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  • Le «Sahara Marocain Oriental» tel que documenté par le «Bulletin du Comité de l’Afrique française»

                                                                                            drapeau-du-maroc-image-animee-0008

     

                                                                                 ضغوط في فرنسا لتسوية وضعية أبناء الحركيين

                                                                                Les Marocaine de la Saoura appelle au «secours du Maroc»                                        

    Le Comité de l'Afrique française»...Après le rapatriement du Sahara Marocain Occidental en 1975 à la mère patrie, la rédaction du blog, crois que le moment est opportun d'évoquer, même en virtuel, le sujet de retour à la mère patrie, de l'autre Sahara Marocain Oriental, occupé actuellement par l'Algérie. Cette voisine de mal, qui refuse d'en parler de ce sujet avec le Maroc, créant en parallèle, la problématique du Sahara Marocain pour se cacher derrière.

    Pour entamer le sujet, la rédaction du blog se penchait sur la recherche de preuves, appuyant la Marocanité du Sahara Marocain oriental, groupant un large territoire composé de la Saoura au sud jusqu'à Ain Salah au sud-est de l'Algérie Française.

    Le bulletin de l'Afrique Française paraissait plus efficace et plateforme adéquate pour en parler en l'objet. Il publiait des mensuels  écrits et élaborés,  durant des années, par de très hauts dignitaires politiques et militaires de France.

    Il retraçait, clairement la décision de la spoliation du «Sahara Marocain oriental» par la France et relatait des faits historiques, via les plus anciennes cartes Françaises qui attribuaient, raisonnement les territoires de Touat et de la Saoura au Maroc.

    Ces Bulletins  le plus intéressants étaient édités entre 1891 et 1908 à Paris, et recélait à son époque une compilation prodigieuse des notes diplomatiques et militaires officielles, jusqu’aux compte rendus de séances parlementaires sur l'invasion de France signées et passés, sur plateau d'or, par le général De Gaulle et ses prédécesseurs pour y être annexés par l'Algérie actuelle.

    Il s'agissait de Touat et tout les territoires de la Saoura que la France a usurpé, car elle en avait la certitude, ou plutôt, se croyait rester à l'infini en Algérie Française, qui dépendait administrativement des départements Français d'outre mer.

    Le Royaume Chérifien du Maroc, était désigné régulièrement dans les Bulletins du Comité de l'Afrique Française par «l’Empire Chérifien» et nommément impliqué dans le long bras de fer qui se jouait sur ses frontières Est pendant des années, dont il y a lieu de dérouler pour la première fois le décor d’action, tel qu’il a été consigné dans ces archives notoires.

    Ces archives précieuses sont ouvertes aujourd’hui au grand public sur les pages du BCAF dès l’année 1891, où la trame de l’affaire du Touat se précise. Le gouvernement Français se basculait dans l’option de «Guerre» et le démembrement de l’Empire Chérifien du Maroc se révélait inévitable.

    C’est le résident général de l’Algérie française qui cherchait à convaincre Paris d’entrer de force en possession de la région du Touat. Il s’agit «d’une nouvelle étape du développement de l’Algérie (qui) témoigne de l’intensité du mouvement qui s’est dessiné dans l’Afrique française du Nord en faveur de la pénétration Française au Sahara Marocain Oriental (…) pour donner satisfaction aux vœux unanimes, dont les conseils généraux Français, la presse tout entière de l’Algérie Française, s’étaient fait les interprètes.

    Ironiquement, une note précise que «la plaque de marbre est déjà prête» pour célébrer un pas décisif vers le Sud». Sur des bulletins y afférents, lit-on, depuis dix ans le gouvernement Marocain n’a cessé d’y interpréter le  -statu quo-, par des empiètements successifs. Le Sultan a provoqué, via des chefs de quelques Ksours, des démarches réitérées pour l’établissement de la souveraineté Marocaine.

    Le Sultan Moulay Hassan 1er «a échangé des lettres avec eux, a reçu à Meknès en 1887 une délégation du Touat (…) et il n’a pas craint cependant de tenter une prise de possession effective des oasis». Ces agissements étaient taxés de «menace grave pour l’Algérie Française, que la dépendance de Touat à l’Empire Marocain se limiterait au sud par une frontière étrangère.

