Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La frontière-est - Page 6

  • Maroc-Algérie : Quand le Général Driss Ben Omar prend en cible la prise de Colomb-Béchar..!

     

                                                           

                      Hassi Beida

     

    Les jours les plus longs..À un mois du 56è anniversaire de la première guerre qui éclata entre le Maroc et l’Algérie, le 8 octobre 1963, une photo inédite immortalisant la victoire éclatante des Forces armées royales contre l’armée algérienne, alors soutenue par l’Égypte de Jamal Abdenacer et Cuba de Fidel Castro.

    Le Général Driss Ben Omar El Alami, à Hassi Beïda et Tinjoub, ce sont deux points Marocains situés à l'intersection des territoires de M'hamid El Ghezlane et Tagounite dans la province d'Ouarzazat à la frontière Marocaine Sud-Est du Royaume, contrairement à la sortie de piste d'un journaliste Marocain censé être à la hauteur de sa tribune respectant, tout du moins la déontologie.

    Je ne suis pas chercheur dans le domaine militaire, ni journaliste de carrière, mais je sais par nature d'existence ce que peut échapper à ce genre de journalistes de cocot-minutes.

    Les points d'eau dont il s'agît ne se trouvent pas dans la commune de Tabelbala en Algérie (!) comme écrit le journaliste (MH) dans le journal électronique Marocain à grande audience, dont la puissance de son patron lui permis de mettre la main dans toutes les poches, pas au sens de vol à l’arrachée, mais au sens d'investissements.

    Bien. que c'est normal de travailler dans de bonnes conditions, être dans son bureau confortablement équipé et climatisé, cela ne donnera pas le droit de dire n'importe quoi, sans aucune assurance, d'un sujet aussi sensible qu'important dans l'histoire victorieuse du Maroc contre ses ennemis, pour ne pas dire contre ses supposés frères Algériens, en l'occurrence, la symbole de supériorité de l'armée Royale, affectée du savoir-faire d'un lauréat du jour le plus long d'Italie «la guerre des sables». Une page à respecter, ou du moins à ne pas bafouer par ignorance quelle qu'elle soit.

    Il serait fortement concevable de s'interroger à cet effet. Si c'était le cas avancé ! pourquoi le général Driss Ben Omar aille-t-il, droit dans ses bottes, pour s'attaquer à la sorcière hors frontières?.La question d'une telle ampleur, exige une réponse, voire une excuse de la part de ce "connaisseur" tant que les faits, s'étaient supposés à présenter au lectorat.

    Une photo inédite de feu Driss Ben Omar quelque part dans le territoire de Colombe-Béchar vient d’être mise en ligne, remettant à l’esprit les hauts faits d’armes de ce brave Général, lors de l’héroïque Guerre des sables qui s’est soldée, après trois semaines de combat, par une victoire écrasante des FAR contre l’armée algérienne.

                                      Aumônerie des FAR 000211

                                                           Le colonel A Chouaâib Doukkali et le général Driss Ben Omar

    Cette photo, qui atteste de l’entrée victorieuse des Forces armées royales dans la wilaya de Colomb-Béchar qui groupait aussi Tindouf et sa région , 80 kilomètres au Sud-est de la frontière Marocaine, montre l’ex-tout puissant Général Driss Ben Omar foulant le sol de cette wilaya annexée à l’Algérie Française par l’occupant français. À la droite du haut gradé marocain, il y avait (vraisemblablement) feu Abderrahman Chouaâib Doukkali, premier aumônier des Forces armées royales.(photo). 

    L’entrée triomphale des troupes marocaines à la wilaya de Colomb-Béchar intervint après trois semaines d’intenses combats (du 8 au 29 octobre 1963) avec l’armée algérienne, qui perdit beaucoup de soldats, morts sur le champ de bataille, alors qu’une centaine furent capturés par l’armée marocaine.

