L’Algérie reconnaitra-t-elle la position française concernant la Marocanité du Sahara pour préserver l'accord Fr-dz-1968!..(!)
La réalité-ma désoriente l'Algérie !
Hors d'œuvre approprié : Un journaliste français a demandé à feu Hassan II :«Le Maroc est-il un pays pauvre?. Il lui répondait intelligemment : «Le Maroc est relativement pauvre, mais riche en prestige et en histoire Le Maroc est relativement pauvre, mais riche en prestige et en histoire ancestrale». Il n'est pas, du tout, une création Française du passé le plus proche (!!).
Quant à la rédaction du blog, on dirait, le Maroc, d'une autre façon, sans exiger de quiconque et d'Algériens en particulier et à leurs officines-militaires à digérer facilement. Le Maroc d'aujourd'hui vexe l'Algérie par le silence et par les actes fabuleux de ses faucons serviteurs :
«Faouzi Lakjâa et Omar Hilal!», devant lesquels, Alger, avec toute sa frivolité, ne pourra, ni agir ni réagir, basculant dans l'idéocratie envieuse de haine et d''hostilité, seules contradictions qu'elle maitrise d'ailleurs, pour ennuyer le Maroc dans sa demeure!.
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Le ton amer : Une interrogation plus agacée que appropriée!. L’Algérie accepterait-elle la reconnaissance par la France de la Marocanité du Sahara?. Alger cède après des mois de tension avec Paris, acceptant un accord pour mettre fin à la crise entre les deux pays sans obtenir gain de cause, tandis que la France impose son agenda. Tebboune enterre la question du Sahara Marocain, devenue, pour lui et pour ses maitres militaires «un non-sujet».
Un revers cuisant qui marque la fin des illusions algériennes sur le dossier et constitue un marqueur névralgique qui augure d’un changement géopolitique majeur dans la mentalité du monde de tabac à chiquer!. Le rétropédalage était somme toute attendue et Tebboune en avait annoncé la couleur lors de son «traditionnel» verbiage devant sa presse locale de bavardage. Mais cette fois, Alger s’est arrangée pour ajouter dans cette crise, l’insulte à l’humiliation envers son maitre ardu de l'Ouest.
Ainsi donc, la tempête, et c’est peu dire, soulevée par l’Algérie contre la France depuis juillet dernier s'achève pour se renouveler encore avec, cette fois ci, avec un ton de représailles Expulsion réciproque de force : (12 sages-fr contre 12 salopards-dz).
La décision a été actée par un communiqué conjoint de France et d'Algérie, à l’issue d’un entretien téléphonique l'Elysée et la maison-close d'AlMouradia. Tous les points de tension entre les deux pays, et les points de sortie de crise, y sont détaillés, puis arrangés au placard. Sauf celui du Sahara, soit le sujet déclencheur de la plus grave crise diplomatique de l’histoire des relations entre États.
Reprise du partenariat sécuritaire et du dialogue stratégique, réinitialisation de la coopération en matière de migration, de justice et du travail sur la mémoire coloniale, le temps est à l’hypocrisie d'Alger qui mêle toute sa diplomatie au corvée de lentille et d'haricot. Le tout, sans qu’Alger obtienne la moindre consolation. C’est à peine, Tebboune a arraché l'appui de la France à la révision de l’accord d’association UE-Algérie. Pour le reste, tout reste, et c’est la France qui obtient gain de cause, mettant la Seine couler à sa guise!.
Le grand absent – et que le régime d’Alger aura bien du mal à justifier – c’est le Sahara Marocain, devenu subitement un sujet secondaire dans les rapports entre la France et l’Algérie. Tebboune avait balisé le terrain, le 22 mars dernier devant «ses» médias, il avait balayé la question d’un revers de main aussi brusque qu’étonnant.
Dans un aplaventrisme qui jurait avec les bravades habituelles, Tabboune a affirmé, sans sourciller, que la reconnaissance par la France est maitresse de ses décisions sur le Sahara et cela ne dérangeait (finalement) pas l’Algérie. «La question dérange l’ONU, pas nous!!», a-t-il tenté d’éluder, devant la solitude de la cause Nationale qui marque du progrès et du dynamisme positifs, grâce à la diplomatie Royale délibérée.
Au lieu de constituer une sortie honorable à Tebboune, la parade et l’accord qui s’en est suivi ont été doublement humiliants pour un régime qui est monté, dans une énième réaction intempestive, sur ses grands chevaux perdants, pour dénoncer l’appui de la France à la Marocanité du Sahara. .
Pour la France, l’abcès qu’était le Sahara Marocain sans ses relations avec les deux grands pays a été crevé, Alger ayant été contraint de l’exclure de ses relations bilatérales avec Paris Cette performance n’aurait pu être possible sans le rapport de force inédit engagé par le Président Macron avec Alger et face à la recomposition des positions internationales sur la cause Marocaine, l’Algérie, principal “supporter” du séparatisme au Maroc au Mali et probablement pour d'autres à venir, semble déstabilisée par le nouvel environnement diplomatique marqué par le renforcement du soutien au plan Marocain, notamment de la part l'oncle Sam.
Autant dire que l’Algérie a compris la leçon et fait définitivement son deuil de Tindouf, du moins comme jaugent ses relations diplomatiques affaiblies. De quoi laisser augurer l'acceptation par le régime d’Alger de la dynamique internationale irréversible en faveur de la Marocanité du Sahara.
