Maroc-France: à chacun son Alsace-Lorraine, retour sur la frontière Marocaine des trois (TTT) en 1894
C'est l'Algérie de dignité et fierté
On ne parle pas du vide...Tout observateur avéré de la chose Algérienne est en mesure d'émettre le «doute» sur la volonté du régime d’Alger de respecter les pays riverains. D'autant que ce régime se réjouit de bafouer toute relation sérieuse, surtout avec le Maroc, lui provoquant, que de la merde et l'ennui. Ainsi, «Le Maroc, le Mali, le Niger, la Lybie et la Mauritanie» en souffrent trop de ses frivolités, en tant qu'Etat voisin sauvage!.
Il tente de créer un autre Polisario au Mali, selon le politologue Marocain Maitre : «Tajeddine El Houssaini» (vidéo), en détériorant ses liens avec le Mali, menant une relation conflictuelle avec la Mauritanie, en ouvrant, en parallèle, des tensions au Sahel, une région devenue sensible et vulnérable aux prises avec le terrorisme.
Selon lui, Alger attise le feu en manœuvrant avec les Azawad et les tribus Touaregs qui vivent sur plus de 50% du territoire mouvementé Malien. «Cette ingérence dans les affaires du Mali a conduit à un sévère mécontentement des autorités Maliennes. Ces manœuvres s‘apparentent à celles qu’ils ont effectuées au Sahara Marocain».
Le Mali a réagi fermement, avec l’appui «de la Russie qui auparavant était alliée d’Alger» et qui n’est pas satisfaite du comportement d’Alger». «La situation au Sahel est compliquée, avec Alger qui s’agite, alors que les nouvelles autorités au Mali tentent d’assurer une stabilité dans le nord de leur pays», a ajouté ce géopoliticien analyste avéré.
Rahna Sakhtine.. Ce slogan d'expression nerveuse qui circule actuellement parmi les Algériens aux réseaux sociaux, déclenchera-t-il un second Hirak, ou une révolution contre la dictature d'Alger?. Les signes d’un nouveau soulèvement ont commencé à apparaître dans toute l'Algérie, en proie à des difficultés, sous slogan bien précis de regrets :«Nous ne sommes pas satisfaits».
Cela s’est produit après que le misérable «Algérien» ait perdu patience face à l’hypocrisie de ses militaires, qui consacrent toute l'attention. aux mouvements séparatistes en Afrique, dont les Polis-Algériens, contre le Maroc, le Mali et pourquoi pas contre la Lybie, auxquels, leur offrant armes et équipements, et d'énormes sommes pétrodollar, leur procurant, en argent de poche exorbitants.
Ceux qui ont mené le mouvement en 2019, ont combattu les 4 et 5èmes mandats, faisant tomber Bouteflika et ont contrecarré le plan de la bande des caporaux, visant à tromper le peuple et à le contrôler, sont les mêmes qu'aujourd'hui, et la bande est la même que celle d'hier. Il n'y a aucune différence entre, condition, peuple et bourreaux entre hier et aujourd'hui, sauf le nombre de files d'attente, et la valeur de l'Algérien a atteint le plus bas niveau, devant déclencher un second Hirak.
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Le vif sujet de la note...La rédaction du blog citerait un aperçu semblable à l'ex-différent Franco-Allemand, équivalent aux conflit artificiel persistant entre le Maroc et l'entité de mal Algérienne, tout en et laissant l'opportunité d'analyse au lectorat assidu du blog.
Bien plus qu’un simple territoire Français, il incarnait un symbole profond pour les Français, marqué par des siècles de rivalité exacerbé avec l’Allemagne d'autrefois. Son statut mythifié servait de modèle aux théoriciens et aux chroniqueurs qui voyaient du Sahara une «frontière» stratégique, comme l’Alsace-Lorraine l’avait été sur le front Européen.
La rivalité Franco-Allemande à la fin du 19ème siècle s’inscrivait dans le contexte plus large de l’expansion impérialiste Européenne, où chaque puissance cherchait à agrandir son empire colonial en Afrique. À cette époque, l’Allemagne, unifiée en 1871, entrait en scène comme un nouvel acteur des ambitions coloniales en Afrique, un terrain jusque-là dominé par des puissances plus établies comme la France et la Grande-Bretagne.
Parallèlement aux ambitions espagnoles, le Maroc allait devenir l’objet d’une rivalité entre Berlin et Paris, poussant le gouverneur général de l’Algérie française à l'époque, (Jules Cambon), à imaginer un stratagème pour empêcher l’Allemagne d’avoir des prétentions sur le Maroc. Il s’agissait du premier découpage virtuel, forcé, imposé sur les cartes du Sud Marocain pour décourager l’Allemagne.
