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  • S’il y a une décolonisation à mener, c’est bien dans l’ouest de l’Algérie!

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                                                                    Le Sahara oriental est marocain. L'Agence Centrale de Renseignements  américaine (CIA) confirme - YouTube

                                                                                                    

    Les archives s'ouvrent aux réels...L'énième connerie créée par l’Algérie...Le sursaut français est intervenu lors de la reconnaissance de la Marocanité du Sahara en juillet dernier, car on estime, qu'il était alors «nécessaire de prendre une décision d’ordre géopolitique, qui était essentielle, reconnaissant de la Marocanité du Sahara par la plupart des pays les plus puissants du monde».

    Pour tout observateur, cette reconnaissance coule de source, «la question  totalement fausse (…)  a été créée artificiellement par l’Algérie». Pour faire préoccuper le Maroc de ne pas revendiquer, éventuellement, son Sahara Oriental, spolié jusque-là par cette voisine de male, l'Algérie.

    Pour l’historien, c’est le fond du problème, mais il convient de ne pas en oublier pour autant les territoires Marocains que la France a intégrés à  l'Algérie Française et que le Maroc ne se verra pas restituer après son indépendance. Car «s’il y a bien de décolonisation à mener, c’est dans l’ouest de l’Algérie qu'il s'agirait», ainsi face à ce qu’il considère être une «manipulation la plus totale» que tout le monde connaît.

    Quand les archives françaises se déchainent, elles montrent que le «Sahara oriental» est historiquement Marocain. La Directrice des Archives marocaines, Madame Bahija Simou, documents à l’appui, a rappelé, lors d’une conférence donnée le 22 février 2023 à Rabat, la Marocanité du Sahara, tant méridional qu’«oriental». Dans les prochaines chroniques disait-elle, je vais m’intéresser au seul «Sahara oriental», c’est-à-dire aux régions Marocaines aujourd’hui rattachées à l’Algérie.

    Concernant cette immense région, les archives françaises montrent comment, afin d’agrandir l’Algérie, alors département français, la France amputa le Maroc. Le plus singulier dans l’affaire est que, obstiné dans son refus bétonné de regarder l’histoire en face, le «Système algérien» se montre l’héritier le plus fidèle du «colonialisme français» auquel il doit tant, mais qu’il ne cesse pourtant de dénoncer.

    1- En 1924, la question de la Souveraineté Marocaine sur le Touat, opposa l’administration française au Gouverneur général de l’Algérie. Depuis Rabat, le maréchal Lyautey adressa au gouvernement français, deux notes concernant les frontières historiques du Maroc, donnant plus d'éclairage.

    Dans l'une du  (4/2/1924), le Résident écrivait je cite:...«Il n’est pas douteux qu’à cette époque, avant son Protectorat, l’Empire Chérifien étendait son influence jusqu'au sud de l’Algérie, et il coupait celle-ci, des Oasis de Touat, relevant depuis plusieurs siècles du Sultanat du Maroc.

    L’autorité du Maroc fut rétablie en 1892, et ses gouverneurs y demeurèrent jusqu’à l’occupation française d’Ain-Salah (1902) ce qui provoqua la protestation au Makhzen (…) En 1917, le Général, qui était alors Commissaire résident Général par intérim, demanda même le retour de Colomb Béchar au Maroc». Quatre jours plus tard, dans une autre note du 8/2/1924 destinée, cette fois-ci, au  Chef du gouvernement français, le Maréchal Lyautey, écrivait:

    «J’estime que le Maroc a, dans le Sahara, une frontière commune avec l’Afrique occidentale française (…). Je ne puis qu’appeler toute l’attention de Votre Excellence sur l’importance de la question pour ce qui regarde le Maroc dont la France a solennellement garanti l’intégrité. Au surplus, l’histoire des dynasties Marocaines suffit à démontrer que, de tout temps, les Sultans ont exercé l'action spirituelle et, parfois, effective, incontestée».

    2-L'appartenance de Tindouf au Maroc ne faisait pas de doute, étant que la Souveraineté Marocaine s’exerçait en effet sur Tindouf, qui dépendait du Khalifa du Tafilalet, dont ses caïds étaient nommés par Dahirs du Sultan du Maroc. Les archives Marocaines conservent des documents, confirmant cette réalité.

    La première agglomération de Tindouf fut pillée, ravagée et détruite par  les Touaregs, les Berbers et les Rguibat, et disparut durant deux siècles, mais ses points d’eau continuèrent à être fréquentés par les caravanes transsahariennes. Mais une nouvelle Tindouf fut fondée en 1852 par M'rabet Ould BelAimech, chef de tribu des Tajakant qui avait fait allégeance au Sultan du Maroc.

