C'est l'ère grandiose de feu Hassan II
Tout d'abord...«Avec une conviction personnelle, je baiserai inconditionnellement, les mains de Sidna, comme tout autre sujet Marocain fidèle à la Monarchie Nationale, n'attendant de récompense de quiconque pour me soulager. Nous ne lècherons pas les bottes de nos militaires, comme par peur de l'Algérie. Avec tous mes respects grandioses à nos FAR, à «notre main de fer qui gifle fort» qui sont en position militaire de vigilance, pour parer à toute éventualité.
La frivolité de l'Algérie continue de faire des vagues en Afrique, voire aussi presque au monde entier. Elle se retrouve sur le qui-vive scandaleux, face à plusieurs équations diplomatiques que le Maroc mène, silencieusement, gardant sa crédibilité particulière bénéficiant de bonnes relations superlatives avec presque tout le monde.
Nonobstant, la mauvaise gestion Etatique des caporaux-pisseurs Algériens qui n'arrivent pas à instaurer une vraie démocratie interne, pratiquant la diplomatie d'autruche, qui ne leur permettait de : concilier les exigences des droits de l'homme, ni les intérêts économiques de leur peuple, ni la stabilité géopolitique des pays qui l'entourent.
Que ces ennemis du Maroc, sachent que le Sahara était toujours Marocain et y restera ainsi à l'infini. Ce Sahara n'est pas un bout de désert isolé sous le vent, c'est la chair de nos ancêtres et de nous autres Marocains depuis «toujours» et y restera ainsi implanté avec douleurs dans les cervelles malades d'Algériens.(./).
Silence, on dévoile... l’Algérie joue son va-tout contre l’intégrité territoriale du Maroc. Alors qu’il se dit le chantre de la libération et le défenseur du droit à l’autodétermination des peuples, le régime d’Alger n’a cessé, dans les coulisses, d’instrumentaliser le dossier pour son unique intérêt : «s’assurer un accès à l’océan Atlantique».
En privilégiant le fait colonial contre toute velléité indépendantiste, en s’inscrivant dans le prolongement de l’occupation d'Israël ou en soutenant la partition du territoire Marocain, la junte a toujours craché sur les principes qu’elle prétend défendre. En preuve, la main d’Alger dans le récent ballon d’essai lancé par Staffan de Mistura, devant le Conseil de sécurité de l’ONU, ce qui révèle au grand jour deux vérités que :
«Le régime d’Alger a déployé un temps considérable et une énergie démesurée à vouloir cacher. Le premier est que, non seulement l’Algérie est partie prenante au différend, mais elle joue des coudes pour privilégier ses vues et ses propres intérêts d'expansion vers l'Atlantique!».
Voilà qui jure avec une prétendue «position de principe» dans le dossier du Sahara Marocain. Parlant de principes, et c’est là la seconde vérité, l’Algérie s’est, à l’évidence et au vu de ses nombreux changements de posture, servi du conflit pour se donner une façade de «Mecque des révolutionnaires», tout en sacrifiant, dans les faits et à la moindre occasion, autant ses pseudo-principes que son poulain, le Polisario.
Quant à nous Marocains, nous ne parlons pas du vide, voyons la preuve accablante. Nous sommes en 1966, au lendemain de l’indépendance de l’Algérie et au plus fort du «règne» de Houari Boukharouba, champion autoproclamé des mouvements de libération en Afrique, qui venait de s’accaparer tous les pouvoirs moyennant un coup d’État contre son maitre Ben Bella, une année plus tôt.
L’événement est la tenue de la conférence de l’Organisation de l’unité africaine (aujourd’hui l’UA), à Addis-Abeba. Publiquement, et au nom de ses intérêts, l’Algérie a clamé son rejet total et catégorique de toute idée d’État indépendant au Sahara Marocain (occidental), une position portée par le délégué algérien lors de ce sommet.
Pour l’Algérie, il est «illusoire d’accorder l’indépendance à un territoire dont la population ne compte que 50.000 habitants». Pourquoi donc? «L’Algérie, qui avait besoin d’une ouverture sur l’Atlantique, ne pouvait se désintéresser du destin du Sahara Marocain sous domination espagnole».
Macron et sa Brigitte d'Alger
Maroc-Europe...Dans ses rapports actuels avec l’Europe, le Maroc est on peut plus clair réaliste en termes politiques et diplomatiques. Certains pays européens sont alors mis à mal dès qu’il s’agit pour le Royaume de défendre ardemment ses intérêts suprêmes. telle que la Marocanité de son Sahara occidental et sa vision future, pour son Sahara oriental.
