Maroc-Algérie: Quand la junte d'Alger touche le fond de l'abïme de sa politique et endosse ses merdes..!
le concept visuellement trompeur
P'tit hors-d'œuvre... Cette anecdote est une énième spéciale, à ne pas minimiser! Ceci ne s'agirait pas d'une escapade, d'une fuite en avant ou de ce qu'a été évoqué par les protagonistes Français des prochaines législatives anticipées: «Sacrifier la Reine, protéger le Roi». Il s'agit tout simplement de détecter et de suivre les bonnes allées pour y arriver à destination.
Tout d'abord, avant de passer au vif du sujet, n'oubliant pas l'essentiel. Parlons toujours de la saleté Algérienne et de ce qu'on mijote là-bas à la haute spirale de commande des caporaux. A savoir en bref, l’ex-DRS se réinstalle en force et dépouille Tebboune de tout pouvoir avant de lui permettre de briguer un second mandat.
Les officiers protagonistes de la décennie noire des années 1990 ont mis à profit le premier mandat de Tebboune en assassinant l'ennuyeux inhumé-général Ahmed Gaid Salah et ce pour reprendre les mêmes rênes du pouvoir politico-militaire et mener une autre scène d'intimidation et d'incitation الترغيب و الترهيب, voire de pression et de réglement de compte par liquidations physiques.
Après une traversée du désert de cinq ans, et suite à la grâce décrite pour tous en 2015 et le retour d'honneur réservé aux généraux -l'inhumé Khaled Nezar et Mohamed Médiene, alias Toufik du DRS qui, dit-on de l'étranger, avoir étaient, hors état de nuire. Cette machine à dévorer, redémarre à nouveau, avec un élan sanguin, reprenant en main tous les services avec le même prédateur, qui n'est que son ancien chauffard Toufik.
Ce DRS-bis selon des sources concordantes, via la presse jaune Algérienne, vient ainsi de boucler la boucle avec la récente nomination du général Nacer El Jen à la tête de ce qu'on appelle, la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) pour s'en prendre aux Algériens et rendre leur vie rythmée de peur, d'angoisse et de toutes les merdes.
L'absence à l'appel du général-pisseur Chengriha qui par ses sorties médiatiques spectaculaires contre le diable et contre le Maroc, que créer du chasse-poussière dans les urinoirs de l'Algérie, tant qu'il est le pisseur gouvernant l'Algérie, tandis que le clan prédicateur s'active en coulisses, pour l'écarter de toute gestion au nom de l'Etat, ou du moins pour l'affaiblir, en attente d' éventualités à venir à l'horizon du 2ème épisode théâtral de la présidence prévu en septembre prochain.
Clap de début...L’écriture est un doux vice et une addiction. Une fois qu’on y goûte, difficile de s’en défaire. Écrire permet de se réfugier dans un monde sécurisant, apprendre, satisfaire sa curiosité, s’informer, partager…
C’est se sentir obligé d’informer, dénoncer, sensibiliser, espérer faire changer les positions face à une cause, une injustice et d’attirer l’attention sur un fait, et aussi, et c'est important, pour sensibiliser les opinions publiques, faisant agir, em même temps, ceux qui décident en son nom.
En 2006 et par esprit vivant pour y produire des écrits , j'ai décidé d'obtempérer et d'aller en avant, quittant définitivement les rooms de bavardage du «Paltalk», laissant ce lieu inapproprié d'engloutir, accueillant tout venant!. C'était à un endroit de soupirs et de vulgarité.
Je n'aime pas l'odeur de poudre ni de propagandes et de mensonges de la folle voisine (Algérie)..C'est pourquoi, je me réjouissais d'user de ma liberté totale pour m'exprimer, à n'importe quel endroit et devant qui se soit.. Je ne rêve pas de remporter le sacre, mais je dirai quand même avec responsabilité (lli issal, iji yakhloss .لل يسال ايجي يخلص). Nous n'imitons pas dans ce sens Tabboune dans ses extases et contemplations alcoolisées.
En tant que simple apprenti en analyse, j’ai toujours été frustrée par le manque de supports d'articles et de sujets qui pourront interpeller l'opinion publique Marocaine. Faire de la recherche, publier des résumés de livres, nécessite trop d'efforts de labeur, d'engagement, de concentration ininterrompue et de sacrifices qui ne se soldèrent pas par satisfaction, puisque le nombre de lecteurs Marocains était souvent dérisoire. Les visites en continu ne dépassant pas les pronostics préconisés. Regardons au bas de colonne droite le chiffre marqué de visiteurs depuis la création du blog en 2006.
