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  • Maroc-Algérie : La junte d'Alger ne se développera jamais, étant l'âge de ses généraux ne leur permet que de salir leurs sous-vêtements

                                                                                  

                                                                                                 drapeau-du-maroc-image-animee-0008 

                                                                           

                                                                                             Le président Joe Biden(USA) et la Marocanité du Sahara

    Dernière gifle : Résolution 2703 (31/10/23). l'Algérie est, de plus en plus, en net recul face à la crédibilité Marocaine. Tandis que le Maroc gagne du terrain. Un énième succès pour le Maroc, un échec pour l’Algérie. Le Conseil de sécurité de l’ONU vient de gifler Alger par la résolution 2703, confortant la cause Marocaine, face à l'Algérie. Le Maroc continue ainsi, à consolider et renforcer ses exploits diplomatiques de crédibilité et de conservatisme..

    Avant propos : Je vais consacrer, exceptionnellement, cette note à un récit qui me paraissait important, il dévoile la vérité du régime Algérien. Un récit présenté de l'intérieur de l'Algérie par une Professeure qui ne mâchait pas ses mots, s'exprimant de façon très certaine, côtoie ce qui stipule «اهل مكة ادرى بشعابها- ceux de la Mecque connaissent mieux ses sentiers» si j'ose traduire ainsi. J'avoue, en fait,  que le contenu dépasse ce que je ne pourrais collecter, durant des décennies, sur l'Algérie et sur la mauvaise posture de sa junte militaire. Comme à la coutume, je ne peux m'en passer de la cause Nationale et les dérives Algériennes qui la empoisonnent continuellement.

    La preuve en cette énième fois, en est que le ministre Algérien aux affaires mensongères, s'est misérablement mis en scène de jonglage diplomatique, lors d'un débat au Conseil de sécurité de l'ONU sur le sujet de «la participation des femmes à la paix et à la sécurité internationales».En intervenant à sa manière, il est sorti hors normes, bafouillant l'ordre du jour de l'assemblée, devant plus de cent intervenants de pays différents qui ont, accédé en régle de routine,  à la tribune Onusienne, prenant, sans solennité, la parole aux normes diplomatiques cohérentes.

    Il s'est précipité de répéter, sans hésitation et avec figure "rougeâtre", comme on dit en dialectal Marocain, les mensonges de son pays sur la question du Sahara Marocain. Cela prouve ainsi, une fois de plus, que l'Algérie est -bel et bien- partie principale à ce conflit artificiel qu'elle a crée, actant des termes trompeurs qui reflètent la haine que son Algérie voue au Maroc, articulant, entre autres, avec insistance lignée, je cite:«J'ai pensé qu'il était approprié de faire référence au Sahara "occidental, murmurant, avec amertume douloureuse en son fond,les 14 pays membres de l’UE qui soutiennent l'initiative Marocaine d’autonomie». 

    Traits de trahison : Il s'agit d'une sociologue Algérienne dénommée «Fatma  OuSeddiq» professeure de sociologie et d’anthropologie à l’Université d’Alger. Par une conviction déterminée et esprit de Prof, elle osait s'exprimer sincèrement, sur les malaises de son pays l'Algérie,confirmant l'usurpation de l'Algérie par opportunistes caporaux, tombés du plafond Français, privant l'Algérie de toute solennité d'efficacité et de crédibilité.je cite :

    C'est ainsi que les généraux ont implanté des traits de trahison chez les Algériens. Le régime de notre pays, en recourant au discours d'une conspiration orchestrée de l'étranger, crée parmi les citoyens le sentiment que nous sommes un peuple assiégé et que nous avons des ennemis qui nous guettent de tous côtés. y compris nos voisins à l'Ouest Algérien, ceux qui nous entourent, et même l'État d'Israël, qui existe sur un autre continent, très loin de nous. Nous sommes hostiles et voulons nous détruire, ce qui fait souffrir le peuple algérien de «troubles psychologiques collectifs qualifiés de fièvre de siège» pour y être brillants en hostilité envers, presque tout le monde, sauf certains opportunistes Africains qu'ayant trouvé le bout du tunnel qui menait à la saveur de notre pétrodollars.