Le problème est que ces pays ne connaissant pas l’histoire du Maroc et plus généralement celle de toute la région. De ce fait, au lieu de penser en ayant à l’esprit, les constantes historiques et géographiques régionales, ils plaquent sur une situation qu’ils ne connaissent pas, des réflexes de pensée qui sont attachés à leur propre idéologie ou à leurs propres références à la pression du pétrodollars Algérien.
De plus, ne perdons pas de vue que les ennemis du Maroc font un puissant lobbying auprès de toutes les instances internationales, notamment auprès des institutions les plus corrompues, à l'Européenne!, notamment en France, où les réseaux algériens sont très implantés depuis la période de la guerre d’indépendance, et la gauche française ayant un fort tropisme algérien.
Quant à l’Espagne, il est clair que ses relations avec le Maroc sont devenues normales, enterrant le récent passé, ayant vu l'escalade de l'accueil "inapproprié" de Ben Battouche, à l'époque de Maria Arancha González Laya, l'ancienne ministre des Affaires étrangères Espagnole dans le gouvernement Sanchez II, qui préférait monter sur l'illusion Algérienne pour profiter, presque gratuitement, du pétrodollar Algérien, au détriment de la neutralité de son pays dans un dossier qu'elle connaît bien son artificialité.
Un jour, peut-être...Le voisinage actuel avec l'Algérie est anormal!. sera-t-il possible?. Imaginons un instant pouvoir prendre le train de Nouakchott jusqu’à Tanger, ou de Tanger jusqu’à Tunis ou Tripoli, en passant par Alger. En 1989, il y a de cela 33 ans, un traité fut signé à Marrakech par les cinq chefs d’Etat Nord-Africains, perchant d'une naissance, tant attendue, d'un groupement régional baptisé (le Grand Maghreb) devenue par entêtement du voisin d'à-côté le «Mort-né du siècle».
L’objectif était de concrétiser un rêve qui datait de plusieurs décennies, celui de la création d’une «Union d'innovation Nord-Africaine» capable de concurrencer. Ce projet autant ambitieux que visionnaire aurait pu, s’il avait réellement vu le jour, constituer un tournant géopolitique dans le monde post-guerre froide. Mais l'Algérie bloque le train, sous prétexte que l'idée n'était pas partie de l'Algérie,!.
En effet, un espace géopolitique réunissant la Mauritanie, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et la Libye aurait pu non seulement peser dans les relations avec le monde occidental, mais également de permettre de fonder une puissance et une prospérité sans commune mesure avec la situation actuelle.
Je le pense pas actuellement, tant que la sale odeur de caserne persiste encore, remplissant toujours le «ciel poussiéreux Algérien» et l'âme, d'autrefois, qui sévissait à «Marrakech en 1989» est mort au petit feu, à cause de l'entêtement de la voisine de mal enragée, l'Algérie!.
Cependant, l’histoire ne peut être décrétée selon le bon vouloir des peuples ou des chefs d’Etat, de même qu’elle ne tolère jamais que l’on mette la charrue avant les bœufs. Et c’est là où je veux en venir. Même si le courant souffle contre les volontés de paix et de réconciliation entre les peuples de la région...Peut-être sera-t-il plus pertinent, et ce, bien avant de spéculer sur l’intérêt géopolitique, de voir dans quelle mesure la dimension pourrait constituer un socle solide et inébranlable pour une vraie Union Maghrébine!.
On pouvait trouver sur YouTube des animations cartographiques qui résument l’évolution des Empires sur mille ans d’histoire. Si l’on pouvait en faire de même pour la région du Maghreb, nous verrions de manière limpide que tous les Empires qui se sont succédés, au Maroc en particulier, l’ont fait dans un mouvement d’expansion maximale...depuis les anciennes Empires qui se sont succédées au Maroc, jusqu'à l'actuelle Tripolitaine (Libye) en partant de notre actuel «Royaume Chérifien du Maroc».
De même, des reliquats du passé, liés à la guerre froide et à les prismes idéologiques, désormais anachroniques, font qu’un pays comme l’Algérie, une entité dérangeante, continuant d’entretenir des foyers de tensions et d’entraver, aussi bien la paix que le bon voisinage entre les pays de la région. L'Algérie actuellement est dans des paumes diaboliques sans agenda ni feuille de route d'Etat crédible.
