Le régime Algérien est bien le Cancer de l'Afrique du Nord, voire de tout le Continent et ailleurs..!
L'Algérie en cette ère de pagaille!
Spectre d’isolement...Le retour à l’histoire : En ce début 2025 finissant, nous sommes de nouveau rattrapés par une fulgurante actualité, dont la caractéristique est sa diversification pour ne pas dire ses contradictions. Elle est bien entendu dominée par les conneries de l'Algérie et son carrousel en vain vers l'inconnu auquel trace déjà son offensive contre la raison et la crédibilité. Son entourage ne cesse de prédire plus de comportement quasi inquiet pour la région, tant qu'elle est fidèle à la politique de mal, que lui laissait en héritage le maudit Boukharouba depuis plus d’un demi siècle d'existence Algérienne !.
L'Algérie nous étonnerait-elle encore plus, qu’elle ne l’a fait jusqu’ici ? Il s'éloigne de toute droiture d'État responsable, dénonçant, entre autre, l’Accord tripartite d'Abraham (Maroc-USA-Israël), menaçant, en parallèle, la France de représailles, au fait de ne pas lui exporter, le tabac chiquer, si elle persiste et refuse la reconnaissance mémorielle et le règlement de la question des cranes, constituant la préoccupation majeure d'Alger avec l'Hexagone!.
Une position basée sur une triste passion qui est la haine vertigineuse à l’égard du Maroc, par comploter contre son intégrité territoriale, ses succès diplomatiques, sa montée en puissance en leadeurship, sa Monarchie exemplaire, ses institutions aussi…Voilà le sempiternel et triste état auquel nous sommes soumis avec une Algérie, aux échecs cuisants et désormais avec les bêtises d'une Tunisie perdue, devenue la victime d'une dictature de pacotille.
S’il fallait une preuve supplémentaire de la dérive totalitaire du régime algérien, la récente crise et certainement pas la dernière, avec la France vient de se confirmer avec éclat. Les sicaires du pouvoir militaire, déguisés en «influenceurs», lâchés contre la France, donnent la mesure de l’irréelle démesure à laquelle Chengriha et son complice Tebboune sont arrivés.
Nous assistons depuis quelques mois, voire plus, à une orgie d’insultes à l’endroit de la France, à une campagne de menaces organisée en vindicte, à un irrédentisme patriotique de vieille garde, enfin à une vengeresse culpabilisation du peuple français, traité de colonisateur, de juif, de sioniste.
Ce regain de dénigrement systématique, relayé par le pouvoir (pisseur) Algérien et ses propagandistes ne participe pas seulement d’une campagne montée de toutes pièces par les services de Chengriha, mais relève d’une rancune viscérale nourrie par la mauvaise foi, animée par cette irascible volonté de détourner le peuple algérien de ses préoccupations existentielles et vitales, à savoir le mal-vivre, les privations en tous genres, le malaise social profond, la hantise d'un énième hirak qui rugirait, certes, comme une bête en sommeil et plus que spectaculaire, cet isolement à l'international de l’Algérie, ce n'est qu’une insondable chute à une dictature en pleine descente aux enfers.
Les «influenceurs», sbires patentés du pouvoir algérien, cette armée de l’omble faufilée dans les arcanes d’une France agitée, n’ont de cesse de relayer la propagande officielle du pouvoir militaire qui, inlassablement, impunément s’emploie à la déstabiliser en menant une véritable guerre hybride, ouverte même au besoin.
Les autorités françaises, à commencer par le chef de l’Etat lui-même, se trouvent en effet dans l’obligation de rétorquer avec fermeté à cette campagne d’hostilités et révisent désormais leur vision des rapports avec l'Algérie. Cependant, il faut rappeler que «l’armée de l’ombre» comme voudraient s’appeler ces «influenceurs» ne date pas d’hier.
Elle existe depuis des années, évolue sur le territoire Français, bénéficie des facilités que l’accord sur l’immigration de 1968 lui octroie – et qui est au cœur, à la fois du drame et de l’appel, de sa dénonciation par beaucoup de Français -, enfin d’une tolérance illicite dont les réseaux hostiles s’emparent.