    La stratégie, qui fait à la fois référence aux «cyberattaques et attaques terroristes à l'intérieur de nos frontières et au danger extérieur, crée chez chacun de nous Algériens le sentiment d'être un peuple assiégé sans refuge, sauf que les forces de sécurité et l'étreinte des généraux, font souffrir le citoyen Algérien de troubles psychologiques, qui le contraignent à commettre des exactions et des crimes sanglants chaque année dans le pays.fin de citation.

    Dans un article intitulé «La route pour un peuple libre», cette courageuse femme a estimé que le régime militaire qui dirige son pays «ne se présente au peuple Algérien qu'à travers ses capacités répressives ou défensives en établissant chez chaque individu le sentiment de la présence de danger de «main extérieure» qu'on l'accuse d'hostilité  imaginaire  à l'égard d'Algérie.  

    C'est ce que les chercheurs appellent «la fuite en avant», au lieu de l'aveu par la bande dirigeante de son incapacité à gérer les secteurs vitaux du pays dans tous les domaines où surmonter les sujets brûlants qui affectent la vie quotidienne des Algériens.Le groupe dirigeant des infirmes militaires et civils continue d'exporter et de promouvoir l'idée que les Algériens sont entourés d'ennemis de tous côtés et que c'est la raison de l'échec de la politique du régime à assurer une vie décente et normale aux Algériens.

    Les Algériens se sentent des ennemis étrangers de leur sort et la bande de généraux est pour rien de tout ce qui arrive au peuple Algérien d'oppression et d'humiliation, de faim, et de soif. Ce qui est étrange dans tout cela, c'est que le misérable citoyen Algérien croit, bêtement à ce plan infernal, tombant, accidentellement dans les mauvais draps de l'hostilité envers tous les pays voisins, au Maroc surtout,et même aux certains pays du Golfe, au point qu'il a commencé à croire à ce plan  bavure des généraux.

    La nouvelle Algérie a du mal à incarner sur le terrain les mensonges et les calomnies de son président Tebboune. Malgré toutes les tentatives de propagande visant à commercialiser le «récit  de l’Algérie comme une force de frappe», l’échec politique, économique, social et diplomatique sur le terrain, le nombre élevé de files d'attente pour de simples produits alimentaires et la multiplication des manifestations de pauvreté, de faim, d'ignorance, de chômage, de corruption demeurent des questions de maîtresse de la situation et d'amère réalité dans laquelle vivent les Algériens. matin et soir.

    Nous sommes obligés de manger de les viandes de «charogne, de chien, d'âne et de boire des eaux usées». Les citoyens ont commencé à vendre leur honneur pour un mégot de cigarette ou un sachet de lait en poudre. Quant aux femmes algériennes, elles sont prêtes à vendre leur honneur juste pour un repas «Tacos». Le gouvernement des généraux infirmes et sa stupide façade civile, (le Président Tebboune), se dirigent sans boussole vers un avenir inconnu, sans objectifs ni direction, comme d’autres gouvernements dont le peuple respecte sa vision dans tout ce qu’il fait ou pense faire.

    Avec cette mentalité et l'âge de désespoir, les généraux, ayant usurpé le pays, ont atteint de détresse, ils sont incapables de trouver des idées fructueuses censées produire du bien à l'Algérie. L'évolution de leur âge biologique ne leur permet que de tripoter leurs sous-vêtements et de chercher les toilettes toutes les 5 minutes. Ils sont indifférents aux évolutions du monde et fidèles adhérants aux idées du régime communiste d'autrefois qui ne trouve de réconfort que dans un environnement de tension, de guerre, d'oppression et de dévastation, d'autant plus,qu'il sont incapables de réformer quoi que ce soit au profit de l'Algérie. 

