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  • Marche marocaine de réussite et guerre de succession en Algérie (14)

    Ce que je crois, (14 mai 2017 )

     

    Aucun texte alternatif disponible.

    Le 14 du mois de mai,c'est le 61ème anniversaire des Forces Armées Royales - Air - Mer - Terre -

    Cette année, on aura l'impression de célébrer le baptême du nouveau-né -l'oncle Abrams-.

    Un engin broyeur qui sait faire tout, face à la ferraille rouillée des algériens.

    Ses gousses d'ail sont capables de briser tout rêve vers l'atlantique et même en faire barrage de respirer son air.

    C'est l'ogre qui interdira à Gaid Ahmed Salah et son gamin Said Chengriha de surfer dans la baie de Dakhla ou d'y assister à un de ses tours de Crans Mantana.

    Nous voyons ci-dessous, avec fièreté les séquences de musculation de ce monstre, ses démonstrations qui peuvent aller jusqu'à avaler les débris et carcasses de ce qu'on croyait puissant, les T90-URSS, dont l'un qui dit-on, déjà arrivé à Ben Aâknoune à Alger et l'autre encore errant  en mer de chantage.

    C'est très beau à regarder avec l’œil d'optimisme, Je l'ai vu manœuvrer quelque part, piloté par des jeune-faucons Marocains. .Allah yensor Sidna qui ne cesse de penser à notre grandeur. A cet effet,J'aurais pas besoin,comme beaucoup d'autres sujets de Sa Majesté le Roi de répéter la devise, étant sculptée en marbre dans nos fonds.

    Que pourraient-ils dire les algériens en regardant ce monstre passer, en pas d'ogre, devant la racaille du général Said Chengriha à l'écurie de Tindouf? Certainement rien ! que de doubler la dose en tabac à chiquer et expirer les douleurs des défaites des Amgala et encore plus, les échecs de leur diplomatie en politique étrangère de propagande et d'autruche que mène vainement en leur nom le Rabbin d'Alger Ramdane Lahmamra et compagnie..!.

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                                        L'oncle Abrams (le nouveau-né des FAR)

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    Ce que je crois, (07 mai 2017 )   

                                                  trump_joumala.jpg       

    Que du naufrage en Algérie..Un sale agent de renseignements des services secrets algériens fait circuler à l'internet il y a presque deux semaine un dicton dans lequel il notifie aux siens que le président Américain Donald Trump ne voulait pas recevoir le Roi du Maroc et que ce dernier est chassé avec beaucoup d’humiliation du devant la maison blanche.

    Plus pire encore l'auteur du dicton employait des termes injurieux et diffamatoires envers la personne de SIDNA. Cela étant signifie que les coups de poings Marocains faits à l'Algérie à travers le monde,surtout en Afrique, ont bien porté leur fruit et envahie avec succès l'espace Tartakien pour atteindre cet espace d'araignée.

    Tant mieux, je vais pas entrer en polémique avec des cons qui s'expriment de cette façon, seulement j'en profiterai de l'occasion pour dire à mon lectorat et par son biais à toute mentalité algérienne malade du "Marocophobie" que la personne  de Sa Majesté le Roi, pour nous Marocain est une «valeur sacrée» et que chacun de nous est appelé constitutionnellement à faire preuve pour la préserver.        

    Nous sommes un pays démocratique où les droits et les devoirs sont à la bonne rotation, un pays, là où il n'y a pas de sales bottes détenant les destinée de tout un peuple opprimé. C'est vraiment notre Etat de lois et de droit qui en train de se construire, faisant la distinction entre le faucon et le corbeau. Oui les faucons c'est les nôtres, les corbeaux c'est les autres.

    Ce Monarque le plus aimé par ses sujets, qui dit-on en Algérie veut déstabiliser l'Algérie, était, rappelons-le, en vacances à Miami au sud-est de l'Etat de Floride en USA avec sa petite famille. A la fin du séjours il s'est envolé de Miami à Paris sans avoir besoin de faire escale ni à Washington ni à News York, Etant un homme d'Etat de poids lourd à qui tout président souhaiterai rencontrer pour le saluer, voire uniquement baiser la main Chérifienne ou poser avec Des termes qui feront mal certes, aux tympans du maudit soit-il Boumediane dans sa tombe et à toute sale race se trouvant en Algérie.                                    

    Pour ce qui est de Mr. Donald Trump, il appartenait aux corbeaux de général Tartak de faire un petit clic sur google pour voir le degré de traditionalisme entre les "Ait Trump et le Royaume du feu Hassan II que Dieu ait son âme. Je disais souvent que ce n'est pas les sales bottes qui nous commandent. Non notre Monarchique est encrée dans les sillages les plus lointains de l'histoire.

