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  • Marche marocaine de réussite et guerre de succession en Algérie (15)

                                       Ce que je crois (24 mai 2017)
     
                                                         

                                                                                              Le général  à la retraite, Rachd Benyalles             

    Loin d'Emmanuel Macron et de son amitié à l'Algérie.Je ne peux m'en passer de l'important et laisser passer cette occasion sans revenir au concret, au vif du sujet concernant la succession du feu Bouteflika. Une succession qui n'est pas négligée en France, elle est suivie, à la loupe, par les médias Français, en particulier par les chaines-tv Françaises qui convoitisent la mentalité algérienne, sur laquelle ont une grande influence. Pour moi, y a pas de fumée sans feu, c'est pourquoi j'aborde ce sujet même s'il n'a pas de trait avec l'affaire Emmanuel Macron et l'offrande algérienne.

     
    Je reviens à ce sujet pour confirmer mes pronostics sur l'éventuelle succession de Bouteflika..Le général Algérien à la retraite Rachid Benyelles, s'arborant délibérément de la tenue de conseiller, espère sans trop y croire que le général Gaid Ahmed Salah aura la sagesse d'éviter les erreurs du passé et de laisser les urnes décider.Cela prouve que le chef de l'armée algérienne dont il est question tient, dents et angles, à s'accaparer du pouvoir le moment venu.Mais il pense que cela ne sera pas le scénario le plus probable.
     
    Au cours d'une conférence de presse organisée à Alger pour présenter son livre intitulé «Dans les arcanes du pouvoir», ce général à la retraite, ex-SG  du ministère algérien de la défense a eu à aborder la question de la succession de Bouteflika.
     
    Il a rappelé à cet effet, que les décideurs qui ont placé Bouteflika au pouvoir sont tous partis. Il a dit être pessimiste, estimant que l'actuel chef de l'Etat-major de l'armée algérienne évitera de refaire les erreurs du passé et qu'en "scénario catastrophe" est de voir Gaid Ahmed proposer, le prochain président comme ses  pairs les ex-généraux bannis.                                                                                   

    Bulletin blanc, au lieu drapeau blanc..Pas plus qu’hier (4 mai), l’armée algérienne qui n’a jamais reculé devant rien, même devant les pires atrocités, n’est prête aujourd’hui à céder une parcelle de ses pouvoirs. Chaque fois qu’ils ont été remis en cause elle n’a pas hésité à tirer au  sens propre comme au sens figuré.

    Les militaires qui ont le droit de voter en Algérie, ont massivement mis des bulletins blancs dans les urnes lors des dernières législatives.Pareille attitude mérite explication et analyse.

    Auparavant, il faut souligner que ces élections n’ont pas drainé grand monde vers les bureaux de vote et ont été largement dénoncées par les partis autres que ceux qui sont au pouvoir. Le FLN de Abdelaziz Bouteflika qui noie son unicité dans un pseudo pluralisme, et son allié circonstanciel, le RND d’Ahmed Ouyahia, directeur du cabinet du président, ont remporté ces élections dans la défiance généralisée des électeurs algériens.

    Dès lors, ne serait-il pas tentant d’en déduire que les militaires, contraints par discipline de se rendre aux urnes, ont suivi cette défection en votant blanc ? C’est une lecture possible, mais qui expose les hommes de troupe, les sous-officiers et les officiers aux foudres d’une hiérarchie qui n’est pas réputée pour sa tendresse.

    Aussi peut-on conclure comme l’ont relevé plusieurs observateurs, que le corps de l’armée a obéi à un mot d’ordre, «le vote blanc», qui n’est pas dans les habitudes des militaires algériens, depuis toujours très impliqués dans l’ordonnancement politique de leur pays où ils trônent en faiseurs et défaiseurs de rois.

    Dans l’opacité algérienne, il y a plusieurs façons de lire ce vote blanc des militaires. L’une d’elles est de supposer que le général Gaïd Salah, chef de l’Etat Major, signifie aux clans en lutte pour le pouvoir qu’il renvoie tout le monde "dos à dos" en s’arrogeant le droit, le moment venu, de faire prévaloir sa primauté à travers celle de l’armée. « Il en a toujours été ainsi et il n’y a aucune raison pour que ça change aujourd’hui » semble-t-il leur dire.

    La deuxième lecture, entre autres, est que le vote blanc est une manière de proclamer la neutralité de l’armée face aux différents prétendants. Elle a l’habitude de ce genre de subterfuges et de trompes l’œil pour se placer au-dessus de la mêlée et de se positionner en gardienne du temple pour mieux le contrôler. On peut en conséquence voir dans son attitude aux dernières législatives plusieurs significations.

    En 1992 suite au complot électoral du 11 janvier, lorsqu’elle a plongé le pays dans une longue guerre civile. de dix ans, soldée par 250.000 victimes dont 20.000 disparus à nos jours.Et plus récemment encore quand l’ancien secrétaire général du FLN, Amar Saadani, considéré alors comme l’homme de la présidence, a prôné la construction d’un «Etat civil en Algérie» avant d’être débarqué en octobre 2016. Son limogeage sans préavis a été interprété comme un signal fort du clan  de ce qui reste des généraux marquant les lignes rouges à ne pas dépasser.