    Dans le cadre de cette adhésion pathologique au passé communiste barbare, transformée en politique d'État ouverte, le duo Chengriha-Tebboune a restauré la politique du bâillonnement et de l'anéantissement, de manière hystérique des misérables de l'opposition qui les contrdisent ouvetement. A cet effet, les Algériens sont désormais acculés à plus de repressions. C’est ce qui ressort clairement d’un décret exécutif signé par le grand menteur de la nouvelle Algérie Tebboune. Son texte ultra-liberticide prévoit l’interdiction et la limitation, à grande échelle, du droit de grève, dans quasiment tous les secteurs relevant de l’État et même du secteur privé.

    À la mi-octobre 2015, j'ai écrit dans cet espace un article alerte : Qu'arrive-t-il aux généraux algériens ? à l'attention de feu Bouteflika demandant de limoger le général Mohamed Mediene, alias Toufik, après un quart de siècle à la tête des services de renseignement, lequel ne faisant que démanteler les sillages, les plus somptueux de l'Etat, de sa manière qui a servi ses ambitions, en maltraitant avec certains de ses camarades généraux non fidèles à lui.La même équation reste imposée et plus fréquemment posée aujourd’hui, surtout aprés son retour de sa cavale Ibirique et sa reprise de fonctions.

    Aujourd'hui, deux anciens hauts commandants de l'armée sont morts en prison : le général Rachid Chaouaki, ancien directeur général du département de l'industrie militaire et après lui le général Jamal Al-Arousi, commandant de la deuxième région militaire à Oran.Les deux hommes sont décédés alors qu'ils étaient en détention pour des accusations de corruption liées à l'exercice de leurs fonctions.

    Les Algériens ne savent pas exactement combien de doyens sont détenus pour corruption liée à leur travail. Mais il s’agirait sans doute de dizaines de toutes branches et postes. Il s'agit de hauts responsables administratifs, avec à leur tête le général Abdelhamid Gharis, ancien SG du ministère de la Défense, le 2ème homme qui était fort après Ahmed Gaid Salah. Il y a aussi, notamment les généraux Bachir Tartag, Wassini Bouazza. Abderazaq Charif et Saâd Bey, qui ont occupé des postes de direction qualifiant le ministre de la défense pour qu'il soit un Ministère comme les autres.Certains d'entre eux ont été condamnés à 15 ans de prison. Parmi eux se trouvent ceux qui souffrent de maladies chroniques, et d’autres sont candidats à des maladies physiques et psychologiques impitoyables.-

    À cela s'ajoutent ceux qui fuient à l'étranger, notamment le général Ghali Belqsair, ancien commandant de la gendarmerie, et le général de division Habib Chentouf, ancien commandant de la première région militaire. Il existe également en prison, un grand nombre de colonels et d'autres grades militaires.S'il a été rapporté que le général Chawaqi serait mort dans sa cellule à la prison militaire de Blida, des suites d'une maladie chronique, il semblerait que l'autre général Al-Aârousi soit décédé dans des circonstances mystérieuses alors qu'il était en détention.

    Quels que soient les détails du décès et les circonstances de la détention, nous sommes confrontés à une situation remarquable, car l'histoire ne mentionne aucun pays au monde qui a emprisonné un si grand nombre de hauts gradés militaires, politiques et civils en même temps. Sont-ils tous corrompus et méritent-ils d’être punis ? Cela condamnerait l’appareil d’État qui permet à la corruption de se propager à une telle échelle aux plus hauts niveaux au sein des institutions les plus disciplinées. Sont-ils détenus dans le cadre d’une campagne de vengeance et de règlement de comptes? Une question restera morte certes.

    Ce n’est un secret pour personne que la plupart des personnes actuellement détenues sont affiliées au clan de l'hunimé-général Ahmed Gaid Salah. Dans la courte période pendant laquelle il a resserré son emprise sur le pouvoir après le renversement du président Bouteflika, Gaed Salah a lancé une campagne de purge massive ciblant ses opposants et tous ceux qui, selon lui, s’étaient opposés à lui dans le passé ou s’opposeraient à lui à l’avenir. Ainsi, de nombreux officiers supérieurs et commandants se sont retrouvés en prison militaire.

