Face à la Grandeur Marocaine, l'Algérie cherche à recouvrer un prestige perdu!.
Le régime Algérien et ses goulots d’étranglement..!
L'Empire Marocain dans l’Histoire : Un exemple datant de loin. -Frapper monnaie, c’est asseoir une souveraineté et affirmer un État centralisé. Dès le règne des Idrissides, au 9ème siècle, le Maroc possédait ses propres ateliers de frappe de pièces en or et en argent, alimentés par les routes de l’or africain dans l’Empire. Pour en prouver, quelle était l’importance de ces ateliers nationaux?
Et quel rôle avait à jouer dans la frappe de monnaies, depuis l'ère des sultanats et dynasties? Depuis quand frappe-t-on monnaie et pièces d’or au Maroc? Où se trouvaient les ateliers et quelle était l’importance de cette activité? Dans «Histoire générale de l’Afrique», publiée par l’UNESCO en 1990, l’historien Français Jean Devisse, retrace l’épopée monétaire du Maroc, qui débute dès le 9ème siècle sous les Idrissides et se perpétue sans interruption jusqu’à nos jours, ce métal précieux indispensable à la frappe des pièces, dont l’abondance ou la rareté façonnait la puissance des États.
Au Maroc actuel on frappe le dirham», écrit l’historien et le dirham Idrisside était la première monnaie officielle, qui remplaça la monnaie Romaine, et permettait de poser les bases du premier État Marocain avec une administration centrale capable de se débrouiller seul sans demander de l'aide à d'autres Etats bien perfectionnés en la matière.
Plusieurs villes parmi lesquelles Sijilmassa (l'actuel Tafilalet), Tanger, Asilah possédaient des ateliers spécialisés en ce domaine, et le métal d’argent provenait des mines locales. La frappe des pièces d’or au Maroc était attestée depuis l'antiquité, au moins, dans deux principaux ateliers nationaux : à Tafilalet et Fes, le Tafilalet était la porte d’entrée d'Afrique, pour se procurer du métal qui se trouvait en abondance au Sahel.
La Dynastie Alaouite va en effet, moderniser l’industrie du monnayage au Maroc depuis le début de son règne, tout en créant un Empire englobant la Mauritanie, une partie du Mali et l’ouest de Numidia, (l’actuelle Algérie) , ainsi que tout le sud de la péninsule Ibérique.
Voilà les raisons pour lesquelles l'Algérie doit se mettre à l'évidence et se salir davantage dans ses boues au milieu de chercher d'entacher la Grandeur Marocaine. pour respecter les règles de droit international». C’est avec ces mots que Jean-Pierre Chevènement, homme politique français. a répondu aux propos du Président algérien, tenus dans les colonnes du quotidien français l’Opinion
Le Maroc moderne s’inscrit dans cette continuité, où la monnaie demeure un instrument stratégique de stabilité et de prospérité nationale de Grandeur que l'Algérie des caporaux ne pourra atteindre. Ce n’est qu’après l’indépendance du Maroc que le mot «Empire» a définitivement disparu des documents officiels, remplacé par «le Royaume du Maroc». La France a maintenu dans ses courriers le nom d’«Empire» pendant toute la durée du protectorat de 44 ans (1912-1956).
Le régime politique coutumier fut désigné et officialisé en «Royal» après la fin du protectorat, le Maroc indépendant aspirant à se conformer aux standards politiques modernes tout en engageant un processus d’institutionnalisation. Cette dynamique aboutira à l’adoption d'une Constitution en 1962, consacrant l’instauration d’un régime de type monarchie constitutionnelle.
Jusqu’en 1957, le Maroc a conservé son statut d’Empire ancestral, tant sur le plan symbolique que politique, malgré les bouleversements qu’il a traversés. Cette continuité étatique a profondément marqué son histoire contemporaine et façonné ses grandes orientations. Parmi elles, Fès, Marrakech, Meknès et Rabat, les quatre «villes impériales», ont successivement administré l’Empire, témoignant de la grandeur Marocaine et de la stabilité du pouvoir à travers les temps.
Aujourd'hui, une enquête d'experts sur le Maroc dresse un portrait très favorable, détaillant, entre autre, des perceptions concernant les institutions, la confiance et l'amour spirituel qu'ils portent sans ambigüité, à la Monarchie. Elle met en évidence une progression de confiance institutionnelle, tout en soulignant des préoccupations persistantes, notamment en matières de sécurité et de stabilité du Royaume, contrairement à ce qui menace le voisin de l'est frontalier.