    Le BCAF reproduit les propos de M.G.Rolland (auteur du projet de la voie ferrée transsaharienne reliant l’Algérie à l’Afrique subsaharienne), qui tire la sonnette d’alarme face au risque de fermer la seule route directe et libre, qui à cette époque, s’offrait à la France pour relier l’Algérie Française au Soudan central. Il préconise:

    «Pour résoudre la question du Touat, le vrai moyen serait d’y envoyer une colonne militaire par l’Oued Zouzfana et l’Oued Saoura, afin de séparer d’emblée ces pays du Maroc».

    Il ajoutait qu’une semblable détermination serait sans doute hautement désirable pour le règlement des affaires Sud-Oranaises et Marocaines (…) l’occupation du Touat et d’Ain Salah s’impose avec un caractère d’extrême urgence, et chaque jour perdu augmente les difficultés que nous aurions à vaincre lorsque nous arriverons â cette décision inévitable.

    Les «différentes villes se sont réunies dans le courant de mars (1890) pour discuter les termes d’une adresse au sultan afin de le mettre en demeure de prononcer l’annexion de leur pays au Maroc, et on annonce le prochain départ pour Marrakech d’une nouvelle députation, chargée de faire une démarche directe en ce sens auprès de Moulay Hassan».

    L’affaire du Touat arrivait le 26 octobre 1890 au parlement français. La BCAF résume l’intervention d’Alexandre Ribot, ministre des Affaires étrangères, répondant à une question sur la politique que la France comptait suivre au Touat : «De nouveaux atermoiements auront pour conséquence inévitable le rattachement définitif du Touat au Maroc.

    Un diplomate Français (DV) reconnaît dans ses écrits que le Sahara «oriental» est Marocain, ce que confirmaient les -cartes allemandes- et les -cartes françaises-, ce qui poussa, quand même, la France à faire la guerre: «quelques cheikhs Marocains de Touat ont demandé la protection du Maroc; le danger pour eux était grand, même il sera très simple de l’écarter.

    La France décide un non-retour à Touat et opte pour l’entrée en force dans les frontières Marocaines Est. L’effectif de la garnison d’El-Goléa était bien préparé, équipé d'hommes et de matériel offensif pour mener les combats, le cas échéant et les combats ont effectivement eut lieu pour la domination finale du Touat:

    «Cependant, en ce qui concerne le Sud-Oranais, tout le long de la frontière Marocaine, ce sont de perpétuels engagements entre tribus placées sous les sphères d’influence et tribus relevant du Maroc, et il ne semble pas que les démonstrations militaires qui ont été faites de ce côté, et jusqu’à quelques kilomètres de Figuig, aient eu grand effet.»

    Ainsi s’achève le bulletin de l’année 1891 sur la préparation graduelle de la guerre par la France. Les évènements racontés se situaient après le tracé imposé des frontières de 1845, mais sur le terrain l’affaire n’était pas encore gagnée pour la France.

    Cette prise militaire du Sahara «oriental» ne deviendra effective et totale qu’en 1900/1903 se couronnant par l'invasion Française à Béchar en territoire Marocain, menée par général français de Colomb (Louis Joseph Isidore de Colomb (1823-1902), et depuis cette localité devenait désormais (Colomb-Béchar) une ville Marocaine située au sud-est du Royaume, occupée actuellement par l'Algérie.

    Un ancien dossier de la mémoire Marocaine se trouve toujours en suspend et rend difficile les efforts de rapprochement avec l'Algérie. Les experts estiment que le nouveau différend Maroco-Algérien serait, tôt ou tard, sur la revendication et le rapatriement à la mère patrie Sahara Marocain oriental, ce qui compliquerait, une fois de plus, la résolution des questions mémorielles, dont les deux pays, chacun en parle à sa manière.

    L'Algérie coure pour récupérer  de la France ses crânes, tandis que le Maroc trouve le moment inadéquat, évitant d'en parler actuellement. L'Algérie qui, par manque d'interlocuteurs crédibles, se trouverait, malgré elle, confrontée au réalisme de la cause politique et la capacité de la diplomatie Marocaine à l’impact.

