penser à acceder, d'une façon ou d'une autre, à l'écurie d'Al Mouradia d'Alger.

    -L'enseignement le plus important dans ce livre, c’est que Paris a déjà identifié le pays Maghrebin qui constitue une menace pour la sécurité de la France. .Il s'agit bien de l'Algérie, qui se dit,force de frappe d'égoûts!, se pavoisant, chevauchement, au rythme de sorcière, par slogans trompent, plus que vains, du faux nationalisme d'autrefois.

    Quelle que soit la forme qu'on peut choisir pour exprimer ses idées et ses visions, la question concerne le roman, comme c'est le cas aujourd'hui , avec la rédaction du blog qui ne cesse de faire une lecture de la mentalité névralique d'une voisine folle, voire trés folle qui dérange tout lr quartier qui n'est que l'Algérie, la force de frappe d'un caporal-Pisseur et son vagabon.

    Ce n'est pas du tout dans l'esprit de nous autres Marocains, dans lequel pendant des années nous gardons bien l'acalmie envers cette folle entité pour éviter le désastre pour nos deux peuples, maîtrisant bien nos actes et comportements. Etant que la femme d'à côté est ressuscitée sur toutes les langues à travers la planète.

    La même chose s'était produite avec le soi-disant ex-président Algérien (H'mimid) et son sponsor Egyptien le maudit Abdenacer, qui se sont aventurés à attaquer les points d'eau Marocains de Hassi Beida et Tinjoub dans la province d'Ouarzazat en octobre 1963, provoquant ce qu'on appelle désormais la Guerre des Sables.

    Cela étant, a conduit à travers du temps, rappelons-le, à des frivolités instances controversées de la part de cette mauvaise voisine, par des événements de lâcheté et des positions malencontreuses, exprimés dans un climat qu'elle connaît depuis des années cette nouvelle venue (Algérie), caractérisé par son isolement politique et les atteintes aux libertés académiques.

    Malheureusement l'oppression géographique nous a condamné à avoir à coté de nos frontières une voisine atteinte  de dépressions mentales trés graves.Et pourtant, nous avons bien appris, malgré nous, à se familiariser avec le chantage Algérien qui nous est présenté comme une spécificité sectaire obligée.

    La fièvre de nervosité Algérienne apparaît sous forme d'une focalisation sur les points de rupture, d'hétérogénéité et de différence qui existent dans la société algérienne comme dans toute autre société, reflet des différentes formes d'ingratitude d'un responsable à l'autre, dans un pays dont les habitants sont humiliés, enroulés, dans un pays pas comme les autres,un pays pulvirisé, hélas, de corruptions politiques, d'entêtement et de débordement agravés à haute échelle.Bonne lecture.

                                                                          L'Admin, Chihab25 

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                       ¹Le CPS est l'organe décisionnel de l'UA.

                      ² Kabyle de nationalité française.