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Maroc-Algérie : Aprés son echec de vouloir créer son «Maghreb», Alger provoque ses voisins, à s'indigner et à sortir du silence..! .

                                                                                                                drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                                 

                                                                                           A Tebboune : mentir, c'est mauvais choix..!

Un régime terroriste à nos côtés...Tout d'abord et concrètement, il est plus facile d’accuser le Maroc de tous les maux dont souffre l'Algérie, que de pointer ceux qui décident et la gouvernent. «Que s'est-il passé en Algérie?». Commençons, au haut niveau, par l'annulation de la visite de Mr.José Manuel Albarez, ministre Espagnol aux Affaires étrangères,qui  mettait en garde, en quelque sorte, les ressortissants de son pays, les ressortissants d'autres pays contre la dangerosité de visiter l'Algérie?.

Les raisons de l'annulation de cette visite en Algérie ont commencé à apparaître petit à petit. Le début a été la justification de la racaille Algérienne détenant, avec main de fer, le cercle de décisions d'AlMouradia d'Alger, selon laquelle la raison de l'annulation était dit-on,(l'encombrement de l'agenda présidentiel).

Mais il s'est avéré, que l'affaire était plus grave, qu'un agenda normal, quand il en résultait, de l'évaluation par l'Espagne de la sécurité réelle et l'instabilité, au niveau des hauts clans qui se disputent l'autorité en Algérie, surtout après les évènements flagrants des putschs, survenus respectivement en 2021 et 2023 au  Mali et au Niger... 

Des opportunistes DRS engagés, pour apaiser l'impact préjudiciable de circonstances Algériennes, en profitent de n'importe quel temps propice pour propager les propagandes,et  cracher, le venin de leurs maitres sur le Maroc, l'accusant de manipulation contre la quiétude de l'Algérie.

Dernière en date, la sortie inopinée d'un vieillard Algérien,disant sans surprise, au jeton (-Abdelkader bengrina-) : «l'Affaire du Sahara "occidental"» est le bout de feu explosif de l'Algérie». Amèrement dit, en dialectal (hya kh'la ljazaeir -هي خلى الجزائر).

Questions facultatives : On se demande en général : y aura-t-il une élite raisonnable en Algérie, face au Maroc et à son leadership?. Certainement pas, étant que les politiques Algériens qui devaient appuyer et porter la voix des indignés contre l'opportunisme qui ravage tout espoir et accentue les fils d'attente d'Algériens, ceux qui galopent uniquement, derrière un sachet de lait en poudre et la semoule.

Cela étant prouvait l'effet de la crise d'hommes en Algérie d'hier et d'aujourd’hui. Le moins qu'on puisse dire, est le grand malaise qui s'impose davantage sur la vie quotidienne de l'Algérien, qui s'en vante, malgré tout, d'intelligence rouillée, de supériorité intellectuelle et politique, plus que son ennemi virtuel le Marocain.

Le ministère Ibérique aurait recommandé à ses concitoyens d'éviter de se rendre dans les camps de Tindouf, au sud-ouest "actuel!" de l'Algérie, où se trouve le siège du Polisalgérien [...]. Le ministère a indiqué sur son site internet que je cite : Le fait de se diriger vers les camps de Tindouf. est «plein de risques en raison de l’instabilité croissante» en Algérie, en plus de l’activité constante des groupes terroristes dans la région et de la détérioration générale de la situation sécuritaire qui en résulte.

Exactement plus tard, le 15/2/2024, Mr.José Manuel Albarez, le ministère Espagnol a publié sur son site Internet un communiqué concernant sa visite-projet en Algérie, qui a été annulée trois jours après son annonce, créant de nombreuses   interprétations sur la raison d'annulation. La plus grande surprise en tout ça, était : «Que l'Espagne se fut réveillée le 18/2/2024 pour lancer des avertissements à ses citoyens désireux visiter l'Algérie, disant au monde, qu'elle s'est récemment rendu compte que «l'Algérie est un pays à risques».

Les observateurs se  mettaient à chercher, dans ce sens, les causes devant inciter les Espagnols à ne pas aller en Algérie, le pays, dit-on, au (million et demi) de mensonges, et certains d'entre eux ont même constaté que l'Algérie est propagée par trois organisations terroristes telles que :

1-Al-Qaïda au Maghreb Islamique du borgne Algérien, Mokhtar Bel Mokhtar. 2-Entité de l'Algérien Hassan Hattab, ayant fait allégeance au terroriste, alias Adnane Abo walid Sahraoui, en la qualité de chef du pseudo «État Islamique au Maghreb!».3-Groupe Islamiste Algérien (GIA) entité salafiste pour la prédilection et le combat,responsable de l'attaque meurtrière du site gazier de Tiguentourine en Algérie, le 16/1/ 2013, connu de drame de Ain-Oumennas qui a fait si on croit le bilan officiel :

«38 otages étrangers séquestrés, 29 assaillants et pas moins de 9 militaires tués par l’armée Algérienne, selon le témoignage de Habib Souaïdia, ancien officier des forces spéciales Algériennes, qui rapporte des révélations explosives qui attestent le rôle de la brutale répression de la racaille algérienne».