    Un chercheur politologue Algérien, spécialiste du monde arabe et directeur du Centre d'études et de recherche du monde arabe à Genève revenait sur : « Le récit sur la guerre d'Algérie est toujours dominant dans le pays et que les Algériens sont sensibles à ces questions, selon leur choix politique interne».

    Il dit, l'Algérie devra «modifier dans une certaine mesure sa rhétorique pour se protéger d’éventuelles critiques en politique étrangère» après le «lamentable échec» de sa stratégie de rapprochement avec la France sur les questions de mémoire entre les deux pays. 

    Fait emmerdant...Selon les experts de la chose Algéro-Française, L'Algérie est dans la tourmente. Le discorde faisait pression en France, pour régler la situation entre Paris et Alger, l’affaire concerne en particulier «les Pieds Noirs¹ - les Harkis² - les descendants de colonisateurs³». Chacun des qui entretiennent un rapport différent au passé et réclame, en ce qui le concerne, la reconnaissance de ses souffrances en manifestant à Paris en octobre 1962.

    L'Algérie exige également la restitution d'archives originaux de la période coloniale (1830-1962) transférés à la France après le retrait Français d'Algérie en 1962, ainsi que ceux subsistant de la période Ottomane et une compensation pour les actes commis par les anciens. État colonial, comme les essais nucléaires Français réalisés entre 1960 et 1966 dans le désert, dit algérien!. .

    En effet, la France fait exploser sa toute première bombe nucléaire, baptisée Gerboise bleue, sur le site de Reggane-Hoggar dans le Sahara Algérien, à 600 km au Sud-Est de la ville de Colomb-Bechar. Ce tir était réalisé à l'air libre, contaminant par radioactives toute une zone d'environ 150 km de rayon.

    Le Royaume du Maroc par voix de S.M. le Roi feu Mohamed V avait protesté et contesté , en avisant le Conseil de sécurité de l'ONU, considérant que les zone exposées, voire touchées par les essais nucléaires, étaient des terres Marocains à libérer ultérieurement.

    Il y a même en Algérie une association Algérienne des condamnés à mort durant la période de colonisation de l'Algérie Française, qui a exigé plus que cela, affirmant : «Nous devons faire pression sur les Français pour qu'ils s'excusent, donnant pardon» pour leurs nombreux crimes commis en Algérie pendant plus de 132 ans.

    Des Algériens futiles demandent des futilités politiques de la France et estiment «qu’il serait plus approprié de reconnaître le colonialisme comme un crime contre l’humanité». C’est le terme qu’a utilisé Macron lors de sa campagne électorale de son premier mandat en 2017 pour bénéficier de la sympathie des Harkis Algériens de France, ce qui a déclenché une campagne de critiques au sein de la droite française.

    En politique, la réalité est avant tout une affaire de perception. Et l’on ne sait que trop bien qu’il existe toute une ingénierie sociale dont l’une des missions est d’enclencher des révolutions comme ce fut le cas en Serbie, en Géorgie, en Ukraine et dans plusieurs pays arabes durant leur printemps, avec toutes les séquelles que ces déstabilisations ont laissées : destruction de pays, guerres civiles, instabilité politique chronique et terrorisme d'Etats…

    Ces stratégies de déstabilisation que compte l'Algérie contre le Maroc ont été entre autres théorisées dans les années 1970 par Boukharouba, alias Houari Boumediane, que la malédiction divine soit toujours sur lui, considéré par ses partisans comme le maitre à (penser moderne) de l'évolution de l'Algérie, puis mises en pratique par des apprentis de casernes dès le début des années 1990. Or, ces actes frauduleux, très reculés, orchestrés sur les ruines de l'ère Soviétique, partaient toujours sans rien de concret.

