Maroc-Algérie : Quoi qu'il en soit, pas de paix avec l'Algérie, tant que le Sahara oriental est sous sa spoliation (!).
L'écurie de commande-DZ
Calme et placide...Calmons-nous, restons loin des polémiques. Et réfléchissons un peu à ces autres histoires qui nous passent sous le nez. Et à ces vies de merdes, dont le peuple dupe de la voisine d'à-côté, ignore l’existence…C’est forcément une situation que tout le monde a su de la frivolité du régime d'Alger, ou dont quelqu’un a dû en parler, ici et là, au moment de détente dans un coin calme de discussion entre amis. À la limite, on ne parle pas de cinéma ici, mais c'est du réel, dans lequel se sont coincés nos amis ennemis de l'Est..
Presque malgré tous. Il faut dire aussi que ce ne serait pas -le bouche-à-oreille- qui fonctionne dans cet état, mais par voix de crieur public, pour que tout le monde saura le mal et l'ennui que porte de cette voisine enragé à son entourage géographique, dont le Maroc qui, lui apparaît le plus. gênant de tous.
L’histoire avec ces dupes Algériens est terrible et qu’elle est estampillée «d’après son harcèlement en continu, dans la contrainte de supporte par le Maroc». Cela rajoute au choc d'injecter clandestinement, presque au quotidien son -tabac à chiquer- à l'oriental Marocain, seul produit d'en elle possède à l'export.
Preuve à l'appui. C'est de l'histoire qui dérange l'Algérie et qu'elle ne pas modifier ou tailler à sa mesure... Les actes administratifs du Maroc sur le «Sahara Marocain oriental» tels que documentés par les archives de Touat (1727-1772)
À travers des documents officiels, administratifs et fiscaux, ou ce qu'on appelait à l'époque (Tertib), les archives de la province de Touat en témoignent de quatre siècles d’histoire étroitement liée au Maroc. Ce précieux héritage, laissé par les greffiers des gouverneurs successifs et les registres fiscaux locaux, permet de retracer l’évolution de la région sous l’influence Marocaine. Aujourd’hui, nous appréhenderons la période allant de (1727 à 1772), à savoir trois règnes de sultans de la dynastie Alaouite de :
Moulay Abdelmalek ben Ismaïl, Moulay Abdallah ben Ismaïl et Sidi Mohamed ben Abdallah, marqués par des actions de premier plan dans le «Sahara Marocain oriental» constitué du Grand Touat et les territoires de la Saoura.
À la mort de l'Empereur Moulay Ismaïl en 1727, son fils Moulay Abdelmalek s’empara du pouvoir, bien que brièvement, de cinq mois. Il s’empressa de rallier les villes du Sahara oriental à sa cause, en leur faisant parvenir une lettre d’ordonnance, quelques mois avant de faire son entrée à Meknès où il usurpa le trône à Moulay Ahmed, héritier légitime désigné par leur père.
Voici la lettre, datée 5/12/ 1727) telle que reproduite dans l’ouvrage. «Quatre siècles d’histoire Marocaine au Sahara oriental de (1504 à 1902)», qui se trouvent aux archives et documentations indigènes», publié en 1926, aux Éditions F. Alcan (Paris) adressée spécialement adressée aux gens de Touat :
«Louage à Dieu : «Que le salut soit sur vous».
Apprenez que les gens du Souss, de la montagne et de la plaine, Arabes et Berbères, et que tout le pays du Gharb (…) se sont rangés sous notre autorité sans avoir été achetés, ni priés, ni vaincus par les armes, mais de leur plein gré, tant Chorfa que lettrés, M’rabtines et tout notre peuple Marocain. Ils ont proclamé leur soumission, stipulant -ce à quoi nous avons accédé -que nous n’exigerions d’eux que la -zakat et l’aâchour-, qui sont d’institution divine. Trois mois plus tard, la régence de Touat adressa sa réponse : «Tous les notables se sont réunis et ont décidé de proclamer leur allégeance au Prince avec joie et reconnaissance».
Le sultan agissait avec une grande rapidité pour asseoir son autorité. Son premier objectif était de garantir l’allégeance des villes du «Sahara Marocain oriental», une région stratégique, tant pour ses ressources, que pour sa profondeur Marocaine. S’assurer du soutien des tribus locales renforçant, non seulement sa légitimité, mais aussi son pouvoir spirituel et militaire.
