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La frontière-est - Page 4

  • L’Algérie paye prix fort pour son entêtement contre le Maroc, devenant la femme qui pleure..!

                                                                                                                         drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                            (Rodd ElMo-Qrash¹ vs Algérie²)

                                                                                      Description de l'image Lagos46 kopie.jpg.

                                                                                                          bataille des trois Rois

    Entrée avant menue :  Un acquit d'honneur me pique la langue et je dois le citer pour piquer le fond de nos ennemis Algériens et pour qu'ils sachent, par contrainte ou par grés : «Que le Maroc, qu'ils prennent, en ennemi traditionnel est, par son authenticité d'existence, et restera sûrement, un Royaume parfumé, par sa bravoure et son leadership historiques à travers les temps, faisant partie du groupe des grands, enraciné dans l'antiquité, il est ancien plus que les USA, se ressemblant, aux vieilles entités humaines de la planète, du fait, qu'il était le premier à reconnaitre les Etats Unis d'Amérique et à fêter, leur baptême en 1776 du siècle écoulé». 

    C'est une réalité onéreuse des Marocains, pour leur générosité et leur bon accueil et comportement envers d'autrui. C'est pour cet acquit qu'ils sont toujours exposés aux viseurs de mal, d'hostilité et le théâtre d’harcèlement de tout venant. Nous vivons en particulier les séquences, les conséquences, l'envie, la haine et l'ingratitude d'une junte de caporaux d'Algérie.

    Oui, nous disions le Maroc est enraciné dans l'histoire et y est encore, je citerai en preuves, «la guerre des trois Rois» prouvant cette conviction pour ceux, du lectorat, qui ne savent pas la bataille des trois Rois...-Le Roi Portugais Sébastien Ier. Tenait à son époque à éliminer le concurrent Marocain, non chrétien occupant, somptueusement, deux côtes de mer «-La méditerranée et l'Atlantique-», constituant la cible des puissances coloniales qui, à l'époque, courraient derièrre le diable pour répartir le monde à leur guise.

    Pour mémoire, La bataille des trois Rois s'était déroulée, le 4/8/1578 à Oued Al-Makhazine prés de Ksar L'Kébir et Larache, elle a été une bataille décisive ayant mis fin au projet d'invasion du Maroc par le Portugal, s'imposant, au profil, en carte de route, à sauvegarder la Grandeur d'un Royaume, fortement génant, aux intentions coloniales expansionnistes.

    On constate de l'autre coté Algérien, que chaque fois que le Maroc fait du progrès, le bras médiatique du ministère Algérien aux Affaires mensongères, active ses pions engagés à la chaîne de télévision -France 24- dont le directeur est d'origine Algérienne, nous gratifie, une fois de plus, des interviews-tremplin prépayées d'un ou deux pseudo-activistes Marocains- les bannis par la société Marocaine en particulier, qui cachent leurs méfaits de droit commun derrière d'épais voile d’activisme politique et d’auto-victimisation.

    Si le procédé est une contradiction toute politiquement classique -made in Algéria-, le choix du moment est tout sauf innocent et interpelle à plus d’un titre. Sachant que les enthousiastes des deux côtés de la Méditerranée, qui sont nombreux, constitués de (dingues et stupides)  et qui, par duplicité, chantaient encore le rythme de -fraternité- Algero-Marocaine d'autrefois, espérant, entre autres, une reprise du cours normal de relations entre le Maroc et l'Algérie, devront tempérer leurs ardeurs.

    Alors que d’aucuns ne voyaient les prémices d’un dégel de la crise diplomatique entre Rabat et Alger en ce moment, à la faveur, notamment de la main tendue du Maroc, sauf qu'une émanation directe de l'écurie Algérienne de mensonges d'Ahmed Attaf, via France24, vient suggérer «Que tout change…pour que rien ne change». 