    Nous ne sommes pas nés en juillet 1962, pas du tout, il suffit de consulter Sidi Mohamed Ben Abdallah qui tissait les premier contacts avec George Washington et qui fut le Sultan du premier pays au monde, qui reconnaissait l'indépendance des Etats Unis d'Amérique. C'est une réalité que les corbeaux algériens ne peuvent cacher par les tamis de leur propagande. Nous n'avons pas aussi un ex-caporal Français se trouvant ces jours-ci, en état d'alerte maximal, limant, sous table, ses couteaux pour éventuellement s'accaparer du pouvoir d'Alger et bâtir une dynastie de vieilles hyènes FLNistes.

     La mascarade des législatives du 4 mai en Algérie n'était pour lui et ses pairs qu'une étape contre la montre et une attente forcée qui s'affiche avant de visiter le cimetière «Al âlia» d'Alger et tourner les pages de jeux au hasard une fois pour toutes. C'est là où il faut mettre le nez pas en web pour porter préjudice à la personne d'un Roi qui par sa souplesse diplomatique,grille les étapes, tout en marquant davantage de bons points.          

    C'est vrai, les tyrans du pouvoir algérien ont disparus, un à un comme les dents de peigne et le champ d'action en Algérie devient de plus en plus, plus vague et ambiguë pour réussir à la nage contre le courant Marocain. Où sont-ils passés les Dieux d'Alger (les généraux Toufik, Les deux Lamari, Nezzar, Larbi Belkheir et les autres du contingent Gaulliste).

    Le Royaume Chérifien du Maroc est un Etat souverain apte à recevoir n'importe quel président. Pour que Mr. Trump entre en contact avec le Roi du Maroc, il lui a fallu revoir ses carnets de notes et de recevoir d'abord, les lettres de créance de notre ambassadrice à Washington Charifa Lalla Joumana, qui vient de changer elle aussi son lit de camps de Londres à Washington.

                                                                                       -:- 

    L'histoire se répète à volontiers..Le 6 février 2017 à Laâyoune. Sa Majesté le Roi nomme sa cousine Lalla Joumala. Une princesse de carrière. Cette dernière qui représentera désormais le royaume Chérifien du Maroc à Washington, occupait déjà le poste d’ambassadeur au Royaume-Uni chez la reine Elisabhet II. Même si Mr. Donald Trump est débutant en politique et en diplomatie, il comptera sur ses lieutenants de carrière censés le guider correctement vers les vrais alliés des Etats Unis sans commettre de fautes, comme le faisaient auparavant les conseillers de son prédécesseur, celui que Kaddafi appelait M'Barek Bouamama.

    Et qu'il sache lui et n'importe qui que si Mr. Trump désirerait rencontrer ou en parler à Mohamed VI, il le trouvera parmi ses frères du Conseil de Coopération du Golf arabic où le Royaume du Maroc de Mohamed VI est «membre d'honneur».Il parait, ou plutôt on parlait ces jours-ci que le président Américain Mr.Trump inaugurera prochainement sa première sortie de la maison blanche, en tant que président des Etats Unis d'Amérique, par une visite aux pays du Golf à leur tête l'Arabie Saoudite. Et c'est-là où il trouvera probablement Sa Majesté le Roi Mohamed VI. ce qui fera grain de sel à la gorge de ses adversaires algériens. Nous et si je dis nous c'est le Maroc qui joue avec les grands, pas avec un corrompu Zuma de l'Afrique de Nelson Mandela.

    Nous le voyons souriant, le moment où le président américain a reçu à la Maison blanche Charifa Lalla Joumala, qui lui a présenté ses lettres de créance en tant qu'Ambassadeur de Sa Majesté le Roi aux États-Unis. Lors de cette audience, Chrifa Lalla Joumala a fait part à Donald Trump "de la haute considération et du respect" du souverain marocain.

    L'Ambassadeur Marocaine s'est notamment félicitée que le royaume et les États-Unis sont liés par une "alliance historique inébranlable” qui date du 20 décembre 1777, lorsque le Maroc est devenu la première nation à reconnaître formellement l’indépendance et la souveraineté des treize États américains engagés dans la lutte pour la liberté..?

                                  Résultat de recherche d'images pour "Donald Trump et Hassan II"                                                                   Feu Hassan II et les Ait Trump à Tanger en 1988 (photo Map)

    Un témoignage de plus..Pour vexer davantage nos frères ennemis algériens, nous leur disons ce que disent souvent les experts :  Le Maroc est premier au Maghreb, et en Afrique.

    En effet, le magazine américain, U.S. "Nouvelles et Rapport Mondial", a publié son classement 2017 des meilleures nations au monde, dans lequel le Maroc occupe une place au milieu du tableau.