    Une cuisante raclée combinée à l'autre infligée, cette fois à quelques encablures de la province de Es Souk (Errachidia actuel), précisément à la localité de Ain Chouater, Caidat de Doui-Menia,actuellement dans la province de Figuig, où fut capturé par des civils un hélicoptère Algérien, trempé de boussole, avec à bord des officiers : 5 Algériens dont Liamine Zeroual, l'ex-président Algérie, alors un tout petit lieutenant et 4 égyptiens, dont Hosni Moubarak, alors pilote de chasse, envoyés en appui à l'armée algérienne par le maudit Jamal Abdenacer.

    L’avance des troupes Marocaines ne s’arrêta finalement qu’après l’intervention de l’ex-empereur éthiopien Hailé Sélassié, de l’Organisation de l'Union Africaine (OUA, ancêtre de l'actuelle UA), et de la Ligue arabe, favorisant ainsi un cessez-le-feu qui est signé au mois de novembre 1963. 

    Selon des ex-officiers Marocains, feu Driss Ben Omar s'était alors juré de récupérer tout le territoire du Sahara oriental amputé du Maroc par la France au profit de "l'Algérie française" et juré sur son honneur d'opérer plus loin que ça, si feu Hassan II le souhaitait d'aller occuper la ville Algérienne d'Oran au Nord-Ouest de l'Algérie. Mais le Roi refusa l'idée, le rappelant à regagner ses bases.

    L'ordre royal de reculer qu'il considérait injustement pressant, lui avait provoqué beaucoup de crispation et de fureur, il devint trop nerveux, jetant partout n'importe quoi, même son képi trois étoiles n'y était épargné, qui par force de frapper par terre, les broderie, coiffe et carcasse se furent démantelées de façon jamais vue même, dans les plus grands moments d'offensivement.

                     
      

                                                                                 -:-

    Le général Ahmed Gaid Salah nourrit une haine féroce  envers le Maroc et voila pourquoi..               

    Oui c'était une fuite de lâche...D'un autre coté, c'était le sauve-qui-peut. Le point faible qui fait nourrir la haine du général Ahmed Gaid Salah envers le Maroc, c'est sa fuite de lâche du champ de bataille contre l'armée Marocaine dans l'une des premières défaites de la racaille Algérienne dites ANP au Sahara Marocain .Et pourtant, il devint le général Gaïd Salah, qui ne cache plus son ambition de devenir président d'Algérie.

    Nommé en 1976 chef du secteur opérationnel centre de la 3ème région militaire de Colomb-Béchar frontalière de la Hamada de Draa Ouarzazat, Gaïd Salah, actuel homme fort de l'Algérie, abandonne toute une unité (109 soldats) aux mains des FAR, lors de l’héroïque bataille d’Amgala I. Un revers qu’il n’est pas près d'oublier...

    On en sait un peu plus sur la haine féroce que l’actuel décideur, le Général Ahmed Gaïd Salah, continue de nourrir envers le Maroc. Et ce n’est pas demain la veille que la haine anti-marocaine de ce Général s’estompera, tellement elle est forte, au plus profond de ses entrailles.

    Tout commence dans la nuit d’un certain 27 janvier 1976. Une unité de l’Armée algérienne, commandée par un certain Ahmed Gaïd Salah, alors un petit commandant- (Poltron), tout juste nommé chef du secteur opérationnel centre de la 3ème Région militaire, s’engage dans l’oasis Marocaine d'Amgala dans le Sahara Marocain, en appui aux mercenaires du front séparatiste du polisario. Mais c’était compter sans la sévère riposte des vaillantes Forces armées royales, qui ont non seulement délogé, mais aussi écrabouillé, ces troupes algériennes aventureuses.

    La riposte Marocaine a été d’une telle force que Ahmed Gaïd Salah a abandonné toute son unité aux mains des valeureuses Forces armées royales, qui ont réussi, au fil de deux nuits de batailles rangées, à capturer et emprisonner pas moins de 100 soldats algériens, pour le plus grand malheur de l’ex-président algérien, le maudit Boumediène, qui a laissé éclater sa colère contre le commandant-fuyard en lui jetant à la figure : «va refaire tes classes!» 