    -Pas  d'Etat civil en Algérie, du moins pour le moment, qui aura tendance à porter préjudice aux intérêts des vieilles hyènes de sa génération.

    -Pas d'Etat civil pour une Algérie où une patronne ose parler et serrer les rangs au nom de milliers de travailleurs.

    -Pas d'Etat civil pour une Algérie qui, on achète, en son nom, la paix sociale pour gouverner.

    Ainsi, le général-bougre Gaid Ahmed Salah, le vice ministre de la défense, patron effectif de l'armée Algérienne campe dans sa grotte-sentinelle, observant de sa haut les rongeurs nuisibles, projetant éventuellement d'y intervenir au moment propice et reprendre le souffle de ses prédécesseurs généraux, rendant les pendules à l'heure et les destinées du pouvoir en Algérie à la première case de départ, dessinée par l'ex-président algérien le colonel Chadli Benjdid sur les traces du 1

               

    Ce que je crois (22 mai 2017)

                                     

                                                    .Fabieus,Macron et le rabbin algérien, lors d'une détente

    Une vraie 4ème autorité en France (démocratie et médias qui font tomber des avalanches)..La chaîne de télévision Française 'LCI' présente chaque soir une émission intitulée : "24h en questions", un espace ouvert de débat politique sur les affaires internes de France et sur les questions de l'heure à travers le monde, auquel son conviés des Politologues chevronnés, Analystes, Chroniqueurs de grandes tribunes, journalistes et des hommes notables de la société civile Française.Etant un téléspectateur assidu de cette chaîne, j'ai pu constitué beaucoup d'opinions géo-politiques et géo-stratégiques.

    Mais ce qui m'a retenu l'attention de plus, la situation stagnante de l'Algérie. IL ne s'agit pas là de sa politique interne qui est nulle d'ailleurs, mais de ses relations souvent très tendues avec l'ex-colonisateur, qui selon les gouvernants algériens et leurs thuriféraires engagés, a des comptes à régler avec l'Algérie de 1962.

    Faut-il rappeler que le candidat à l'élection présidentielle française, Emmanuel Macron, a prononcé des mots qui ont fait polémique lors d'une visite à Alger en qualifiant de «crime contre l’humanité» la colonisation française en Algérie. Le candidat Emmanuel Macron qui était en quête de liquidité pour financer sa compagne n'a pas mâché ses mots, faisant exploser une bombe qu'il ne portait pas d'ailleurs, mais qui parait-il était fabriquée par sa Brigitte, la première femme actuelle de France..

    A Toulon, dans un meeting électoral le leader du mouvement «En Marche!» devenu après les présidentielles «La république en marche» demandait «pardon» pour ses propos, tout en refusant de présenter des «excuses». Mais qu’en est-il de cette affirmation sur un plan juridique? Le droit international appréhende-t-il la colonisation comme un crime contre l’humanité? 

                                 

    Enseignements du débat..De ce que j'ai pu retenir des discussions et du débat, la question était au cœur de l’actualité française; elle était aussi au cœur de l’actualité internationale citant que le processus colonisateur était présenté, à travers les temps, comme une «œuvre de civilisation pacifique dans l’intérêt général de l'humanité. La France, disait alors un sociologue Français est investie de «la mission de répandre partout où elle peut les idées qui ont fait sa grandeur»; elle a eu aussi «le mandat d’instruire, d’élever, d’émanciper, d’enrichir et de secourir les peuples qui ont besoin de sa collaboration» comme elle le prétendait après la conférence d'Algésiras, le moment où elle se préparait pour imposer le protectorat au Maroc en 1912.

    Ce que je crois en l'objet, d’après ce que j'ai pu collecter sur la frivolité algérienne. L'Algérie a cru pouvoir tenir les Français des mains qui leur font mal, elle a pris au sérieux les propos palpitants de Macron, lesquels l'ont fait enroulée facilement dans les draps blancs que lui avait étalés le jeune gamin de France et elle s'est précipité de virer, voire financer sans conditions la campagne électorale d'Emmanuel Macron en vertu de quoi elle frottait les mains après, ciblant récolter les fruits de son offrande.

    Générosité exceptionnelle..Après avoir versé la baguette de 200 millions d'Euros à la caisse du comité de soutien du candidat Macron aux présidentielles Françaises,l’Algérie, selon mes constations,se pose la question : « Emmanuel Macron est-il vraiment « l’ami de l’Algérie » ? La réponse à cette interrogation se cache quelque part et ne visualisera certes que le temps à venir.

