Maroc-Algérie : La sereine domination du Maroc face à l’obsession aveugle de l'Algérie!

L'action implacable d'un Maroc ancestral... Le Maroc, depuis des siècles, s’impose comme un phare dans la région. Sa sagesse stratégique nourrie par un équilibre entre tradition et modernité est une sagesse dont la mesure s’exprime dans toutes ses entreprises, il a toujours fait preuve de la plus grande prudence stratégique. Si ses dépenses sont modestes, il a su optimiser chaque dirham et chaque partenariat, choisissant avec discernement des équipements de haute technologie. Il en a même les capacités de les fabriquer localement à Tanger-Med, Nouacer-Casablanca et Kenitra.
Pendant que l’Algérie, prisonnière de sa dépendance aux hydrocarbures, se débat avec ses recettes venant de l’exportation de pétrole et de gaz, le Maroc développe une économie diversifiée et résiliente. Comme l’automobile, l’aéronautique, l’agriculture, les énergies renouvelables, les infrastructures, transformant ses ressources en une économie tournée vers l’avenir.
Avec ses bretelles de gala, le Maroc brille par sa diplomatie sereine et stratégique. Sans gesticuler, il a su recueillir le soutien de plus de 124 pays du plan d’autonomie au Sahara. Des consulats sont même ouverts à Dakhla et Laâyoune, et les puissances comme les Etats-Unis, Israël, l’Allemagne, et les pays arabes du Golfe ont réaffirmé leur soutien à la solution Marocaine proposée en 2007.
En parallèle, le Maroc a fait du Sahara Marocain, au détriment des aboies de chiens, un modèle prospère d’intégration, un défi relevé pour offrir aux populations du Sud une vie tangible, autonomie réelle sous souveraineté Marocaine. La communauté internationale, dans son ensemble, reconnaît cette évolution imposant en une référence en matière de gestion de son territoire. L’Algérie, quant à elle, ne parvient pas à se débarrasser de l'obsession qui la consume. Chaque réussite Marocaine dans ce dossier est un coup porté à l’orgueil d’un régime prisonnier de ses démons.
Loin de se perdre dans des discours vides, le Maroc agit avec constance implacable. Il n’a besoin de guerre de mots : Ses actions parlent d’elles-mêmes. Là où l’Algérie hurle à l’injustice, se vautrant dans des protestations érodées, le Maroc construit en leadeur Africain.
Au bon gré de la Seine : Depuis sa naissance en 1962, ou plutôt, depuis son isolement récent, les déclarations du président Algérien et de ses engagés opportunistes sont contradictoires plus que défavorable à la crédibilité de l'Algérie. Le Tebounisme cherche surement à éviter, plus de dénigrement? ou de motions de censure de la part d'eau coulant à flot là-bas sur seine.
Il semble par ailleurs que la caserne Algérienne prend ses distances avec la stupidité du locataire de l'écurie d'AlMouradia qui parle que de l'ail et d'ognon, ce enfantant plus d'opposants à la junte d'Alger qui, sont obligés de nature à dénoncer au lieu de saluer la diplomatie offensive que mène, le petit (Jebli) Marocain, le natif de Taounate qui exécute à la lettre, la diplomatie Royale constrictive, face et l’autisme Algérien et son combat perdu.
A ce propos, le ministre Français des Affaires étrangères s'est exprimé, une fois de plus, sur les conditions de son pays envers le Maroc, affirmant que «la reconnaissance du Sahara Marocain Occidental est une ligne rouge pour résoudre la crise avec l'Algérie». Et à l'avenir, il y aura encore le problème, le plus pire, à prévoir celui de l'autre Sahara Marocain Oriental, qu'il faut pas négliger!. Mr. Jean-Noël Barrot a dévoilé l'ordre du jour de sa visite en Algérie (!).
