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  • L'affaire du «Sahara Marocain» au Parlement européen n'est plus : Si ce n'est qu'un revers pour l’Algérie et son proxy, le Polisario

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                                  Le «Hashtag -Manish-Radi-» pourrait-il renverser la bande d'Alger

     

    Tout d'abord...C'est l'article de fin d'année. Avant de se lancer vers le contenu, la rédaction tient à signaler au lectorat qu'un lecteur, parmi d'autres s'est interrogé, de bonne ou de mauvaise foi, en répliquant à l'intitulé de la dernière note -: (Le Bon voisinage sera-t-il un jour une réalité avec l'Algérie! Peut-être oui, si elle se débarrasserait de la tutelle des casernes!

    La cohabitation est-elle possible avec une folle?. Personnellement, je le pense pas, étant que je ne suis pas spécialiste, pronostiqueur ou décrypteur de l'avenir. Mais je pourrai, quand même, dire dans ce sens que :  «Là, nous sommes loin, très loin même».

    Je ne dirai pas de l'Algérie, en tant que Nation, mais de l'Algérie en tant que régime de mal, de bande de caporaux, à culture haineuse, lui vendait du vent, se prenant pour la star de son monde corrompu qu'elle a constitué de fourbies et de mensonges contre la sagesse d'un voisin crédible, porteur d'honneur, d'histoire et de bonté. 

    En Algérie, se trouve une bande d'opportunistes qui s'est forgée en peuple d'illusions, se vantant de vie meilleure, plus que d'autres, en s'invitant à consommer davantage, l'unique produit algerien, le «Tabac à chiquer الشمه ».

    Une bande d'escrocs, se prenant pour star au monde corrompu qu'elle a constitué de fournies et de mensonges contre un Maroc très gênant et terminera, certes, à courber l'échine devant sa grandeur. 

    Alors qu’au fond, cette entité  s'active en sorte déguisée en. «faux, usage de faux  et de diffamation» avoir été dépourvue de ses hommes de paroles, les plus crédibles à l'instar d'Al Hocine Ait Ahmed, Boudiaf et leurs pairs de confiance d'autrefois..

    Depuis lors, «On a été, toujours contraint de siffler la fin de toutes les récréations avec la folie Algérienne. Le Maroc restera décidé d'aller silencieusement en avant, et de ne plus rien laisser passer, avec la folie d'une entité enragée de haine et d'hostilité». 

    N'oublions pas qu'en cas d'harcèlement militaire de la part d'Algérie, que le Royaume est bien réveillé mettant ses forces en alerte maximale de vigilance, serait contraint de mener, avec conscience dissuasive déterminée et revivre, éventuellement, avec émotion de grandeur, d'autres guerres, s'il le faut, à l'instar de celle des sable63 et les batailles -d'Amgala76, contre l'ingratitude d'un voisinage frivole, imposé par la lâcheté de la géographique.

    Porté par la complémentarité de sa sagesse et de sa retenu naturelles et ses besoins prospères de la paix à la région, et en respect de sa crédibilité leadeurship qui ne cesse de prendre forme partout au monde, le Maroc, vu sa sincérité diplomatique, estime continuer à tirer profit des pays les plus crédibles. Tans que la majorité des prérequis pour le passage à la vitesse supérieure est, confortablement, assurée.

    Il en reste, toutefois, un préalable incontournable à garantir, à savoir... «ignorer davantage le jonglage politique d'un régime de caserne» et ne prévoyant, actuellement, aucune réconciliation de voisinage, en l'absence de feu Hocine Ait Ahmed et Mohamed Boudiaf et Abdelhamid Mehri de l'Algérie d'autrefois.

    On se réveille à l'Européenne! Après plus de vingt ans d’existence au sein du Parlement européen, et ce malgré de nombreuses entorses au règlement, l’intergroupe «Sahara Marocain» qui réunissait des Eurodéputés pro-polisario n’a pas été reformé. Un revers cinglant pour le régime d’Alger et son enfant illégitime, le Polisario, qui aura des conséquences très douloureuses.--

    La séquence des débâcles diplomatiques est interminable pour le régime d’Alger. Elle se poursuit avec un cinglant revers au Parlement européen. Après s’être mis à dos l’hémicycle européen suite à l’arrestation de l’écrivain Franco-Algérien (Sansal), contrevenant ainsi aux lois internationales sur les droits de l’homme, qu’elle a pourtant ratifiées. 

