Algérie : N'est-il pas concevable de corriger la mentalité de mal Algérienne et l'appeler à se raisonner!
Panique au haut niveau...Les officiels algériens aient coupé une fois pour toutes la « ligne de retour » avec le Maroc et les Marocains, et ont donc choisi un langage dérivé du dictionnaire de la satire, avec lequel ils calomnient leurs voisins, en la promotion de l’inimitié dénoncée par le sang partagé et les liens de la géographie, de l’arabisme et de l’amazighité.
Dans ce contexte, ce que font presque quotidiennement les chaines de télévision algériennes, à travers leurs journaux d'information et leurs émissions dialoguistes, s'inscrit dans ce contexte. Quiconque a vu il y a quelques jours un reportage présenté à la télévision algérienne a cru que le pays de soi-disant d'un «million de martyrs» vivait une guerre brutale avec son voisin le Royaume d Maroc, qui l’a soutenu dans la guerre d'Algérie.
La télévision-écurie Algérienne a profité de l'anniversaire de la récupération par le Maroc de son Sahara Marocain depuis 1975, dans le cadre d'un processus de paix «Marche verte», pour diffuser un commentaire qui a été suivi par de nombreuses personnes, dont l'auteur de ces lignes. - tout cela était une attaque contre les 350 milles Marocains qui ont participé à cet événement historique, un millier de personnes, comme le commentait la télévision-écurie Algériennes, les décrivant comme : «des mercenaires, des affamés, des pieds noirs, des agents et des restes de colonialisme Français!» sic.
Par contre, il n’a jamais été prouvé que la télévision, ni même les médias officiels Marocains, aient adressé des propos aussi intenses contre le peuple algérien, voire contre un quart d’entre eux. Au contraire, il tient à adhérer à l’éthique du travail médiatique et de diffusion contrôlés par la HACA. «Haute Autorité de Contrôle Audiovisuel».
Alors que les réseaux sociaux constituent un vaste champ d’affrontements verbaux entre Marocains et Algériens, se disputant lequel d’entre eux est le plus satirique, en l’absence de tout contrôle, frontière ou éthique. C'est le fléau du chaos créé par les soi-disant «médias de l'Algérie nouvelle», qui ne sont hantés que par l'obsession du profit militaire et de casernes !
Mouvement inapproprié...Ce qui est drôle dans le traitement des questions Marocaines par la télévision algérienne, c'est qu'elle se concentre sur des évènements et manifestations sociales à caractère de droit de l'homme, qui ont lieu dans de nombreuses villes Marocaines, notamment à Rabat, estimant que ces soi-disant, scènes de protestation ne font que fausser le Maroc et l'embarrasser devant le monde. (Le chameau, disait le proverbe Marocain, ne voyait que la bosse de l'autre et pas la sienne!).
Par ailleurs, les responsables des médias officiels algériens ne savent pas que le Maroc dispose d'une société civile active qui a des positions audacieuses qui critiquent, ouvertement le gouvernement et le pouvoir en général. Il est donc tout à fait normal qu'il y ait des manifestations pour réclamer le redressement d'une faille de l'exécutif, ou pour dénoncer la détérioration des services dans une région ou dans une autre, ou pour protester contre le clientélisme et le népotisme, ou encore, pour appeler les autorités Marocaines à fermer le bureau de liaison d'Israël à Rabat.
Les médias propagandistes algériens s'étonnent de l'ampleur de ce mouvement social, politique et des droits de l'homme au Maroc, sans répression aucune, car ils ne le connaissent pas dans leur pays et ne sont pas en mesure de rendre compte des manifestations et des revendications en matière de droits de l'homme, ni des positions honteuses d'opposition à la caserne.
C'est là que réside la différence. Le citoyen Marocain s'exprime avec critiques et revendications et descend librement dans la rue pour le dire. Ses positions trouvent un écho auprès des hommes politiques, des juristes, des professionnels de médias, et auprès de tous ceux qui travaillent dans les secteurs du droit légal. En d’autres termes, il existe au Maroc un fort dynamisme de la société civile, rarement constaté au niveau régional, surtout en Tunisie de Kaiss et en Algérie des militaires.