Manœuvre et voix cassée... Certains parlementaires du parti espagnol "Sumer" ont révélé que les relations entre Madrid et l'Algérie se heurtent à de nombreux obstacles et perturbations dans les dossiers des secteurs commercial et économique, en raison de la colère de cette dernière face à la position Espagnole qui adhère à la Marocanité du Sahara et son refus d'obeir aux pressions algériennes.

Ce parti espagnol a appelé le gouvernement Pedro Sanchez à réformer les relations avec l'Algérie, afin de reprendre de bonnes relations entre les deux pays, malgré le fait que la chef du parti, -Yolanda Diaz-, soit partenaire du gouvernement Espagnol ,tandis que des sources bien informées ont déclaré que cette demande n'affecte en rien les relations avec le Maroc. 

Cela étant imposerait des interrogation à débattre : «Que s'est-il passé alors en Algérie?». -Est-il possible que ces pays n'aient compris que très, très tard que l'Algérie était un pays à risques, ou ces pays ont-ils finalement reçu des informations de renseignement indiquant qu'une dangereuse explosion allait bientôt se produire en Algérie?.Certes, ces interrogations demeureront sans réponses aucunes!.

Contrairement à cette panique et pour cause, il serait mieux de souligner que Mme Karima Ben yaeich, l’ambassadrice du Royaume à Madrid, qui est d'ailleurs, une Diplomate chevronnée et cheville ouvrière du partenariat stratégique entre le Maroc et l’Espagne, précisant les différentes facettes et les enjeux futurs de la coopération entre le Maroc et l'Espagne.  

Jusqu’à récemment otage de stéréotypes à la peau dure sur «le Maure conquérant d'Andalousie المغربي فاتح الأندلس», l’impossible intégration, le dangereux immigré clandestin ou les femmes mulets, animant le petit commerce entre le Royaume et les deux enclaves occupés...Cebta et Melilia, l’image du Maroc est en passe de radicalement changer en Espagne.

Différends politiques aplanis, coopération économique exemplaire, émergence d’une nouvelle génération Maroco-Espagnole, brillant de mille feux…qui veillera à préserver le sens d'un bon temps.À l’échelle des deux sociétés, où les préjugés et appréhensions commencent à tomber, l’évolution est sensible, même si du chemin reste encore à parcourir,un chemin condamné à être beaucoup plus performant dans les deux sens.Pour Mme l'Ambassadrice «la page des tensions passées est définitivement tournée».

Dans son discours inapproprié, prononcé devant ses capo-généraux, Tebboune, pour plaire à ses commanditaires militaires, s’est à nouveau livré à des déclarations erronées sur le Sahara Marocain. À part lui, plus personne ne parle de la décolonisation des Provinces du Sud du Royaume, achevée en 1975, ni de référendum onusien, que les Nations Unies ont définitivement enterrée, il y a déjà trois décennies. Devant ce groupe de cons, Tebboune a martelé que, je cite :

«l’Algérie ne lâchera jamais le peuple Sahraoui!» ce qui veut dire pour lui : Pas d'Algérie, le Polisalgerien d'abord. Moi j'ajouterai à cela : «Et que cela restera à jamais, une pierre dans le soulier Marocain» comme le souhaitait Boukharouba dans son vivant!». Je direrai au lectorat que cet ingrat Algérien, manquait d’éthique, de civilité, de civisme et de discipline, bafouant un ensemble de stupides issus d'une crise d'homme classiques, crédibles et de paroles…Il était une honte pour  une jeune Algérie qui avait tant d’ambitions, aussi heureuse de sa sortie de 132 ans de cauchemar colonial Français!

L'agence officielle du régime algérien, (APS), a révélé à ce sujet, les intentions cachées de cette réunion, visant à remplacer l’UMA par un «G3» excluant le Maroc et tendant les bras à une Mauritanie, plus que jamais réticente et une Lybie à deux pôles. Face à cet aveu officiel, la Libye, qui ne veut pas se laisser berner par le régime d’Alger, disait (-Non.. avec un grand N-) à cette  nouvelle manipulation frauduleuse Algérienne.

