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  • Les «déroulés de mensonge» de l’Algérie pour assujettir les deux Sahara Marocains, «l'oriental et l' atlantique»

                                                                                       drapeau-du-maroc-image-animee-0008   Armoiries du Maroc, sceau ou emblème national, isolées sur fond blanc. : illustration de stock

                                                               

                                                                                                                 Sans commentaire!

    La façon de jongler...La fin de l'ère de jonglage des renseignements Algériens fallacieux contre le Royaume et ce après ses échecs successifs. La rédaction du blog citerait deux de ses principales tentations  avortées : La voisine de mal d'à-côté, ne cesse de se dévoiler par ses tentations malencontreuses contre les raisons. Cela étant, d'y tenter, dans un contexte explosif, de manipuler cyniquement le Maroc,  revenant en fin de compte, à jouer avec du feu, au risque de se bruler soi-même, en projetant un ce qu'on peut appeler le «Projet Polisalgérien», une manœuvre de l’Algérie pour assujettir les Sahara Marocains, l'oriental et l' atlantique.

    La remarque avertie, c'est à la fin des années 1961, alors que l’empire français vacillait et que les indépendances Africaines se précisaient, Alger cherchait, vainement, d'ouvrir une fenêtre à travers le Sahara Marocain atlantique, région convoitée pour ses ressources minières appartenant historiquement au Maroc, dont le gisement de fer de «Garat J'bilat» dans la région de Tindouf. fraichement indépendante.

    C’est dans ce contexte et en l'absence de l'Algérie qu’est lancée, le 8/02/1958, l’opération Écouvillon, une offensive militaire conjointe Franco-Espagnole contre l’Armée de libération Marocaine, active dans le sud de ce territoire Marocain., alors que l'Algérie française se battait encore pour sa libération du gouffre Français.

    Mais au-delà de la dimension militaire, l'Algérie Française concevait une stratégie politique de plus long terme : créer un «Polisalgérien» en s’appuyant sur certaines tribus du Sahara Marocain pour freiner les revendications territoriales Marocaines. Ce projet visait à instrumentaliser les identités tribales pour renforcer la position Algérienne dans les négociations à venir sur les frontières postcoloniales, tout en préservant l’accès aux gisements de Garat J'bilat, (aujourd’hui sous domination Algérienne.

    Diviser pour mieux régner...Les archives diplomatiques françaises conservées à l’ambassade de Madrid mettent au jour la nature de cette manœuvre, conçue comme un projet séparatiste s’inscrivant dans la logique de morcèlement déjà expérimentée par Algérie. Un document  daté du 1er/4/1958 précise ainsi: «Il s’agit d’assurer le contrôle du Sakia lhamra à l’Est de Smara, contrôle impossible sans accord avec les Espagnols.

    Ce document éclaire aussi, l’enjeu principal de: donner une apparence de légitimité à une entreprise de fragmentation territoriale en invoquant la supposée volonté d’autonomie des tribus nomades. La France voulait alors, utiliser le sentiment identitaire des tribus Reguibat pour légitimer une stratégie coloniale. 

    En mobilisant ces populations nomades dans un scénario séparatiste béni, silencieusement par l'Algérie Française. Projet par lequel, la France Gaulliste, espérait influencer favorablement les opinions internationales et peser sur les négociations frontalières avec le Maroc.

    Le calcul géopolitique du général De Gaules, était stratégie s’inscrivait dans une vision néocoloniale plus large visant à maintenir une influence française indirecte dans une région en pleine redéfinition. Le Royaume, jouissant de sa pleine Souveraineté s'est soulevé contre toute redéfinition, telle qu'elle soit, à son détriment en dénonçant la léthargie de la France dans ce sens.

    Une carte politique brulée...Mais la mise en œuvre de ce projet ne s’est pas déroulée comme prévu. Les négociations d’Évian, amorcées en 1961 pour mettre fin à la guerre d’Algérie, ainsi que la rétrocession de Tarfaya au Maroc en 1958 et de Sidi Ifni en 1969, ont obligé la France à ajuster sa stratégie.