Ils déclaraient se ranger sous l’autorité du Prince des Croyants et Maitre Abdelmalek, de par leur foi en le Coran et la Sonnat (tradition) Sidna Mohamed (sws), dont ils se font un collier à leur cou et un moyen d’intercession auprès de leur souverain. Acte dressé en février 1728.
Chioukhs Touat.. L’empire Chérifien du Maroc se trouvait plongé dans une période d’instabilité politique marquée par des luttes de succession dynastique. Moulay Abdallah (règne entrecoupé de 1728 à 1757) détrôna son frère Moulay Abderrahmane et «bientôt le Touat comme le reste de l’empire reconnut à son tour Moulay Abdallah.
À Fès où une délégation formée par de nobles et de personnages de la province de Touat s’est rendue au nouveau sultan «accueillit avec faveur la soumission et les présents» des représentants et désigna le jour même le caïd Bahou-ou-Ali avec 20 cavaliers, pour accompagner les députés» au retour et prendre ensuite les Oasis».
Le caïd ne se privera pas de faire une inspection générale sitôt arrivé dans la région. «Après un court séjour à Timimoune où il s’est rendu d’abord, le gouverneur passa à Timmi, puis il descendait tout le long du Touat et continuait ensuite par le Tidikelt jusqu’à Ain Salah et Tamanrasset, où il arriva, les derniers jours de 1729».
Peu de temps après son arrivée, le gouverneur Bahou-ou-Ali apprenait que de «grandes caravanes parties pour le Soudan, quelques jours auparavant ont été pillées par les Touaregs et partait à la tête de tous les contingents du Tidikelt, il se mettait à la poursuite des Touaregs qu’il atteignait à El-hajira wilaya de Touggourt en Algérie.
Il finissait par obtenir la soumission des tribus Touareg, dont les notables l’accompagnèrent au retour jusqu’au Timmi; là il leur faisait préparer des lettres de soumission qu’il envoya, en leur nom au sultan par l’intermédiaire du cheïkh Lhaj El-Abbès du Timmi. Cette année 1730, le gouvernement Chérifien Marocain faisait remise à la région de Touat...«l’impôt sur les eaux et sur les dattes».
Perception d'impôts.. Moulay Abdallah envoya à Touat, en 1737, une expédition commandée par le caïd Jilali Saffar, qui avait sous ses ordres, -5 caïds des oulad Jarrar, -100 de Abid-El-Bokhari et -1000 cavaliers et ce pour renforcer les percepteurs de taxes.
Les archives de cette période contenaient une liste officielle recensant avec précision les familles et propriétaires terriens ayant accumulé des arriérés d’impôts. Ce document constituait un rappel formel de leurs obligations fiscales, pressant les contrevenants de régulariser leurs dettes impayées. Cette liste traduisait ainsi, un effort de centralisation du pouvoir fiscal, cherchant à s’assurer que même les communautés éloignées, respectaient les impératifs fiscaux imposés par le teneur du trône en règne.
Un jurisconsulte Marocain de Touat recevait une lettre d’un homme d’affaires lésé.. Cette lettre portait, d’une écriture large et hardie, la propre signature de Zine L'âbidine. Ce dernier exprimait son mécontentement face aux sommes considérables qui lui ont été dues par un commerçant de Touat, nommé Abou-Lanouar ben Abdelkerim.
L’affaire ne se limite pas à une simple dispute commerciale locale, mais s’étend sur plusieurs juridictions, impliquant les districts juridiques du Mali, du Sahel et du Maroc. Un certain Saïd, de Haouara, avait cité en justice Abou Lanouar ben Abdelkerim, le Touâtien dans une décision du tribunal de l’empire à l’avantage du plaignant Zine-El-Abidine, ainsi que l’ont déclaré les juristes de Tombouctou, du Sahel et du Tafilalet.
Cet homme d’affaires sollicitait l’aide du jurisconsulte pour récupérer l’argent, ou bien la même valeur en immeubles, en faisant miroiter la menace: «Si le défendeur (avocat) émet une prétention contraire, nous te prescrivons de contraindre ce Touati Abou-Lanouar ben Abdelkerim, à venir chez nous à Tafilalet, afin de comparaitre en justice comme il le doit».
L'ère de l'intrépidité....En 1757, la mort de Moulay Abdallah mettait fin à un règne mouvementé de trois décennies, marqué par des rivalités internes. À sa disparition, le pouvoir Souverain passait à son fils, Sidi Mohamed ben Abdallah, également connu sous le nom de Mohamed3, qui régna de 1757 à 1790.