    En effet, le 12 novembre écoulé, la commission des présidents a signé la fin de la longue existence du très contesté intergroupe «Sahara Marocain, dit occidental», qu’abritait le Parlement Européen et qui accueillait depuis plus de vingt ans des eurodéputés entièrement dévoués à la cause du Polisalgerien. Cette décision est publiée, au grand public, sans réticence de nulle part.

    Cette décision met –enfin– un terme à l’existence d’un intergroupe contre-nature, dénoncé pour ses très nombreuses entorses au règlement du Parlement Européen et surtout pour ses actes non dissimulés d’ingérence dans un espace où il n’a pas lieu d’être. Un coup dur pour la propagande anti-marocaine du régime d’Alger et la mise en œuvre de ses manœuvres diplomatiques sournoises.

    De l’inutilité des intergroupes... C'est seulement de l'opportunité et du parasite au Parlement Européen. Les intergroupes, généralement composés de députés bavards, sont régis par un règlement intérieur sérieux, lequel stipule que ceux-ci «sont le lieu d’échanges de vues informels, sur des sujets précis, entre différents groupes politiques ainsi qu’entre les députés et la société civile».

    Ainsi, suivant une démarche individuelle, et sans mandat impératif, les députés peuvent-ils rejoindre un intergroupe ou un autre afin d’acquérir ou approfondir une spécialité, réagir à une actualité précise, et, in fine, penser l’évolution des textes en auditionnant des «parties prenantes», à la différence des commissions du Parlement Européen dont les thématiques traitées sont obligatoires.

    Ont ainsi été créés au fil des ans des intergroupes liés à diverses causes et sujets, à l’instar, du cancer, de la biodiversité, dans un cadre règlementé, celui des locaux du Parlement Européen à Strasbourg, où ces intergroupes se réunissent dans des espaces mis à leur disposition lors des sessions plénières.

    Pour y combattre l’ingérence Européenne et prévoir une mort annoncée!. Parmi les 27 intergroupes inscrits à la dernière mandature, l’intergroupe «Sahara Marocain» a succédé à son prédécesseur (tout aussi orienté), «Paix pour le soi-disant peuple sahraoui». Deux versions d’un même intergroupe très contesté, en premier lieu pour sa démarche extracommunautaire.

    Et pour cause, d’un point de vue politique innocent, la question du Sahara Marocain relève de l’ONU et en aucun cas du Parlement Européen, où, pour traiter des relations de l’UE avec les pays tiers, en l’occurrence ceux du Maghreb, on s’en remet à une structure, elle, officielle, la «délégation pour les relations avec les pays d'Europe et l’Union du Grand Maghreb».

    Autre méfait de cet intergroupe: son rattachement à un pays tiers, en l’occurrence l’Algérie, alors que le règlement du PE, dans le but de contrer les ingérences étrangères, interdit «les groupements non officiels liés à des pays tiers pour lesquels il existe une délégation interparlementaire permanente».

    Enfin, que dire de son positionnement anti-marocain, servi par une composition partiale, bien loin de la diversité de sensibilités politiques respectée dans les autres intergroupes, qui permet d’asseoir confortablement l’agenda politique anti-marocain de l’Algérie sans souffrir aucun débat? Et ce, alors même que l’article 3 du règlement stipule que «les intergroupes ne peuvent mener des activités susceptibles d’affecter les relations avec les pays tiers».

    Autant d’entorses au règlement du PE qui se sont accumulées avec le temps, mais sont passées entre les mailles du filet, bien que dénoncées par de nombreux eurodéputés et jusqu’au président du Parlement européen lors de la dernière mandature. Tout du moins jusqu’à ce jour… car l’existence de chaque intergroupe est liée à celle de la législature en vigueur. Or, la donne a changé avec la tenue des dernières élections européennes, en juin dernier.

