Maroc-Algérie : l'Algérie c'est le monde et le monde c'est l'Algérie, le faux point de vue à l'Algérienne!

                                                                                                                        

                                                                                                                                                              l'Algérie, l'État terroriste 

L'insolence des miracles... C'est les brins provocateurs de l'Algérie et ses avaricieux militaires, les plus cupides du monde qui s’acharnent, au pied d'oeuvre à emmerder le Maroc. En Algérie, les sujets de déviation de  toute crédibilité et de responsabilité font parler d'eux dans les médias, au point de devenir le sujet d'actualité par excellence, à cause du bla-bla d'Alger.

Devant cette situation, la plupart des pays, surtout d'Afrique, auraient décidé de prendre les devants, par des mesures préventives afin d'éviter la «contamination» de mensonges à l'Algérienne!.

Ainsi, considérés comme vestiges très douloureux, l’Algérie et ses militaires sont considérés -«persona non grata-» partout sur le continent d'Afrique surtout, pendant que le pouvoir en place feint d’ignorer cette réalité qui saute aux yeux, faisant semblant d'ignorer que ses populations meurtries  souffrent, en silence de la lâcheté militaire qui cherche, pathétiquement, se camoufler derrière ses défaites diplomatiques.

Les horreurs commises pendant la décennie noire 90 en Algérie les criminels-généraux Nezzar et Toufik n’ont pas fini de hanter la mémoire des Algériens. Le 5 octobre 1988, rappelons-le, fut le point de départ de la tragédie, ces horreurs persistent également à les diviser, entre Algériens :

-Ceux des années 90 qui endossent la thèse officielle des crimes au FIS, (Front Islamawiste de Salut (d'Abassi Madani) combattu et réprimé, par une armée de lâches et -Ceux qui accusent le régime d’avoir mis en œuvre une répression indistincte et disproportionnée particulièrement meurtrière.

Encore de l'hostilité-fr : Plus le temps passe, plus la crise politique entre le Maroc et la France Macronie empire et prend des proportions peu rassurantes quant à l’avenir des relations entre les deux pays, pourtant historiquement, ils étaient amis et alliés, aux beaux temps de ses décideurs à l'image du général Charles De Gaules, Valery Giscard d'Estaing, Georges Pompidou ; François Mitterrand et même de George Marché ou de Jean-Marie le Pen..

En témoigne la fâcheuse réaction d’une partie de la presse française après le refus par le Royaume de l’aide Française proposée à la suite du   séisme d’Al-Haouz et l’acceptation d'offrandes de quatre autres Etats, suivie de la riposte accablante du Maroc à la ministre française aux Affaires étrangères, qui évoquait, unilatéralement, une pseudo-invitation Royale au président Macron.

Selon une source du département Borita, aucune visite du président français au Maroc «n’était à l’ordre du jour et ni programmée non plus!». Cela étant prouve un signe d'avant-coureur d'un durcissement de gèle de relations entre les deux pays; malgré la réception parmi d'autres hier (4/10/2023) par le Souverain à Rabat du nouveau ambassadeur Français qui aura probablement, pour mission que piloter la synagogue de la Brigitte-Macronie qui se résigne désormais, à faire croire plutôt qu’à faire. Une tactique qui ne trompe plus personne, mais qui inquiète les Français.

Diplomatie à la Marocaine : Et pourtant, il y a eu une réception des ambassadeurs par le Roi : pourquoi les spéculations sur le Français et l'Américain sont de pures inepties au premier groupe?. Des médias et «spécialistes» étrangers du Maroc et de sa diplomatie y ont trouvé matière à toutes les spéculations et autres fantasmes. Mais si les ambassadeurs respectifs des États-Unis et de France n’ont pas figuré parmi le premier groupe de diplomates reçu par le Souverain, c’est au nom d’une règle aussi simple qu’universelle, prévalant dans la présentation des lettres de créance. 

Factuellement, et pour en assurer le bon déroulement, la cérémonie s’est déroulée en deux temps. Le 2 octobre, Sa Majesté recevait au Palais royal de Rabat un premier groupe d’ambassadeurs, venu présenter leurs lettres de créance au Souverain. C’est ainsi que 14 ambassadeurs plénipotentiaires et extraordinaires ont été reçus par le Souverain.