Même les violations qui peuvent parfois survenir en raison d'un usage excessif du gouvernement sont dénoncées par d'honnêtes militants des droits de l'homme, des blogueurs, des professionnels de médias et des hommes politiques, comme cela s'est produit récemment dans le cas d'un faux journaliste-bavard (Hmd Mhdw) qui s'est habitué à visiter, de temps en temps, sa cellule qu'il a marquée à Casa-Ôkacha par ses vulgarités et diffamations portant préjudice à autrui, s'appuyant, pour s'expliquer, sur le plus courant terme populaire : (A-kh'khoti Lamgharba!).
Oui à la liberté d'expression, mais pas par excès !. Un exemple plus marquant...les Marocains se disputent en paroles vulgaires (un simple jeton contre un ministre de rue). Les autres, les plus sages n'en manquent pas. Ils prennent de la peine, prouvant la Marocanité telle quelle, construisant l'avenir, projetant au progrès et à la grandeur du pays.
L'aridité mentale... Les mentalités Algériennes, est-il possible de les remanier? L'ICG (Groupe International de Crise est une ONG qui œuvre pour la prévention et la résolution des conflits armés) a révélé dans un nouveau rapport sur les relations Algéro-Marocaines que l'Algérie est de plus en plus isolée, surtout au cours de l'année 2024. Le rapport confirme son isolement aux niveaux international et régional.
Le rapport considère qu'au cours des dernières années, le Maroc a adopté des positions plus décisives en matière de politique étrangère, car sous le règne de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, le Maroc a renforcé son influence régionale et élargi ses relations internationales, tandis que l'influence de l'Algérie a décliné après avoir été considérée primordialement en «Etat voyou», dont l'autorité est volée par des militaires commandant aux sales trillés.
Le rapport considère que l'Occident a rencontré de grandes difficultés dans ses efforts diplomatiques avec l'Algérie des militaires, car il a suspendu la médiation entre le Maroc et l'Algérie, ainsi l'Espagne et la France ont tenté d'équilibrer leurs relations, mais ont finalement pris le parti du Maroc et ont exprimé leur soutien à la solution Marocaine autour du conflit du Sahara.
Ainsi, le Maroc a réussi à exploiter le déclin de l’influence de l’Algérie dans la région du Sahel pour proposer de construire une autoroute reliant cette région au Sahara sous souveraineté Marocaine par le plan-phare du Maroc, devant relier les pays enclavés du Sahel à Atlantique, avec empreintes d'optimisme et de vigilance qui règnent au profit et bienfait pour la toute la région..
A Alger on perd de la boussole et on danse la danse du coq abattu. Les Algériens ont vécu le pire de casernes et voyaient leur pays brisé, dans lequel la corruption a ravagé toutes ses institutions et administrations fragiles, du fait que la majorité de leur peuple misérable a commencé à se nourrir d'ordures et à se battre pour les restes d'excréments de vieux généraux. Une vidéo qui en témoigne a été postée en internaute.
Le régime d'Alger, malgré toutes ses pertes et ses échecs humiliants à tous les niveaux, il se vante, sans honte aucune, d'exiger à la communauté internationale la «réforme du Conseil de sécurité» qui à chaque frivolité Algérienne de diplomatie gifle par refus, toute suggestion maladroite d'intervenant Algérien, qu'elle soit sur le Maroc ou sur Israël! .
Lors de sa présidence d'une réunion de l'Assemblée générale des Nations Unies consacrée à l'examen de la question de la représentation équitable au Conseil de sécurité et d'autres questions, le représentant du régime d'Alger auprès de l'ONU, a affirmé via son ambassadeur que «le monde a beaucoup changé et le Conseil de sécurité de 1945 doit en faire autant».
L'incompétence des généraux, comme celle menée par le clownesque ministre aux Affaires mensongères Ahmed Attaf, avant le sommet arabo-islamique, où il a proposé d'imposer un blocus total à Israël, ce Attaf (gravure) s'est empressé de réfuter, offrant des justifications fragiles à l'opinion mondiale, exactement ce qui s'est passé devant le Conseil de sécurité.
Alors que le nain diplomatique Algérien à L'ONU (Ammar ben Jameh) se disputait avec les cinq permanents du Conseil, comme un singe nu devant «des lions féroces», et il se croit égal à eux,. Les jours montreront la taille du système Algérois qui ne brille que dans la danse d'un coq abattu et à se contracter ici et là, ne sachant pas, éventuellement, où portera le coup final, venant surement, de l’influence grandissante Marocaine qui est, de plus en plus présente sur la scène Mondiale, et jouant le rôle clé d'un Royaume crédible et pacifiste, apparaissant de plus en plus, en première ligne Africaine, laissant hurler, à la traine sa folle-voisine l'Algérie.