Logique de modernisation, le Monarque abandonne son titre traditionnel de «Sultan» pour devenir «Roi», affirmant ainsi la nouvelle identité politique du pays en Royaume Chérifien du Maroc.
La nécropole structurelle d'à-côté...En faisant souffrir aux Algériens du spectre d'isolement loin de tout bienfait aurifère provenant de leur pétrodollar. Les succès de la diplomatie Marocaine et les déboires d’Alger, expliqués par le politologue Marocain Mr. El Moussaoui Ajlaoui, expert au Centre d’études pour l’Afrique et le Moyen-Orient. L’an 2024 se termine mal pour la diplomatie Algérienne, sous les ordres de la junte, après ses échecs face à ses voisins, le Maroc, à la Mauritanie et au Mali.
Se basant sur des indications, non confirmées, l'historien a par ailleurs évoqué un sommet tripartite, tenu récemment aux Émirats arabes unis, réunissant Sa Majesté le Roi et les présidents Emirati, Mauritanien L’échec de la diplomatie algérienne, rappelons-le, s’est soldé par le rappel de son ambassadeur en Mauritanie «C’est un énième échec du renseignement du caporal Toufik, alias Rab-Dzaer», .
Il enfonce le clou encire plus au fond, rappelant la position du Mali contre l’Algérie, accusée «d’ingérence dans les affaires intérieures maliennes en soutenant le séparatisme et le terrorisme au Mali». Le Mali ne veut plus ni accords ni entente avec Alger, qui ne remplissent plus les conditions de préservation de son intégrité territoriale, menacée par des «corbeaux du borgne Algérien Mokhtar Bel Mokhtar» des extrémistes radicaux, délaissés en groupes de bandits dans la région, coupant la route, vivant en clandestinité.
Selon ce politologue chevronné, «la dernière déclaration du ministère malien des Affaires étrangères a résonné comme un véritable camouflet», Bamako exhortant ouvertement le régime d’Alger à se concentrer sur ses propres affaires intérieures, en particulier, ses fils d'attente et la question sensiblement brulante de la Kabylie.
N'oublions pas le pilier de la stratégie géopolitique de SM le Roi qui depuis son accession au trône en 1999 a entrepris une série de réformes et d’initiatives stratégiques qui ont profondément transformé le Maroc. Parmi ces initiatives prometteuses, «l’Initiative Royale Atlantique» se distingue par son ambition de renforcer les liens entre les treize pays Africains se trouvant dans sa trajectoire et de promouvoir une coopération régionale accrue.
Cette initiative, qui s’inscrit dans la stratégie géopolitique globale du Maroc, vise à surmonter divers défis tout en établissant des partenariats clés dans le contexte des relations internationales actuelles et renforce la position du Maroc en tant que partenaire stratégique pour l’Occident.
Pour l’Algérie, désireuse de recouvrer un «prestige perdu», aspire à revivre son influence d’antan, notamment en tant que médiateur régional sans valeur. Dans cette quête, elle adopte une politique de «bons offices» dans divers conflits africains, même si les résultats jusqu’à présent restent limités.
L'Algérie ne pourra jamais concurrencer le Maroc qui, par sa structure d'Etat responsable et crédible restera toujours en avant-garde, bafouant, silencieusement, les conneries Algérienne. Les vidéos commentées par les Algériens eux-mêmes prouvent que cette entité de mal est fabriquée, pièce par pièce par la France, reconnaissant sa naissance césarienne, face à l'existence ancestrale Marocaine.
Témoignage et neutralité... Concernant l'intégrité territoriale nationale, La France, "la maman et créatrice de l'Algérie vient de poser de façon, «Officielle et Solennelle», son sceau Gaulois, porté par Mr. Gérard Larcher, le Président du Sénat français, confirmant, entre autre, que le soutien de la France à la Marocanité de son Sahara est «irréversible et non discutable», saluant le Plan d’Autonomie proposé par le Maroc en 2007 qui constitue une perspective permettant de construire le présent et l’avenir de cette région du Royaume.
A son arrivée à Laâyoune, avec l’importante délégation qui l’accompagnait , il n'a pas manqué d'exprimer sa grande admiration de cette visite, aux significations profondes, constituant non seulement sa valorisation aux acquis et réalisations engrangés par le Royaume dans cette ville, mais aussi au moment exceptionnel, qui marque un tournant majeur dans les relations bilatérales Maroc-Françaises.