Cette visite serait, disait-il, pour se discuter de plusieurs questions controversées avec l'Algérie, écartant, éventuellement, toute discussion au sujet de la Marocanité du Sahara, et de la Souveraineté Marocaine. La reconnaissance par la France de la Marocanité du Sahara, rappelons-le, a marqué un tournant dans la crise Franco-Algérienne, poussant la première à rappeler son ambassadeur à Paris sans pouvoir, pour autant, se tenir longtemps. Cette escalade n'a fait que s'atténuer après les déclarations de flatterie de Tebboune, avec ses médias locaux, disant que «le seul qui pourrait résoudre la crise Franco-Algérienne est le président Emmanuel Macron, et que tout autre, serait une tentative de chaos».
L’Algérie, semble se perdre dans une rivalité fabriquée de toutes pièces, dans un conflit imaginaire, dont l’écho résonne désormais sans force ni substance. Une compétition, pourtant présentée comme une confrontation, est en réalité une simple obsession du passé sombre teinté d'une guerre froide enterrée, même, par ses contrapontistes puissances.
Avec son budget de milliers de milliards de dollars, fait l’illusion d’une supériorité irréalisable. Mais l’argent, aussi considérable soit-il, ne saurait pallier de sa vision fantôme. Les équipements d’un autre temps, dont elle se dispose, témoignent d’une époque révolue où la puissance militaire était pensée en termes de quantité plutôt que de qualité. Ses attitudes et ses propagandes sont massives, mais les résultats restent figés dans le passé d'une guerre froide dépassée et enterrée même par ses antagonistes d'autrefois.
L'Algérie, avec sa diplomatie d'autruche, cacher la tète exposant le derrière , là où peine, vainement, à s’imposer dans le monde moderne reste enfermée dans une logique de confrontation et d’isolement. Son ex-réseau de soutien, limité à des régimes en déclin, semble ne pouvoir que crier face à des faits qui, pourtant, lui échappent.
L’Algérie est déchante par sa chronique de déroute maquillée. Le Sahara Marocain occidental est le miroir d’une obsession mal digérée par une junte de caporaux, dominant le pouvoir en Algérie, se voulant protectrice d’un peuple en quête d’autodétermination, d'un mélange de peuple, rassemblé de tout genre de personnes égarées à Tindouf, craignant, entre autre, que le Maroc ne manquera pas, tôt ou tard, d'évoquer l'autre dossier du Sahara Marocain Oriental.
C'est pour cela que sa prétention ne résiste cependant pas à l’examen des faits : elle finance, arme et soutient son Polisalgérien, dans une tentative désespérée d’exister face à la montée en puissance Marocaine. Ce qui était au départ un enjeu territorial s’est transformé pour Alger en question d'Etat, se vantant d'intelligence plus que tous ceux qui l'entourent.
Elle reste embourbée dans ses échecs archaïque. Ses ressources lui permettent de survivre à l'élégance, mais l’absence d’une vision stratégique pour la diversification économique la condamne à une vulnérabilité structurelle, rendant son développement à long terme incertain et instable.
Alors qu'elle s'enferme dans une vision binaire de son rôle en Afrique, le Maroc s’impose comme un acteur incontournable du continent. Rétablissement de ses relations avec l’Union Africaine, investissements stratégiques à travers le soft power, religieux et culturel, et engagement diplomatique avec plus de 40 pays africains : le Maroc incarne la réalité africaine du 21eme siècle, loin des discours palpitants.
L'éventualité d’une confrontation n'est pas à exclure des agendas de tension entre le Royaume et l'entité voisine de mal. C'est une issue probable déjà ressentie et décrite par les analystes de la chose Algérienne. Il est inutile de spéculer sur un conflit ouvert, car il est évident que la question ne se pose même pas dans des termes égaux. Le Maroc a su, par ses investissements en matière de défense et par sa coopération avec les puissances mondiales, s’assurer une position vigilante de préparation absolue, tant qu'il a affaire à monde de fous.
Si un affrontement devait survenir, ce ne serait pas le Maroc qui subirait la guerre. Le Maroc, est tout de même prêt à toute aventure. Même que l’Algérie paniquée, se dispose d'une armée au plus grand nombre d'aliénés mentaux, incapable de faire face aux défis d'une Armée Royale bien entrainée pour gérer les circonstances imprévues.