    -En 1934, la France occupa Tindouf qui, dans un premier temps, fut englobée dans le commandement français au Maroc avant d’être placée sous l’autorité du Gouverneur général de l’Algérie. Mais à aucun moment, la Marocanité de la région ne fut remise en cause. 

    -En 1956, à l’indépendance du Maroc, Tindouf était administrativement rattachée à la région d’Agadir. Au mois de juillet 1962, quand elle accorda l’indépendance à l’Algérie, la France était militairement présente à Tindouf dont elle se retira qu'au mois d’octobre, laissant l’Armée Algérienne s’y installer. «C’est ainsi que Tindouf la Marocaine est devenue algérienne!».

    Quand l’armée algérienne occupa Tindouf, elle en chassa, par force, les représentants du Maroc, dont le Caid Abdallah Sanhouri, avaient refusé d'obéir ou de se retirer. Ce qui fit de cette prise de possession alors, de nombreuses victimes.

    Dans une déclaration enflammée pour rappeler à l'Algérie, la véritable histoire, Mr.Alain Jouyet, ancien directeur des Renseignements Français, lâche une bombe sur l'histoire de l'État algérien, révélant une vérité, que l'Algérie officielle a toujours essayé de dissimuler ou de nier. Il a confirmé que c'est la France qui a tracé «les frontières de l'Algérie», exposant et démentant ainsi les affirmations répétées, sur l'ancienneté de  l'Algérie et de son existence exagérées depuis l'antiquité.

    Ces déclarations n'étaient pas seulement une opinion passagère  circonstancielle, mais un témoignage, choquant les caporaux d'Alger, à la lumière du discours officiel, à présenter l'Algérie, en entité aux racines profondes.

    Les analystes ont estimé que la déclaration d'un responsable de la stature de Jouyet, selon laquelle «certains prétendent que l'Algérie existe depuis des siècles, et ce n'est pas vrai» est considérée comme un coup porté au mythe que le régime algérien a construit sur l'émergence de l'État algérien, et place les caporaux algériens devant la vérité qu'ils ont toujours essayé d'éviter.

    Cette bombe historique,  confirmait que le Royaume du Maroc est la seule entité dans la région, qui a une longue histoire, qui confirme en géopolitique, qu'aucune puissance ne peut ignorer que le Maroc est une entité politique avec son extension historique claire, dotée de Dynasties Monarchiques, vieilles de plusieurs siècles, aux frontières géographiques stables, qui ont toujours été - «le centre des civilisations et d’histoire dans la région» -.

    Les déclarations de Jouyet ont incité tant d'observateurs à considérer que la légitimité historique pousse le régime algérien à être enragé et bouleversé par tout discours sur sa vérité et ses frontières, considérant que le régime algérien, né dans un contexte colonial moderne, a passé des décennies à chercher une légitimité historique perdue, essayant avec insistance de la construire, en falsifiant les faits, revendiquant une extension sur scène, contrairement au Maroc, avec sa civilisation qui s'est étendue au fil du temps, a toujours considéré comme faux.

    Les observateurs soulignent que ce qui accroit l'impact de ces déclarations est qu'elles émanent d'une personnalité française neutre, c'est-à-dire d'ne partie qui a participé à la construction géographique de l'Algérie, et c'est ce qui fait de la négation de ces faits par l'Algérie, une sorte d'absurdité, ouvrant la porte à l'incapacité de l'Algérie à démentir les propos tenus d'un responsable, qui a jeté, «les ponts et les bases», de son entité et de ses frontières.

    Aujourd'hui, les caporaux se trouvent face à un nouveau dilemme historique et moral, car à chaque fois qu'ils tentent d'échapper aux faits, de nouveaux témoignages surgissent confirmant la vérité qu'ils ne veulent pas entendre, telle que : « l'Algérie est un produit du colonialisme français, et que ses frontières n'existaient pas avant elle», et que le Maroc est le seul pays de la région à avoir une histoire longue et continue.. Ecoutons à cet effet, les Politologues Français : Alain Jupé et Bernard Lugan en vidéos au bas de la note.

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    Point de vue palpitant : C'est pour cela que l'Algérie écrase les rêves, et que le Maroc les réalise en toute sérénité. Par contre l'Algérie s’est positionnée en «Etat irréaliste» pour la simple raison qu'est : «la prise en main de son sort, par une sale junte militaire»,  l'obligeant à perdre, sa façon de traiter les choses  avec le voisin Marocain?.

    Il est illusoire pour elle de vouloir se passer des acquits du Maroc. Après avoir évolué ses stratégies, le leadeurship Marocain, entend consolider encore plus, ses empreintes partout, tout en lorgnant sur de nouveaux points d'influence à travers le monde.