    Le'Classement de meilleurs pays 2017’ est un classement réalisé à partir d’un sondage international. Il a été conduit auprès d’un échantillon mondial de 21.000 individus issus de 36 pays dans le monde.Ce sondage américain a permis de classer 80 pays dans le monde. Le Maroc y figure à une place très avancée.

    Le Royaume du Maroc est un pays en Afrique du Nord occidentale, jouxtant deux grandes façades maritime de 3700 kms environs avec des côtes sur l'océan Atlantique et la mer Méditerranée. Juste un ferry heure de l'Espagne, le pays a un mélange éthnique d'arabe, berbère, africaine et les influences culturelles européennes.

    Contrairement à beaucoup de ses voisins, le Maroc est resté indépendant pendant une grande partie de son histoire. Une fois partie de l'Empire romain, le pays a été gouverné par une série de royaumes après la conquête arabe de la fin du VIIe siècle. Maroc contrecarré les tentatives de contrôle turc et européen jusqu'à ce que le pays est devenu, malgré lui, un Français en vertu d'un protectorat 1912-1956.

                                                     -:-

    L'administration-Trump inclut le Sahara dans son Maroc. Pour l'Algérien, combien y a-t-il de Trump sur cette photo?


                     Voir l'image sur Twitter

    Le Maroc se félicite des dispositions relatives au Sahara marocain contenues dans la loi budgétaire de l’exercice 2017 des Etats Unis d’Amérique, adoptée par le Congrès et promulguées par Donald Trump. Communiqué du ministère des Affaires Etrangères.

    Selon un communiqué du MAECI, le "Royaume du Maroc se félicite des dispositions relatives au Sahara marocain contenues dans la loi budgétaire de l’exercice 2017 des Etats Unis d’Amérique, adoptée par le Congrès et promulguées, ce jour, par le Président Donald Trump".

    "Cette loi prévoit que les fonds destinés au Maroc sont également utilisables au Sahara marocain. En effet, la loi dispose que « les fonds alloués [au Maroc] sous le Titre III … doivent être rendus disponibles à l’assistance au Sahara occidental »", affirme la même source.

    "De même, le rapport accompagnant ladite loi et explicitant ses dispositions, réaffirme, sans ambiguïté, le soutien du Congrès américain à l’Initiative marocaine d’autonomie. Il souligne, ainsi, que « le Secrétaire d’Etat devrait poursuivre un règlement négocié de ce différend, conformément à la politique des Etats Unis de soutenir une solution basée sur une formule d’autonomie sous la souveraineté marocaine »", poursuit le communiqué, qui rappel que "dans ce texte, l’Administration américaine est encouragée « à soutenir les investissements du secteur privé au Sahara occidental »".

    Par ailleurs, le MAECI n'omet pas de relever que "la loi adoptée par le Congrès et promulguée par le Président américain, demande au Secrétaire d’Etat de présenter un rapport, sous 45 jours, « décrivant les dispositions prises pour renforcer le contrôle de la livraison de l’assistance humanitaire aux réfugiés en Afrique du Nord »", insistant que cette disposition est "une référence à peine voilée à la population des camps de Tindouf en Algérie"

                                                                                 --

                                                    Une Algérie alliée de satins..!

    Tandis que Bouteflika, pleure dans son vivant sur les ruines de la guerre froide,une guerre qui compte encore le reste de ses démons - l'Iran, La Corée du Nord, Ismail Haniia et Hassan hizb Allah et Béchar Assad - Il n'était pas fier d'être algérien à cause dit-on, d'un bas dinar en 1999...Et maintenant? regardez la (Vidéo)

    Le candidat Abdelaziz Bouteflika, en 1999, avait promis à Béchar de redonner son lustre d’antan au Dinar algérien qui était selon lui, indigne d’un grand pays comme l’Algérie.Visiblement c'était la version d'un candidat. Mais discrètement,faut-il rappeler aux étourdis que les habitants de Colomb-Béchar savaient plus que d'autres de quoi parlait-il.

    La rédaction du blog avait fait allusion en ce sens, mais les corbeaux-Tartak se sont intervenu en supprimant la vidéo originale qui était en colonne droite de la page d'accueil, injectant en compensation une autre vidéo pour faire taire les voix cassées qui se sont élevés en la matière.C'est ça l'Algérie de la politique du dribble et de déformation.

    "Je suis triste de dire, que je ne suis pas fier d’être algérien alors que je sais que 1000 dinars algériens valent 30 dirhams marocains", s'enflammait-il, la mine dépitée, devant une population qui avait l'air d’être plutôt circonspecte de se faire insulter de la sorte.

