Maroc-Algérie :L'énigme algérienne, le récit d’un ancien ambassadeur à Alger! et le ton des échecs consécutifs!?
Folie, égoïsme et opacité...Ce sont les aspects qui piquent et meublent, la mentalité malade de l'Algérien. «Les Thèses périmées, rêves d’Atlantique, manipulations étriquées sont le jeu malsain des adversaires du Maroc». Termes de Sa Majesté le Roi Mohamed VI.
Durant la période coloniale, le Maroc fut territorialement ampute, à la fois à l'Est, et au Sud -«Al Maghreb Esharqi» selon la formule de feu Allal el Fassi : -À l'Est, la France créa l'Algérie en unifiant des territoires qui n'avaient jamais constitué un ensemble politique, et en lui rattachant les provinces Marocaines du Touat, de la Saoura et de Tindouf. -Au Sud, l'Espagne amputa le Maroc de «Saquia El Hamra et Oued Eddahab, dont fit actuellement, le Sahara Marocain occidental».
En 1956 le Maroc recouvrit l'indépendance du protectorat Français, mais pas sa totale souveraineté territoriale. Pour se faire et rapatrier le maximum de ses territoires amputés, le Royaume, fera certes, tôt ou tard, bouchée double pour y arriver à cela.
Dans son ouvrage, «l'énigme Algérienne», l'historien Français Mr.Bernard Lugan, retrace l'histoire du Sahara Marocain dit "occidental" sous forme de 10 questions «sa situation géographique et historique, sa place dans le conflit entre le Maroc et l'Algérie».
L'auteur tient régulièrement des chroniques éclairantes sur ce pays et établit des rapports et des études qui aident les politiques français et Marocains à prendre des décisions en lien avec l’Algérie. Il vient d’ailleurs d’être classé par Radio France international parmi les 100 penseurs et experts du nouvel ordre mondial.
On décryptant les pages de ce livre, le lecteur constate que L'Algérie n’a jamais existée, voire si même elle est, accidentellement, née à nos côtés, elle n'a jamais depuis été pacifiste de nature. Pour cette note si spéciale, aucun détail n’a été laissé au hasard.
Son mauvais voisinage, nous rend compte, qu'elle est venue au monde que pour ennuyer, s'habillant d'un faux leadeurship. Avec ses conneries de casernes, on pourrait constater que de la frivolité de sa part, face à un voisin calme et crédible, qu'est le Royaume Chérifien du Maroc.
Les causes d'échecs... Dès les premières pages, l’auteur fait part de son étonnement face à la singularité du régime algérien. Il décrit un pays qu’il connaît bien, où les apparences sont souvent trompeuses, et un État riche en ressources naturelles, mais miné par des dysfonctionnements internes.
«L’Algérie est un pays où l’économie informelle prospère, où l’administration est omniprésente, mais souvent inefficace, et où la politique est marquée par la prudence et l’opacité»
Cette dualité entre richesse et coma institutionnel est une clé pour comprendre le rôle de l’armée, qui a façonné le «Système». Une armée qui ne s’est jamais contentée d’être une institution de défense : «elle constitue en réalité l’épine dorsale du régime et joue un rôle prépondérant dans la prise de décision».
L’influence de l’armée dans les affaires politiques, et dans les décisions cruciales se prend souvent dans les couloirs militaires, loin des bureaux ministériels. «L’armée, c’est elle qui dicte le tempo politique. Les chefs militaires sont les véritables architectes du pouvoir. Elle provoque une paralysie politique profonde, renforcée par le poids des opportunistes du Front de Libération d'autrefois et de l’histoire fabriquée qui continue à structurer la fausse identité algérienne.
Le simulacre d’élection présidentielle en Algérie, contrairement à d’autres États où les militaires interviennent principalement en cas de menace externe, en Algérie, l’armée joue le rôle dominant dans la gestion des affaires intérieures. Sa hiérarchie militaire détient un véritable contrôle sur le pouvoir civil, mainmise qui s’est consolidée au fil des décennies, particulièrement après la guerre civile des années 1990.
Cette période tragique a renforcé la légitimité de cette racaille auprès de la population. Toutefois, cette légitimité ne s’est pas construite uniquement sur la protection contre les menaces intérieures, extérieures et de l'ennemi potentiellement Marocain, mais aussi sur un contrôle autoritaire d'un peuple qui se particularise de fils d'attente.
L’influence...Le DRS est le «pouvoir dans le pouvoir», un acteur de premier ordre qui agit souvent dans l’ombre pour réguler les intérêts du régime. Il est l’un des aspects de l’influence entre les mains de (Rabb-D'zaer) le général Mohamed Médiane, alias Toufik, le revenant.