Ce changement de souveraineté intervenait à un moment crucial. À peine monté au trône, le nouveau sultan était rapidement confronté à un conflit majeur dans la région stratégique du Touat, où les habitants se révoltaient contre les nouveaux caïds, nommés pour administrer la province. Sidi Mohamed se retrouva donc, dans la tourmente et dans l’obligation d’intervenir sans délai pour apaiser la situation et réaffirmer l’autorité du trône. Il envoya dans ce sens une missive aux populations, dont voici la teneur, début citation :
«À nos serviteurs, les gens du Touat, Chorfa, M'rabtines, que le salut soit sur vous. Et ensuite est parvenue à notre connaissance Chérifienne la nouvelle des exactions qu’à commises dans votre région notre serviteur le pacha Tahar et de la contrainte qu’il vous a imposée, en soumettant au fisc les eaux d’irrigation malgré votre opposition».
-Ne versez aucun impôt pour ces eaux, nous vous en dispensons; versez seulement l’âchour pour vos dattes, ou bien pour les orges si vous faites les orges, comme par exemple El-haj El-Abbès, le cheïkh Ali El-Aroussi, le cheïkh Bahamou Brahim, El-Hadj Ahmed Backhi de Beni-Tamert (…) -Ce que nous voulons affirmer, c’est que nous n’avons envoyé notre serviteur résider parmi vous que pour apaiser tensions et discordes qui s’élèvent entre vous, aout 1759.fin de citation.
Expédition Chérifienne...Un événement majeur du règne de Mohammed3, qu’il convient de souligner, est l’expédition militaire qu’il ordonna en 1772 pour réprimer les «R'ziats²» auprès des tribus locales, qui mettaient en péril toute la région et le commerce avec l’Afrique subsaharienne.
Les insurgés, racontent les archives, montaient en puissance et «multipliaient les coups de main contre les Ksours; ceux-ci implorèrent l’assistance du sultan Sidi-Mohamed, qui, en 1772, envoya une expédition pour les réduire; elle leur livra un combat à Zaouyet-Sid-El-Bekri et les défit (…).
Cette expédition n’était pas simplement une réponse militaire, mais également une action politique symbolique. Elle marquait la volonté du sultan de ne tolérer aucune remise en question de son autorité, tout en envoyant un message clair aux élites locales: le pouvoir central était prêt à intervenir de manière décisive dans les provinces du «Sahara Marocain oriental».
Enfin, l’ordre fut restauré et quand des renforts arrivèrent de Touât, les insurgés «s’enfuirent vers les Oulad Sâïd». Très vite, disent les archives de la région, «les troupes du Makhzen se divisèrent : une partie vint construire une nouvelle kasba au Timmi et les autres allèrent bâtirent à Timimoun»
Ces archives de Touât traduites et publiées par A.-G.-P. Martin se révèlent être une source inestimable mettant en évidence les interactions régulières et dynamiques entre les autorités centrales de l’empire et les diverses communautés sahariennes. Ces échanges témoignent aujourd’hui d’une perpétuelle intégration qui a mobilisé la politique marocaine sur plusieurs siècles.
Le «Sahara Marocain oriental», loin d’être une région périphérique, apparaît dans l’histoire comme un acteur stratégique essentiel dans les décisions politiques et économiques de l’Empire Chérifien, une province à chaque fois guignée et inspectée, choyée par tous les nouveaux règnes des sultans du Maroc.
Je crois, le fait d'évoquer cette histoire du Sahara oriental, c'est pour prouver aux Algériens que ce territoire spolié actuellement par l'Algérie est purement «Marocain et ne pourra être Algérianiser» à cause d'une grave erreur commise par la France Gaulliste!».
Combien ces gens d'ingratitude, nous veulent du mal et rêvent un jour anéantir notre quiétude pour venger es gifles Marocaines qu'ils ont endossé durant la guerre des sables d'octobre 1963. Ils le disent et le clament en toute clarté. C’est leur obsession.
La lâcheté de voisinage nous apprend que les Algériens, obsédés par le Maroc, par ses réussites, par sa stabilité et par sa diplomatie efficace, ils passent tout leur temps à élaborer des plans pour faire obstacle à tout ce qui est Marocain. Ce Marocain qui fabrique, pas les mensonges, ni gonfler seulement les pneus, mais qui, silencieusement, produit, à haut la main, les voiture et les pièces de rechange aéronautiques.