    Le «projet Reguibat» perdrait ainsi, progressivement, de son sens politique et s’éteindrait en 1962 après le départ des Français de l'Algérie Française, lorsque les tribus locales, soutenues par leur Caid Abdallah Ould Senhouri, (photo en bas) refuseraient la souveraineté Algérienne sur Tindouf par la non participation, en tant que Marocains, au référendum interrogeant, à cet effet, les Algériens : «dites-vous, Oui ou Non» à l'indépendance de l'Algérie Française!?. 

    La position française sur cette stratégie a été clairement exposée dans un document diplomatique de l’époque  : «Il n’est pas douteux que le ralliement des Reguibat et leur reprise en main par les autorités françaises du Sahara constituent une réponse aux prétentions que le Maroc essaye d’affirmer sur le Sahara occidental, c’est-à-dire sur une région qui correspond grosso modo à la «terre Reguibat».

    Si cette opération réussit complètement et dure, elle peut être une carte excellente dans notre jeu. Mais elle est loin d’être complètement réussie, un tiers seulement des Reguibat paraissant s’être ralliés jusqu’à présent. D’autre part, il n’est pas certain qu’elle dure: les Reguibat pourraient un jour nous trahir, comme ils trahissent en ce moment les Marocains, avec lesquels ils ne cesseront jamais de garder le contact.  

    Le Polisalgérien : le mensonge de l’Algérie est soulevé à l’ONU pour nuire au Maroc...Décembre 1978. Alors que Boukharouba vit ses derniers jours, l’Algérie inventait une fiction stratégique: un prétendu parachutage d’armes Marocaines au Cap Sigli. Une mise en scène, née dans les hautes sphères du régime, cherchant à détourner l’attention de crises internes et à rallumer la flamme de l’ennemi extérieur. 

    Incapable de faire face à ses crises internes liées à la maladie grave de Boukharouba qui mourra quelques jours plus tard le 28 décembre 1978, le régime d’Alger a créé de toute pièce une affaire d’armes. Ce fut le temps de la mise sur le marché de l’idéologie son produit en vogue: «l’expansionnisme Marocain».

    Le Maroc dont 1/3 du territoire fut annexé au profit de l’Algérie et qui subit depuis 1962 jusqu’à nos jours les conséquences d’un conflit artificiel créé par ce même régime. Retour sur un mensonge «parachuté» depuis la haute sphère de l’État algérien comme l’atteste la lettre de Bouteflika, envoyée aux instances onusiennes. Une lettre qui utilise comme un tremplin la question du Cap Sigli pour rebondir sur le soutien au Polisalgérien.

    L’intangibilité de mensonges de la guerre froide...Dans le contexte d’une crise interne liée à la maladie de Boumediene, l’Algérie avait larguer un énième «mensonge» lié à l’affaire des armes retrouvées au large du Cap Sigli à 150 km à l’est d’Alger. L’affaire a pris une dimension internationale, puisque Bouteflika, en allait même jusqu’à s’adresser à l’ONU pour protester contre une «violation marocaine de l’intégrité territoriale de l’Algérie» survenue le 10 décembre 1978  via un Hercule C-130 de l'armée Marocaine.

    La réponse Marocaine rappelait d’une manière intéressante l’actualité algérienne: «Le Maroc dément, tout en stigmatisant ces accusations algériennes qui ne reposent sur aucun fondement et dénonce les véritables mobiles qui ont poussé l'Algérie, à recourir à de telles allégations au moment où elle vit une conjoncture très délicate psychose interne.

    Le décrit des archives secrètes...La France, par ses services diplomatiques, mais aussi ceux du renseignement, a établi preuves à l’appui que les allégations algériennes sont infondées et constituent une fuite en avant du régime. Le Maroc, tout comme la France, a assisté à partir du 19 décembre 1978 à cet appel à la mobilisation générale qui rappelle la situation de l’Algérie le lendemain de la guerre des Sables en 1963 et le cri mensonger d’Ahmed Ben Bella: «Hagrouna lamrarka» (Les Marocains nous ont humiliés).