    Le nouveau président de la République française aurait eu un bref entretien téléphonique avec le président Bouteflika selon la version algérienne rapportée par la presse locale d'Alger! On veut bien le croire mais, que ce soit lui ou l’un de ceux qui le remplace, Bouteflika se serait montré, aux yeux des siens de France qui en croient aux alibis propagandistes du pouvoir algérien, particulièrement élogieux pour l’homme d’État, de cœur et d’esprit, capable de présider aux destinées d'un pays isolé du monde, sauf dans la presse pro-pouvoir, dans une conjoncture difficile et qui est fort opportunément un « ami de l’Algérie ».

    Cela est bien précisé dans le débat Français ouvert après l’escalade de Macron d'Alger en février dernier, suite à la polémique créée par ses propos sur la colonisation Française: C'est Emmanuel Macron qui est «l’ami», pas la France !

    D’autant plus que les investissements français ont une fâcheuse tendance à diminuer et que la seule opportunité qui augmente, fort heureusement pour eux, entre l’Algérie et la France, c’est l’obtention des visas : 400.000 en 2016. Combien en 2017 ? Probablement davantage.

    Les Algériens espèrent que le président Français renouvellera et officialisera ses propos sur la colonisation bien qu’il ne soit plus question de « crime contre l’humanité » mais de « crime contre l’humain algérien ». Ce recul imposé par les diverses réactions françaises qui démontrent combien ce sujet reste extrêmement sensible et clivant et que les propos tenus à Alger, par le candidat Macron, avaient uniquement un intérêt électoral vers les voix du plus d’un million de binationaux.

    Une repentance impossible.. La question mémorielle risque donc de disparaître car, contrairement à François Hollande (qui avait un lien particulier avec l’Algérie pour avoir effectué un stage de 8 mois à l’Ambassade de France, à Alger, alors qu’il était étudiant à l’ENA) le nouveau président appartient, lui, à une génération qui n’a pas connu la guerre d’Algérie ni le mouvement Français en Algérie "l'OAS"  qui refusait de céder à la pression des Fellagas d'Algérie, ni le soulèvement contre la politique du général De Gaules en Algérie qui devait déboucher à l'indépendance de l'Algérie, du lieutenant. Jean-Marie Le Pen, le fondateur du - Front National - (le père de la candidate) et que la déclaration Macron visait également à contrer celles de François Fillon, le candidat aux présidentielles déchu.

    « Non, la France n’est pas coupable d’avoir voulu faire partager sa culture aux peuples d’Afrique » et de Marine Le Pen « La France n’a pas à s’excuser de son passé colonial mais, bien au contraire, saluer les « bienfaits » de la colonisation qu'a fait en Algérie».

    Un sondage, réclamé et payé par les médias algériens, estime que 52% des Français seraient favorables à une repentance à la Française (61% pour les moins de 35 ans ) contre 48% opposés à toutes excuses (les plus de 35 ans).

    L'opinion publique Française serait en définitive entièrement d'accord  sur la même longueur d'ondes pour dire, haut et fort, aux algériens : «Nous n’avons jamais réclamé de sondage pour connaître le pourcentage d’Algériens favorables à une repentance pour les « crimes contre l’humain algérien » qu'auraient perpétré les Français durant leur séjours en Algérie. Mais peu importe, parmi tous les « assassins » Dieu reconnaîtra  les siens

     

    Ce que je crois (20 mai 2017)

               Une déception pour une avocate de la banlieue Parisienne...!                                                                                                Caraïbe UN comité spécial

                                                                                      Séminaire C24 à Saint-Vincent

    Diplomatie de Boua'akhkh..Un énième échec de la diplomatie algérienne. Il y avait 522 investitures sur la ligne de départ pour y accéder à l'assemblée nationale française - moins 1 de Leila Aichi = Il en reste 521 marcheurs en compétition sur la route des législatives Françaises du mois de juin prochain.

    On l'a conseillée en définitive d'aller s'ajouter aux 462 députés FLN et RND issus de la mascarade des législatives du 4 mai dernier en Algérie pour la mandature 2017/2022 aux cotés de Bouteflika pour former un bon triangulaire et pouvoir jouer à la marrée et plaider librement en faveur du polisario. 

    Cela aurait été, parait-il; l'une des causes de la nervosité du n°3 de la diplomatie algérienne dans les Caraïbes en sa face "B" tant que sa face "A" est entachée par beaucoup de cas frivoles dans presque tout l'univers face à notre diplomatie royale qui gagne du terrain.

    Un cas unique dans les annales. Le jeudi 18 mai dans les Caraïbes, le DG du ministère algérien des Affaires étrangères a agressé physiquement un diplomate Marocain. On savait la diplomatie algérienne nerveuse, mais là elle prouve qu’elle a perdu la raison.

    On savait aussi que les diplomates algériens fous furieux, même s'il y a vraiment de quoi s'énerver, mais là ils viennent de franchir un cap inédit. car il s'agit d'un échec semblable à celui de Malabo en Guinée Equatoriale.