                   
     

    "Lorsque l’Algérie était un pays, un Dinar algérien valait 1,25 Franc français, et 1,5 Dirham marocain. Ceci est sans aucun doute, un manquement de l’état algérien combiné à une politique en échec". Puis de rejeter la responsabilité sur la population, qui selon lui, était responsable autant que l’état de la situation. "Vous êtes tous responsable de la situation, tous. Vous en tirez profit de tous les fléaux : corruption, contrebande, drogue, mafia… ", accusait Bouteflika à l’époque le propos plein de morgue..

    Mais 18 ans plus tard, et sous son règne, qu’en est-il de la situation du dinar algérien, de la contrebande, de la drogue et de la mafia ? Pourrait-il nous refaire le même discours ? Nous expliquer, le pourquoi d’une situation financière catastrophique du pays ?

    Plus encore, devant le sénat algérien, le gouverneur de la Banque d'Algérie, expliquait que la monnaie algérienne était devenue "non convertible". C’est-à-dire, une monnaie dont personne ne veut. Que la monnaie nationale ne valait plus rien, pas même les 30 dirhams pour 1000 dinars de 1999 (chiffre à l'époque, du cours parallèle et non-bancaire soit dit en passant)

     

                                 Ce que je crois, (04 mai 2017 )

    Échaudé par l'échec devant l'ONU l'Algérie veut confier la gestion du dossier à l'UA et pousser d'un cran la diatribe de son Chergui contre le Maroc.

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                                                                Assemblée générale de l'ONU

    Chers lecteurs.. Si vous me permettez, on fait un point de réflexion.! C'est une première d'ailleurs, dans les discussions et les attitudes onusiennes concernant le dossier du Sahara Marocain :

    Savez-vous pourquoi le rapport du SG de l'ONU sur le Sahara Marocain a ignoré les discussions de Brahim ghali? -

    Savez-vous aussi pourquoi le secrétaire d'Etat Américain a évité de rencontrer en personne la nouvelle Dalamini Zuma, le Tchadien, président de la commission Africaine, et pourquoi  Trump refuse de se baisser au niveau de ces corrompus?. 

    Savez-vous enfin pourquoi les quinze du conseil de sécurité ont voté, cette fois-ci,à l'unanimité et sans hésitation aucune la résolution 2351 sur la Minurso et le Sahara Marocain?

    Savez-vous pourquoi Mr. Gueterres, le Secrétaire Général de l'ON ignorait les billevesées algériennes de la cour martiale algérienne à l'UA?.

    Hé bien les réponses à toutes ces interrogations n'ont pas tardé de venir d'Alger.Pour la dernière interrogation la rédaction garde en sa possession ce qui peut être la réponse, en l'occurrence :

    «Dans son rapport, distribué hier lundi 10 avril aux quinze membres du Conseil de sécurité, le SG de l’ONU Antonio Guterres a superbement ignoré les rodomontades servies par ce charlatan algérien à l’Union africaine, le dénommé Smaël Chergui, suite à sa «réunion ad hoc» du 20 mars à Addis-Abeba qui n'a rassemblé que deux pays africains de 54 pays membres et les pions du polisario pour hisser les slogans et applaudir..Les gesticulations de cet algérien à la paix et à la sécurité, n’ont finalement pas eu l’effet escompté par ses maîtres galonnés tapis au luxueux Club des Pins, à Alger.
     
    Dans le rapport du secrétaire général de l’ONU, soumis à l’approbation des quinze membres du Conseil de sécurité, il n’est fait nullement mention des «recommandations» émises au nom du Conseil de paix et de sécurité relevant de l’UA par l'Algérie, à l’issue de la réunion ad hoc de Smail Chergui» 
                                                                                   --

    Échaudé par la nouvelle résolution adoptée le 28/4 par le Conseil de Sécurité sur le Sahara, Alger et son bâtard se tournent en désespoir de cause vers l’Union africaine. C’est du moins ce qui ressort de la première sortie du dénommé M’hamed Khaddad,le soi-disant coordinateur algésario auprès de la Minurso. 

    Faut-il rappeler que l’Algérie veut récidiver après avoir échoué auparavant d'imposer au Conseil de Sécurité la mission impossible de Chissano au Sahara Marocain. Dans les allées du centre de conférences de Sipopo, à Malabo, où s’est tenu le 23ème sommet de l'Union Africaine la nomination de  Joaquim Chissano, l’ancien président du Mozambique, comme envoyé spécial de l’UA pour le conflit du Sahara Marocain était signalée en l’absence du Royaume du Maroc<;

    Et depuis l'Algérie lui cherchait du travail. Il s’est déjà rendu en France, en Espagne, au Royaume-Uni, aux États-Unis et au siège de l’ONU. Cela devrait, selon l'agenda algérien, mener à l’organisation d’un référendum impossible pour contrecarrer l'unique proposition Marocaine y afférente.

