L’ultime épreuve de vérité pour l’ONU, elle doit taper clape de fin au «-Polisalgerien-» et l’écrire noir sur blanc.
C'est le maitre ardu, à ne pas rigoler avec!.
-Gigantisme Marocain : Alors que Washington vient de confirmer sa reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, avec l’autonomie comme unique cadre de négociation, de nombreux «groupes de réflexion américains» remettent en question certains «fondamentaux» du conflit Algero-Marocain autour du Sahara Après le bien-fondé l'inefficacité de la Minurso, c’est désormais le Polisalgerien, «une créature de la guerre froide», sans légitimité et potentiellement dangereuse, qui cristallise de multiples et bien acerbes critiques. Le point de vue de divers analystes est éclairant à plus d’un titre à cet égard.
En fait, l'Algérie à ce propos continue, à perdre la face. Un vent nouveau souffle sur la scène diplomatique à Washington. Mr.Joe Wilson, député, représentant républicain, une figure influente du Congrès américain, aurait l'intention de proposer une loi visant à inscrire le Polisalgerien sur la liste noire des organisations terroristes. Une initiative aux résonances géopolitiques profondes, dans un contexte de mobilisation croissante de la Diplomatie Royale auprès des cercles décisionnels américains.
Les analyses et autres critiques américains de renommé quant à l’impasse actuelle dans laquelle se trouve le processus onusien de règlement de la question du Sahara se suivent et se ressemblent. Au centre de leurs plaidoyers, certains acteurs du conflit, notamment la Minurso, mais aussi et surtout le Polisalgerien et son protecteur, l’Algérie.
Dans un véritable plaidoyer, un expert Américain appelle Washington à demander à l’ONU de cesser de reconnaître cette racaille comme «représentant» des Sahraouis, disant dans une chronique locale : «Il est temps de mettre fin à la fiction selon laquelle le Polisalgerien représente les Sahraouis et de laisser ce dernier vestige de la guerre froide appartenir à l’histoire Algérienne».
-Perte dans l'illusion : «Le Polisalgerien qui prétend représenter les Sahraouis et soutenir leur souveraineté sur le Sahara ,Marocain sous la bannière de RASD, est un vestige de la guerre froide. L’Algérie l'a fondé, avec le soutien de l’Union soviétique et de Cuba, afin de l’utiliser en instrument de punir le Maroc, pour avoir été le bon élève, au service de l'occident, au même temps que : «l’Algérie soutient ses terroristes "Polisalgeriens", à la fois pour s’assurer une place à la table des négociations pour y faire du chantage et pour détourner l’aide humanitaire destinée aux camps de la honte de Tindouf»..
«Le secrétaire d’État Américain a réitéré que les Etats-Unis reconnaissent la souveraineté Marocaine sur le Sahara et soutiennent la proposition d’autonomie, comme seule base de solution au conflit». Cette fois-ci, les Etats-Unis sont allés plus loin en exhortant les parties (Maroc-Algesario) à entamer des discussions sans délai, ont même proposé d’en faciliter le processus.
«Depuis 2022, de Mistura s’est senti en décalage dans un contexte international en pleine évolution, de plus en plus favorable au Maroc», remarque l’experte de The Atlantic Council. Le «coup de grâce» a été porté par les deux anciennes puissances coloniales du Maroc, lorsque l’Espagne s’est rangée du côté du Royaume en 2022, suivie par la France en 2024. Aujourd’hui confirmation réitérée en 2025 par les USA, et plus vingt-neuf pays ont des représentations diplomatiques à Laâyoune et Dakhla, en signe de soutien à la Cause Marocaine.
À mesure que la question du Sahara Marocain gagne en visibilité sur la scène internationale, la tension monte dans les camps de Tindouf, où les séquestrés désabusés, subissent la répression de plus en plus brutale, fruit d’un système à bout de souffle que l’Algérie s’obstinant à maintenir.
Cette position se rajoute à une forme de consensus aux États-Unis contre la mission onusienne, alors que De Mistura s’apprête à donner son briefing semestriel à huis clos devant le Conseil de sécurité. Ce processus onusien des tables rondes est à l’arrêt, car l’Algérie, partie prenante au conflit, refuse d’y participer, en dépit des résolutions Onusiennes, la sommant de le faire.
À chaque échéance, Alger orchestre une violence ciblée dans les camps pour contenir toute velléité de contestation interne, tout en s’efforçant de démontrer, par ce climat, que le conflit demeure actif et justifie le statu quo
À l’approche de cette réunion cruciale du Conseil de sécurité, prévue le 14/4/2025 pour examiner la situation au Sahara, le meurtre de deux jeunes Sahraouis par des éléments de la racaille algérienne dans les camps de Tindouf a déclenché une onde de choc sans précédent parmi les réfugiés. Le drame, survenu dans un climat de défiance croissante à l’égard des autorités du Polisalgerien et de leurs tuteurs algériens, est venu cristalliser des années de frustration, de marginalisation et d’exaspération.
À Tindouf, les appels à la révolte contre le « système répressif » incarné par Brahim Ghali se multiplient. De plus en plus de voix, jusque-là silencieuses, appellent ouvertement à rompre avec le Polisario, jugé illégitime, inféodé à Alger et incapable de représenter les aspirations d’un peuple en quête de dignité et de perspectives.
Ce mouvement de contestation traduit une évolution profonde dans les équilibres internes des camps. Le Polisalgerien, autrefois maitre absolu de la parole et du contrôle, se trouve aujourd’hui confronté à une fronde ouverte. Son autorité vacille face à une population jeune, éduquée, connectée, et lassée d’être instrumentalisée au service d’une cause détournée de ses objectifs initiaux.