    En fait, ces 100 malheureux ont trouvé pitié chez feu Hassan II, commandant suprême et chef d'état-major général des FAR qui les envoya chez eux, chacun avec son petit-transistor6 en signe de grâce Royal clin d’œil d'humiliation pour Boumédiane, alors ministre de la défense de Ben Bella, qui par pression de défaite, il doublait les doses de son "chemma" et tentait se venger, ripostant vainement, un mois après, par d'autres défaites (Amgala2 et à Jbel Ouarkziz). Mais cette-fois-ci, sans transistor6, car les loups Ghojdami et Dlimi ont dévoré à l'insu du chef, toute la proie, qui était de 402 éléments éparpillés et perdus dans un désert aride qu'ils ne maîtrisaient point.

    Un espace vide, dépourvu de toute vie naturelle, confinant  à la «Hamada de Draâ» ce faisant l'endroit le plus ratissé par des patrouilles citoyennes organisées, à tour de rôle par les populations de la région pour parer au déploiement de personnes engagées discrètement au service de l'Algérie qui s'efforçait à ramasser au profit du polisario,  tout opportuniste infidèle à la cause nationale Marocaine .

    Les conséquences de l'attitude haineuse que nourrit cet ex-caporal Français, envers les maîtres des Amgala,ne se verront qu'à long terme, après que son virement par la société Algérienne soit irréversible, le mettant hors état de unir, au même sort que le maudit Bouteflika.

    Il sera contraint à cet effet, de ne plus refaire surface à la télévision qui, profitant de ses sorties médiatiques, elle lui graissait somptueusement les pattes. Il sera tout de même obligé, ou plutôt forcé à se faire ses adieux, tristement honteux, à la routine de ses musculations de vitrine et les méchouis de gazelle que lui offrait constamment son serviteur de camp  Said Chengriha..

    Révélation encore fraîche, faite par son ennemi farouche,Khaled Nezzar, le général à la retraite, du fait que la guerre entre ces deux mules ne fait que commencer.(!) et du point de vue confrontation, le compte à rebours s'approche au jour le plus long.

                            Gestes de désespoir et de défit des Algériens               

                       IMG_87461-1300x866  IMG_87461-1300x866  IMG_87461-1300x866    De cette façon humiliante les Algériens répondent à Gaid Salah qui appelait à l'élection présidentielle, disant nous n'allons pas à la présidentielle. Manière d'expression : Une carte d'électeur perforée par le doigt majeur, et une vieille dame s'exprimait en direct (le voilà pour toi ya L'GAID!). Des signes signifiants qui remplacent mille mots.

    Doit-on éplucher...Étalons le linge sale dont se déguisaient les Algériens depuis leur naissance au monde indépendant. Je ne dirais pas plus que tout le monde connait :  Les dirigeants se sont mis à dilapider les sources du trésor dans presque tous les secteurs, se réjouissant d'en goinfrer, d'entasser des fortunes colossales sur les ruines d'un peuple appauvrie contre gré, en prévision d'imprévu, qui pourrait les menacer avec leurs familles, installées un peu partout à l'étranger. D'autant plus, ils ne nous cachaient pas  entêtement, orgueil, arrogance, sentiment de supériorité et de leadership qui semblent être manifeste à leur mauvaise foi.

    A part ça, ils réussissaient en incrédulité et en hypocrisie, à l'intérieur comme à l'extérieur,que de  féconder la désinformation, la déformation du réel. Étant que la  plus part, si je ne dirais pas la totalité, de ceux qui formaient le cercle de décisions se sont accaparé du pouvoir sans expérience, y compris l'ambitieux actuel, car sont tous mauvais élevés dans la modestie des casernes en Hexagone.