    Cette nomination initiée et saluée par Alger et le polisario fut rejetée à la demande du Maroc par le Conseil de Sécurité malgré les pressions qui auraient été faites officieusement par les lieutenants de Ban Ki Moon et son envoyé spécial au Sahara Christopher Ross..

    Pour essayer de s'enfuir en avant, le plus loin possible, dans l'attente de permettre au destin d’enrôler le bon capitaine de bord pour sauver ce qui reste du navire algérien, déjà embourbé dans l’abîme de sable plongée dans l'incertitude. Les teneurs de ficelles du pouvoir algériens, qui ne sont tous que des bougres, agissent vainement dans les coulisses pour faire une quelconque percée dans la volonté sereine du nouveau secrétariat de l'ONU.

    A cet effet quelqu'un d'eux, le plus intelligent, qualifié en politique de propagandes étrangères, qui ne serait que le rabbin d'Alger Ramdane Lahmamra, qui parait-il,cherche d'aller expier vers ses péchés et défaites face au Maroc. Pour combler la vacance et faire couler le temps mort, l'Algérie charge cette fois-ci son propre citoyen, le dénommé Said Chergui, président par excès du fameux Conseil de paix et de sécurité de l'Union Africaine pour rassembler tout bois pour brûler la thèse Marocaine.

    Pour précision, aussi bien le SG de l’ONU, Antonio Guterres que le Conseil de sécurité ont ignoré totalement le «rapport» sur le Sahara bidouillé par la commission dirigée par l’Algérien Ismaël Chergui, tellement ce rapport dénote l’instrumentalisation et le parti pris flagrant en faveur des intérêts d’Alger et de son polisario.

    Mobilisation toute, comme on dit au navire.Le Rabbin d'Alger Ramdane Lahmamra, ministre d'Etat algérien aux affaires de propagandes étrangères et malgré sa mise au placard par le clan présidentiel, il ronronne plus fort, pour se faire entendre au grand volume.Il rassemble tous ses ingrédients haineux servant au dribble, il ouvre toutes fréquences et pointe ses vacations pour faire passer ses messages qui ne serviront en rien devant la volonté de Mr. Gueterres.

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                                                       L'algérien Smail Chergui, chez lui,dans sa cour martiale

    Ainsi, interrogé sur la résolution 2351 sur le Sahara, adoptée vendredi 28 avril par le Conseil de sécurité, le pseudo-coordinateur du Polisario auprès de la Minurso, M’hamed Khaddad, a déclaré lundi 1er mai à la presse à Alger que «le conflit doit être traité conjointement par l’UA et l’ONU». Nouvelle fuite en avant.

    Cette déclaration appelle au moins une remarque. Elle confirme l’échec cuisant du Polisario et de son tuteur algérien devant l’ONU.  Tout le monde sait pourtant que le conflit du Sahara relève de la compétence exclusive des Nations unies.

    Sans doute le Polisario espère-t-il que l’Algérien Chergui, en charge de la plus importante commission à l’UA (Paix et sécurité), et qui fidèle à la politique de son pays ne rate pas une occasion de charger le Maroc, entraîne l’institution africaine dans une voie férocement hostile à la Marocanité du Sahara. 

    L’Algérien Smail Chergui, à la tête de la Commission paix et sécurité à l’Union africaine, a publié un document à charge contre le Maroc dans lequel il demande le contrôle par l’UA des droits de l’Homme dans le Sahara atlantique et la création d’un bureau à Laâyoune. Le pourquoi de cette manœuvre.

    Ayant échoué à bloquer le retour du Maroc à l’UA, Alger cherche à créer une tension dans les instances de l’organisation africaine via son diplomate, l’Algérien Ismail Chergui, élu dans des conditions interlopes à la tête de la plus importante commission de l’UA : la Commission paix et sécurité (CPS). Ce dernier a improvisé un jour de  lundi une réunion ad hoc entre le Maroc et la «rasd» qui a fait pschitt et à laquelle n'ont assisté -en plus de l’Algérie et de vizirs de la «rasd » qui voyagent avec des passeports diplomatiques algériens- que deux pays: le Niger et le Kenya.

    Le 23 mars dernier, l’agence officielle algérienne APS a publié deux dépêches fleuves pour rendre compte d’un document de 12 pages, rédigé par l’Algérien Ismail Chergui en sa qualité de commissaire de la CPS. Jusque-là, aucune autre agence de presse au monde n’a donné d’importance à ce document.