    Ce n'est pas que le Maroc qui souffre du mauvais voisinage Algérien, les autres voisins aussi (- Mali-Mauritanie-Niger-) qui en supportent les frais.Un mois seulement après avoir été accusé d’actes inamicaux et d’ingérence flagrante dans ses affaires intérieures par le Mali, le régime Algérien a été, à nouveau, tancé et démasqué par Bamako au sommet -Des non-alignés- en Ouganda.

    Les autorités Maliennes,via son ministre des Affaires étrangères,  crient haut et fort, accusant leur encombrant voisin du nord d’être devenu un «État sorcier» qui tente, à travers des manœuvres occultes, d’imposer au Mali, comme il le fait déjà au Maroc, un «agenda crapuleux» portant atteinte à sa souveraineté.

    Chronique : Tahar Ben Jelloune l'écrivain Franco-Marocain, écrivait récemment dans une de ses chroniques que la grève est un droit. L’abus de grève n’est pas un droit et malgré, il faut tout en défendant les droits évoquant le cas d'une femme qui voulait lui parler, en lui donnant le titre.. «La femme qui pleure...».Une femme de ménage, travaillant quelque part, pour gagner sa vie, une mère de famille élevant seule ses deux enfants, appelons-la Fatema, a demandé à me parler. Elle était en pleurs, comme le cas d'Algérie actuellement!.

    Citant celà comme une réalité chroniqueuse qui s'impose, via les bonnes fois qui dénoncent et fustigent par leur propre volonté, les allégations «totalement infondées» relayées par les médias jaunes de l'Algérie et affirmées par son APS  (agence de presse officielle). informations faisant état de mandats d’arrêt pris à l’encontre de responsables sécuritaires Marocains pris par le gouvernement Chypriote, allusion certes à L'hamouchi et ses hommes discrets qui brossent leurs bottes de parcours par tout chiffon Algérien, surtout s’il portait l’empreinte de trois couleurs.(Blanc-vert-rouge).

    «Il s’agit là de (-fake news-), aucune affaire pénale et aucun mandat d’arrêt de ce genre était émis à l’encontre des personnes auxquelles les dits médias font référence» surtout que l’APS s’était appuyée sur ses fausses informations sur qui serait, un ressortissant Marocain ayant fait l’objet d’une condamnation par la justice Italienne pour des délits d’escroqueries.

    L'Algérie paye le prix fort de son entêtement avec le Maroc. En réaction à la normalisation des relations entre le Maroc et Israël, l’Algérie via ses apprentis militaires, a pris des mesures pour rompre ses liens diplomatiques avec le Maroc. Non seulement elle a fermé ses frontières terrestres et coupé le gazoduc qui alimentait l’Europe en gaz algérien via le Maroc, mais elle a aussi interdit tout transit et transbordement de marchandises depuis les ports Marocains vers son territoire. Cette décision vise surtout le port de Tanger-Med qui assure la liaison maritime entre le Maroc et le reste du monde.

    En se privant de cet accès privilégié à la mer méditerranée, l’Algérie s’expose à une flambée des coûts d’importation et pas d’exportation, puisque elle n'a rien à exporter.

    Selon un groupe français, leader mondial du transport maritime, les prix du fret entre l’Algérie et la France, par exemple, ont augmenté de 50% environ, depuis le début de la crise Algérie-Espagne. Le groupe profite de la situation pour imposer des surcharges supplémentaire aux clients Algériens qui veulent utiliser ses services. En effet, les ports espagnols sont saturés et ne disposent pas de la même capacité que le port -perle- de Tanger-Med.

    L’Algérie, qui dépend fortement des importations pour son économie, risque donc de subir les conséquences de sa politique de rupture avec le Maroc. Le pays pourrait se tourner vers d’autres partenaires, mais cela impliquerait des délais plus longs et des coûts supplémentaires qui mettrait le consommateur Algérien dans l'embarras de fils d'attente.