    La persécution s'est étendue jusqu'au général Khaled Nezzar, qui a donc été contraint de fuir vers l'Espagne. Mais avec la mort de Gaed Salah et l'arrivée d'Abdelmajid Tebboune à la présidence, avec le fort soutien de Gaid Salah lui-même, les portes de l'enfer se sont ouvertes sur ses assistants et ses affiliés, et ils ont commencé à être poursuivis par une campagne d'arrestations. c'est une copie identique de celui qu'il a lui-même lancé à l'aide de ses bras-subordonnés dans diverses positions.

    Ainsi, la «porte tournante» a fonctionné et le slogan «Un jour pour vous et un autre contre vous» a été activé. Un groupe de dirigeants ont quitté les cellules pour se diriger vers les bureaux et les palais du gouvernement, comme le général de division Jabbar Mehanna, qui dirige aujourd'hui le Service de renseignements étrangers Ils ont été remplacés dans les cellules par un autre groupe de ceux qui étaient les maîtres d'hier.Il s'agit d'une situation anormale qui aura pour conséquence un manque de sentiment de sécurité chez les hauts responsables civils et militaires, pendant qu'ils sont en poste et même après leur retraite.

    Une autre conséquence de cette situation est que la campagne d’épuration que les Algériens ont applaudie immédiatement après le mouvement, en voyant le « Seigneur de l’Algérie » (le lieutenant-général Madian) et d’autres emprisonnés, a commencé à éveiller la suspicion et l’appréhension. Aujourd’hui, l’arrestation d’un général ne suscite plus l’intérêt de l’opinion publique comme en 2019, et elle n’apaise plus le chagrin des Algériens car ils ont décidé en eux-mêmes que c’est une question de temps et une question de rôles et de destins. Le prisonnier d'aujourd'hui était le prisonnier d'hier, et vice versa.De plus, ces arrestations et procès massifs ne restaureront pas la confiance fragile des Algériens dans le système judiciaire de leur pays.

    Les médias gouvernementaux, même privés, qui ne diffèrent plus en rien du gouvernement, et avec eux les institutions étatiques, jouent un rôle dans la destruction de la confiance des Algériens. C'est pourquoi l'opinion publique ne croit pas facilement aux récits officiels, même lorsqu'un général meurt par accident, comme ce fut le cas avec la mort subite de Gaid Salah lui-même, et avec le général de brigade Rachid Harrath, directeur des communications et des écoutes à la présidence, qui est décédé le mois dernier (apparemment dans un accident de la route), c'est pourquoi les médias gouvernementaux ont annoncé sa mort, sans donner de détails sur sa date, son lieu et sa cause. 

    Témoignage documenté : Pour me soulager, je termine par le mauvais concept que nous a choisi la lâcheté géographique. Elle nous a imposé le voisinage le plus lâche de la planète, de façon à ne pas s'attendre, ni au respect reciproque, ni de considération d'un pouvoir criminel qui, fait de son agenda la liquidation physique et l'emprisonnement des siens, surtout ses opposants ou ceux qui le contredisent. Un témoignage, noir sur blanc, raconté par deux Français ayant vécu tout près des bourreaux et qui connaissaient bien les lieux des crimes en Algérie.

    Le Respect et les valeurs s’imposent au Royaume comme des émotions. Dans un livre tout juste édité en France, ses auteurs expliquent «qu’on ne convertit pas à un système de valeurs par des raisonnements, et encore moins, par l'oppression ou par le fer et le feu».Un livre explosif qui raconte l’immersion de deux experts français au «pays du monde à l’envers»

    Dans ce livre «Le mal algérien» , co-écrit par deux Français -MM.Jean-Louis Levet et Paul Tolila-, les deux économistes ayant été en poste en Algérie durant plusieurs années, ne se contentaient pas de brosser un impitoyable tableau de la prédation exercée par les dirigeants militaires Algériens depuis 1962. Ils l’inscrivaient dans le cadre d’une histoire fabriquée destinée à légitimer la mise en coupe réglée de l'Algérie par une curieuse «alliance des coffre-fort des biens publics et des baïonnettes» formant un Système mafieux de gouvernance.