Bien que Bismarck, dont l'identité est : «Otto Von Bismarck, duc et prince, resta initialement sceptique quant aux bénéfices économiques d’une telle expansion, il finit par soutenir les revendications coloniales sur le Maroc, notamment pour répondre aux aspirations nationalistes qui, au même moment, lorgnaient sur l’Alsace-Lorraine.
En effet, après la victoire de l’Allemagne durant la guerre Franco-Prussienne de 1870-1871, Berlin annexa l’Alsace et une partie de la Lorraine, créant la (Terre-Allemande en territoire impérial d’Alsace-Lorraine). Cette annexion fut un coup dur pour la France, où la région était perçue comme faisant intrinsèquement partie de son patrimoine, comme le serait le Sahara Marocain occidental coupé du Royaume.
La Conférence de Berlin de 1884-1885, organisée par Bismarck lui-même, posait les principes d’une occupation «effective» et la notion de «sphère d’influence» pour limiter les conflits entre les nations. En réalité, elle induisait un fait accompli sur l’Alsace-Lorraine et encourageait en Afrique la course aux colonies, chaque puissance Européenne cherchait à marquer son territoire comme «occupation effective ou sphère d’influence».
En Afrique de l’Ouest, la France et l’Allemagne se retrouvaient en concurrence directe. Les Français cherchaient à établir une continuité territoriale entre leurs colonies au Sénégal, en Algérie Française et celles de l’Afrique centrale. Seule voie de passage au Maroc. Un projet que l’Allemagne considérait comme une menace à son propre expansionnisme en Afrique centrale. Le Maroc devenait un point de tension entre la France et l'Allemagne.
Tensions diplomatiques : Depuis sa victoire sur la France en 1870, l’Allemagne cherchait à élargir son influence au Maroc avec l’arrivée au pouvoir de du Sultan feu Hassan 1er, symbole de l’unité territoriale du Maroc. Des ambassades Marocaine et allemande étaient échangées entre le Maroc et Berlin. Les convoitises allemandes furent prises au sérieux par le résident général Français en Algérie Française, qui établit la carte du Maroc de 1894, dite Tarfaya-Tekna-Tindouf (TTT).
La publication de la carte des 3 TTT marqua un tournant dans l’élaboration des frontières de l’Algérie Française. Cette cartographie coïncida avec la mort du sultan Hassan Ier, un événement qui ouvrit une période de vulnérabilité pour le Maroc, période dont Jules Cambon tenta d'Alger de tirer parti pour étendre l’influence de l’Algérie française au-delà de ses frontières, jusqu’aux confins Sahariens. La carte marquait également le début de la campagne Française pour l’occupation du Touat et de toute la Saoura Marocaine pour la redéfinition des frontières Maroco-algériennes.
La France de Jules Cambon poursuivait deux objectifs : Sécuriser le contrôle du Touat, région stratégique entre le Maroc et l’Afrique Subsaharienne, et établir une frontière sud, garantissant ainsi une protection contre les incursions Européennes. Cette politique de segmentation coloniale contrastait avec l’idée populaire en France d’une occupation unifiée et structurante du Maroc, qui aurait renforcé les forces d’une France «amputée» par la perte des territoires de l’Alsace-Lorraine.
L’Alsace-Lorraine du Maroc?...Le Sahara Marocain peut-il être comparé à l’Alsace-Lorraine dans l’imaginaire politique des adversaires du Maroc?. La métaphore de l’Alsace-Lorraine appliquée au Sahara témoignait de cette mentalité coloniale d’expansion Algérienne. Ca me rappelait dans ce sens, la correspondance de Jules Cambon qui écrivait le 18/10 /1911 au ministre Français des Affaires étrangères :
«Aux yeux d’un grand nombre de députés, l’échec des négociations pourrait aboutir au partage du Maroc, une option qui serait très populaire à Berlin... Si la maitrise du Maroc venait un jour à être contestée, un déchainement de l’opinion en France pourrait entrainer les pires conséquences.».
Avec l’appui du ministre Français aux affaires étrangères de l'époque (Jean Jaures), le résident Français d'Alger s’efforçait de maintenir cette stratégie, rappelant que, bien que l’Empire français eût perdu l’Alsace-Lorraine, la République Française avait compensé en consolidant ses empires en Afrique, en particulier en Algérie Française et en Afrique occidentale française: «L’Empire Française a perdu deux régions, l’Alsace-Lorraine, mais elle a pu créer deux empires: l’Algérie Française et l’Afrique Occidentale Française».
Ces mots montraient l’angoisse française devant une possible ingérence allemande, un spectre particulièrement inquiétant après la défaite de 1871. Aussi, la France préféra l’Espagne comme partenaire colonial au sud du Maroc, espérant éviter ainsi un voisinage direct avec l’Allemagne sur ce terrain Maroco-Africain.