    Confirmation haute gamme...revenant au problème séculaire de frontières Algero-Marocaine, étant que l'histoire, ponctuellement, se rajeunit d'elle-même et ne vieillisse guère. Le maréchal Lyautey, le résident général Français au Maroc à l'heure du protectorat, confirmait les droits territoriaux historiques du Maroc. Il est important de rappeler à ce sujet, un texte essentiel y afférent, rédigé le 4 février 1924 à la demande du maréchal Lyautey, et qui dit ceci :

    «Le fait que la délimitation d'Oued Eddahab au Nord du 26ème degré de latitude fut effectuée (par le traité franco-espagnol de 1912), tout d’abord, dans un traité franco-espagnol relatif au Maroc, destiné à rester secret jusqu’au règlement de la question Marocaine, montre que les deux puissances considéraient bien qu’elles disposeraient, dans cette région, des territoires Marocains».

    L’installation des Européens en Afrique, et surtout la conquête de l’Algérie par la France, introduisirent en Afrique, la notion Européenne de répartition des territoires entre les puissants États. Cette notion n’existait pas antérieurement et la conquête de la ville d’Oran fut le premier point de départ qui déclencha le colonialisme, amenant la France à entrer en contact avec les Tribus frontalières Marocaines pour les convaincre à se rendre au nouvel ordre, sans refus ni protestation.

    Mais l’extension de la conquête française vers le Sud, vers le Sahara Marocain oriental devait alors, poser la question de cette délimitation. L’installation des troupes françaises dans les oasis de (Touat, Gourara, Tidikelt au Sahara Marocain oriental spolié actuellement par l'Algérie), puis l’occupation de la ligne de la Zousfana (Taghit, Igli, Béni-Abbès), qui nécessitait le contact direct avec les oasis Marocains, fut l’occasion de conflits avec les populations locales qui refusaient d'obeir au nouvel ordre Français d'occupation.  

    Pourquoi raconter tout ça..! c'est pour faire connaitre aux Algériens que leur Algérie n'existait pas durant tous les temps et que le Maroc était par contre, l'Etat souverain à part entière et à égalité avec le puissant arrivant Français. Il n’était pas douteux qu’à cette époque, le Maroc étendait nettement son influence au sud de l’Algérie,  coupant celle-ci du Sahara Marocain oriental, proprement dit : «les oasis sahariennes» qui relevaient depuis des siècles du Maroc et que  les gouverneurs Marocains y demeurèrent jusqu’à l’occupation française d’Ain-Salah (1902).

    Le traité de Protectorat changea complètement le caractère des opérations. La conquête de Moulouya et du Tafîlalet au profit de l’Algérie Française fut abandonnée et en 1917, le Général Gouraud, qui était alors Commissaire résident général par intérim au Maroc, demanda même à ses supérieurs à Paris le retour de Colomb Béchar au Maroc.

    Durant la période coloniale, le Maroc fut en effet, territorialement amputé à l’Est et au Sud. À l’Est, la France agrandit les limites de sa possession algérienne en lui rattachant des régions historiquement Marocaines comme le Touat, la Saoura et la région de Tindouf. Des démembrements qui se trouvèrent entérinés avec l’indépendance de l’Algérie.

    Au moment des indépendances, le Maroc fut donc placé face à une situation à la fois insolite et intolérable. Il lui était en effet demandé, non seulement d’entériner la perte de ses provinces de l’Est et du Sud, mais encore d’accepter qu’elles fussent offertes à  l'États Algérien créé par l’ancien colonisateur, alors que les populations qui y vivaient étaient culturellement, politiquement,, familialement et religieusement liées à lui.

    De la Méditerranée à Figuig... Le Maroc fut très largement amputé par la colonisation de toute sa profondeur saharienne. Notamment de ses provinces sahariennes comprises entre Figuig et Touat (les Oasis) d’une part, ainsi qu’entre le Drâa et les actuelles frontières de la Mauritanie d’autre part. L’histoire de ces amputations qui se firent au profit de l’Algérie Française était la conséquence de la bataille d’Isly qui, le 14 août 1844, opposa l’armée Marocaine à celle de la France.