    Soufiane Mimouni, directeur général au ministère algérien des Affaires étrangères (soit le numéro 3 dans l’ordre hiérarchique après le ministre et le SG) a perdu son sang froid de diplomate et prouvé en négatif le comportement de 1/10°de la cervelle algérienne malade de la Marocophobie, cette maladie du siècle qui envahisse toute l'Algérie depuis plus de quatre décennies.

    Le diplomate marocain violenté physiquement par l’Algérien s’appelle Mohamed Ali Khamlichi et occupe le poste d’adjoint de l’ambassadeur du Maroc à Sainte-Lucie. Le diplomate marocain a été transporté à l’hôpital et une plainte a été déposée contre le forcené algérien.
     
    La cause principale ayant provoqué ce forfait algérien aurait été  visiblement l'incitation par le diplomate Marocain des pays membres du C24 à refuser l'imposition de la représentativité du polisario par l'ambassadeur Vénézuélien aux nations unies en sa qualité de président du comité..
     
    Par la suite, les membres du C24 prenant part au séminaire régional de ce Comité, qui se tient à Saint Vincent et les Grenadines, ont dénoncé, dans une lettre officielle, les manœuvres sournoises du président du Comité, l’Ambassadeur du Venezuela aux Nations unies, pour imposer la participation du Polisario sur incitation de l'Algérie.

    Huit membres du Comité,même s'ils sont des petits états, aux points de vue géographique et démographiques, en l’occurrence Saint Vincent et les Grenadines, Sainte Lucie, Antigua et Barbuda, la Dominique, Saint Kits et Nevis, Grenade, la Côte d’Ivoire et la Sierra Leone, ont exprimé leur opposition catégorique à la décision du président du Comité d’inviter le “polisario” à prendre part à ce séminaire.

    L’envoi de cette lettre fait suite à l’intervention, dès l’ouverture du séminaire, de l’Ambassadeur Omar Hilale, Représentant Permanent du Maroc auprès de l’ONU, qui a déconstruit, preuves à l’appui, les arguments infondés de l’Ambassadeur du Venezuela.

    Les représentants des ces huit pays ont fait part de leur soutien sans réserves à la participation au séminaire des représentants démocratiquement élus des deux régions du Sahara Marocain, insistant que cette participation leur permettra de partager avec le Comité les informations de première main sur les développements positifs politiques, économiques et socio-culturels au Sahara Marocain.

    Tandis que ce Soufiane Mimouni, le soi-disant diplomate algérien par qui le scandale est arrivé ne pouvait pas supporter en même temps deux coups de points à la figure et au-dessous-ventre Celui de Leila Aichi à Paris et l'expulsion devant ses yeux, de son polisario de ce séminaire en Caraïbes.

    Une situation très dégelasse pour lui qui venait d'Alger, pour encadrer ce qu'il croyait, un coup de filet diplomatique, devant compenser le cumul d'échecs diplomatiques enregistrés face au Maroc en cette année 2017. Mais un déplacement pour rien qui lui a coûté aussi la perte du corne zébré de son tabac à chiquer, laissé quelque part, vu que la règle protocolaire de la diplomatie algérienne de "Boua'khkh" exige de chaque diplomate, dans de cas pareils de substituer son "Chemma", au regard des autres,par un grand cigare-Castro et un co-star à l'anglaise, en vue de donner une image prospère à l'Algérie.

    Faut-il rappeler que l'Algérien, allusion aux officiels, comme aux officieux d'ailleurs,, quand il s'énerve, pour n'importe quelle raison, il double la dose de son tabac pour garder les pieds sur terre.

    Faute de quoi il risque de perdre l'équilibre mental et descendre au même niveau que l'autre diplomate, (Benali Ch'rif) -le porte-parole- du ministère de la diplomatie algérienne 'ya hasrah" qui se trouvait dans la même situation pour jongler contre une simple algérienne opprimée à cause d'une banale affaire de cuisine et de droit commun. Oui c'est-çà l'Algérie de dignité et de fièrete et de R'faâ Rassak Abbba de Bouteflika.

    De son coté, le Rabbin d'Alger Ramdane Lahmamra et ses lieutenants au département des affaires étrangères de propagande persistent et signent et n'arrivaient pas à digérer la «motion réalité» que la diplomatie Marocaine adverse a changé complètement de barres et de caps.

    ILs continuent aveuglement à se procurer des anciennes méthodes déjà consommées de la guerre froide et foncent toujours dans le vide faisant croire à l'opinion publique locale Algérienne que l'Algérie est bien sur la bonne voie de leadership continental

     

      Ce que je crois, (18 mai 2017 ) 

     

    Leila Aïchi

                                             La fameuse Leila Aichi, l'avocate du polisario

    Pardon Madame, on ne joue pas avec les grands, quand on est tout petit.Les grands sont bien ceux du palais de l'Elysée, pas ceux du palais d'AlMoradia d'Alger.

    Ne vous en faites pas madame, les propos -pro et post- campagne sont bien,comme vous le saviez, les rotules du jeu de la démocratie, dont vous en faites partie prenante.