    L'enseignement de feu Hassan II..Ne vous en faites pas mes compatriotes. Feu Hassan II nous a appris la mentalité de surpasser le plus pire des cas, en nous enseignant l'habitude de gifler, si nos frères-ennemis d'à coté, insisteront à déféquer dans l'eau et rejeter, par arrogance d'orgueilleux toutes opportunités à tendance de rétablir l'ordre de relations avec la main tendue.

    Ceux qui s’époumonent, croyant que les faucons des FAR s'échineront devant la racaille Algérienne, se trompent à 360 degrés. J'ai pas besoin de faire de rappel. Ils ont goutté avec tant d'amertume les bonnes leçons à maintes prises d'armes et que les FAR qui sont en position de force, peuvent toujours en apporter du vent d'air chaude à leur ennemis.

    Même si nous devons êtres généreux avec eux à l'image de la Monarchie Marocaine, qui la désignaient souvent de "Makhzen", sans savoir ce que signifie le terme.  Ne les traiterons pas aux mêmes rythmes de prédation, étant que le chien, même à sa faim ne fait pas de musculation, et ne lève pas, non plus, le pied pour pisser à la porte de son maître de dressage.

    On nous apprenait que dans le passé, les gens d'un douar Marocain disaient à l'imam.."Et si l'aube ne fera pas apparition, nous ne resterons pas debout alf'kih!". C'est-à-dire que, si on continu de laisser la corde de haine se dilater de plus en plus, de calmer le ton avec des cinglés qui ne sont pas contents de notre leadership, on ne fais plus jamais rien.

    Cela nous mettra en bonne position de faire salle comble dans le navire Royal, qui, par sa nature pacifique, ne provoquait aucun du monde à se "vendredier¹" chaque weekend, étant que le capitaine de bord, bien expérimenté dans la maison Royale et ailleurs, surprend les passagers dans le bon sens, mettant l'ordre dans l'ordre.

    A noter enfin, que ce navire, naviguant calmement en haute mer, sans  se donner la de peine de voir hors des quais pour criminaliser, d'une façon ou d'une autre, les manifestants voisins, qu'ils soient en gilets jaunes, en gilets Algérois, ou en gilets rouges de ceux de loin en Hong Kong. Notons que les pays des gilets  (France/Chine) s'ils sont sûrement des pays amis, ils ne seront jamais pays ennemis comme la veuve d'à côté qui, seule son existence libre sans attache, risquerait de menacer toute l'Afrique du nord.

    Concluons..Il y a 30 ans on nous annonçait déjà la disparition de pays entiers, "sous dix ans" à cause de réchauffement. Aujourd'hui on nous annonce l'éclatement de l'Algérie en "groupements ethniques" sous deux ans" à cause de la "haute et basse marrée" entre peuple et armée! qui n'arrivaient pas, de part et d'autre, de briser la houle du tourbillon poussant le pays vers le pire.

    Notre vif souhait est de voir cet "pronostic" se réaliserait au «lieu et temps», afin que nous puissions en finir avec les casses-têtes mythiques Algériens et continuer de  redéfinir un environnement Africain sain, jouissant de crédibilité, agissant loin de l'ingérence hypocrite Algérienne, dont il faisait l'objet, il y a presque cinq décennies.

    La première pierre de la redéfinition préconisée au profit de l'Afrique par le Souverain, vient d'être posée par la diplomatie Royale, tout juste, après une retraite du CPA à Skhirat au Maroc en juin dernier, prenant place à la cabine de guidage d'une Afrique responsable, éjectant en parallèle, le convoyeur de mal Algérien pour l'Afrique (Smain Chergui) du CPS de l'UA. (Conseil de Paix et de Sécurité).Par cet exploit, l'Afrique renaît de ses cendres, grâce à la politique étrangère du Maroc visant à lui prodiguer le meilleur soin efficace, ayant tendance à effacer les mauvaises traces de l'Algérie qui ont fait trop de mal à l'Afrique.