Car c'est là où l’Algérie pourrait, de par sa position géographique et ses illusions perdues, au lieu de jouer un rôle de relais adéquat au profit d'une Union régionale, elle choisit de faire cavalier seul, au détriment de l’intérêt collectif et même de ses propres intérêts!
A savoir que le blocage ne réside pas dans le peuple algérien que Sa Majesté le Roi a qualifié à plusieurs reprises de «Peuple frère», mais dans un régime qui phagocyte tout le potentiel de prospérité du peuple Algérien. Un régime qui, à travers ses propagandes haineuses, n'hésite pas à distiller l'hostilité du Maroc au sein de sa propre population par pur calcul politique, n'arrivant jamais au leadeurship.
Et l’on voit bien que la récente escalade de tensions diplomatiques enclenchées par Alger à l’encontre du Maroc ne visait, au fond, qu'à éviter la résurgence d’un nouveau Hirak, d’un vent de changement salutaire dans la région, sans violence et sans bain de sang. Une vieille stratégie à l'Algérienne : «l’invention d’un ennemi extérieur, pour occulter et faire taire les contradictions internes en Algérie».
Je me pose la question, comme tout autre curieux, jusqu’à quand, une poignée de généraux continuera-t-elle à prendre en otage -un peuple, un projet politiquement démocratique, désiré par le peuple Algérien? L’histoire nous le dira…En attendant, le Maroc trace son chemin, et se tient prêt à tout moment, à rejouer son rôle historique millénaire, celui d’être un pôle régional leadeurship de l'Afrique et pourquoi pas du tiers monde.
Et si on change de cap...Parmi les liens insoupçonnés entre le Maroc et l’Afrique subsaharienne, figure la volonté Royale résidant au désir de rattacher les pays enclavés du Sahel à l'Initiative Marocaine Atlantique en faveur des pays du Sahel, présentant la vision Royale à renforcer l'accès de ces nations à l'océan Atlantique, dans le but de faire de l'Afrique un continent prospère, concrétisant ainsi la coopération Sud-Sud basée sur le partenariat «gagnant-gagnant».
Cette stratégie Royale constitue une nouvelle plateforme pour favoriser le développement, tant pour le Maroc, que pour les pays se trouvant au long de la façade atlantique, menant l'accent sur le développement commun de la région voisine du Maroc, en plus de pays côtiers et des treize pays, bénéficiant des bienfaits économiques du grand projet Gazoduc «Nigeria-Maroc».
Le Maroc qui est crédible de nature, aspire à réaliser un développement intégral avec les pays du Sahel, et une grande partie de cela se concrétise avec les pays voisins du sud, comme la Mauritanie, où les relations économiques connaissent une avancée qualitative, avec des échanges commerciaux entre les ports d'Agadir et Dakhla et le port de Nouadhibou.
«L'initiative Royale vise également à réduire le bla-bla-dz, mettant en silence, les promesses creuses de prospérité Algérienne, la pagaille et le désordre que mène de l'Algérie dans la région».
On parle beaucoup d’Afrique en ce moment, mais il n’y a pas que le football dans la vie. Il y a de ces liens humains profondément ancrés, qui méritent une halte loin du tumulte actuel, quoique non exempts de leur part de souffrances et de peines, tant que l'histoire de l'Algérie est pleine de remous et de moqueries depuis sa naissance en 1962.
Les voisins osaient accepter l’idée de leur finitude, de concurrencer tout ce qui bouge, de prés et de loin? Une lucidité salutaire nécessaire à la survie de leurs casernes de merde qui leur coupe le souffle sans aucun soulèvement ni protestation!.
Le comportement stupide de l'Algérie est ce qu'on peut imaginer dans le monde du mal et de l'hypocrisie, et nous sommes presque certains que Satan n'a plus de rôle dans ce monde, après que les dirigeants de l'Algérie l'ont « diabolisé » et lui ont apporté ce que Satan n'a pas apporté.
L'Algérie a atteint le sommet d'hypocrisie pour réaliser que les brouilles, car elle semble avoir une dualité de comportement entre mensonge et hypocrisie qui s'améliore. Une position décadente qui place le peuple algérien dans une position de tristesse face à ce qu'est devenu le «pays qui mange avidement avec le loup et pleure avec le berger».
On revient à la maison, pour revivre avec complaisance ce que disait l'anecdote Hassanienne au sujet de l'Algérie : «on ne demande pas au monde de reconnaître la Marocanité du Sahara, mais on l'invite à voir... «Avec qui Dieu nous a rassemblés! مع من حشرنا الله». Bonne lecture
Très cordialement, Chihab25