Son service est toujours au cœur de la surveillance de la société algérienne, contrôlant non seulement les éléments dissidents, mais influençant aussi les nominations politiques et la gestion des affaires publiques.
Cette influence militaire s’est brusquement révélée en 2019, avec le Hirak, lorsque l'inhumé général Gaïd Salah a dû passer outre la tradition de l’omerta, et prendre, publiquement, le pouvoir politique.
Il était un personnage puissant, mais énigmatique, qui s’est progressivement imposé comme le garant de la transition politique post-Bouteflika. était un homme influent et aussi secret, dont ses décisions ont façonné le destin de l’Algérie dans ses moments cruciaux.
Le diplomate raconte que face à la mobilisation populaire massive, qui a débuté en février 2019 et réclamait le départ d’Abdelaziz Bouteflika et une refonte du système politique, l’armée a tenté de se positionner en arbitre.
D’un côté, Gaïd Salah et les militaires ont permis la destitution de Bouteflika, répondant en apparence, aux revendications du peuple, d’un autre côté, Driencourt montre que l’armée a veillé à ce que le mouvement n’aboutisse pas à une véritable rupture avec le système en place : «Le rôle de l’armée a été de préserver le régime, tout en donnant l’impression d’accompagner les doléances populaires.
La France désinhibe les pays Européens...Driencourt exprime un certain scepticisme sur la capacité de l’armée à laisser émerger une véritable démocratie. Selon lui, tant que l’armée restera l’arbitre ultime des décisions politiques, il est peu probable que des réformes profondes aient lieu:
«Les élites militaires n’ont aucun intérêt à céder leur pouvoir, et leur rôle reste primordial pour garantir la pérennité du système en place». Cette observation souligne une continuité dans l’histoire politique de l’Algérie, où l’armée a toujours su maintenir son emprise, son empire, même lorsqu’elle était critiquée ou contestée.
Outre la confiscation du politique, Driencourt souligne que l’armée est aussi un acteur économique, et ses intérêts dans les ressources naturelles du pays font partie intégrante de son pouvoir. «L’énigme algérienne» explore les rouages qu’a utilisés l’armée pour exercer un contrôle direct et indirect sur l’économie du pays.
Ces rouages, que les Algériens eux-mêmes ont nommés le «Système», sont centrés sur un réseau de militaires et de politiciens influents qui cannibalisent les secteurs stratégiques de l’économie depuis l’indépendance.
L’armée, écrit-il, est devenue une force incontournable en contrôlant non seulement les aspects sécuritaires de la nation, mais aussi les entreprises publiques, notamment dans les secteurs pétrolier et gazier, sources principales de revenus pour le pays.
Driencourt souligne que cette militarisation de l’économie a des répercussions importantes, telles que la corruption à grande échelle, l’absence de réformes économiques structurelles et un blocage du développement privé. Cette concentration de pouvoir empêche la diversification de l’économie, rendant l’Algérie fortement dépendante de la rente énergétique.
L’auteur analyse également le rôle des généraux dans la perpétuation du régime, illustrant comment leur appropriation de l’économie leur permet de maintenir leur influence, notamment via des accords opaques et des partenariats avec des hommes d’affaires proches du pouvoir.
Relation sclérosée dans le passé...Enfin, dans ce livre courageux, Xavier Driencourt décrit la relation complexe et souvent ambiguë entre la France et l’Algérie, marquée par une méfiance réciproque: «La relation franco-algérienne est faite de non-dits, de silences lourds, et d’accusations parfois voilées, parfois explicites.
C’est une relation de défiance». Cette relation, qui prend racine dans la colonisation française de l’Algérie (1830-1962) et la guerre d’indépendance, reste un sujet brulant dans les deux pays: «Tandis que la France cherche à regarder vers l’avenir, l’Algérie demeure focalisée sur les blessures du passé, exigeant des excuses et une reconnaissance des crimes de la colonisation».
Représailles d’Alger...Driencourt souligne que la France est toujours vue à travers le prisme de cette période dépassée en ce qui la concerne. Les dirigeants algériens, en particulier, instrumentalisent le passé colonial pour asseoir leur légitimité et renforcer un sentiment anti-français parmi la population.
Selon lui, «chaque mot ou geste venu de Paris est scruté, analysé, voire instrumentalisé par le régime algérien». Cette citation montre à quel point les relations avec la France sont chargées de paranoïa, et finissent par déclencher des vagues de réactions hostiles à Alger.