Un deuxième groupe de diplomates, dont celui des États-Unis et de la France, a suivi le 4 octobre, jour où le Souverain a reçu 14 ambassadeurs. Purement protocolaire, la démarche a néanmoins servi de prétexte en or à des médias et des plumes ouvertement hostiles au Royaume pour y trouver matière à bafouiller. N’ayant pas compris, ne voulant pas comprendre, ou n’étant pas au fait des arcanes de la diplomatie, certains se sont limités au premier groupe de diplomates et ont, partant, donné libre cours à des interprétations totalement erronées. 

Des inepties allègrement relayées, notamment par des médias, en majorité, des éminences étrangères à diplomatie Marocaine et autres «spécialistes» de tempêtes, qui ont lu dans l’absence du premier groupe, de l'ambassadeur des États-Unis et l'ambassadeur Français, matière à diriger leurs canons contre Rabat. Mais sans force de frappe nécessaire.

La règle de préséance universelle en diplomatie veut, justement, que les premiers diplomates arrivés dans un pays soient les premiers à être reçus par le chef de l’État. Et le Maroc n’y échappe pas. «Le jour de la réception de l’agrément ordonné par le Souverain à un ambassadeur donné équivaut à son arrivée. Cette date est consignée au niveau des Affaires étrangères», explique Hassan Abdelkhalek, le dernier ambassadeur en date du Maroc en Algérie.

L’ordre établi en matière de réception par le Roi est donc chronologique. «C’est à ce titre que, dans le monde comme au Maroc, le doyen des ambassadeurs n’est ni le diplomate le plus âgé, ni le plus important, mais le plus ancien à occuper ses fonctions dans ce pays», ajoute l’ancien diplomate. 

Un faux point de vue...En Algérie, pays à 95% de stupides, il y a des endroits, dont le nom, «gris-gris», témoigne de l’ancrage populaire de n'importe quelle croyance anti-Marocaine, même si quelques Algériens ne la reconnaissent que du bout des lèvres, via de petites voix, s'activant en ordre dispersé à l'étranger. (Boukrouh,Zitout,Aâboud,Walid Kébir et Abdou Semar et Amir dz).

L'ancien ambassadeur de France en Algérie (XD) ne mâchait pas ses mots quand il s’agit de décrypter la situation actuelle en Algérie et la complexité des relations franco-algériennes, livrant son point de vue, sans concession, sur ce pays qu’il connaît bien, concluant que cette entité, n'est ni Etat respectable, ni peuple à considérer, elle est une écurie de terrorisme, soutenue par une bande d'escrocs, qui s'entend s'enrichir, au dos des démunis de l'Algérie profonde!.

Et pourtant, l'Algérie des apparences reste le «-monde et ce monde, est l'Algérie-». Mais après avoir découvert autres peuples, comme réalité, non de vues de rêves électroniques, et après enquêtes, analyses et expériences de terrain, tout observateur, peut s'assurer que l'Algérie en tant que force d'influence et de frappe Tebbounerie, n'existe pas, si ce n'est qu'une entité corrompue..! Après avoir écouté les discours de la Tebbounerie, l'Algérien réalise que son pays patauge entre le marteau et l'enclume se servant de l'ignorance programmée. Son régime militaire ne permet pas de voir autre chose que ce qu’il voit et entend, et si quelqu'un oserait s'insurger un instant, il devient mercenaire de main étrangère qui le soutient.

Ainsi, l’ignorance populiste est programmée et même encouragée par les médias et la presse jaune d'une bande, ayant réussi à usurper le pouvoir et le destiné de tout un peuple opprimé.. Censé de constater, que tout effort à prendre par les Algériens, pour s'en sortir de  l'impasse, et pour corriger, les Algériens devront, à mon sens, se révolter et libérer leur Algérie de sa grande prison» Pour démolir cette prison, les Algériens devront se concentrer sur l'édification d'un vrai Etat.

Les premières étapes de la conquête consisteront à ouvrir les frontières avec le Maroc et s'inspirer de ses modèles, à se réconcilier avec la Tunisie pour y récupérer les 300 millions d'euros qu'il en a dérobé de la trésorerie Algérienne en un moment de détente Alcoolique avec Tebboune et à rétablir des relations normales avec les voisins, même si cette Algérie, en tant que pays, ne contrôle pas ses comportements, qui la brûlent, au petit feu, avec ses fluctuations.                                  