    Faites le jeu ailleurs, à Barbes par exemple, là où vous maîtrisez bien la marche et dites à vos concitoyens algériens d'Europe ce que vous voulez au profit du polisario de votre patelin d'origine et n'oubliez pas de leur recommander de bouffer trop de tabac à chiquer, pour au moins se calmer et d'apaiser les souffrances d'électrochoc à chaque échec diplomatique comme celui dont vous venez d'endosser.

    Quant à nous, sujets de celui du palais de Rabat, nous accueillons avec satisfaction ce premier bon pas Macron, après la nomination du Marocain Mounir Mahjoubi comme ministre Français aux numériques, et considérons l'anecdote de Leila Aichi bien évaporée avec les 200 millions d'euros du contribuable Algérien, ou plutôt de la caisse noire algérienne, dont  il dispose le rabbin d'Alger.

    L'argent algérien, vous le saviez plus que d'autre ne fait pas de bonnes affaires, ni de revenus politiques concrets, quand il s'agit de monter contre son cour normal.Et le gamin de France ne payera pas les notes et les fautes des autres qui ont échoué devant la solitude d'un royaume accueillant, à bras ouverts, les ingrats au moment de leur peine.

    La pro-polisario est donc retirée de la liste définitive des 522 candidats Macron pour éventuellement éviter davantage de polémique avec un royaume en mouvement, un pays qui ne figure pas d'ailleurs parmi les pays Français d'outre mer, pour en faire des plaidoiries au profit d'un quelconque séparatiste.

    L'équipe Macron à l'Elysée aurait bien compris les répercussions néfastes qui pourraient en découler sur les relations Maroco-Françaises à cause de la polémique explosive crée au sujet de la candidature aux prochaines législatives Françaises de la pro-polisari Leila Aichi..

    Ce mercredi 17 mai a été le jour du grand verdict sur les candidats définitifs investis par La République en marche aux législatives françaises. La pro-Polisario, Leila Aïchi, n’en fait plus partie, elle n’est plus à l’ordre du jour. Son nom ne figure tout simplement plus sur la liste définitive de La République en marche, 

    La République en marche présentera ainsi 522 candidatures. Et Leila Aïchi n'en fait pas partie. Bien qu’ayant essayé de battre en retraite et de balayer toute sa sympathie pour le Polisario dans un communiqué publié mardi 16 mai, Leila Aïchi avait peu de chance de convaincre.

    le Maroc , rappelons-le,comptant pour le tiers des votants dans la circonscription où elle devait se présenter. «La choisir, c’est aller vers une défaite et vers la débauche, avertissait une source proche des milieux politiques français.

    C’est désormais de l’histoire ancienne pour ses parrains algériens des services secrets algériens du général Tartak. Les propos pro-campagne du candidat Emmanuel Macron aux présidentielles Françaises ne tenaient pas paroles parait-il, dans les affaires concrets de la France de même que la sale odeur de la Sonatrach devient de plus en plus inefficace.

    Une première page-test vient d'être tournée et le dressage du gamin Français devient désormais pas facile comme on le croyait à Alger.C'est un premier signe de non lieu et de mauvaise allure pour les décideurs en propagande étrangère d'Alger.Son remplacement semblant peu probable, tout porte à croire que Leila Aïchi s'est retirée d'elle-même. Un choix judicieux pour un mauvais jockey algérien en course hippique à l'hippodrome de Paris Vincennes.

    Malgré son communiqué de séduction où elle dément son soutien au polisario. La presse Française n'était pas  très clémente avec le mensonge algérien y afférent. Revenons aux rétrospectives de ce maudit jockey de malheurs pour l'Algérie.

    Elle aura beau se défendre, une interview accordée par la sénatrice française pro-Polisario, Leila Aïchi, au journal algérien El Watan en 2013 prouve toute l’étendue de son alignement sur la position algérienne concernant le Sahara. Marocain.

    Nous sommes en marge du séminaire organisé au Sénat français par cette Leila Aïchi, elle-même sénatrice à l’époque, sur les «droits de l’Homme au Sahara »selon la version algérienne.

    C'est la preuve, s’il fallait en chercher une supplémentaire, du parti pris en faveur du Polisario de celle qui a été investie par la République en marche en tant que candidate aux élections législatives. Ceci, dans la 9e circonscription dédiée aux Français de l’étranger. Son alignement total sur la position algérienne dans ce conflit ne souffre pas la moindre ambiguïté. A croire qu’elle représente, non pas «son» pays qu’est la France, mais la diplomatie du voisin de l’Est, pays dont elle est originaire.

    Pauvre Leila Aichi, je vous disait qu'en France, politiquement on ne joue pas avec les grands, Mais en Algérie, vos pairs ont l'habitude de jouer avec les loups. On constate tout simplement que vous êtes délaissée à votre sort épaulée dans votre combat pro-polisario par des corbeaux Drsistes mal dressés qui leur en manquent beaucoup d'expérience dans votre cas.