    Ce détail n’est pas anodin. L’Algérien à la tête de la plus importante commission de l’UA rédige un document entièrement à charge contre le Maroc et l’agence officielle algérienne est la seule à en rendre compte. Décidément, Alger est présente chaque fois que des mesures hostiles sont entreprises contre le Maroc.i

    Ce document, violente diatribe contre le Maroc, rassemble tous les éléments de langage fournis depuis des années par Alger à ses diplomates. Chergui (s’il n’a pas reçu le document directement d’Alger) aura fait un assemblage des «angles d’attaque» qui sont sur les bureaux de tous les diplomates algériens dans le monde. Cela donne en matière des droits de l’Homme:

    «Des rassemblements de soutien à l'autodétermination du territoire sont systématiquement empêchés. Les Sahraouis qui expriment des opinions favorables à l'indépendance et défendent les ressources naturelles du territoire sahraoui font l'objet de harcèlement, d'emprisonnement politique et d'abus».

    La prétendue «exploitation illégale des ressources naturelles du Sahara occidental» est également largement relayée par ce document, alors que tout le monde sait ou devrait savoir que pour chaque dirham que rapporte le Sahara, dix sont dépensés par les autorités Marocaines - A Laâyoune, les Oulad R'chid, Hassan Derham, les notables de nos provinces du sud et les populations locales en témoignent haut et fort.

    L’effort d’investissement dans le Sahara "atlantique", comme disait l'Algérien dans son papier-chiffon, est en train de transformer une région où il n’y avait pratiquement rien, en un pôle de développement bénéficiant avant tout aux populations locales.

    Le document de M. Chergui, qui reprend toutes les armes mises à disposition de ses pairs par Alger, cite l'arrêt rendu le 21 décembre 2016 par la Cour de justice de l'Union européenne concernant les accords entre l'UE et le Maroc concernant les produits agricoles et de pêche.

    Il le cite de façon sélective en pointant uniquement du doigt le caractère distinct des territoires du Sahara. Il oublie de mentionner que cet arrêt ne reconnaît pas au Polisario ni aux "visirs" de la «rasd» conviés à son show, la qualité de représenter les populations du Sahara. Une décision capitale et qui devrait priver les responsables du Polisario de parler au nom des populations qui vivent dans le Sahara.

    Il omet également de souligner que cet arrêt conditionne –et c’est l’essentiel– l’implication du Sahara Marocain dans les accords entre le Maroc et l’UE au consentement des populations qui y vivent. Or ces populations élisent par un suffrage direct des élus qui les représentent et qui ont la légitimité de se prononcer au sujet de ce consentement.

    L’autre enseignement à retenir de la sortie de M’hamed Khaddad: le Polisario et Alger sont très déçus par la résolution  2351 du Conseil de sécurité. En dépit du mot d’ordre donné aux médias -après 24 heures d’un silence assourdissant- d'affirmer que cette résolution est un succès pour le Polisario, en dépit de la dépublication d’articles qui critiquaient la passivité de la diplomatie algérienne, les déclarations des responsables polisariens et algériens dissimulent mal leur gêne.

    Entre ceux qui cherchent à déguiser le retrait de Guerguerat en «redéploiement» et ceux qui appellent maintenant à une gestion commune du conflit du Sahara entre l’ONU et l’UA, il y a surtout à retenir les marques d’une défaite très douloureuse et probablement les indices d’un tournant dans le conflit du Sahara.

    Attaque chimique en Syrie : un vote au conseil de sécurité de l'ONU prévu mercredi

                                                            Le Conseil de Sécurité de l'ONU

    D'autre part, si la sale mentalité algérienne se comportant ainsi, c'est qu'elle défie la communauté internationale, en rejetant purement et simplement les appels humanitaires successifs des Ongs et sociétés civiles internationales, agissant en toutes formes, dans le cadre des droits de l'homme, qui multipliaient les appels de détresse dans l'espoir de mettre fin à la misère, répression, désenchantement qui règnent, depuis de longues années, dans les camps de Tindouf.

    Le nouveau rapport annuel d’Amnesty International a de nouveau dénoncé la situation dramatique de ces camps, surtout face au silence et à la complicité scandaleuse de l’Algérie qui ne cesse de faire "cavalière seule" bafouillant les simples droits de l'homme partout en Algérie et aux camps de Tindouf.

    Dans ce cadre les dirigeants algériens qui se croient plus intelligents que tout le monde, imitent par la meilleurs issue, et empruntent le même chemin têtu, suivi politiquement jusque-ici par Israël qui jette en poubelle toutes résolutions des Nations Unies qui ne lui conviendraient pas.