Qu'est-ce qu'un polisalgérien...C'est l'engagé des Ayett Achaitane d'Iran, via le Libanais proprement dit Hassan Sakhtt-Allah..«C'est l'ange sans corps par excellence et l'allié tout azimut d'Iran» s’opposant fermement, via la presse jaune de son mentor Algérien, aux liens croissants entre ses grands rivaux, -le Royaume du Maroc et Israël-, et n’hésitera pas à utiliser les drones Iranien contre le Royaume. “Cela peut, à mon sens, menacer la stabilité et la sécurité du triangle (Algéro-Mauritano-Marocain), posant potentiellement une menace aiguë pour les intérêts des occidentaux dans cette région”.

Ce n’est là, ni plus ni moins, que la stratégie du régime des ayett Echaitane pour gagner en influence et déstabiliser, uniquement le Royaume du Maroc, accusé, aux yeux de Téhéran d'avoir «reçu en hôte» l'ex-Shah d'Iran (Mohamed Réda Pahlawi),  pendant sa peine de déposition en 1979 par le  Khomeinisme.. Et pourtant, le Shah était contraint à l'exil, se réfugiant en premier lieu en Égypte, au Maroc, puis aux États-Unis. C'était d'ailleurs, le chef d'accusation rejeté par l'humanisme et la générosité de Sa Majesté le Roi-génie, feu Hassan II que Dieu ait son âme.

Livrer des armes de l’Iran au polisario par la médiation incontestable de l’Algérie, c’est aussi accroître la présence du Hezb Echaitane en Afrique du Nord. L’Algérie pourrait encourager son -polisalgérien- à attaquer le Maroc, plus violemment maintenant qu’elle dispose,  de drones iraniens. Cela conduira à son tour à une réponse Marocaine plus dure que jamais, à l'instar des gifles de la guerre des sable d'octobre 1963, les Amguala 1976, Tifariti 1991 et d'autres batailles, ici et  là, au Sahara Marocain, dont celles de l'Ouarkziz où le sous-lieutenant Chengriha, aujourd'hui, aux galons de général pisseur était fait prisonnier en 1976.

Le peuple pénal : : En fin de compte, disons à celui qui voit qu'il est plus intelligent que  : Sur cent personnes, il n'y en a guère une qui vaille la peine de discuter. Quant aux autres, qu'ils disent ce qu'ils veulent, tant que tout individu a le droit de délire. Je ne suis pas habilité à ce genre de chronique sur Israël, mais je me réjouis de traiter le côté Marocain en Israël. Ce que je pourrai dire à ce sujet, c'est qu'Israël est un Etat parlementaire démocratique au Moyen Orient, pas un pays de Putschistes. Sa création en 1948 n'était pas accidentelle, puisqu'elle se fût imposée sur les ruines d'une Palestine d'autrefois par ce qu'on appele «accord 'Belfort'» d'Angleterre.

Qu’a vraiment gagné Rabat en normalisant ses relations avec Tel-Aviv ? En nouant des relations diplomatiques avec Israël, le royaume a obtenu certains avantages. Mais ce rapprochement a aussi eu un coût. Deux ans après les Accords d’Abraham. Au royaume, l’été 2022 aura été ponctué en trois mois, par des visites successives de responsables israéliens de premier plan : la ministre de l’Intérieur,  le chef de l’armée, et le chef de la police. Depuis la signature des Accords d’Abraham entre les deux pays, le 15/12/ 2020, le Maroc et l’État hébreu ont fait de la sécurité leur priorité, un an après la normalisation, la régularisation de leur relation prendra le cours normal.

Et depuis, devenant en perspective, pour les juifs -la terre promise-  et ce en vertus de la Déclaration Balfour de 1917  qui était une lettre ouverte (02/11/1917) d'Arthur Balfour, alors secrétaire d'État britannique aux Affaires étrangères. Elle était adressée aux personnalités éminentes de la Communauté Juive Britannique et financée par le Mouvement Sioniste, aux fins de retransmission. 