On s’aperçoit que les réseaux d’influenceurs, répandus sur le territoire français, s’y sont implantés comme une véritable toile d’araignée. Non que toute la communauté franco-algérienne adhère à ce chantage mené par la dictature algérienne contre la France, mais la découverte d’un complot en sous-main, dévoilé et découvert par la presse Française avec documents à l’appui.
Un certain Mehdi Ghezzar, figure de proue obscurantiste et gourou mythomane des «influenceurs» en état d’enquête ou de future mise en examen par la justice française, est toujours mobilisé dans l’exécrable mission d’insulte à l’égard du Royaume du Maroc, de la France et d’Israël, qu’il assimile avec l’arrogante mauvaise foi du lamentable stipendié Algérien.
Ancien raté et converti au journalisme couché, je veux dire à plat-ventre pour Tebboune et son DRS, viré malproprement en aout dernier de la RMC (Radio Monte Carlo), est devenu le chantre de l'Algérie et l’animateur, en attendant mieux ou pire de l’anti-Marocanisme, le langage glauque des folliculaires servant le même bouillon de haine, digne des imposteurs qui trahissent leur rêve voire même leur nature.
Et précisément, ce zélote ne se distingue-t-il par une instabilité terrifiante dont la trahison constitue son trait majeur? Avant de se découvrir une vocation de suppôt de Tebboune, et de devenir le directeur de sa campagne électorale en France en 2023, il se serait dit-on, rapproché de Patrick Drahi, homme d’affaires Marocain, de confession juive, ancien patron de BFMTV qu’il sollicita pour être son mentor et le soutenir à devenir «président de l'Algérie!».
Rien que cela ! le quotidien Français «L’Express» s’est fait un exquis plaisir de le dévoiler sous son vrai jour de propagandiste haineux et de bretteur raté, dévoilant à la fois son vrai visage de pauvre agent secret du général Toufik et sa médiocrité rampante, intellectuelle en l’occurrence, livré aux bravades et à la rhétorique malhonnête en Algérie.
C’est à un effondrement cataclysmique de la diplomatie Algérienne qu’on assiste depuis des mois. En effet, la crise n’oppose pas l’Algérie à l’unique ennemi, le Maroc, mais s’étend au Mali avec lequel elle possède une longue frontière de plus d’un millier de kilomètres, avec le Niger, le Mali, la Mauritanie et avec la Libye de Haftar qui ne manque aucune occasion de manifester son hostilité au régime militaire de Saïd Chengriha, ayant poussé l'Algérie à l'épreuve de son isolement à cause de ses conflits avec le Royaume.
Dans ce contexte, il convient de rappeler que , dans sa folie expansionniste, Alger a également mis sous sa botte une partie significative du territoire de la Tunisie que celle-ci réclame de guerre lasse depuis des lustres de l'ère Bourguiba....
La vanité Algérienne...Dans la foulée de cette mouvance où une crise succède à un échec, voire un désastre, il n'échappe point à quiconque que l'Algérie, toute honte bue, nourrisse l’impensable illusion de se rapprocher de l’Amérique, celle-là même que Donald Trump vient de reprendre en main après sa reconquête. Illusion fantasmatique qui tombe sous le sens, bien entendu, mais qui rend d’autant plus perplexes qu’elle viole le simple code de moralité.
Autrement dit qui s’inspire d’une aberrante immoralité. La voilà, cette junte militaire, sans foi ni loi, qui pavane avec ses pétrodollars et croit acheter le président des Etats-Unis au sordide motif, de faire changer sa position de soutien officiel à la Marocanité du Sahara. La voilà engoncée dans ses turpitudes d’un fantasme ahurissant :
«Elle s’imagine acheter Trump via des sommes sonnantes et trébuchantes, du fait que son ambassadeur à Washington, s’épuisant en vain, à rencontrer les nouveaux responsables de la Maison Blanche, auxquels il propose l’achat annuel par l’Algérie de nouvelles armes d’une grande bagatelle de dollars qui priverait encore le peuple Algérien jeté dans les besoins depuis que l'Algérie est Algérie!.