J’ai décidé donc d'apporter mon petit grain de sable pour faire éveiller les mentalités ne connaissant pas l'ingratitude et le venin de ceux, qu'on croyait frères. Mais ces soi-disant frères sont, au contraire, que des voyous, rassemblés par la France, pour y constituer un peuple sauvage, dans une Algérie Française. Mais la cible de leur attitude néfaste reste limitée et le restera à jamais, tant qu'il y a une junte de sales-caporaux, dit-on apolitiques aux commandes, mais qui préfèrent s'émerger, nager, hors casernes, et s'embourber dans les boues.
Écrire c'est être influent... Influent, je veux dire par ses idées. .Avec l’avènement d’Internet et sites électroniques, il me semblait indispensable de m’y introduire. Un article hebdomadaire n’est pas facile. Un stress qui motive et permet de relever le défi d’être présent continuellement. Quel thème aborder? L’actualité donne des sujets du moment, nationaux ou internationaux. Sinon, il faut fouiner dans le social, le culturel, le politique, l’évènementiel pour présenter aux lecteurs des thèmes attractifs et bénéfiques. Sachant que :
-Écrire des articles une fois par semaine ou par quinzaine, c’est rester accroché à la réalité quotidienne, étalant au profit de mon lectorat, ce que je connais d'entêtement, de haine et d'hostilité que porte la voisine de mal d'à côté, qui n'hésitait pas de jeter, à la largeur du mur, la générosité Marocaine d'autrefois qui la couvert pendant ses peines de lutte pour l'indépendance.
-Écrire est aussi inscrire dans la mémoire des pratiques, des coutumes, des rituels qui risquent de tomber dans l’oubli. C’est sublimer et valoriser des éléments de la culture. C’est partager des émotions avec les lecteurs, de l’humour et de l’autodérision pour attirer l’attention sur des paradoxes ou des dysfonctionnements.
Le sentiment approprié qui m'intrigue...C'est quand on m’arrête sur un lieux public pour me complimenter. Moins souvent pour me reprocher d’être injuste avec ce que je publie sur l'Algérie…Un homme en colère, mais courtois, m'avait interpellé dans une grande surface quelque part : «Vous écrivez sur la haine et l'hostilité de la frivolité Algérienne est toxique? dont le Royaume fut la principale et unique victime!».
Un autre individu m’a demandé d'arrêter de détruire la fraternité et la cohabitation du voisin, ayez la bonne raison dans toute conte concernant l'Algérie.’ Souvent, on m’arrête en plein boulevard pour me proposer des sujets. Des personnes se confient à moi. Ce qui enrichit mes articles, car je n’invente rien, je lis et je questionne mon lectorat par les thèmes choisis. On m’a demandé, à cet effet d’enregistrer mes articles dans un livre pour permettre un accès plus facile que par la lecture.
La sauvagerie Algérienne dénoncée par mes articles sur l’anarchie sévissant, la mendicité, et la procréation des enfants de la rue en Algérie ne sont pas bien appréciées par tout visiteur s'arrêtant, accidentellement au blog. C'est une honte avec toutes ses dimensions dans le pays du "Grand nez" qui ne sent que la pourriture.
Inédit de l'ingratitude...C'est le concept Algérien. La société Algérienne est tout simplement un bordèle sur terre, couvert de slogans vagues et fâcheux, faisant l'objet, avec préméditation de trop de citations rigolades. Son président n'est qu'un crieur public, à étiquette ne correspondant pas au réel de l'Algérie, telle que ses fameuses citations...«Tout le monde reconnait l'Algérie...l'Algérie est la force de frappe!».
L'Algérie doit dire "Merci" à la colonisation Française..!(B.Lugan) «Aucune force spirituelle n’est susceptible de s’opposer à sa barbarie, ni d'aujourd'hui et de demain, mais aussi de toujours». Et en tous cas, laissons la rédaction du blog remuer un peu l'histoire contemporaine pour dévoiler l'expansionnisme de l'Algérie qui vient de naitre à nos côtés..!