Par cette lettre, le Royaume-Uni se déclara en faveur de l'établissement en Palestine d'un projet présenté comme «un foyer national pour le peuple juif». Cette déclaration était considérée comme une des premières étapes dans la création de l'État d'Israël. Deux tendances  politiques dirigeantes -(Gauche-droite) se battent la direction, rassemblant les juifs ayant été, dispersés de nature au monde, dont les grands décideurs politiques rapatriés sont issus, soit de l'axe d'Europe de l'Ouest soit de celui de l'Europe de l'Est. 

Traditionnellement, la composition de gouvernants en Israël est très européenne : (Allemands, Polonais, Russes…) Mais à l’arrivée d'Amir Peretz à la tête du parti travailliste en 2005 face à un Shimon Peres originaire de Pologne avait déjà été très remarquée au Maroc comme en Israël.

Les juifs d'origine Marocaine, dont la plupart serait composée des natifs de Casablanca, Rabat, Bej'aad, Meknès, Essaouira et Tafilalet sont les plus actifs. et les plus politiques, œuvrant en substance, dans les différents composants, aux hauts rangs de l'Etat, tels que dans l'exécutif et le parlement et qui y sont fiers d'appartenir à leurs racines Marocaines. L’arrivée de Marocains à des postes clés dans l’appareil d’État, l’armée, le Parlement, la recherche et la classe politique bouleverse la société israélienne. 

Parmi les portefeuilles que comptaient les gouvernements israéliens, figuraient souvent pas moins de dix ministres d’origine marocaine. Un fait qui n’échappe à personne, ni en Israël, ni au Maroc. Ce n’est pas la première fois qu’un gouvernement israélien compte plusieurs « Marocains » dont le ministre de la Justice Amir Ohana et les symboliques : «Amir Peretz, Aryé Deri, Miri Regev, Orly Levy qui fût ministre à une époque où les Juifs arabes étaient rarement appelés à des postes de direction politique». 

Ce sont ces Israéliens avec qui le Maroc, en tant qu'Etat crédible et responsable à retisser les liens, sans perdre ou négliger, en parallèle ses position envers la cause dite "arabe" de la Palestine, conformément au consensus international, loin du slogan vague -avec la palestino injuste ou opprimée- que répètent souvent certains de nos frivoles au Maroc  et la  Tebbounerie et ses opportunistes en Algérie.

Le jour où, par baguette magique, on fera disparaître Israël, le monde d'Algériens et d'opportunistes Marocains connaîtra une grande joie, faisant danser des millions de personnes. Que sera-t-il le Monde sans cette parallèle, rien du tout? Au Maroc, le clan anti-normalisation avec Israël (Kh.Soufiani - et un certain Ben Jelloun) monte au créneau, exigeant même, dans le même bla-bla à l'Algérienne, des mesures concrètes face au -trend haussier- de rapprochement entre Rabat Tel-Aviv. 

«les peuples algériens, dont la Kabylie, l'Azawad, les Twareg et ceux de la Saoura au Sahara Marocain oriental sont colonisés par une Algérie» dont la terre regorge d'énormes ressources naturelles qui lui rapportent des milliards de dollars. Ce pays où tous les droits sont passibles à bafouer, est considéré comme le plus grand pays d'Afrique, pas en superficie, mais en folie, possédant de vastes zones propices à la culture et à l'agriculture, mais il vit dans la pauvreté et le dénuement dans sa forme la plus pure à cause d'une mentalité frivole de casernes.

Ce que nous voyons aujourd'hui en Algérie, des files d'attente interminables depuis l'aube, et ce qui se passe là-bas, en courant après les camions de distribution de lait, est vraiment honteux et dégoûtant. Ce n’est qu’une preuve de la faillite du régime militaire qui contrôle le peuple algérien. La situation de ce peuple est une exception parmi les Etats pétroliers. Alors, où est passée sa richesse, pour qu’il soit exposé à la faim, à la soif et à toutes sortes de privations ?

La réponse se trouve en partie à Tindouf, où la fantoche « RASD» a été établie pendant cinq décennies aux dépens du peuple algérien. Le régime militaire arme et finance le Polisario pour porter atteinte aux intérêts du Maroc. Il paie également les salaires de dirigeants imaginaires, aux  ministres aux missions diplomatiques et autres institutions fictives ; À cela s’ajoute la diplomatie des chèques et des dons pour mendier la reconnaissance de Ben Batouch, le chef des tentes de poussière et du vent.