Une posture guerrière..? Depuis quelques mois, l’Algérie a décidé et choisi de se placer dans une situation quasi pré-conflictuelle avec le Maroc. Face à une situation due aux pillages des ressources de l’État, à la gabegie et à l’incompétence, ceux qui dirigent le pays depuis 1962 sont politiquement et socialement acculés. Voilà pourquoi ils ont choisi la fuite en avant à travers des postures guerrières. Depuis quelques mois, l’Algérie a décidé et choisi de se placer dans une situation quasi pré-conflictuelle avec le Maroc. Les raisons de cette politique aux dangers immenses sont multiples.
La raison tient aux équilibres internes du pays qui est déchiré par une féroce guerre de clans. Aussi, afin de maintenir un minimum de cohésion entre ces derniers, quoi de mieux que de dénoncer un prétendu péril extérieur? autre raison est que, si le «Système» algérien a artificiellement triomphé du Hirak, ses dirigeants n’ignorent pas que le climat social est toujours, et même de plus en plus explosif. Plus encore, le «régime-système» avait perdu toute légitimité, le pays est dirigé par des vieillards dont la seule «légitimité» est d’avoir lutté, parfois d’ailleurs en imagination, contre la présence française entre 1954 et 1962.
Dans ces conditions, une politique de tension et des discours guerriers à l’encontre du voisin marocain ne seraient-ils pas un bon moyen de museler les oppositions? En effet, comme à toute critique, la réponse est l’accusation de trahison, toute voix discordante doit se taire si elle ne veut pas connaître la prison. Voilà qui permet donc d’instaurer, au nom du «patriotisme», un véritable système dictatorial.
«Une politique de tension et des discours guerriers à l’encontre du voisin Marocain ne seraient-ils pas un bon moyen de museler les oppositions?».
Voilà pourquoi ils ont choisi la fuite en avant à travers des postures guerrières, espérant ainsi rallier autour d’eux une population qui ne leur fait plus confiance. Mais ce faisant, ils ne font que reculer le moment où la vague de fond populaire finira par les balayer. Il ne leur reste plus qu’à espérer et à prier pour ne pas réveiller le général Driss Ben Omar de sa tombe et pour que leur propre survie ne débouche pas sur un conflit dévastateur dont, aux yeux de l’histoire, ils porteraient toute la responsabilité.
Le voyou perd ses nerfs...Ce serait la première fois dans l’histoire de cette région qu’un État déclarera la guerre à un voisin qui tend la main et prêche la paix et la bonne coexistence. Le peuple algérien n’est en rien concerné par la névrose de généraux obsédés par notre pays, sa culture, sa diversité et ses succès. Alors, une guerre pour se défouler? Ce n’est pas sérieux.
Nos amis-ennemis algériens redoublent de férocité en voyant les images de la visite à Laâyoune et à Dakhla de Christophe Lecourtier, ambassadeur de France au Maroc, accompagné d’une délégation importante dans le domaine économique, industriel et culturel. Ce voyage s’inscrit dans la nouvelle politique du président Macron. Les percées diplomatiques du Maroc rendent hystérique le régime d’Alger.
S’il s’aventure à déclencher une guerre contre notre pays, il serait doublement ridicule et criminel. Ce serait la première fois dans l’histoire de cette région qu’un État déclarera la guerre à un voisin qui tend la main et prêche la paix et la bonne coexistence.
Le peuple algérien n’est en rien concerné par la névrose de généraux obsédés par notre pays, sa culture, sa diversité et ses succès. Alors, une guerre pour se défouler? Ce n’est pas sérieux. Le pire quand il s’agit d’une personne atteinte de troubles mentaux, c’est qu’aucun psychiatre ne peut la guérir. Car cette personne est mille fois persuadée qu’elle a raison et que ce sont les autres qui sont malades. C’est triste.