Haut les mains (Alger, isolée et encerclée)...Le régime au pouvoir a transformé l’Algérie en ilot subissant un tsunami de malédictions. La raison de cette solitude est à trouver dans son soutien aveugle à l’aventure séparatiste du Polisario. Crise structurelle avec le Maroc, crise diplomatique avec l’Espagne, crise sans précédent avec la France, crise sécuritaire avec la région du Sahel… le régime algérien calibre son humeur diplomatique sur le degré d’empathie que ces pays expriment à l’égard du Maroc. Or, c’était déjà une cause perdue dans le passé. Et c’est devenu aujourd’hui un cimetière diplomatique pour Alger.
De toutes les capitales les plus influentes dans la crise saharienne, de Washington à Paris, en passant par Madrid, des injonctions sont adressées au régime algérien. Alger ne peut se cacher éternellement derrière une fantomatique «neutralité» et fuir ses responsabilités pour ne pas participer à la solution préconisée par la communauté internationale, notamment à travers les dernières résolutions du Conseil de sécurité, et qui a pour nom: l’autonomie.
Aujourd’hui, le régime algérien est pris dans une tenaille. Soit il se soumet à la volonté de la communauté internationale et participe positivement à construire une solution politique au conflit du Sahara, avec comme plafond l’autonomie proposée par le Maroc, soit il largue les amarres de son environnement, pour adhérer au club des États voyous abhorrés par la communauté internationale.
Si le ridicule ne tue pas, il peut détruire un pays. Dans le cas du Polisalgerien, l’Algérie a-t-elle les moyens de ses égarements à répétition? le temps en jugera certes..! Il y a des moments où l’Histoire convoque les nations à un sursaut. Non pas un sursaut de façade, mais une prise de conscience profonde, presque existentielle. .
La junte d'Algérie sous-estime que: «L’heure algérienne est aux grands choix: sortir de l’isolement en adoptant une forme de réalisme politique, ou vivre dans la marginalité internationale, avec tout ce que cela comporte comme risques.». C'est aux Algériens, s'il y en a des Algériens crédibles, d'imposer les solutions à leur sort! de crises ou de laisser-aller.
Une ambigüité en forme de torchon blanc de soumission, s’est illustrée dans une allocution, du porte parole de tout vent algérien, Ahmed Attaf, dans laquelle il a dénoncé des « tentatives récentes, flagrantes et provocantes, de priver (ce qu'il appelle "le peuple sahraoui") de son droit à l’autodétermination»,
C'est la version palpitante d'autrefois, enterrée avec la guerre froide du temps passé. Allusion à peine voilée à la reconnaissance USA de la Souveraineté du Maroc sur tous ses territoires. Il précise que entre autres, «cette nouvelle donne a désarçonné Alger, comme l’illustre le communiqué laconique et prudent publié par sa diplomatie, en décalage total avec le ton habituellement virulent réservé aux déclarations françaises ou espagnoles».
En tout état de cause, le leadeurship Marocain donnerait à mon avis, beaucoup d’espoir aux étrangers-affairistes pour venir s'installer et investir au Maroc, au détriments des brouteurs d'illusions Algériens, surtout, quand L'écrivain Marocain Tahar Ben Jelloun nous glisse une belle conclusion : «Avec les Algériens, il faut utiliser le -3ème sens- pour essayer de suivre les méandres de leur névrose collective. L’esprit cartésien n’a jamais trouvé sa place chez eux. La haine et la jalousie, 0ui». .
Pour toutes ses merdes, l'Algérie se trouve en positions malsaines, isolée et souvent critiquée, pas pour son hostilité à son voisinage dont le Maroc et le Mali, mais aussi pour son traitement brutal des migrants Africains, jouant ainsi à la politique d'autruche et de casernes, se croyant, être l'Etat particulier en intelligence. Mais son rêve d'atteindre l'Atlantique est brisé devant la force et la détermination du constant du Maroc.
Quelques pas à peine de sa naissance césarienne du ventre Français en 1962, l'Algérie est devenue l’une des clés de la stratégie de toutes les merdes sur le continent Africain. Elle y rencontrait , tous les chefs d'Etats malfaiteurs du monde pour les corrompre, en les utilisant, tambour battant, en principaux "hautparleurs" de sa diplomatie de mal, pour autodéterminer, ce qu'ils appelleront désormais, «le peuple opprimé Polisalgérien», que l'Algérie a rassemblé de toute part et de tout bord à Tindouf.
Les pays pauvres assoiffés du pétrodollars, surtout d'Afrique et d'Amérique Latine, les chômeurs, «d'AlMawkaff», ont pu s'abreuvoir, au fil des temps, de la boue salée d'Alger, reconnaissant, en contre partie, les illusions trapues de mal de l'Algérie laquelle, galopant depuis, sur un cheval perdant contre la Grandeur Marocaine. Certains internautes Algériens sont sortis récemment de leur silence pour dénoncer, l'attitude malencontreuse de casernes contre le Maroc, ils ont même qualifié leur pays, d'entité brillante en ingratitude.
Nonobstant, que l'humiliation, et le fait de discriminer ne sont pas, qui qu'il en soit, de la souveraineté de base d'Etat responsable et crédible. L'Algérie, par contre, vit ses jours les plus sombres de son existence, voulant susciter une union tripartie échouée, contre des ennemis qu’il a fini par créer un peu partout. Union avortée avec la Lybie, la Mauritanie et le diable, et que sera-t-elle avec le cas d'expulsion massive qu'elle a toujours opté d'opérer avec les migrants des pays du Sahel (Mali-Niger-Burkina Faso). Voir en bas la photo très touchante. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
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