La conquête de la région du Touat par l’Algérie française permit d’éviter toute possible frontière entre le Maroc et l’Allemagne, sécurisant ainsi l’espace stratégique du Sahara. Les ambitions de l’Algérie française s’étendaient jusqu’à Tarfaya, tandis que les Français envisageaient de céder au voisin espagnol le Souss et le Drâa-Tafilalet, pour obtenir son soutien contre l’éventuelle convoitise allemande, cimentant ainsi une «zone d’influence» franco-espagnole au Sud.
Dire que le Sahara Marocain est «un peu l’Alsace-Lorraine du Maroc» renvoie à un parallèle historique fort, qui se tisse autour de notions des territoires Marocains amputés et face aux influences spoliatrices de l'Algérie actuelle. À l’image de l’Alsace-Lorraine pour la France, le Sahara représentait pour le Maroc bien plus qu’une simple étendue désertique ; il incarnait un ancrage identitaire, culturel et historique, mêlé de défis géopolitiques complexes et d’une longue lutte pour sa souveraineté.
L’Alsace-Lorraine, après avoir été cédée à l’Allemagne en 1871, devenait un symbole de la mémoire collective française, associée à la souffrance, mais aussi à un rêve de réunification nationale. Le Maroc, de son côté, revendiquait depuis des décennies le «Sahara Marocain Occidental», comme partie intégrante de son territoire et bientôt revendiquera certes, son «Sahara Marocain Oriental», malgré le maintien de partition, d’internationalisation, et les tensions avec l’Algérie voisine.
La question Saharienne était ainsi inscrite dans l’imaginaire collectif Marocain comme une lutte nationale pour la préservation d’une intégrité territoriale menacée par des influences étrangères, un écho lointain de ce qu’était l’Alsace-Lorraine dans la France post-1871.
À l’époque du protectorat, les Français eux-mêmes, en quête d’une frontière stable en Afrique du Nord, appliquaient cette comparaison. Comme le démontrent des écrits de diplomates français tels que Jules Cambon, la métaphore de l’Alsace-Lorraine servait à justifier la nécessité d’un contrôle indirect et d’une «ceinture Française de sécurité», destinée à prévenir les appétits d’autres puissances, notamment l’Allemagne, qui était en quête d’expansion en Afrique du nord!. Elle mène des positions contradictoires, rejetant l'autodétermination de la Kabylie et soutient la séparation du Sahara Marocain de sa mère patrie!.
Ainsi, dire que le «Sahara Marocain est l’Alsace-Lorraine du Maroc», c’était rappeler l’importance vitale de ce territoire pour la conscience nationale Marocaine et pour sa souveraineté. C’était évoquer un espace qui, au-delà des frontières, est lié à une mémoire, à des mythes fondateurs, et à un devoir de préservation, un peu comme l’Alsace-Lorraine était liée à l’âme de la France.
Zones d’influence et frontières tampons...Dans cette politique, la France exploitait les concepts de «zones d’influence» et de «frontières tampons». La frontière TTT devenait une barrière fermant l’accès à l’Allemagne, dont les ambitions au Maroc croissaient dans un contexte de rivalité coloniale. Le concept de «zone d’influence», convenu avec l’Espagne, respectait l’intégrité territoriale du Maroc. Il excluait la zone coloniale de Rio de Oro et affirmait ainsi le Maroc comme espace autonome, en délimitant les protections françaises.
La politique Française plaçant la frontière au nord, fut également soutenue par le Comité Marocain de Tanger en 1907, justifiait de ne pas faire descendre la frontière jusqu’à Tarfaya, après l’acquisition de la factorerie anglaise par le Maroc.
La ligne de démarcation «Tarfaya-Tekna-Tindouf», bien que fictive, possédait une forte valeur symbolique. Elle matérialisait une vision de segmentation régionale, opposée à l’image d’une occupation unifiée de l’empire chérifien promue en métropole. En France, les discours publics dépeignaient le Maroc comme une unité sous protectorat, mais la frontière TTT révélait une réalité éclatée, d’un Maroc scindé et amputé de son Sahara, en fonction des intérêts coloniaux.
Je crois enfin, qu'avec ce modeste aperçu, la rédaction du blog a bien réussi à transmettre à son lectorat assidu, l'idée de ressemblance de «l'Alsace Lorraine en France au Sahara Marocain occidental». Le Maroc ne restera pas les mains croisées, devant le fait accompli!. Non, je dis bien occidental, étant que nous auront l'occasion de parler davantage d'une revendication Marocaine du «Sahara Marocain Oriental» qui souffre de la spoliation Algérienne.
Mme Bahija Simou, la Directrice des archives Royales nous en dira plus, dans le développement d'archives qu'elle a inauguré, en conférence au siège de «Ribat El Fath» à Rabat, où elle en a profité pour mettre les points sur les (i) préservant la souveraineté Marocaine sur son Sahara oriental. Bonne lecture. L'Admin,Chihab25
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1.La banane au prix d'or. 2.Chercher dans la décharge!.