Que des conneries-dz... Il serait fort indispensable de rappeler davantage à ces cons d'à-côté : Que le Maroc ne pourrait être le -pain béni- facile à manger ou à digérer par l'Algérien quel qu'il soit, du moins par les obscurantistes Algériens, qui ont noyé les réseaux sociaux de propos insultants à son encontre.
Le Maroc est fort, capable de taper du poing, pas que sur la table, mais aussi sur la sale gueule Algérienne, défendant sa Souveraineté contre toutes les «meutes enragées». Le concret pour moi, en tant que rédacteur en chef du blog :
Je conclu par cette émotion, car un sale Algérien voulait me rappeler à l'ordre, me demandant, selon sa mauvaise conviction, de laisser l'Algérie tranquille, se vantant que cette entité «Est le pays d'un million et demi de cons, pour ne pas dire, de Martyrs».
A propos, leurs soi-disant martyrs sont encore en vie, si on croit un ancien ministre Algérien (Abderrahmane Bel'ayat) qui appartient aux premiers régiments du FLN qui vivaient gracieusement en Algérie, tirant profit des immenses privilèges que leur offrait leur position au sein du parti unique FLN, qui disait en conférence, devant un parterre de dingues Algériens, je cite : «Pour se confirmer du conte et de ce que je dis des revers de la guerre d'Algérie contre la France, demandez-le aux martyrs, ici présents dans la salle. Voyons, un ministre, censé être à la hauteur de son poste, employait des termes hors normes, en conformité avec sa frivolité qu'Algérien.
«Le Royaume Chérifien Alaouite» malgré la haine et l'hostilité Algérienne, est en passe de haute transition, entre traditions du passé glorieux et une modernité d'envergure en continu. Laissant en contre partie, la liberté dans toutes ses dimensions, profanée par les influenceurs sans scrupules dans ce pays de mal qui nous embête depuis sa création inappropriée en 1962!.
Peu importe, la réalité et la crédibilité de paroles responsables qui comptent à présent pour en bénéficier du respect de tout le monde. C'est le cas du Maroc, Dieu merci. Les relations entre la caserne Algérienne et le Royaume resteront taches noires dans l'histoire contemporaine. celle du dernier coup de clairon d'imposition de visa. Une position humiliante pour l'«Algérie elle-même» en tant qu'entité d'ennuis et de conquête de mal, devenue symbole de sujétion bien au-delà de son existence qu'Etat normal.
Une gratitude méritée : Je me rappelle de quelques chroniques indépendantes, émanant de haute culture politique, pour dire tout simplement que l'auteur est bien Mr. Bernard Lugan, l'historien et l'écrivain Français, un vrai, avec qui nous sommes sur la même longueur d'ondes en ce qui concerne la folie Algérienne. Merci à lui qui nous aide à dévoiler les maux qu'utilise le régime algérien pour salir le Maroc. Sachant que c'est son ressort de se venger, depuis la gifle de la guerre des sables en 1963 à celles des Amgala, ayant humilié, la racaille de (Hitistes) qui se dit vachement, forte et imbattable.
Face au blocage du système Ben Battouche, certains pays Latino-Américains, qui ont dégusté auparavant le pétrodollars Algérien pour y convoitaient les conneries Algériennes contre la raison, pensent déjà, avec insistance de sortir du cauchemar Algérien et quitter le rang hostile à la Marocanisation du Sahara.
Nous avons vu, en parallèle et nous continuons à voir, le commis d'exécution (Bourita) s'activant, silencieusement, dans les coulisses, arrivant avec succès à libérer certaines brebis galeuses du gouffre mensongère Algérien. Dernière en date, l'abas de loin «le Panama» et ça va continuer jusqu'à dissipation d'envie anti-Maroc menée, vainement, par Alger et ses acolytes corrompus, en particulier, malheureusement, le pays de Nelson Mandela..
On s'en vante pas au Maroc, nous apprécions bien les termes, et ne nous oublions jamais ce qui était dit et entendu de feu Sa Majesté le Roi Hassan II que Dieu ait son âme, qui disait avec interrogation significative : «Nous demandons pas au monde de reconnaître la Marocanité du Sahara, mais de voir avec qui le Bon Dieu nous a choisi en voisinage!». Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25
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En Algérie, les caporaux défendent, verbalement, les droits des peuples et laissent leur peuple se battre dans fils d'attente pour une baguette de pain et un sachet de lait. Preuve à l'appui, regardez!