Contre vents et marées, dans une infernale fuite en avant, la dictature algérienne désespère et s’entête à vouloir faire de cap tous les Etats et gouvernements du monde qui ont reconnu la légitimité irrépressible de la cause Marocaine.
Tous devraient, à vrai dire, être confrontés à cette autre vérité qui se profile dans la foulée : la revendication territoriale par le Maroc, de ses provinces de l’Est qui sont indubitablement Tindouf, Saoura, le Touat, Colomb-Bechar pour ne citer que celles-ci, autrefois visitées par le Sultan Moulay Hassan 1er en 1884.
Certaines de ces provinces existaient même au temps des Almoravides, illustrant comme on dit, cette continuité généalogique et qu’un certain Xavier Coppolani, aventurier de son état, administrateur et masque de fer du colonialisme français en pleine expansion en 1900, a tout simplement brisé pour, une carte géographique et un crayon à la main, dépecer le territoire plus que millénaire du Royaume du Maroc et assouvir son rêve obsessionnel de créer autres entités!.
Aussitôt les Archives ouvertes, comme promis en principe par Emmanuel Macron, nous découvririons ainsi l’injustice faite à notre pays, entendu par là que l’illégitime régime algérien, né sur les décombres d’un hold-up historique ostentatoire, devrait s’y résoudre, de bon ou de mal gré.
Au moment où le Maroc consacre sa place de leadeur dans un monde émouvant, l'Algérie en face, ne cesse d'affuter son venin contre les progrès et le silence du Maroc, qui ne manque pas de négliger le chantage d'une veuve enragée d'envie et de merde avec ses vieilles querelles et ses propos calomnieux qui ne cessent de rebondir.
Victoire Marocaine retentissante et coup de massue pour l’Algérie..! Lors d’une session déterminante, le Conseil de sécurité des Nations Unies a une nouvelle fois fait preuve de fermeté en prolongeant le mandat de la MINURSO jusqu’au 31 octobre 2025, renforçant ainsi son soutien à la solution pragmatique initiée par le Maroc. Inscrite dans la résolution 2756 rédigée par les Etats-Unis, cette décision, adoptée réaffirme l’appui international à la Marocanité du Sahara et souligne la pertinence de l'initiative royale d’autonomie 2007, comme solution à ce conflit artificielle créé par l'Algérie. Par cette résolution, la voie est tracée pour clore ce dossier sous l’égide de la Souveraineté Marocaine, marquant la fin des chantage Algérien, devenu de plus en plus isolé et n’aura certes pas, d’impact sur cette trajectoire Marocaine.
Malgré une mise en scène orchestrée pour suspendre la séance de vote et dramatiser l’importance des amendements, l’Algérie n’a pas trouvé de soutien notable au sein du Conseil. Les amendements n’ont obtenu que les voix de certaines brebis galeuses soutenant l'Algérie dans ses fourbies, bien en deçà des voix requises pour leur adoption.
La Russie, pourtant alliée historique d’Alger, a infligé un coup giflant l’Algérie, rejetant autres propositions et précisant que la MINURSO disposait déjà de toutes les prérogatives nécessaires pour accomplir sa mission sans avoir à élargir son mandat. La position de la France rejoint celle des Etats-Unis, auteurs de la résolution, qui considèrent l’initiative Marocaine d’autonomie comme l’unique base crédible et durable pour clore ce conflit du Sahara.
Cette résolution reflète désormais le soutien solide et croissant envers la position Marocaine, tout en écartant définitivement des concepts dépassés comme la notion d’autodétermination ou d’un référendum, que l’Algérie s’efforce de relancer en vain.
Histoire gravée dans la chair Marocaine... Après ce revers, le représentant Algérien a exprimé son désaccord, accusant les Etats-Unis, en tant que «porte-plume» de la résolution, d’avoir, je cite : «délibérément ignoré les amendements de l’Algérie, prouvant le manque de neutralité flagrant et non conforme aux accords précédents». fin de citation.