L’Algérie maintient l’illusion d’un conflit. Pour Alger, cette répression sert un double objectif. En interne, elle permet de mater toute opposition au sein des camps, assurant la survie d’un appareil clientéliste centré autour du Polisalgerien. À l’international, elle alimente la narration d’un conflit non résolu, justifiant ainsi l’activisme diplomatique algérien, censé défendre une cause sahraouie dont elle s’est en réalité arrogée la représentation. En réalité, cette posture dissimule une instrumentalisation cynique : maintenir en état de dépendance les séquestrés de Tindouf pour en faire un levier stratégique dans la rivalité régionale.
Le Polisalgerien, quant à lui, tire profit de cette situation pour continuer à mobiliser des ressources internationales, détourner l’aide humanitaire, et s’imposer comme interlocuteur incontournable dans les arènes diplomatiques. Mais la légitimité de ce monopole est aujourd’hui fortement contestée.
L’agenda géoéconomique du Maroc est devenu structurant dans sa diplomatie et sa stratégie offensive à long terme. Cette séquence historique, couvrant la précédente décennie et la prochaine, est marquée par l’élargissement des partenariats par le biais de voies non traditionnelles. Elle est de nature à donner davantage de contenu et de relief à la position internationale du Royaume.
-Triomphe de l'Agenda-ma : L’agenda géoéconomique du Royaume est devenu structurant dans sa diplomatie et sa stratégie de développement à long terme. Il s’agit d’une nouvelle séquence historique couvrant la précédente décennie et la prochaine, un cycle de nature à donner, à terme, davantage de contenu et de relief à la position internationale du Maroc.
La posture internationale du Maroc est adossée à une conjonction de données connues: la stabilité, le consensus national, un référentiel de valeurs partagées, un attachement aux principes de la Charte des Nations unies -producteur et pourvoyeur de paix, de coopération et de partenariat.
L’évolution enregistrée depuis deux décennies regarde le redéploiement de sa diplomatie vers des latitudes aussi diverses que l′Amérique latine, l’Asie et bien sûr l’Afrique. Celle-ci est servie et rehaussée par le leadeurship personnel, moral et politique de Sa Majesté le Roi.
Mais il y a plus. Référence est faite à la place de la géo économie, qui conforte et promeut même la place et le rôle du Royaume. Cela tient à la proximité avec des zones d’intérêt économique par suite de sa position entre la Méditerranée, l’Afrique et le continent, sans oublier le détroit de Gibraltar, le marchepied avec l’Europe. Dans la nouvelle corbeille diplomatique Marocaine, l’on trouve les multiples liens avec ses partenaires traditionnels que sont l’Union européenne et les Etats-Unis.
Mais l’implication dans de nouveaux chalenges régionaux et internationaux constitue une valeur ajoutée, donnant davantage de visibilité et d’influence à sa diplomatie (énergies renouvelables, changement climatique, migrations, coopération Sud-Sud, multiples aspects du soft Power…). Une politique étrangère de multi-alignement, mais déclinée cependant plus fortement vers l’Afrique, le Sud, l’Ouest et l’Atlantique élargi.
C’est vers le Sud que se présentent de plus en plus les potentialités d’une ouverture géoéconomique substantielle. Cette tendance est nourrie par plusieurs faits cumulatifs: le secteur financier et bancaire -surtout en Afrique de l’Ouest, le Maroc étant le premier investisseur et le deuxième dans tout le continent, l’agriculture, les exportations de phosphates, les télécommunications, etc. L’infrastructure n’est pas en reste dans l’élargissement de ce périmètre. Le complexe portuaire Tanger-Med est ainsi au premier rang des transits de conteneurs entre l’Asie, la Méditerranée et les destinations atlantiques. Le port de Dakhla Atlantique est lui aussi un projet stratégique majeur avec cette ambition de devenir un hub logistique africain.
Il s’inscrit dans une perspective particulière: renforcement de l’intégration du Sahara Marocain, soutien des exportations Marocaines, création d’un corridor économique Sud-Sud, et soutien de la vision de passerelle entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique latine. Par ailleurs, le transport aérien est aussi une illustration des liens du Maroc avec l’Afrique, avec en particulier l’aéroport de Casablanca comme plaque tournante majeure des transits entre les capitales africaines, l′Europe et l’Amérique, du Nord comme du Sud.
Le Maroc priorise son redéploiement, ses partenariats internationaux clés étant euro-atlantiques. Les liens économiques avec l’Atlantique Sud se renforcent, en particulier avec le Brésil, via des joint-ventures et des contrats relatifs à la commercialisation et à la valorisation des phosphates. Au total, un agenda géoéconomique devenu structurant dans la diplomatie du Royaume et sa stratégie de développement à long terme.
Un cycle de nature à donner, à terme, davantage de contenu et de relief à la position internationale du Maroc. Une stratégie volontariste d’optimisation de l’influence du Royaume à l’international. Une vision de la diplomatie Royale mise en œuvre, à marche forcée. La preuve, nous la voyons en continuité. Mr.Bourita ne manque pas de marquer, constamment, de bons points diplomatiques, attachant les brebis galeuses en les contrariant à se rallier au rang de la vérité d Sahara Marocain occidental.
Sachant en définitive que : depuis des décennies, l’Algérie instrumentalise sans relâche ce conflit artificiel qui aurait dû, sous le poids du temps et de la vérité historique, s’éteindre de lui-même. Trop de patience, trop de silence de la part du Royaume. Alors que les grandes puissances du monde ont, l’une après l’autre, clarifié leur position, l’ONU n’a désormais plus le luxe de l’ambigüité. Elle se doit d’assumer, sans détour ni complaisance, son rôle d'arbitrage : rendre justice à la Souveraineté Marocaine, bafouée par des décennies de manœuvres dilatoires Algériennes. Bonne lecture.
L'Admin, Chihab25