    Longtemps humiliée, la racaille algérienne aura désormais droit aux mauvais égards du côté de la Marocanité du Sahara, avec son président fragilisé à la tête d’un pays en difficulté, trouve le Maroc, un fort élément, provoquant de défaites et d'échecs à la politique d'autruche que mène son pays contre le Royaume, ainsi qu’un instrument déstabilisateur de la mentalité Algérienne!.

    Je citerai en passage, la dénommée : Rima Hassan, la députée Européenne, une femme politique française d'origine palestinienne qui s'est, soumise au régime d’Alger, engagée pour explorer ses fourbies au parlement Européen. Elle en a justifié son attitude anti-Maroc par le fait, qu'elle n’est pas, tout à fait neutre, par des déclaration controversant la réalité de la chose Marocaine! par «une femme des lumières à la demande» dégustant le pétrodollar pour se ranger au côté du diable et faire sale goutte dans une mer agitée. !.

    Quelle insolence Madame, de dire que le Maroc est colonisateur du Sahara Marocain Occidental!. Vous devriez dire, autrement, si vous n'étiez pas ingrate, que l'autre «Sahara  Marocain oriental», ne devrait pas faire partie de l'héritage de l'Algérie Française, tant que la logique obligerait, d'en prodiguer les remèdes et de corriger les gaffes Françaises du général De Gaulle en ce sens».

    Saviez-vous que la tradition en politique, selon De Gaulle, est de ne pas mettre en péril des opinions ou des écrits. On cite souvent le général qui, en 1961, en pleine guerre d’Algérie, répondait à un journaliste Français qui lui demandait : «S’il était opportun de procéder à l’arrestation de Jean-Paul Sartre : On n’arrête pas Voltaire».

    De l'autre coté vulgaire, l'entité de mal (l’Algérie), entre dans une phase qui la déshonore. «Ces mots» pour le moins offensifs, prononcés,  le 6 janvier par Emmanuel Macron, devant les ambassadeurs français, à propos de l’incarcération de l'écrivain Franco-Algérien Sansal.

    Les analystes affirmaient que le régime algérien, sous couvert de lutte contre le terrorisme, mène une composante expansionniste pour respirer de l'air atlantique. Mais en définitive, l’administration USA, vient de qualifier, officiellement, son bâtard «Polisalgérien», en organisation terroriste, compte tenu de nombreux indices.

    A propos, une telle décision séismique de l'oncle Sam, aux multiples impacts  changerait, certes, la physionomie de cette discorde régionale et imposerait à ses acteurs une remise en cause radicale. Voyons de même des tensions et divergences s’annoncent «chaudes» chez la classe, disons politique en Algérie, dans un contexte où la détestation de l'Algérie à l'échelle internationale, devient de plus en plus pressante.

    -Face au néant : Converser avec l'Algérien, c’est parler avec le néant. C’est un simulacre qui ôte à l'Algérien son immunité.  Quand on est mûr, on passais le plus clair de son temps à analyser, presque tous les cas et situations, qui se bousculaient au quotidien. Pendant la nuit, quant on fait la collecte du jour,  je contemplais où scintillaient que les maux, l'ingratitude, la haine et l'hostilité de nos ennemis d'à-côté-là pour les compter...!

    -Peine perdue: il y en avait trop, un nombre gigantesque, je ne dirai pas depuis la sale guerre des sables,, mais bien avant l'indépendance de l'Algérie, depuis l'assassinat, au sang froid à Oujda, des cinq jeunes Maroco-Algériens, originaires de Colomb-Béchar qu'ayant osé de dire que «Colomb-Béchar, Kenadsa et le Tout, sont des territoires Marocains et que leurs pères et ancêtres prouvaient leur Marocanité par Dahirs Royaux Marocains et nous y retournerons à la cité, tout ou tard?».

    Je me posais alors une question, qui finissait par m’obséder:  «Quel genre de raison possédait-elle cette Algérie?» Et je me suis arrivé à contrepied, à répéter la sentence de S.M. le Roi feu Hassan II : «Nous ne demandons pas au monde de reconnaître la Marocanité du Sahara, mais de savoir à quel point nous supportons le mal d'un mauvais voisinage !».

    Un sondage  réalisé en France par l’institut d’études (IFOP) en ce début 2025, révèle le regard très critique sur l’Algérie, à l’inverse du Maroc, dévoilant, haine et hostilité qu'elle porte à son voisinage, soufflant avec insolence, sur les braises d'un «conflit artificiel» au centre d’une guerre d’influence régionale , d'autant plus qu'«il y a plus d'ingratitude dans son univers, que de grains de sable dans toutes les plages de la Terre». Bonne lecture.

                                                                             Cordialement,Chihab25

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