    J'aurai pas besoin d'énumérer l'importance des voyages que Sa Majesté le Roi ait effectué dans un grand nombre des pays Africains (36/54) bien que pour aider le continent à se relever et se libérer du cauchemar Algérien et progresser dans la voie d'y revenir au temps précieux de la militance nationaliste de Patrice Lumumba, du Congo Léopoldville, RDC actuelle et Nelson Mandela de l'Afrique du Sud et à ses 7 sages en l'occurrence : Ahmed Sékou Touré de Guiné,  Kwame Nkruma de Ghana, Julius Nyrere de Tanzanie, Léopold Sedar Senghor du Sénégal, Houphouêt Boigny de Côte d'Ivoire, Ahmadou Babatoura Ahidjou  du Cameroun et Modibo Keita de Mali. 

    Finis les coulisses et le paysage de honte, défini impitoyablement pour l'Afrique par les Algériens, à leur tète les maudits Lahmamra qui soutenait sa fille de présenter sa thèse de doctorat sur le polisario et Mesahal qui avait brillé dans sa description spectaculaire concernant un imaginaire Maroc corrompu. Selon cet ivrogne, le Maroc ne progresse que par :( l'export de résines de cannabis et blanchiment d'argent via l'arsenal de la RAM (Royal Air Maroc) qui transportait outre que les passagers, allusion au "Hachich" affirmant que çà tout le monde le sait et que même  les présidents le lui disaient!).

    Ces connards faisaient tout de leur mieux, employant par pétrodollars, toutes les voies tordues et de tricherie pour que l'Algérie succède à elle-même et reste au poste de chef de fil au plus important Conseil de l'Afrique pendant plus de 16 ans. Mais l'époux de la sorcière réapparaît brusquement au champ de parcours, avec toutes ses prérogatives de crédibilité pour la redresser et la recaser à son poids de futilités.

    La preuve en est là, puisqu'il devient légitimement le mari qui a droit à occuper le fauteuil du CPS, tant bafoué et entaché par les crachats et la mauvaise odeur de tabac à chiquer Algérien.

    Point barre (./) aux mauvais vouloirs du locataire du palais d'Al'Moradia d'Alger et les membres du cercle de décisions qui décrétaient unilatéralement, par le biais de leurs pions à l'UA, des recommandations futiles, voire des injonctions laissant à désirer, demandant au Maroc de quitter "immédiatement"(sic) le Sahara. Fini les vas-et-vient de galas aux cravates papillon, mâchant le tabac à chiquer Algérien (chemma) dans les couloirs du siège UA à Addis-Abeba.

    Pour le pouvoir Algérien ses épisodes théâtrales "Hitchcock"sont désormais irrecevables et trouveront pas de public anesthésié, à l'intérieur qu'à l'extérieur, pour les applaudir. A mon sens, c'est fini ou presque. Le chavirement du pirogue du général Gaid et compagnie est apparemment irréversible et aucune évacuation ne pourra se faire, étant que l'acharnement de la rue est déjà au fond de la plongée, malgré les mesures calmantes prises conjointement par lui et son secrétaire Bensalah, le président-chiffon, pour passer en force à une présidentielle éventuellement truquée par la primatie contestée de Bédoui.

    Les Algériens doivent en définitive laisser de côté les nœuds de papillon et regarder la vérité en face, acceptant avec amertume, le fait accompli dicté par la raison, tout en respectant en parallèle le spectre politique et la crédibilité du monde auquel ils appartiennent, s'ils veulent bien êtres respectés, car désormais, il n'y aura plus de place au chantage politique en Afrique avec la présence du Maroc, ni à leurs mauvaises fois, ni à la politique d'autruche qu'ils ne manquaient de mener auparavant face à la chaise vide du Maroc. Bonne lecture.

                                                                        Cordialement,Chihab25