Il a ensuite adopté un ton victimisant en critiquant les « méthodes de travail » du Conseil. Sans nommer explicitement la France, le représentant algérien a émis une menace à peine voilée en affirmant que son pays s’opposerait à tout investissement au Sahara Marocain sans l’aval de ce qu'il appelait «le peuple sahraoui».
Il faut bien le dire, la résolution 2756 dépasse largement le simple renouvèlement du mandat de la MINURSO. En plaçant l’initiative d’autonomie marocaine comme unique solution sérieuse et viable, le Conseil de sécurité envoie un message clair : l’avenir du Sahara s’inscrit sous la souveraineté Marocaine.
En écartant les amendements algériens, cette décision réaffirme le soutien de la communauté internationale à une approche pragmatique, isolant l’Algérie dans ses tentatives de déstabilisation. Ce revers diplomatique pour l’Algérie révèle les limites de son influence face à un Conseil de sécurité aligné sur une vision de stabilité et de paix promue par le Maroc.
Le rejet des propositions algériennes, y compris celles touchant aux droits de l’Homme, montre la confiance accordée à la MINURSO pour mener sa mission sans besoin d’un mandat étendu. En consolidant cette orientation, le Conseil de sécurité place le plan d’autonomie comme fondement d’une paix durable, fermant la porte aux obstructions répétées de l’Algérie.
Par ailleurs, soutenue par ses alliés, la diplomatie marocaine renforce son assise au sein des institutions internationales, reflet d’une cohésion croissante autour d’une solution crédible et stable. Ce vote constitue un message sans équivoque : la crédibilité et la stabilité de l’approche marocaine deviennent des piliers reconnus par l’ONU. La résolution 2756 établit ainsi le cadre marocain comme base sérieuse des négociations, renforçant l’image d’un Maroc tourné vers la paix et l’avenir.
Ce succès traduit non seulement la solidité de ses alliances mais également la convergence internationale en faveur de la stabilité régionale, où les tentatives algériennes de recueillir un soutien se heurtent à une indifférence croissante. Isolée, l’Algérie doit aujourd’hui mesurer l’échec de ses manœuvres, qui n’ont fait que renforcer l’adhésion au plan d’autonomie marocain, désormais reconnu comme solution crédible au conflit.
En tous les cas, les pays du monde ont à choisir entre deux modèles de pays d'Afrique du nord, si le choix n'est déjà fait. Il s’agirait de choisir entre le modèle crédible Marocain et le Cancer Algérien que le monde découvre, de jour en jour, sa frivolité. Tandis qu'en parallèle, l’importance du Maroc par rapport à l’Afrique, l’Europe, le Moyen-Orient et l'Asie, des espaces fructueux dans lesquels, il ne manquerait pas d'intensifier ses efforts pour renforcer davantage ses relations bilatérales et multilatérales sans se donner de l'importance aux aboies émanant de sa frontière-Est.
Par ses méfaits tendancieux l'Algérie adepte la cohérence dans l’incohérence Pour sortir de l'impasse de "non-guerre - non-paix dans la région" et pour que la quiétude revienne à nouveau, il n’y a pas d’autre solution que le dialogue autour de tables rondes avec le Maroc.
Les sages analystes appellent à apaiser les tensions et à la retenue contre les agissements malencontreux du régime Algérien, devenue «caduque» après la reconnaissance du monde de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. La méthode : est de mettre un terme à la frivolité Algérienne. D'autant plus qu'il y a lieu de rappeler aux ennemis d'à-côté, que le Maroc, malgré leurs haine et hostilité, demeure brillant dans son leadeurship, et y restera «le Royaume idéal» meneur d’expansion de mesures de paix.
«Un Royaume Chérifien au Grandeur particulière», où il n'y a pas de sales bottes, comme en Algérie, porteur de franchises d'ambition et de quiétude, projetant, encore plus, étendre son leadeurship à travers la planète, mettant en exergue ses capacités sous le signe de l’innovation durable. Bonne lecture.
« المغرب يتقدم والعدو يتالم! ومن يدعي غير دلك يلقئ اثامه »
Cordialement, Chihab25