L’autre partie de la réponse à la question ci-dessus se trouve dans les successions et les comptes bancaires des généraux et hauts fonctionnaires à l’étranger. Ils dilapident, dilapident et pillent les richesses du peuple algérien par tous les moyens. Ils ont fait que l’Algérie, riche de ses richesses diverses, est à la traîne en tout. Alger est classée parmi les pires villes du monde (elle se classe troisième). Le public, qui a regardé les événements sportifs organisés dans les villes algériennes, se souvient de la médiocrité des moyens de transport, des équipements sportifs, des infrastructures, etc.

En somme, tout en Algérie condamne son ancien régime stupide, insensé, téméraire, tyrannique, corrompu...Il a appauvri le pays et fait passer de longues heures à ses habitants dans des files d'attente interminables pour obtenir un milk-shake, une canette de huile, un kilo de lentilles, de haricots ou de haricots, pommes de terre ou oignons et autres consommables nécessaires.

Témoignage inédit : Les peuples torturés sur terre, le peuple algérien comme modèle. Je cite ce titre, me référant à l'écrivain égyptien Taha Hossein, auteur du recueil intitulé «Les Damnés de la terre» ; il a plutôt été dicté par les conditions de vie difficiles que traverse le peuple algérien, malgré les richesses dont regorge son pays.

Si l'écrivain égyptien avait traité, dans les années quarante du siècle dernier, de la question des torturés dans son pays dans un livre d'histoires, à travers lequel il transmettait la souffrance du peuple égyptien, avec la pauvreté, l'ignorance et la maladie, l'écrivain Martiniquo-français «Frantz Omar Fanon¹» lui avait traité de manière autrement, analytique et critique. Au cours des années cinquante du même siècle, il faisait allusion à la souffrance des peuples colonisés et leur lutte pour la libération,je limite de mon côté :

«J'aborde ce sujet dans un modeste article d'opinion, inspiré par les conditions de la nouvelle Algérie («la puissance régionale en perte de vitesse») qui souffre, sachant que son peuple est le plus brillant en -fils d'attente- dépassant, les 100 mètres, parfois plus, pour avoir du lentilles, niébé et du riz, devant la marche silencieuse du Maroc qui a bâti son sort dynamique par la forte capacité et de crédibilité». fin de citation.

Les tourmentés sur terre, en tant qu'individus, n'existent pas seulement en Algérie ; au contraire, ils existent partout, même dans les pays développés, quoique en nombre et dans des situations variables d'un pays à l'autre. Cependant, lorsque cette souffrance prend un caractère collectif, elle devient inquiétante.

Rien que d'y penser soulève beaucoup de questions sur les causes, surtout lorsque sont confrontés à des cas qui ne concernent pas des individus en nombre limité, mais concernent plutôt des personnes vivant dans des situations et des circonstances difficiles pouvant atteindre le niveau d'une catastrophe et d'une tragédie comme en Algérie, où le pouvoir souffre d'une cécité aiguë due à  son arrogance extrême de supériorité régionale introuvable...

Si ce pouvoir de toutes les merdes ne lâche pas prise, et qui n’a d’yeux que pour le Maroc, négligeant fichtrement son métier de foudroyant et menteur, on lui reconnait, cependant, une certaine «brillance», celle de ne pas cacher -sans ciller- pour qui il roule, à savoir une junte de caporaux-fr qui domine les issus des maisons closes qui meublents presque toutes les villes et villages en Algérie.Une réalité qu'aucun Algérien ne peut dissimuler ou cacher le camouflet de ce qu'a été infligé à son pays dans ce sens, pour ne pas dire à son entourage le plus proche, perdant davantage -dignité et honneur- du "nez particulier Algérien" qui ne fait que pour sentir ses sales aisselles.Bonne lecture.

                                                                     L'Admin.Chihab25                                                                                                                          ----------------------------------------------

                                    ¹.-Frantz Omar Fanon de la Martinique, médecin psychiatre de carrière, écrivain, combattant anti-colonialiste.