Et pourtant, l’Union du Maghreb arabe (UMA) née à Marrakech en 1987, à lequelle, je n'y crois pas et je n'y croirai jamais l'efficacité, moi personnellement, depuis le disparition de son vrais metteur en scène. Sa Majesté le Roi feu Hassan II qui était le brillant instigateur de cette création régionale.Etaient présents pour la circonstance et le baptême : «Chadli Benjdid, Algérie - Zine El'âbdine Ben Ali Tunisie - Mouâuya Old Sid Ahmed Tayêi Mauritanie - Mouamar Kadhafi Lybie».

Cette Union est morte, décrètait l’APS algérienne, considérant en lieu et place, qu'il faut désormais parler de l’«Accord-G3», claironne le porte-voix officiel de la junte algérienne, qui reconnaît ainsi qu’Alger a bel et bien l’intention, jusqu’ici cachée, de créer son mini -Maghreb Algérien- dont serait exclu le Maroc. L'UMA morte ou pas, elle est à mon sens en phase- veilleuse elle ne sera jamais active avec l'esprit de Marrakech, tant que l'Algérie tourne, en plein temps, sous des sales bottes.

Dans un écrit qui n’a rien d’une dépêche ou d’une quelconque forme d’article d’agence, intitulé «Le G3 est né à Carthage : le Maghreb de l’action succède au Maghreb des slogans de Marrakech», l’APS donnait à la rencontre tripartite de Tunis un cachet funéraire.Car cette rencontre visait, selon elle, à enterrer définitivement l’UMA, «La rencontre de Carthage est arrivée pour discuter du cadavre et l'année 2025, équivaudra, à exactement 30 ans depuis que la mort clinique de l’UMA a été actée, et que l’UMA en question n’existe plus sur le terrain».

Autrement dit, Tebboune veut créer à sa guise, une écurie Maghrébine à lui, car, justifie l’APS, «tous les pays africains sont organisés en communauté régionale, sauf l’Afrique du Nord, à cause du Maroc qui a privilégié des alliances avec l’entité sioniste et en s’invitant dans d’autres structures organiques du Moyen Orient arabique».

Hallucination d'Alger...Le ministre algérien de mensonges, Attaf, a affirmé pour sa part, lors d’une rencontre avec les médias algériens, que le sommet tripartite de Tunis n’était pas une alternative à l’UMA. Il a, à son tour reconnaissé avec amertume, qu'après l'échec de l'initiative, (mort-née) Algérienne, l’UMA reste toujours «l'objectif historique Maghrébin».

L'interrogation pressante Est-il possible de se passer de l’Union du Maghreb?»Pour moi,la réponse est "oui" tant que sa brillance est partie avec ses fondateurs!!.

Or, ce discours lénifiant tenu par Tebboune sur un Maghreb inclusif, ne trompe plus personne, du moment qu’il est aujourd’hui battu en brèche par le langage martial adopté de l’APS qui, sur son ton propagandiste d'habitude, demandait, même à l’UE et à l’UA et au diable, de reconnaître cette bâtardise, née d’un mariage contre nature entre l'illégitimité Algérienne, et la frivolité d'un Kaïs H'beyell?.

Tels sont les coups d’épée dans l’eau à  -l'Algérienne- qui révèlent ainsi l’isolement et l’impuissance de l’Algérie face à un Maroc progressant et stable, qui a su se positionner comme un acteur incontournable et un partenaire fiable pour toute l’Afrique. Avec ses maitres caporaux, à mentalité de caserne, considèrent que le Maroc est l'ennemi de toujours.

Alors qu'ils cherchent à en dissiper les craintes d'un neo-hirak et s'orienter vers l'oppression si nécessaire, pour éviter l'éventualité d'un soulèvement interne, à cause de la situation sociale reluisante dans leur propre pays, inventant, entre autres, de faux arguments, qui s'inscrivent dans la litanie de loufoque.

Pendant des décennies on y a cru. Les Algériens quitteront bientôt leur torpeur, disait-on. On pensait que tout pouvait se régler un jour et qu’on allait prospérer ensemble en Afrique du Nord, une zone sociale et économique d’envergure qui deviendrait la plus belle du continent. On se trompait grave. Car voilà en vérité de quoi l’UMA est le nom en Algérie...

On aime à croire que des causes exclusivement politiques empêchent l’UMA. Or, ce n’est pas seulement la question du Sahara Marocain qui tétanise Alger comme on le croit. Et la raison que je vais évoquer ici n’est pas politique, mais économique. Rien ne se fera dans les circonstances actuelles. Car il existe dans le dossier de l’UMA un aspect sibyllin qui va toujours bloquer la zone de libre-échange .