     Le moment où les soi-disant tireurs à cage en politique étrangère de votre pays se disputent l'abus d'autorité avec le simple citoyen algérien. Le cas de cette femme avec Ben Ali Ch'rif le porte-parole du ministère algérien des affaires étrangères qui veut jouer le spiderman dans son voisinage.cherchant à utiliser le Sahara Marocain pour politiser son conflit avec sa voisine dans une futilité affaire de cuisine. Une simple femme algérienne contrainte à s'opposer, malgré elle, à la machine officielle de l'Algérie.
     
    C'est-là madame l'avocate où il vous faut lancer les lamçons et pécher de grands poissons au lieu de plaider ailleurs, en faveur d'un concept loin d'être le votre, celui des droits de l'homme, dont vos concitoyens gouvernants d'Alger font les défenseurs et nous en creuvent les tympans.
     
    Je crois que la loi que vous en avez apprise à l'université qualifie le cas de cette pauvre femme dans la case "d'abus d'autorité". Ayez l'amabilité d'avocate de droit commun, jetez l'éponge politique de la banlieue et prenez votre uniforme de juriste pour défendre votre concitoyenne opprimée.
     
    Sachant que pour plaider innocence et avoir le soutien de son rabbin, le malfaiteur dont vous en aurez affaire, a fait entendre son cri de détresse, en l'occurrence :

    « C’est une campagne orchestrée contre ma personne et, par extrapolation pernicieuse, contre l’institution à laquelle j’appartiens et les cadres de l’État en général ».

     Sans le dire clairement, sans doute par manque de courage, laissant le site du fils du général Khaled Nezzar, un soupçonné de crimes de guerre qui a fait fortune dans les obscures, de le faire à sa place, Benali Cherif insinue qu’il paie ainsi ses prises de position contre le Maroc, l’ennemi numéro un de l’Algérie.

    Au lieu de répondre sur le fond de son conflit avec sa voisine, il préfère ainsi parler d’un complot contre l’État algérien. Quelle trouvaille pour le porte-parole de la diplomatie algérienne ! La tentative mesquine de diversion de Benali Cherif prête à sourire tant que les faits ne plaident en sa faveur parce que ses prises de positions contre le Maroc sont rares, pour ne pas dire inexistantes.

    La presse jaune algérienne se déchaîne pour lui rappeler vachement que l'Algérie se fait attaquée régulièrement par de hauts responsables Marocains, sans que le porte-parole des Affaires étrangères réagisse.

    Plus encore, le fils du Nezzar écrit en contre partie, dans son "Algériepatriotique" que l'intelligence Marocaine attaque régulièrement l'ambassadeur algérien à Bruxelles Amar Belani, ainsi que le ministre des Affaires étrangères Ramdane Lahmamra, insistant que seuls ces deux hauts responsables de l’Algérie qui ont l’habitude d'hisser les jalons et les mensonge contre la raison.

    Mais jamais Benali Cherif. Il est quand même déplorable pour le porte-parole du ministère des Affaires étrangères de se faire connaître auprès de l’opinion publique algérienne par une banale affaire de droit commun

     

    Ce que je crois (16 mai 2017)           Erwan Davoux et Leila Aïchi

                                                 Leilla Aichi                                                                                                Erwan Davoux

    Çà y est le train économique Marocain à diverses locomotives a prie toutes directions, partant de Rabat à Pékin via Abuja.

    J'avais pas l'intention d'aborder ce sujet maintenant, mais nécessité oblige, pour montrer à nos frères ennemis algériens que ce n'est par une fille issue des espaces clos de Barbes qu'on va fustiger la marche de ce grand Maroc.

    Ce n'est pas Leila Aichi qui va changer la donne en politique de haine d'Algérie contre les intérêts du Maroc.

    Le tollé provoqué par l’investiture de Leila Aïchi, une Franco-algérienne, de la troisième génération Harkie, connue pour ses positions pro-algésario et son soutien actif à cette entité fantôche, et à la politique de son pays l’Algérie, comme candidate de "La République en marche" d'Emmanuel Macron à la 9e circonscription des Français de l’étranger, continue de faire réagir les réseaux sociaux et la surprise nous parvient en fait, de Paris même pour apaiser les nerfs de nos binationaux (Franco-Marocains) du monde. 

    Automatiquement un Mr.Erwan Davoux, photo à droite candidat de "LR", (Les républicains) à la même 9e circonscription aux prochaines législatives Françaises prévues au mois de juin prochain, s'est mis volontairement en avant-garde et annonce qu’il s’alignera sur la position officielle de la France sur la question du Sahara Marocain évitant porter préjudice aux intérêts du Maroc, tout en se mettant ainsi contre ce mauvais départ Macroniste et au début de la fin pour la pro-polisario Leila Aïchi.
     
    Elle pour s'approprier de la sympathie et  des intentions de vote des Français de l'étranger de sa circonscription électorale, elle n'attendait pas le feu vert de ses parrains algériens, comme c'était le cas de Brahim Ghali dans l'affaire de Guerguaret, elle vient tout juste, dans un communiqué, rendu public ce mardi 16 mai de démentir son appartenance au polisario.
     