    L’Algérie elle, applique cette théorie avec les organisations d'aide humanitaires internationales en leur faisant la sourde oreille qui ferme tout organe d'audition et d'équilibre, interdisant, ce qu'elle appelle "l'ingérence" dans l'affaire du recensement des réfugies bénéficiaires.

    Je ne suis pas spécialiste en détail, mais je veux seulement rappeler que les ONGs-UE relèvent dans ce sens que le front Polisario n’a pris aucune mesure pour mettre fin à l’impunité dont bénéficiaient ceux qui étaient accusés d’avoir détourné ses dons humanitaires destinés aux séquestrés de Tindouf, plus encore ceux ayant commis des atteintes aux droits humains appelant les autres à faire preuve chez eux, faisant allusion au Maroc dans ses provinces du sud..

                     

    L’engagement du Maroc en faveur de la protection des droits de l’Homme et son ouverture sur les mécanismes de l’ONU ont été largement salués lors de l’examen à Genève, du rapport national du Royaume au Conseil des droits de l’Homme (CDH)présenté par Mr. Mustapha Ramid, ministre d'Etat Marocain chargé des droits de l'homme.

    Les délégations présentes (107) ont tour à tour rendu hommage au Royaume pour les progrès obtenus en termes, entre autres, de consolidation de la démocratie participative, de réforme judiciaire et d’ancrage de la culture des droits humains et de la parité homme-femme. Le Royaume-Uni et les Etats-Unis se sont en effet félicités des efforts déployés en matière de séparation des pouvoirs, d’élargissement de l’espace des libertés et de réforme globale de la justice qui a mis fin à toute poursuite des civils devant les tribunaux militaires. Les mesures prises depuis l’adoption de la nouvelle Constitution de 2011 sur les plans de la réforme institutionnelle, politique et socio-économique ont été mises en évidence par les représentants de pays comme l’Australie et l’Autriche qui ont relevé les acquis de la protection des droits des femmes et des enfants au Maroc.

    Par contre, la délégation algérienne qui répétait sans aucun effet la politique d'autruche de son pays n'a pas pu convaincre l'indignation de l'assistance du fait le plus froissant, la désignation du fameux Brahim Ghali, poursuivi en Espagne pour viol, torture et traitements inhumains, par le palais d'ElMoradia d'Alger comme le chef unique du Front en question après la mort de Mohamed Abdelaziz Lmarrakchi en mai de l'année dernière..

    Les camps de Tindouf ressemblent ainsi à des prisons, dans lesquelles plusieurs personnes ont enduré les plus effroyables supplices. Mais en réalité, c’est le silence glaçant des autorités algériennes qui choque le plus. Malgré les nombreux appels et exhortations des organisations internationales, comme Amnesty International, l’Algérie n’a pas changé sa position d’un iota se préoccupant uniquement d'en faire bruit au Maroc.

    Soulignons enfin, qu'un parterre d'experts en droits de l'homme, a dénoncé ouvertement lors d’un point de presse à Rabat, organisé à l’occasion de l’exposition du rapport annuel de l’ONG internationale, la politique absurde et aberrante du gouvernement algérien, qui continue à être complice des violences perpétrées contre les réfugiés sahraouis à Rabouni de Tindouf.

                                     

    Sourdes oreilles et expulsions de réfugies par l’Algérie, une habitude courante, voire une habitude qui s'installait en Algérie depuis le maudit Boumediane qui inaugurait cette fâcheuse attitude en octobre 1975 par expulser 47.000 familles Marocaines,soit 365.000 âmes innocentes, pour un seul chef d'accusation, qu'ils sont des Marocains.Devant une Algérie qui continue d’expulser les réfugiés africains et syriens vers ses frontières avec le Maroc, les organisations humanitaires se sont soulevées pour demander aux instances internationales d’intervenir pour leur venir en aide.

    L’Algérie n’a de cesse de violer les droits de l’Homme en poursuivant l’expulsion des ressortissants syriens (photo) qui vivent dans des conditions déplorables depuis plusieurs jours. Parmi ceux-ci, des enfants, des femmes enceintes et des personnes à la santé fragile dont l’état se dégrade rapidement avec des risques de contagions élevées.

    La situation de ces expulsés devient de plus en plus inquiétante, poussant ainsi des ONG de défense des immigrés à monter au créneau pour appeler les instances internationales à intervenir. Cependant, leurs appels demeurent sans réponse à cause de l’entêtement des autorités algériennes à nuire à l’image du Maroc. Le plus inquiétant c’est qu’en plus d’expulser les réfugiés, l’Algérie a procédé à la fermeture de tous les canaux de coopération capables de porter secours à ces migrants.