Il mentionne également que les références à la guerre d’indépendance égrènent encore aujourd’hui tout discours officiel algérien. Le régime en place s’appuie sur cette mémoire collective pour renforcer sa propre autorité
Aujourd'hui, Les caporaux cherchent désespérément une tasse de café dans le pays des «y’a pas». Pas de café pour se réveiller, pas de patates. Il n'y a que la rente pétrolière à la portée des caporaux qui s'activent frauduleusement pour s'enrichir au détriment d'un peuple opprimé, qui brille, à l'Algérienne, que dans des fils d'attente, souffrant des pénuries constantes. Telle est la nouvelle quadrature du cercle de décisions, dans un pays où la mode des pénuries est indémodable.
«Les dégâts commis par l'Algérie à son voisinage par le manque de crédibilité d'Etat et l'introuvable concept de vérité, et de terrorisme officiel sont incommensurables».
Surpris par la non-réaction du Maroc à la décision prise par Alger d’imposer des visas d’entrée aux Marocains, le duo aux commandes, dirigé par le caporal-pisseur (Chengriha) et ses acolytes ne savent plus quoi faire, ni sur quel pied danser. Leur folie n’ayant pas de limite, ils réfléchissent déjà à l’idée de généraliser cette mesure à tous les autres pays appuyant la Marocanité du Sahara.
Acte aboutissant : Si le Sahara Marocain a bien été intégré au Royaume sur le site officiel de la diplomatie française en marge de la visite d’Emmanuel Macron, il n’en est pas encore de même partout. Une «anomalie» dont la correction en cours, jointe au transfert annoncé des archives Françaises, concernant les deux Sahara (occidental et oriental) du Maroc, ne sera pas sans conséquences sur la très mauvaise relation avec Alger.
À gauche, la carte du Maroc, telle qu’elle figurait encore, fin aout dernier, sur la page consacrée au Maroc par le site du ministère français des Affaires étrangères. À droite, la carte officialisée, mise à jour et affichée ce 30 octobre 2024 par le même site Français.
méconnues par les Algériens eux même. Lisez les bêtises de certains frivoles-Algériens...qui se placent en élite particulière.
lamentation, hay AlMaghareba à Jérusalem, par Sid'houm Boumediane!, et d'ajouter que, si y sont de vrais nationalistes : ils doivent y aller à Jérusalem pour rapatrier leurs pierres, et pourquoi pas, le mur de lamentation lui-mêmeننجيبو حجرنا و نجيبو حتئ الحييييط ».
2-Et de l'intimidation encore, quelqu'un d'eux est sorti dernièrement, jurant sur sa sale gueule, en disant avec certitude exagérée que, je cite : «la sainte Qâba», n'est pas celle, qui se trouve à la Mecque, mais la vraie se trouve en Algérie, montrant un grand bloc de carton ressemblant à la «Qâba», autour du quel les dingues Algériens plaident auprès du Satan la clémence spirituelle.
3-Un fqih-dz, donnait des orientations à des dingues Algériens. «L'Algérie était le terre des Oulama, les maitres du monde». un d'eux était l'enseignant d'«Al Imam AlBoukhari», et construit «Jameâ Al'Azhar», le seul qui écria le «Saint Coran» et un autre Algetien, Badil Bisakri, développa «Hadith Nabawi» !!.
4-Un autre con Algérien, qui se présentait en journaliste, lançait sur Facebook que l'Algérie existait depuis «deux millions deux cent ans» et c'est elle qui est -Omm Dounya- et pas l'Egypte qu'on se contente d'avancer vachement.
Et d'ajouter avec fierté inappropriée, je cite : (300 Sahabi (accompagnants du prophète sws) sont enterrés en Algérie, plus le prophète «Sidi Youchaâ», dont la tombe se trouve à El Ghazawet et que la France doit, entre autre, nous permettre de rapatrier la «Tour Eiffel» qui est construite par du fer Algérien d'Ouenza, wilaya de Tébessa!. Et que « ceux de la grotte - اصحاب الكهف» étaient en résidence fortifiée en Algérie et portaient, même, la nationalité Algérienne?.
Ce que je constate le plus rigolo de toutes ces fourberies, c'est la déclaration du président menteur, disant avec certitude, via un autre fou, que l'Algérie est le premier pays reconnaissant l'indépendance des Etats Unis d'Amérique (USA). Et que l'Algérie existait, depuis des siècles et des siècles, avant même l'existence des Ottoman. C'est le seul État au monde qui détient à ce jour, «l'appel à la prière» élevé par «voix, dument enregistrée», de Bilal Ibno Rabah - مؤدن الرسول صلئ الله عليه وسلم ». Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
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