À travers son soutien à son Polisalgérien, elle tente vainement, à la fois de s’ouvrir un débouché sur l’océan Atlantique, et d’empêcher le Maroc de redevenir une puissance Océano-Africaine.
Merci au lectorat qui m'accompagne avec assiduité, me donnant de la matière par commentaires ou m’abordant directement. Merci à «-Hautetfort-» pour son amabilité d'héberger 'gratuitement' mon blog, lui préservant ainsi, une tribune à large surface pour me faire entendre régulièrement.
Un Site dit d'Intelligence, citant des sources militaires algériennes, a révélé une tentative d'assassinat ratée de Chengriha avec un engin explosif caché dans une voiture garée sur sa route. L'engin qui était mal programmé, a explosé juste après le passage du convoi Chengriha. Cela a provoqué une collision, suivie d'un incendie qui a fait six morts.
Alors que les autorités algériennes gardent la confidentialité pour qu'aucune information à ce sujet ne soit divulguée, étant que cela pourrait ébranler l’effondrement des services de sécurité algériens, provoquant des luttes entre clans au sein du pouvoir.
Selon ce site, de profondes divisions menacent la racaille-armée. Des factions remettent déjà en cause le jonglage autoritaire de Chengriha et son mise à bas absolu tout le pays. Les officiers fidèles au régime ont commencé à exprimer leur mécontentement, faisant craindre d’éventuelles désobéissances au sein de l'armée.
Pendant les 4 années écoulées, le régime se fut dirigé, sous table, par Chengriha qui a réprimé toute forme de dissidence et de protestation, imposant un état de peur et de silence dans tout le pays. Les arrestations arbitraires, la torture et les disparitions forcées sont monnaie courante, tandis que les libertés civiles et les droits de l'homme sont violés au nom de la sécurité de l'Algérie et de la stabilité du régime.
Ecrire pour le plaisir...L’écriture est un doux vice. Une addiction. Une fois qu’on y goûte, difficile de s’en défaire. Écrire permet de se réfugier dans un monde sécurisant, apprendre, satisfaire sa curiosité, s’informer, partager…
C’est de se sentir obligé «d’informer, d’attirer l’attention sur un fait, dénoncer, sensibiliser, espérer faire changer les positions face à une cause, une injustice». C'est aussi, pour éveiller les opinions et faire agir ceux qui usurpent la toile, désireux d'en profiter de ce qu'ils n'ont pas vécu durant leur courte histoire sur terre».
Je n'exagère pas, si je m'en aventurerai dans ce sens, qui n'est pas le mien, et qui censé, généralement, être sans équivoque le domaine d'experts en écritures et en analyses. Mais quand même, je suis fier d'y aller en avant, comme apprenti, face à un public que je connais pas!.
Tenu en 2006 par la tenaille, d'une exceptionnelle volonté personnelle, après avoir quitté le –Paltalk-, un lieu fréquenté par tout venant d'un monde qui, va et vient, d'ici et d'ailleurs, sans ne rien dire, si non que pour s'enchainer et se déchainer, dans la plus part de son temps dans la vulgarité.
Je me dis de bonne foi, pourquoi pas se convertir en conteur et produire une chronique au fils de dix à quinze jours et atteindre au maximum, le grand public internaute, par ma curiosité d'écrire. Convaincu, mais l'enthousiasme a cédé la place à l’angoisse de ne pas assumer la trajectoire adéquate, plus au moins satisfaisante au lectorat!.
Écrire des articles, c’est rester accroché à la réalité quotidienne, étalant au profit de mon lectorat, ce que connais en pratiquant ce que je crois de l'entêtement, la haine et l'hostilité que porte la voisine de mal d'à côté, qui se tenait à nier carrément, la générosité Marocaine qui la soutenue pendant ses peines de libération. J’ai apporté mon petit grain de sable pour faire évoluer les mentalités de ceux, ne connaissant pas l'ingratitude, voire le venin de ceux, qu'on croyait vachement, des frères.
Mais qu'ils sont, au fait, que des voyous, rassemblés, de toutes part par la France, pour y constituer un peuple sauvage, dans une Algérie Française. Mais la cible de leur attitude reste limitée et le restera à jamais, tant qu'il y a une junte de caporaux trompée en vanité et nage dans les boues politiques.