    Elle nie en bloc tout attachement à ce mouvement séparatiste crée et soutenu par son pays.Ses clarifications étaient attendues. Elle les avait annoncées telles quelles.
    Si cette Leila Aïchi n’avait jamais nié auparavant son parti pris en faveur du polisario, pourquoi se précipitait-elle aujourd’hui?, elle le fait tout d’un bloc. Les enjeux électoraux sont passés par là et elle affirme, entre autres, n'avoir jamais voulu porté atteinte au Maroc. Vraiment?               
    Dans sa circonscription, le Maroc compte pour le tiers de l’électorat. Aujourd’hui, elle se plaint et parle d’accusations infondées. Le but serait disait-elle? «Entacher mon intégrité et mon indépendance».
     
    Pour nous Marocains, charger Leila Aichi ou une autre, de prendre place avec les 511 candidats de la République en Marche d'Emmanuel Macron, pour nous c'est un coup d'épée dans l'eau qui malheureusement représente la fâcheuse méthode de travail, suivie jusqu'ici par les des services secrets algériens du général Tartak.

    Tous mes excuses d'abord, à mon lectorat si j'aborde un sujet pareil. Ça serait pas de mon vocabulaire,mais je suis contrains et dans l'obligation de le faire pour permettre au lecteur avéré d'en faire la différence entre la crédibilité de l'Etat du Maroc et la frivolité de l'Etat Algérien.

    Faut-il le rappeler aux algériens, que je ne suis pas un certain Bouguettaya qui répond, parmi d'autres hyènes Flnistes à chaque appel d'incendie en Algérie?Non! moi je ne reçois d'ordre ou de réquisition de personne, j'écris ce que je sens comme le sentaient les sujets de Sa majesté le Roi dans tout ce qui peut toucher l'intégrité territoriale et nuire à la souveraineté de ce grand Maroc.

    Cela ne ressemblera qu'à l'opération des prostituées Oranaises  envoyées en Kabylie ! Ce n’est plus un doute que le régime algérien veut polluer les relations Franco-Marocaines à tout prix et par tous les moyens possibles.
    Un avocat à la ville de Tizi Ouzou, qui a défendu trois prostituées, arrêtées dans un bar clandestin à Voughni, a raconté aux algériens de France comment ses clientes ont répondu aux questions du procureur de la république Algérienne  et du juge d’instruction.Je cite :
    «Si  je suis venue de Mascara pour exercer mon métier de prostituée dans cette localité de Tizi Ouzou, c’est justement suite à l’encouragement des services de sécurité qui me surveillent et me protègent. A Mascara, les patrons de bars et les commissaires nous aident même financièrement pour rallier les bars clandestins en Kabylie.

    C’est tout un réseau, dont des hauts responsables des services de sécurité sont impliqués, qui fait que la plupart des jeunes filles de la région de l’Ouest se trouvent en Kabylie. On se demande pourquoi on nous arrête maintenant? et pourtant c'est eux "la police" qui m'ont payé les frais d"embarquement» aurait déclaré une des prostituées  au juge le jour de son procès.

    Mes clientes m’ont confirmé que les services de sécurité de plusieurs villes, de l’Oranie, encouragent l’installation des filles de joie en Kabylie»fin de citation

    Mais pourquoi cette politique ? On ne peut déduire que c’est une politique menée dont le but est de déstabiliser la Kabylie pour son soutien indéfectible au MAK (Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie) de Ferhat Mehanni.

    Il faut être humain et ne pas en vouloir à ces jeunes filles qui sont aussi des victimes. Il ne faut pas se tromper d’ennemi» laisse entendre un autre avocat de Tizi Ouzou. Convaincu du plan machiavélique, un autre avocat affirme que la presse locale ne peut jamais traiter ce sujet à caractères prohibés sous peine de recevoir des pénalités sous table.

    Au fait, le régime pousse les jeunes kabyles vers les deux extrémités : l’islamisme extrémiste barbu ou la débauche ! 

    En plus les déclarations en série sur une éventuelle amitié de Macron avec l’Algérie et sur la probabilité de son dressage aux guises des services secrets du général algérien Tartak, ce ne sont que des moyens infructueux de promotion des lieux de débauche et sont aussi un complot secret du régime raciste d’Alger, dans la seule optique de plonger le quinquennat Macroniste dans le chaos avec le Royaume du Maroc.

    Une facture aussi lourde de 200 millions d'Euros ne passera pas certes de façon gratuite et inaperçue à Alger, surtout si la garante n'était qu'une Ségolène Royale.

    L'arrogance et l'ingratitude que nous savions plus que d'autres, sur le comportement des débiteurs algériens affecteront éventuellement toutes les ambitions politiques du président Français, particulièrement les grandes ambitions visant la refonte de la France et de l'Union Européenne contenues dans son programme de campagne.