    C’est dans le contexte de la maladie et surtout du décès de Boukharouba que le régime d’Alger a su trouver, comme à l’accoutumée, un ennemi extérieur, encaissant que des gifles géopolitiques de plus, pour son régime isolé, paranoïaque, impulsif et qui a perdu à la fois sa boussole et toute crédibilité aux yeux du monde.

    La lettre qui mène vers le Polisario...L’objectif de cette invention fut celui de s’entourer du soutien des pays amis d'Alger et surtout d’attirer l’attention de l’opinion internationale sur la question du Sahara Marocain en faisant le parallèle entre le prétendu largage d’armes et «l’agression Marocaine» contre ses Sahraouis de Tindouf.. Il serait donc intéressant de faire une comparaison entre l’autodétermination du Polisario et celle de l’Algérie d'avant 1962.

    La presse Marocaine a dénoncé le complot algérien visant à camoufler une situation interne marquée par une lutte larvée pour la succession. Le journal, al-Mouharrir, parlait quant à lui, de :

    «Le Maroc, qui a toujours agi et qui s’est toujours comporté en conformité avec l’éthique qui doit régir les rapports entre États, ne saurait recourir à de tels procédés. Bien plus, c’est le Maroc qui n’a cessé de subir et de stigmatiser les agressions répétées menées contre lui à partir du territoire algérien.»  

    Ce que je crois : «le moment n'est pas propice à la stabilité régionale» tant que l'Algérie est soumise aux ordres militaires, en raison de la situation actuelle qui n'enfante que l'instabilité politique en Algérie, contre des positions favorables de beaucoup de pays qui soutenant, l'intégrité territoriale Marocaine.

    Il s'est avéré, rappelons-le que l'Algérie est très intéressée, après la réinsertion du général Toufik à commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet maléfique, visant à porter atteinte à autrui, par menacer, intimider et inciter ses jetons à l'étranger, à la persuasion  à commettre des actes terroristes, à l'instar du terrorisme Algérien, ayant causé la mort de touristes Espagnols à hôtel Asni-Marrakech en 1994, 

    Attention au fou! : En tout état de cause, nous Marocains, nous sommes condamnés à percuter que de l'animosité et l'hostilité de l’Algérie de sales bottes, tant que son régime persiste à soutenir le diable pour ne pas se faire tomber et y rester aux commandes au détriment d'un peuple opprimé.

    Je dirai en fin de compte que cette Algérie, par sa frivolité constante, a privatisé toutes les merdes à son profit, en tant qu'entité de mal dans la région méditerranéenne et nord Africaine, créant, ici et là, par l'effet de sa saleté de tabac à chiquer, des conflits aléatoires.

    Nous Marocains par contre, nous ne sommes pas nés en 1962, nous avons eut, heureusement, le privilège divine, d'avoir assuré nos places sous l'ombre d'une Monarchie ancestrale, ce qui nous permettait de vivre et revivre l’âge d’or de la Dynastie Alaouite, contraints de regretter le manque de crédibilité et de sagesse!, chez les locataires de l'écurie d'AlMouradia d'Alger.

    Mais quoi qu'il en soit, le Maroc ne toléra jamais le comportement inéluctables de voyous ou de supporter davantage les conneries d'un voisin fou, très embêtant. Et ainsi, le monde fera connaissance avec le vrai Maroc, et non avec une divagation ponctuée de coups d’injures diverses».  Bonne lecture.

    L

                                                                     Cordialement, Chihab25

                                                                   ----------------------------------------------------------------------------

                                                                                     Portrait de monsieur Abdellahi, caïd de Tindouf. 

                                                                                                      Caid Abdallah Ould Senhouri,