    Ainsi, l’approche sécuritaire est obligatoirement nécessaire pour tout le monde, pour éviter des troubles, dont le Royaume du Maroc est pris d'exemple dans ce sens par tout visiteur et n’a aucunement besoin. De même, une stratégie pour s’opposer aux tentatives de manipulation venant de l’extérieur est plus que nécessaire, derniers en date, les évènements de F'nidaq, d'où l'Algérie était clairement, la principale impliquée.

    Mais tout cela n’est rien si l’on continue entretemps à cacher sous le tapis les causes qui rendent possibles toutes ces menaces et qui, au passage, sont d’ailleurs les mêmes que celles qui furent à l’origine de tous les maux qui nous parviennent de cette sale voisine de mal.

    Ainsi, tant qu’il est encore temps, faisant tous preuve, les Algériens doivent être corroborés, de sérieux, de maturité, d’honnêteté et de courage s'ils veulent se réconcilier avec le Royaume Chérifien qu'ils ne cessent d'envier , et prenons à bras le corps tous les défis de haine et d'hostilité auxquels nous faisons face. «Nous méritons mieux».

    Ce slogan semble aujourd’hui plus pertinent que jamais pour consolider la fraternité Maroco-Algérienne d'autrefois. Cependant, une chose est sûr, que cela  reviendra certes à un autre cercle de gouvernants Algériens de l’incarner car, comme quelqu’un a dit, «on ne résout pas un problème avec les modes de pensée qui l’ont engendré.

    Cette folle voisine, avec sa haine, son hostilité et sa tendance fâcheuse d'ingratitude, à mordre la main généreuse que la Royaume lui a tendu durant ses peines, ne s'entraine que vers la précipice, courant dans l'illusion et le mirage pour y demeurer  une débauche-entité de toutes les merdes au Nord-Africain, tant qu'elle ne croit, au toile de fond, c'est qu'aux rapports de forts mensonges et de fourbies diplomatiques.    

    Bonne foi : «Je rappelle dans ce sens, que les territoires Marocains amputés par la France ont fait l'objet de provocation du Maroc par la France, après avoir refuser d'accepter à une offre du général De Gaules, de choisir entre deux suggestions, à savoir :

    «Chasser les insurgés Algériens (les fellaga) du Maroc et ne leur porter pas de soutien!» contre le rapatriement immédiat des terres Marocaines amputées au profit de l'Algérie Française!».

    Sa Majesté le Roi feu Mohamed V, le Roi pieux à intention sincère et fraternité sérieuse (!!) considérait, de bon gré, qu'une réponse affirmative à cette provocation, serait bel et bienune trahison et un coup de poignard au dos des ses frères(! ) Algériens!».

    En contrepartie les Algériens ont profité de la complaisance Royale pour imposer, unilatéralement, l'intransigeance de frontières héritées, de facto, de l'occupant colonial Français. Pour en prouver cette malencontreuse stupidité , ils se sont attachés à de faibles ingrédients, pour mener à tort, sous l'effet de l'anesthésie Egyptienne de ElBakbachi Jamal Abdenacer une guerre contre la générosité Marocaine qui les a couvert durant leurs peines de guerre d'Algérie.

    C'est désormais le conflit qu'on baptisait  «la guerre des sables» d'octobre 1963, ayant touché deux points d'eau Marocains sis à Hassi Beida et Tinjoub dans la province d'Ouarzazat et de l'enclave d'Ich dans la province d'Oujda, avant d'appartenir administrativement à la province de Figuig, créant en suite, le grand problème artificiel autour du Sahara Marocain occidental.

    Attitudes à tendance à faire préoccuper le Maroc par une situation stérile, l'obligeant à ne pas revendiquer le Sahara Marocain Oriental, passé sous table à l'Algérie en 1962 et de mieux faire, par le deuxième problème du Sahara Marocain, ouvrir pour l'Algérie une fenêtre sur l'Atlantique, se basant sur une création fantoche, et ce pour liquider, gratuitement, le fer du gisement " contesté!" de Ghar Jbilat de Tindouf. Bonne lecture.

                                                                           Cordialement, Chihab25       

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    ¹ Franco-Algériens revenus en France.

    ² Les forces qui ont soutenu la France dans la guerre d'Algérie.

    ³ Ceux qui ont immigré en France pour travailler.