    Le 10 septembre de la même année, un traité de paix fut signé à Tanger entre le «Sultan du Maroc et Louis-Philippe, Empereur des Français». Deux remarques à ce propos :

    Au 19ème siècle, c’est à Tanger que les sultans avaient installé le siège du ministère des Affaires étrangères du Maroc, à «Dar Niaba el Cherifa» où les Naïb servaient d’intermédiaires entre le palais Sultanine et le corps diplomatique étranger en place. Ainsi, le sultan était en position forte de refuser, voire de limiter à son profit les pressions et les interventions des Puissances dans les affaires intérieures du royaume.

    Comme le traité de Tanger prévoyait d’établir une délimitation frontalière entre le Maroc et les possessions françaises de la future Algérie, le 18 mars 1845 fut donc signée la fâcheuse Convention de Lalla Maghnia. Dans son premier article, cette dernière stipulait que «les limites qui existaient autrefois entre le Maroc et la Turquie» resteraient «les mêmes».

    Comme la colonie Turque de la Régence d’Alger n’avait d’autorité que sur une petite partie de l’actuelle Algérie, la Kabylie, les plateaux du Sud, le Sud-Oranais lui échappaient, en effet, et comme les régions sahariennes lui étaient inconnues, la délimitation frontalière fut donc très partielle. Pour être précis et pour mémoire, la fâcheuse Convention de Lalla Maghnia distinguait trois secteurs :

    1.De la Méditerranée jusqu’au col de Teniet-Sassi³, soit sur 120 kilomètres environ, la frontière était celle qui existait entre le Maroc et l’Empire Ottoman avant 1830, date de la prise de contrôle de l'étendu Algérien par la France.

    2.De Teniet-Sassi jusqu’à à Figuig, soit environ sur 250 kilomètres, il était procédé à une simple répartition des tribus et des «ksours» (Ksour) entre le Maroc et l’Algérie française.

    La convention fut ultérieurement complétée sur des points mineurs par les accords de 1901 et 1902 entre le Maroc et l'empire Ottomane, mais sans toutefois que soit fixée une frontière précise. Cette frontière ne fut donc pas bornée, car les Turcs n’avaient jamais occupé le Touat, le Gourara et le Tidikelt, régions Marocaines de temps immémorial où les sultans du Maroc nommaient les Gouverneurs, les Caïds, les Cadis et les Oumana.

    3.S’appuyant sur l'article 6 de la convention, l’Algérie soutient que le Maroc et la France auraient ainsi implicitement reconnu que le Sahara était alors une «volet approprié», dont la propriété reviendrait au premier occupant, c’est-à-dire à la France dont l'Algérie est actuellement l'héritière. Deux objections majeures vont à l’encontre de cette thèse, l’une est géographique, l’autre historique:

    -Cette région au climat désertique n’était pas un désert dans sa définition reconnue, car elle abritait trois cents ksar, notamment, mais pas exclusivement, le long de la vallée de la Saoura, et sur une longueur de 600 kilomètres. De plus, elle était parfaitement connue des Marocains, car elle était traversée et animée de temps immémorial par une voie commerciale qui, partant de Marrakech et du Tafilalet, aboutissait au Niger, via le Touat et la Saoura.

    -Jusqu’à la fin du 19ème siècle, la région relevait de la souveraineté Marocaine. Les archives contiennent en effet nombre de documents liés à la nomination de représentants du Makhzen qui administraient, rendaient la justice et prélevaient l’impôt. Quant à la prière, elle y était dite au nom du sultan Marocain en règne.

    Les frontières entre l’Algérie française et le Maroc, établies en 1845 lors des accords de Lalla Maghnia, ne concernaient donc que leur partie nord, c’est-à-dire de la mer jusqu’à Teniet Sassi prés de Figuig. Or, à la fin du 19ème siècle et au début du 20ème, les troupes françaises poussèrent vers le Grand Sud : (la Saoura, Gourara, Touat), vaste ensemble désigné par l’administration coloniale sous le nom de «Région Marocaine des Oasis».

    Or, le long de cette route naturelle jalonnée d’oasis plantées de palmiers et s’étendant de Figuig à Aïn Salah, les droits Marocains étaient immémoriaux. Ce furent donc des territoires sahariens appartenant au Royaume du Maroc qui furent arrachés à ce dernier pour constituer des départements Franco-Algériens, sous l'intitulé : «Départements Français du Sud».