    La Marocanité du Sahara s’impose  au-delà du changement de législature, quel est donc, l’élément déclencheur qui a favorisé ce blocage et quelle lecture en faire? Une source bien informée était en mesure de répondre et voit dans le non-parrainage de cet intergroupe

    «un signal politique fort donné à Alger par le Parlement européen» dans un contexte «de durcissement et de dégradation des relations entre Bruxelles et Alger, puisque l’accord d’association se passe mal, au même titre que les relations économiques entre les États membres et l’Algérie, elles aussi au plus mal».

    En second lieu, analyse cette même source, ce non-parrainage «n’est que la dernière mesure d’une politique de non-ingérence des États tiers dans le fonctionnement et les politiques du Parlement européen, menée depuis 2023 suite au Qatar Gate». En effet, précise-t-on, ces mesures passent notamment «par la suppression des groupes d’amitié, et par un certain nombre de mesures qui visent les eurodéputés et les anciens eurodéputés».

    Or, «cet intergroupe était le dernier vestige de l’ingérence d’États tiers dans les politiques de l’Union européenne. À partir du moment où on n’accepte plus les groupes d’amitié, cet intergroupe avait un statut non identifiable au regard du règlement intérieur du Parlement européen», explique ce fin connaisseur du PE.

    On eu un impact positif en Europe, où 120 pays à travers le monde considèrent le plan d’autonomie Marocain comme seul processus pour résoudre le conflit.» dont des pays Européens importants, comme la France, l’Espagne et l’Allemagne, en tant que bloc uni. En face, il y a qu'une minorité persistante à bloquer les efforts de paix, soutenue par le régime militaire d'Alger qui ne s’appuie que sur les pétrodollars et sur une thèse dépassée.

    La déclaration du président français Emmanuel Macron: «Le présent et l’avenir du Sahara ne peuvent être résolus que dans le cadre de la souveraineté du Maroc.» cette citation constitue un témoignage important, venant d’un ancien coloniale disposant d’archives historiques sur le Maroc, y compris sur le Sahara Marocain oriental amputés au profit de l’Algérie.

     

     

                                                                   
     

     

    Un témoin oculaire de la maison...Abdelmalek Sellal, ancien Premier ministre algérien, (2014-2017) qui purge actuellement une sentence carcérale  à  la prison d'El Harrach à Alger, a déclaré  que, je cite :

    «Le régime militaire de son pays forçait ses ministres à planifier de nuire au Maroc par tous les moyens possibles, admettant avoir imposé à tout ministre de perturber et en insulter le Maroc en faussant sa réputation par influencer son leadeurship en dépensant des milliards de pétrodollars».

    Cette déclaration intervient dans le cadre de la réponse de Sellal au juge qui l'inculpait sur la dissipation d'énormes fonds appartenant à l'entité pétrolière Algérienne «Sonatrach».déclarant, entre autres :

    «Nous avions été contraints d'utiliser toutes les méthodes pour nuire à l’image du Maroc et influencer sa trajectoire politico-économique», dévoilant en plus que : «Le déboursement d'un milliard de dollars, voire plus, était destiné, sur ordre de Bouteflika, à détruire la société Renault au Maroc».

    La rédaction du blog en profite de cette sortie signifiante de ce ex-haut commis du pouvoir Algérien et d'ajouter : «L’insoluble problème qui se pose à «l'Algérie» face à la croissance démographique est que, ne produisant pas de quoi habiller, soigner, équiper et nourrir sa population, l’Algérie doit donc tout acheter à l’étranger».

    «la majorité des recettes tirées de l'hydrocarbure servit ainsi à l'importation de produits alimentaires de bas» dont l’Algérie est toujours importatrice depuis 1962 et depuis l'Algérie ne produisant que le mensonge,  si on croit les sorties spectaculaires de sources officielles Algériennes,

    En effet, au lieu d’entreprendre les réformes vitales exigées par la situation désastreuse du pays, le duo du mal au pouvoir...(Tebboune et  Chengriha), a d’abord veillé à la survie du «Système corrompu», cette nébuleuse dans laquelle s’enchevêtrent le haut -commandement militaire, le -complexe militaro-pétrolier, les meneurs de la -particularité islamophobe!, les -pseudo-partis et des institutions publiques, ainsi que les -juges corrompus de la fâcheuse  juridiction d'Alger, influencés par le pouvoir militaire d'Alger.. fin de citation.                                                               

                                                                                   Cordialement,Chihab25