Qui dit libre-échange implique une ouverture des marchés au libéralisme et à la concurrence des produits dans les 5 États membres. C’est une condition -sine qua non- de l’UMA. Par son économie oligarchique, l’Algérie fait figure d’intruse dans un modèle susceptible d’être blockage de la région. Son système financier et banquier n’est pas éligible pour la libre circulation des produits. Tant que la structure militaro-oligarchique qui détient l’économie et les importations.

A cause de panique et de passe d'armes qui paralysent l'Algérie, un Kabyle parait-il, dénommé -Atmane Mazouz-, président d'un parti politique algérien (RCD-Rassemblement pour la Culture et la Démocratie), successeur de son fondateur Said Saâdi², vient de jeter le pavé dans la mare, témoignant, que l’actuel chef de l’État algérien,  Tebboune, «n’est pas le président élu et ne jouit d’aucune légitimité» en l’absence très remarquée d'élites et de personnalités, si promptes à marquer leur présence à chaque événement médiatisé.

Que le dicton se consolide. «Chacune des mains de politicien ignore ce que serre l’autre». Nous Marocains nous ne préférerons pas cela, nous en sommes bien, en proverbe politique adverse. Ce qu'il y en a dans nos mains, fait tout pour faire une politique responsable à grande échelle!. 

L'exemple est dans la constitution 2011, stipulant l'égalité des Marocains en liberté et expression, faisant de la scène politique Nationale, un espace ouvert. Titre d'exemple, deux femmes politiciennes se lancent en concurrence, pour faire du bruit aux hommes politiques :

1-Nabila Mounib, première syndicaliste-politique et l'unique femme -SG- qui dirige un parti politique de cons sur le landerneau politique Marocain, martelant son PSU, (-Parti Socialiste Unifié-) de façon normal pour concurrencer et faire trop de bruit aux hommes sans aucune valeur ajoutée.

Via cette exception féminine, je ne memoqerau guère de l'existence et le rôle de la Marocaine dans la préservation de sa valeur. Une femme chez nous, «a droit et devoir, en équivalence à l'homme, à l'exception de la notion d'héritage' (H1 portion, F2) c'est la loi Divine que le jongleur Cheikh Fizazi ne pourrait exterminer».

Aprés avoir apprécié la souplesse leadership, elle ne pensait pas lâcher le gouvernail, faisant des grimaces, se moquant de ses adversaires masculains dans les petites ruelles de Bab Lhad, ou encore plus, dans la terrasse de l'ex-Balima au boulevard Mohamed V à Rabat.

Elle a ses fans et ses stupides, faisant, à peine son irruption au Parlement, du chantage dégoûtant, imposant aux politiques, par pression de sa ménopause, les pensées de femme arrogante qui, devant l'absence d'hommes classiques de recadrement, elle ne  fait que salir, vraiment, la scène politique nationale.

2-Fatima Zahra El Mansouri, la maire de la ville de Marrakech qui monte au créneau de la faiblesse de ses concitoyens pour prouver que le féminisme Marocain a de  la capacité de faire de la femme, le piler support de la socièté.

On ne s'arrête pas aux futilités. Nous faisons marcher, notre machine productive à plein temps..Mais face à ce mauvais voisinage, le Royaume restera, trés vigilant, en ordre de bataille et en pôle position pour parrer à toute éventualité..!

Une situation plus que normale dans un pays Royal, comme le notre, grace à sa stabilité politique et sa particularité qui ne pourrait être imitée par une folle Algérie égoïstes, qui fait du Maroc son obsession, par ordre de l'écurie d'AlMouradia et de l'obscurantisme accablant de sa junte.

Pour se distraire, Si Fouzi Lakjâa, au prénom, signifiant en dialetal courant «le boiteux». Par ses actes fructueux, il ne boite pas, il est pour nous : -Le Bon Staff et ministre compétent, faisant du Maroc, le gagnant en puissance, il est -l'ogre Berkani, qui fait trembler ces jours-ci, les mentalités faibles d'Algériens».

S'adressant à la FIFA, via cette photo railleuse, par laquelle, le monteur en d'humour, a bien fait d'attirer à l'excitation pour asphyxier l'esprit de l'Algérien qui, par rancune, profine tout au Maroc. Si Lakjâ quant à lui, tire par plaisanterie, aux boulets rouges (traduction)  :«Allo Mr.Infantino, Est-ce possible au Maroc de se porter candidat pour organiser la Coupe d'Europe?».Bonne lecture.


                                                           Cordialement,Chihab25
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¹Al-Morabitone est un groupe armé terroriste d'idéologie salafiste.²Médecin psychiatre de profession, militant pour la laïcité, démocratie et culture berbère en Kabylie. 

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