    Ce fut son projet de chemin de fer transsaharien qui poussa la France à prendre le contrôle de ces régions, le tracé le plus court étant celui de l’Ouest, à savoir par la Saoura et le Touat. Jusqu’à l’actuel Mali, l’ancien Soudan français. Or, le problème était qu’il s’agissait de régions situées dans le troisième secteur défini par la convention -Lalla Maghnia-, à savoir au sud de Figuig et où aucune délimitation frontalière n’avait été réalisée.

    Cette zone fut explorée et occupée progressivement par des éléments militaires français venant de l’Afrique-Occidentale française (AOF), du Sud Marocain et du Sud-ouest algérien. La stratégie française fut alors d’atteindre Gourara par l’oued Zousfana, et Igli. Nous verrons, certainement, dans une prochaine chroniques de MM.Tahar Ben Jelloune ou Bernard Lugan comment les localités Marocaines comprenant : Igli, Tabelbala, Colomb-Béchar et Tindouf furent offertes, voire rattachées, vachement, sur un plat d'or à l’Algérie française.

    On citant cette réalité, la rédaction du blog, ne projetterait pas à murmurer,  elle parle de façon franche et claire pour que son lectorat soit en mesure de connaitre la vraie Algérie que la volonté divine nous a fait coincés à son voisinage émouvant et très ennuyeux.

    Les rares témoins qui peuvent honorer et tirer l'Algérie de ses ruines ne sont plus en vie, quelques vivants sont encore là, mais avec des bouches baies!, croyant élite censée  constituer le socle de l’histoire de l'Algérie indépendant, à une époque où le pays venait à peine être saccagé par des caporaux qui voulaient absolument jouer les stars de gouvernance aux dos des simples Algériens... de ceux qui croient encore vivre en dignité perdue, à se débarrasser des résidus de la pensée coloniale, avec une volonté de couper ce cordon ombilical anti-Marocain, auquel les caporaux tiennent à imposer l'attachement d'une Algérie perdue entre les sales bottes...

    Sachant que ces caporaux sont lauréats de rues et de maisons closes d'Alger et y exposent, avec fièreté, leur merdes militaires en plein air,- insistant à ne pas rompre avec la tendance de haine et d'hostilité anti-ma, qui avait été instaurée par le -Kharobisme et acolytes- (Boumediane) et qui consistait, à «emmerder le Maroc», pas en cercle fermé, mais en clair, dans les cimaises de galeries de haine, prouvant, qu'ils sont capables de casser la main tendue Marocaine, appliquant en sorte et à la lettre, le dicton : «اتق شر من أحسنت اليه - Méfie-toi de celui à qui tu a fait du bien»..

    Via toutes issues possibles, ces dupes lèchent toujours les os usés d'une guerre froide révolue, car ils ne savent rien faire d'autre. Ils ressassent leurs déconvenues au Maroc. Ils n’arrivent pas à s’assurer une place sous le soleil de l’Afrique. Au lieu de chercher les failles, les pleurnicheuses de notre «Corée de l’Est» rejettent toujours la faute sur autrui, avec le maximm d'humiliations, directes et indirectes pour le Maroc.Bonne lecture.

                                              Cordialement,Chihab25

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    ¹. Rodd ElMoQrash : Un terme de la générosité Marocaine qui veut dire :.. «Remets le bouillard sur feu et prépares-toi à servir l'hôte qui tappe à la porte». Un geste qui n'existe qu'au Maroc, pas en Algérie.

    ² . Sans aucune surprise, il est bien clair que l'Algérie souffre de «crise d'hommes». !ما كاين مع من 

    ³. La frontière avec l'Algérie actuelle que délimite sous pression, une fâcheuse convention passée en (1972) avec l'Algérie. Bien sûr, ce n'est pas du Coran sacré, elle est rectifiabl, à tout moment, au cas où on trouverait l'homme responsable à la tête de l'Algérie.