Il ne s’agit pas ici de faire une lecture simpliste des rapports de force. Il s’agit d’une réalité incontestable : le Maroc domine, non pas par l’esbroufe, mais par la sagesse, la patience, la maitrise stratégique. Quant à l'Algérie, elle se consume dans une obsession du passé, dont elle semble incapable de se défaire. Nous sommes donc, rappelons-le, face à une Algérie aveuglée de son passé et de ses illusions, face à la supériorité et au leadeurship d'un Royaume ancré dans son histoire ancestrale de 14 siècles d'existence, voire plus.
Le Pôle du moulin : Concernant Notre intégrité territoriale, le vif de tout ce qu'on dit, ici et là, le Maroc considère que le processus Onusien est le “seul espace légitime” pour traiter ce différend artificiel qu'a créé l'Algérie autour du Sahara Marocain Occidental.
Sachant enfin, que si l'Algérie et ses engagés en avaient l’habitude d’exploiter les forums internationaux pour soulever, hors agenda et ordre du jour, la question du Sahara Marocain, nous leur disons avec fermeté que «le temps Algérien de Smail Chergui au Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l'UA, corrompant les Etats est révolu et cette page définitivement tournée»
Le Maroc demeurera vigilent, à tout moment, répétant en toute certitude le dicton de feu Hassan II : «Le Sahara dans son Maroc et le Maroc dans son Sahara». Or, le partenariat Maroc–Afrique ne fait qu'inspirer davantage l’intégration des pays du tiers monde, laissant les conspirateurs, et les intrigants se régaler à leur sort. Il est difficile pour une junte male élevée d'affronter l'intelligence Marocaine ou de confronter la présence et l'influence de la diplomatie Royale toutes ses dimensions.
Quand la frivolité subsiste et tente de présider, la nature politique exige le redressement de failles, obligeant à crédibiliser la donne et s’imposer. Le Royaume n’exclut pas à mon avis, d’imposer ses droits de corriger la mentalité haineuse Algérienne, au cas où celle-ci, se voit hyper de se chauffer les nerfs pour s'aventurer avec les héritiers du faucon d'autrefois (le général feu Driss Ben Omar) qui sont toujours bien éveillés et vigilants pour dissuader les cons d'à-côté! et vivre à nouveau, s'il le faut, l'épique d'autres guerres de sables, d'autant plus, que nos FAR, toutes couleurs confondues, répondront présents sans aucun équivoque.
Il n’y a plus de place à l’ambigüité, ni aux réactions pusillanimes et indécentes : Les Etats-Unis enfoncent davantage le clou et consacrent définitivement la Marocanité du Sahara, réaffirmant avec force particulière, lors du dernier passage de Bourita à Washington, la reconnaissance de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara occidental, prévoyant de façon probable à l'avenir, mettre sur table, l'autre dossier du Sahara Oriental spolié par l'Algérie-Française, avec son illégitimité politique érodée.
Nous mettrons, tout de même l'hostilité Algérienne, dans la case de l'humour, de l'anecdote dite en présence de Sa Majesté feu Hassan II par un ministre Marocain fortement parfumé de flatterie : «Sir, moi je ne fais jamais d'erreurs». Le Roi lui répondit, avec sarcasme de Monarque intelligent, très perfectionné, mesurant bien, prises et risques de son règne : «Donc, toi tu fais rien du tout!».
Cela s'applique au vide du pouvoir en Algérie, là où la frivolité prend place de la raison. Son régime ne pourrait récolter de ses illusions que du mirage et ne pourra rien faire également, face à la force légitime de la Cause Nationale et à la Ferme résolution incontournable des Marocains de faire face à touts ses tentatives hostiles. Et on verra, comme le disait l'anecdote, du pain sur la planche : «rira bien qui rira le dernier». Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25
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le grand écart d'Alger entre actes et paroles
Teboune/-Chengriha/-Attaf