    Mr.Macron ne pourra pas éviter d'être la toupie entre les palais de l'Elysée et d'Al Moradia d'Alger et les Français ne le pardonneront pas certes même si on croit à la crédibilité de ses premiers propos à Berlin en Allemagne où il a bien mâchait ses mots à coté de la Chancelière Allemande Mme Angela Merkel en disant qu'il lui «est interdit de parler de la politique Française à l'Etranger».

    Moi je leur dirai que leur président aussi jeune, ne pourra pas tenir trop devant la puissance de l'autorité de l'argent (En verra ça, également affaire à suivre)                                           

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    Qu'est-ce-qu'on pourra dire aussi à Alger en apprenant, voire en faisant apprendre aux mourants de la résidence médicale Zeralda d'Alger, que Le Souverain Marocain offre une réception en l’honneur des personnalités présentes au Palais Royal à Rabat, pas pour animer une campagne électorale au profit de l'FLN ou du RND. Mais pour réactiver les promesses faites durant les périples royaux en Afrique et mettre en oeuvre les paroles Afro-Marocaines en actes concrets, suivant l'agenda Royal de crédibilité.
    Le pipeline Nigeria-Maroc devient une réalité de paroles aux actes. Il aura un impact positif direct sur plus de 300 millions d’habitants et permettra d'accélérer les projets d’électrification dans toute la région de l’Afrique de l’Ouest, servant ainsi de base pour la création d’un marché régional compétitif de l’électricité.
     
     
    Sa Majesté le Roi Mohamed VI, que Dieu L’assiste, a présidé, au même moment la cérémonie de signature d’accords relatifs au projet du Gazoduc Nigéria-Maroc et à la coopération maroco-nigériane dans le domaine des engrais.
     
    Pire à avaler ou à digérer encore par la mentalité algérienne malade que le Maroc et la Chine aspirent à développer une coopération multidimensionnelle Les relations académiques et universitaires promises à bel avenir. 
     
    La semaine dernière a été marquée par de nombreuses activités qui ont mis en évidence la solidité des relations entre le Maroc et la Chine. Une année après la visite officielle de S.M. le Roi dans ce pays, la volonté est plus ferme que jamais de donner à la coopération entre Rabat et Pékin un caractère concret et multidimensionnel. En effet, outre le volet économique, les relations entre les deux pays se développent également au niveau universitaire et culturel.
     
    La coopération entre le Maroc et la Chine connait un important essor. En effet, une année après la dernière visite de S.M. le Roi en Chine, en mai 2016, une forte impulsion a été donnée aux relations bilatérales à plusieurs niveaux. Les résultats sont concrets et palpables, comme l’illustre l’augmentation des investissements de la Chine au Maroc. Cette dynamique est la conséquence directe des nombreuses conventions signées entre les deux pays, giron de Rabat et les entreprises chinoises
     
    Vous me permettrez de taper sur les cordons qui font mal aux tympans des algériens et je me réjouirai de glisserai ce spot de publicité sans que les Chinois s’aperçoivent dans l'espace qui leur est réservé.
    Un sale algérien se donnait le droit et osait s'adresser à Sidna, via une vidéo montée par la technique de clivage, mixage et de photoshop pour faire passer beaucoup de termes injures et diffamatoires qui font du plomb à l'aile de tous les algériens.
     
    Que les algériens consommateurs de cette vidéo, sachent bien que nos dirigeants Marocains n'ont pas droit de mentir et de dire n'importe quoi, autrement dit, ils n'ont pas de marge de manœuvre pour juguler un projet quelconque des grands chantiers ouverts à l'échelle nationale par Sa Majesté le Roi . C'est pourquoi nos projets d'infrastructure arrivent toujours au beau fixe et la preuve est la suivante.
     
    «La Renault commerce au Maroc une part de marché historique de 45,% de ses capitaux de France et d'ailleurs.
     
    Seul l'usine Renault-Maroc à Melloussa Tanger-Med commerce à ciel ouvert les  marques Renault + Dacia. Il a battu un nouveau record au mois d’avril dernier, un record fort de ses 5.812 véhicules livrés, le groupe a enregistré une part de marché  pour 400.000 unités à livrer à la fin de l'année en cours 2017(PDM) historique de 45%, et évolue de presque 25%, dans le marché concurrentiel au niveau national Marocain. Il projette arriver à la production annuelle de 500.000 unités à l'horizon de 2020».Vérification à faire à la bourse de Casablanca.Cette réalité videra certes la vidéo précitée de son contenu.
     
    Un autre algérien disait, parallèlement en contradictoire, avec beaucoup d'amertume que le Maroc devance l'Algérie de 40 ans dans tous les domaines. Tandis que l'Algérien régresse davantage dans la poussière des usines des autres.
     
    C'est vrai elle a acquit le seul leadership en bluffs et en déformation de vérités, elle est aussi une force régionale dans la planète de "Mars".que Bouteflika devait la visiter avant le cimetière d'Al âlia d'Alger.