    Ce document, met en évidence les racines de ce que ses auteurs définissaient comme «le mal algérien», un livre qui devrait être, lu et relu, par ceux qui continuent à voir l’Algérie et sa révolution par des «yeux de Chimère», surtout par la gauche française qui porte un regard négatif sur le Maroc, mettant, en parallèle, ses genoux à terre dès qu’elle parle de l’Algérie…   

    Les auteurs suivaient, pas à pas, la fabrication de la fausse histoire de l’Algérie dont son naufrage social dû à l’immense corruption-prédation opérée par les profiteurs militaires, sidérés par l’ampleur des règlements de comptes entre les clans qui se partagaient le pouvoir, se retournant, en colère, à la poursuite des activistes, les plus irréductibles des Kabyles et du mouvement Azawad au sud de l'Algérie pour les liquider, privant le mouvement Touaregs qui s'est révolté en 2012 pour réclamer son droit à l'indépendance de l'Algérie, ce que refuse  la junte, considérant que «simple emploi de cette dénomination est séditieusement inacceptable».

    Je dirais enfin de compte, à l'horizon de voir davantage d'harcèlement, haine et d'hostilité de notre voisine de mal l'Algérie, que le Maroc est contraint de confronter trop de bêtises : «mensonges, vagues de frivolité, submersion de haine, rupture de relations, remous diplomatiques et de frivolité de la junte d'Alger.

    Il restera en vigilance rouge, malgré lui, pour parer à toutes éventualités y afférentes, provenant de la folie de nos voisins de l'Est qui, décidément, n’en démordent pas. On comprend, du reste, que le dénommé Tebboune ait coincé, par des raisons de paix intérieure pour laquelle, la junte militaire justifie l’injustifiable, sur le dos d’un peuple opprimé. Il n'en demeure pas moins que les accointances suspectes avec des pouvoirs étrangers laissent dubitatif.  Jugez-en plutôt, étant que «La propagande est à la démocratie, ce que la -matraque- est pour la dictature  et qu'«Avec des scies, on refait le monde».

    Sachant qu'on est en face à une sale race, bien que les Marocains souhaitent soutenir sans réserve aucune, toute décision Royale ferme dans le conflit avec l'Algérie. Une décision rompant à l'infini, tous les contacts avec, qu'ils soient officieux ou officiels. Pas de fraternité, pas de neutralité, pas de médiation, pas de tentative de rétablir la paix…Rien de tout cela. On exige de la fermeté…précisément que cette Algérie se contente de son ère menaçante et faisant de sa devise l'apologie du terrorisme diplomatique contre là Grandeur Marocaine.L'Algérie tente d'expier ses mauvaises actions, souhaitant normaliser ses relations diplomatiques avec l’Espagne, mais sans obtenir gain de cause, car Mr.Pedro Sanchez ignore l'Épilepsie Algérienne et l'ingérence du gaz-dz dans la souveraineté de son pays.

    Quant à nous Marocains,Nous n'attendrons bénédiction de personne, nous sommes chez nous,  plus que jamais, convaincus, que ni l'ONU, ni l’UA ni les Non Alignés qui, continuent d’être perçues comme inefficaces et peu crédibles, ne pourront rien changer de la Marocanité du Sahara, étant donné que «le Sahara est dans son Maroc».La faute y est à l’absence de volonté politique chez les caporaux d'Alger, qui renâclent de revenir à la raison, seul moyen de rétablir liens de confiance avec son entourage, en particulier avec le Maroc. Mais revenir à ce stade n’est pas audible en ce moment, tant que les sales bottes ne cessent d'imposer aux voisinage les regles de casernes.Bonne lecture.

     

                                                                                        Cordialement,Chihab25