Rappel pour les fous d'à-côté. Pour faire éclater davantage leur foie de jalousie, nous leur rappelons le spectre d'octobre 1963, tant que : 1-Ils sont laids parce qu’ils sont malhonnêtes. -Ils sont laids parce qu’ils sont remplis de haine et de volonté de nuire. 2-Ils sont laids parce qu’ils portent le malheur sur leur visage. 3-Ils sont laids parce qu’ils sont dans l’échec et le rejet par leur peuple.4-Ils sont laids parce qu’ils sont menteurs et cruellement envieux.5-Ils sont tout simplement que des voyous, des laideurs et convoyeurs de mal».
Le passé de l'Algérie avec ses mensonges à répétition pour se refaire une virginité et les armes qu’elle porte encore et pour toujours contre le Maroc. Or, les dirigeants de l’Algérie, avec leur obsession anti-marocaine, ne savent qu’amasser de la boue pour la jeter sur ce voisin qui les gêne et les rend fous de jalousie. Nous souhaitons faire davantage de révélations explosives pour les dénuder de plus.
Tant que ce ne sont pas des bluffs, qu'on ne leur répondra pas. Il convient donc, de rappeler à ces ingrats que : «deux lions ne pourront régner dans la même vallée», même si l'Algérie dans ce contexte n'est pas une lionne, puisqu'elle n'est qu'une sale mule bannie de tous, autour du quelle la planète politique ne tourne plus, tout près d'elle.
Nous rappelons aux à ces ingrats Algériens, qu'il serait souhaitable que leur junte militaire fasse preuve de raisonnement et du même caractère que le général de Gaulle quand il décida de leur donner l'indépendance en 1962 et de ne penser qu’à l'amélioration de voisinage avec le Royaume au lieu de se concentrer sur un leadership irréalisable dans sa région..
L'histoire revient souvent sur ses pas. En quelle année sommes-nous? sans doute en 1963, quand l'Algérie s'est écroulée devant la bravoure des FAR, sous commandement effective du «général Driss Ben Omar»(photo). Ce faucon projetait de s'emparer de Tindouf et pourquoi pas envahir l'Algérie jusqu'à sa capitale, durant ce qu'on appelait désormais, «la guerre des sables-octobre 1963».
Il voulait, à ce propos, faire déguster à l'Algérie les douleurs de l'un de ses exploits et expériences de terrain, qu'il a eu le privilège d'emporter durant les batailles de la 2ème guerre mondiale de 1944, mais malheureusement pas, devant le refus catégorique de S.M. le Roi feu Hassan II qui ordonna, de bonne foi, d'arrêter l'effusion du sang Algérien».
Nos chroniqueurs et experts de la chose Algérienne ne pourront, en aucun cas, décrire l'état fantoche de cette voisine de mal, avec ses cons-pisseurs qui usurpent son pouvoir, même s'ils opteront, de bonne foi, de réagir dans «Un livre truffé de contre vérités Algériennes».
C'était pour nous Marocains, une guerre symbolisant l'effondrement de l'ambition Egyptienne, via l'adjudant-président Algérien, sanctionnée par de lourdes défaites, endossées par la racaille-Algérienne, sans pour autant, pouvoir atteindre aucun objectif ou percer le «mur et la grandeur Marocaine.
Le Maroc ne produit pas la «poudre à lait à d'Adrar», il s'efforce à préserver sa position d'Etat crédible et raisonnable, continuant à favoriser son leadeurship régional pour la stabilité politique et pour le progrès de l'Afrique subsaharienne, ce qui n'est pas facile à digérer par le satan de nos ennemis Algériens.
Que ces ingrats sachent avec amertume, que le Maroc s'équipe par innover sa flotte Aérienne, pas par du «tabac à chiquer» ou par de la ferraille -Antonov-, mais par des missiles sophistiqué (..) pour renforcer son arsenal militaire et fortifier en particulier, sa flotte aérienne constituée, pas de canadairs de feu de forets, mais de faucons (F-16-F35) qui éclabousserontb, certes, la vision ennemie.
Même si cela paraitrait cher! pour le général Berri, l'inspecteur des FAR, mais serait censé acceptable et bienvenu à supporter, de bon gré, par nous contribuables Marocains, étant que la «nécessité oblige», pour renforcer les capacités militaires du Royaume et y être prés à gifler la frivolité voisine.
Il y a de quoi, de bonnes raisons de confirmer à mon lectorat que d’après mes valeurs et principes d'admin, je n’attaque jamais une personne sur son physique
L’important, ce n’est pas ce qui y apparaît evident, mais ce qui aparaiterait clair de mes pensées qui y s'expriment en série d'aphorisme dans mon blog depuis sa création en 2006.Bonne lecture.
l'Admin,Chhab25 -------------------------------------------------------------