Avec l’avènement d’Internet et des sites électroniques, il me semblait indispensable de m’y introduire. Un article hebdomadaire n’est pas facile. Un stress qui motive et permet de relever le défi d’être présent tous le temps. Quel thème aborder? L’actualité donne des sujets du moment, nationaux ou internationaux. Sinon, il faut fouiner dans le social, le culturel, le politique, l’événementiel… pour présenter aux lecteurs des thèmes attractifs bien bénéfiques.
L’écriture est un doux vice. Une addiction. Une fois qu’on y goûte, difficile de s’en défaire. Écrire permet de se réfugier dans un monde sécurisant, apprendre, satisfaire sa curiosité, s’informer, partager pour toucher trop de lecteurs…
C’est se sentir obligé d’informer, d’attirer l’attention sur un fait, dénoncer, sensibiliser, espérer faire changer les positions face à une cause, une injustice. Pour sensibiliser l’opinion publique et faire agir ceux qui occupent les lieux et les cabinets de conte, pour soutenir et encourager l’engagement et les actions de la société civile.
Écrire, c’est aussi oser livrer ses idées et ses prises de position au public, à ses risques et périls! Il faut accepter la critique et étouffer son ego.Écrire en toute liberté, mais en respectant une certaine éthique. Il m’arrive de me censurer pour ne pas choquer inutilement, ne pas créer de scandale inutile, juste pour faire le buzz.
En tant que tel, j’ai été frustré par le manque de supports d'articles et sujets qui m’interpellent. Faire de la recherche, publier des résumés de livres demande des années de labeur. Un engagement et concentration ininterrompus, des efforts et des sacrifices qui ne se soldèrent pas toujours par satisfactions, puisque le nombre de lecteurs est dérisoire.
Mais parfois, les oreilles restent sourdes ou les faits dénoncés ne peuvent être réglés dans le court terme, tels mes articles sur l’anarchie sévissant en général en Algérie qui, avec son pétrole et son gaz n'arrive pas à éradiquer la mendicité, les files d'attente pour des futilités quotidiennes, ni stopper la procréation illégale des bâtards de la rue…
Souvent, ceux suivent mes articles avec assiduité,, m’arrêtent dans la rue, se confient à moi pour me proposer des sujets . Ce qui enrichit mes articles, car je n’invente rien, je lis et je questionne virtuellement le lectorat et les personnes concernées par mes thèmes choisis. La totalité de mes écrits ne dépasse pas ce qui est marqué par le compteur de visites en continu depuis création en 2006 (voir en bas de la colonne droite du blog).
On m’a demandé d’enregistrer et consigner mes articles dans un livre pour permettre un accès plus facile par la lecture. Je n'ai pas pu arriver à ce stade, car produire ou éditer un bouquin qu'il soit au Maroc, c'est cher, voir trop cher même, étant que le monde de la culture d'autrefois disparait au petit feu, faisant des maisons d'édition en guetteurs d'opportunités et de commerce.
Les autorités d'Alger ont préféré supplanter toutes les grandes réalisations du Maroc, surtout, celles de Tanger-Med. Un d'eux se posait amèrement la question suivante qui intrigue les sages du pays : « Si des millions de touristes venaient en Algérie, où combleraient-ils leurs besoins naturels? ou plutôt où vont-ils uriner?».
On lui répondait volontiers par cette connerie-dz : «inauguration solennelle d'un WC en pleine air». Et c'est, spécialement, la clef magique, permettant à l'Algérie d'entrer dans l'histoire d'innovations, surprenant le monde par une réalisation inédite (photo), tout en minimisant en parallèle, selon sa mentalité concurrentielle de frivolité, toutes les fabrications de pointe, surtout d'avions, de voitures, et d'autres secteurs névralgiques portant l'empreinte de particularité.. «Made In Morocco».
Tandis que pour se soulager au très bas niveau, Tebboune, durant ses moments de distraction se plaint de l'incapacité de l'Algérie de produire ses légumineuses (Pois chiche, aille, haricot et de pavoiser ses fils d'attente.
Pour apaiser l'ampleur des progrès Marocains, Tebboune insistait à désigner le Maroc comme un simple «gonfleur de pneus» et pas autre chose de particulier pour se positionner en leadership face à son Algérie. Il persiste et signe que son Algérie est, sans équivoque, la force de frappe, de fièrté et de dignité que tout le monde reconnait.Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25
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