    Ce n’est pas la première fois que l’Algérie expulse des immigrés de son territoire. Il y a de cela quelques mois, elle expulsait des subsahariens (plus de 3000) vers ses frontières avec le Niger, sous prétexte qu’ils étaient porteurs du virus du Sida. Cela avait d’ailleurs soulevé un tollé général et suscité l’indignation d’ONG internationales.

    Avec comme objectif premier de nuire à un Maroc qui avance, et n’ayant pas de leader à sa tête, l’Algérie s’embourbe dans des pratiques inhumaines. Le pire, c’est que ce pays maquille mal les faits, ment à tout va et sur tous les divans, au point que cela dépasse déjà toutes les limites du ridicule. A coup de communiqués, on accuse le Maroc de tous les mots du pays, des réfugiés expulsés vers le Maroc jusqu’au subsahariens renvoyés vers le Niger.

    Le Maroc a des campagnes massives de régularisations, cités dans toute la planète à montrer. De quoi peut se targuer l’Algérie ? D’être un grand pays qui a du pétrole. Au delà, il n’y a que des habitudes inhumaines qui s’installent, en l'occurrence la chasse aux réfugiés. Certains journalistes à l'ONU font complètement botter en touche l'ambassadeur algérien auprès des Nations Unies. Regardez cette vidéo,sans commentaire..

                                                                        --

    Ce que je crois, ( 01 mai 2017 )

    Mr.Trump refuse de recevoir le président de la commission de l'UA. 

                    Siège du Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération                                          
                                                                         
    Effet de la pécuniaire..! Dans le monde feutré du protocole, c'est ce qui s'appelle, au mieux, un faux pas, au pire, une gaffe. Le secrétaire d’État, Rex Tillerson, avait invité le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, à lui rendre visite à Washington, mais l’entretien n’a jamais eu lieu. Côté américain, on assure que le rendez-vous n’avait pas été confirmé. Côté africain, on avance une autre version des faits.et on invente que "toute l'Afrique humiliée?"

    Mr.Dlamini-Mahamat, le patron de la commission de l’Union africaine, devait rencontrer le secrétaire d’État américain lors de son passage aux Etats-Unis à la mi-avril. C’est du moins ce qu’il croyait puisque, dit-on, Rex Tillerson l'avait invité à Washington.  
     
    Sauf qu’une fois arrivé à New York, le département d’État lui propose plutôt une rencontre, non pas avec le « numéro un » du département d’État, mais le « numéro quatre ». Une situation inacceptable aux yeux du président de la Commission africaine, qui a annulé son déplacement dans la capitale américaine. C’est du moins la version qu’en fait la revue Foreign Policy, s'appuyant sur des sources africaines non citées. 

    Pour un ancien sous-secrétaire d’État américain aux Affaires africaines, la réalité est un peu différente : « Selon mes renseignements, monsieur Tillerson a été appelé à la dernière minute par la Maison Blanche en urgence pour le problème de la Corée du Nord. Donc il fallait qu’il aille là-bas rapidement, préparer un briefing pour le Sénat qui a eu lieu. Donc il était obligé d’annuler ». 

    Il n'y a vraiment que deux explications possibles. La première c'est que le secrétaire d'Etat n'a pas pleinement réalisé l'importance de cette rencontre parce qu'il n'a pas autour de lui de conseiller avec une expertise africaine suffisante, parce que l'administration Trump prend beaucoup de temps à nommer ses hauts fonctionnaires.
    Ou alors, ils ont décidé que cette relation Etats-Unis/Union africaine n'est pas aussi importante que d'autres, vu que cette Afrique se fut dominée et entachée par la saleté de l'argent du contribuable algérien, autrement dit par le pétrodollar algérien.
     
    Pour les Etats Unis de Trump, il n'y a pas d'urgence pour ouvrir le dossier Africain et discuter des préoccupations de l'heure des Africains. Le dossier brûlant en Afrique du nord qui est que le- conflit opposant le Maroc à l'Algérie - que l'administration Trump n'est pas prête à en faire brèche ou percée se trouve dans son ensemble aux Nations Unies, surtout que celles-ci a annoncé vendredi soir 28 avril que le Front Polisario, mouvement indépendantiste au sud du Royaume du Maroc, s'était retiré d'une zone tampon de la région, ouvrant la voie à une relance de négociations pour tenter de régler ce conflit vieux de plusieurs décennies                                                                     --
     
    Le Maroc peut aller jusqu'à boycotter l'ONU, paroles d'homme, pourquoi pas.. 
                                                                                                
    Mon point de vue..il m'est avéré très avantageux d'aller dénicher dans d'autres allées qui mèneront certes à des positions capitales dans ce dossier et qui passeraient inaperçues dans la foulée des faits.