De son cité Mr. Eric Ciotti, chef de file de l'Union de la droite Française (UDR), a vivement critiqué l'Algérie, la qualifiant d'Etat voyou, qualifiant l'Etat militaire Algérien de «voyou» et appelle Paris à lui imposer de fortes sanctions et a appelé à renoncer aux menaces verbales et à prendre des mesures strictes à son encontre, dans un contexte de l'alimentation de l'immigration clandestine par l'Algérie", indiquant que ce phénomène, dont l'Algérie est à l'origine des incidents terroristes observés dernièrement en France.
Les politiques Français, comme nous autres Marocain et presque tout le monde sachent à l'œil nu que désormais, «les Algériens sont forts en gueule. Ils payent de mots, adorant les discours, les invectives, les joutes oratoires». L'Algérien d'aujourd'hui croit et en est fière au faux concept (1-2-3 viva l'Algérie) qu'il a crée et le répète vachement, même à ses fils d'attente et au WC. Ça ne l'empêche pas de rester inconscient et de constater ses défauts et d’en désoler Le pire, c'est que tous les Algériens sont forts en gueule, se faisant dans la rhétorique, l’hyperbole -au lieu d’analyser froidement les situations, de réfléchir puis d’agir.
À la suite de leurs défaites durant la guerre des sables 63 et celles qu'ayant subies après au Sahara Marocain, ils se réunis, parait-il, à l'écurie des -Pins d'Alger- et pondérant une fameuse résolution de trois Non: «1-non à la paix avec la férocité du voisin 2-non à toute négociation le voisin, 3-non à la reconnaissance de la Grandeur Marocaine dans la région!».
La plupart des Algériens et leurs dirigeants souffrent de ce travers, et ça ne date pas d’hier. Pendant des décennies, depuis 1962, voire même avant, ils ont débité des laïus promettant de concurrencer et vaincre, vainement les progrès diplomatiques Marocains et les jeter les généreux d'autrefois aux confins de l'enfer.
En conclusion : On se demandera certes, pourquoi fouiller dans les foins de l'histoire? A mon sens, la réponse serait, tout simplement, pour y prouver aux Algériens que les racines du Maroc ne datent pas d'hier, elles se valent à l'antiquité. Le Maroc existait parallèlement en tant qu'Etat souverain comme les autres puissances qui partageaient et dirigeaient le monde.
ٍSa sagesse et son rationnellement, traduisent le raisonnement, c'est pourquoi laisse les aboies d'Alger s'accentuer, continuant sa trajectoire de progrès, dénonçant toute attitude de haine et d'hostilité d'Alger contre sa Souveraineté, fixant un ultimatum clair au pouvoir algérien pour qu’il cesse ses conneries.
Si non, ce Maroc serait contraint de mener à bien d'autres guerres de sables et gifler encore plus, les sales colosses aux pieds d'argile! subissant, depuis leur trahison de Hassi Beida et de Tinjoub63, des faillites fracassantes devant la bravoure-FAR!.
Notre diplomatie Royale consciente de préserver ses intérêts, veille à ne pas laisser au hasard sa renommée onéreuse de taille et utiliser ses opportunités pacifiques, tout en continue de mener davantage, de facto négligence de coutume, avec cette entité enragée qui est l'Algérie et avec le reste de ses engagés corrompus, attirés par l'odeur de diplomatie de chèques, qui semble bien émoussée et l'appel à la vigilance du coté Marocain restera en vigueur et sera revu et pris en considération à chaque alerte, préservant toute la piété, la spiritualité, le sacrifice et la maitrise des sen.
Nous Marocains, nous vivons avec fierté sous l'ombre de notre Monarchie toute les périodes sacrées pour le partage et la solidarité, l’indignation des Marocains se fait de plus en plus palpable face à une maitrise de haine envieuses d'un mauvais voisinage qui parait désespérément inadaptée aux réalités du terrain.
La preuve accompagnant notre conviction : Quand le sage montre la Lune, l’idiot regarde le doigt, c’est le moins que l’on puisse dire, s’agissant des conneries algériennes. Toute réaction hors-sol du régime d’Alger trahit son désarroi.
Mais au lieu d’une attitude bien fondée, ferme et structurée face à la sagesse Marocaine, Alger s’est vautrée dans un fatras de phrases creuses, ignorant la réalité du rapport de force qui s'impose et qui l'exposera unilatéralement au danger et ça serait l'exercice et le sort symptomatique d’un pouvoir en déroute. Cela, nous renvoie à la tradition d'alerte : «Radd balek m'aâ lahmaq!» tant que la folie se diffère d'un fou à l'autre.!
Bonne lecture.Chihab25
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¹Pablo Escobar, appelé «le roi de cocaïne et de mal», un criminel Colombien