Algérie-Cocaïne : la tentative de contrebande de 701 kg de cocaïne au port d'Oran en Algérie..!

Le malaise Algérien : C’est une affaire qui avait fait couler beaucoup d’encre et de salive, faisant découvrir «les pots aux roses». La police espagnole avait alerté, en un moment de bonne entente Ibero-dz, ses homologues gardes côtés algériens de quelque chose de surprise et de contrebande se dirigeant, vers l'Algérie. Ces derniers ont alerté à leur tour, les services de sécurité Algériens qui prenaient l’affaire en charge.
Il s'agit d'un énorme cargaison de viandes congelés destiné à un homme d’affaires anonyme jusqu’ici, alerte mise à l'œil du cyclone de la douane Algérienne. Le destinataire n'était que le dénommé «Kamel Cheikhi, alias ElBouchi», pseudonyme de transactions stupéfiantes.
Récit d'archives : Alors, quand le mensonge Algérien prend le pas sur la vérité, nous décidons à la rédaction du blog, dans ce même esprit, de revenir sur les lieux d'un crime de stupéfiant, reprenant à ciel ouvert, son scandale qui a secoué l'Algérie en 2018. L'affaire concernait la saisie au port d'Oran en Algérie de «701 kilos de cocaïne», cachés dans un conteneur de viande congelée en provenance du Brésil à destination d'une société privée en Algérie.
Une vidéo qui dérange à l'écurie d'AlMouradia d'Alger, injectée en internet, montrant Khaled Tebboune, le fils du président à l'intérieur du bureau de ce Kamal Cheikhi. Un scandale sans précédent était déclenche, il avait fait couler, beaucoup d’encre et de salive en Algérie.
C’est à partir d'Alicante en Espagne, où devait s’effectuer le transbordement de la marchandise dans un bateau en partance pour Oran que l'alerte se fut lancée. Le spectre de l'affaire est revenu hanter le pouvoir, suite à la diffusion, en parallèle, d'une autre vidéo, montrant le fils de Tebboune, Khaled, précédemment acquitté après l'accession de son père à la présidence, en compagnie du boucher Kamal Cheikhi, principal accusé dans cette affaire.
L'enquête a révélé le Boucher, principal accusé dans cette affaire qui travaillait dans l'importation de viande congelée, aurait exploité son activité commerciale comme couverture pour trafiquer de la drogue, exploitant son vaste réseau de relations avec de hauts fonctionnaires. Plusieurs fonctionnaires d'ailleurs, ont été impliqués dans la facilitation de ce trafic en échange de pots-de-vin et d'avantages illicites. Tandis que l'influence de Tebboune, en tant que président avait largement contribué à l'exclusion de son fils Khaled de ce dossier épineux.
L'affaire par la suite, a suscité une vive polémique dans les milieux politiques et médiatiques, notamment après l'inclusion de personnalités importantes dans l'enquête, dont le fils de Tebboune, malgré les dénégations du principal accusé quant à toute implication dans cette affaire, les accusations portées contre lui ont soulevé des questions sur l'ampleur de la corruption au sein des institutions Etatiques.
Parmi les corrompus filmés par le boucher, figurait Khaled Tebboune le fils du ministre de l’habitat de l’époque, aujourd’hui président de l'Algérie. L’enquête déclenchée par la gendarmerie, alors qu’elle devait l’être par les services de police, prend une autre tournure. On arrête, Kamel Cheikhi, et quatre autres personnes dont l’un de ses frères et un de ses associés.
Ce scandale a entrainé le limogeage de plusieurs hauts fonctionnaires, notamment du directeur général de la Sureté nationale de l'époque, le général de division Abdelghani Hamel, après que l'un de ses fils, lui aussi a été impliqué dans cette affaire. Les avoirs de plusieurs des personnes impliquées ont été gelés, leurs activités politiques également suspendues et des enquêtes approfondies ont été ouvertes, notamment pour d'autres affaires de corruption immobilière et d'octroi de privilèges illicites.
Khaled Tebboune a été acquitté de toutes les charges retenues contre lui dans cette affaire de drogue. Le 26 février 2020, un tribunal d'Alger l'a acquitté des accusations liées à l'octroi d'avantages indus et au trafic d'influence. Lors du procès, il a déclaré avoir reçu deux flacons de parfum en cadeau d'El Bouchi à son retour de la Omra, niant n'avoir eu connaissance d'aucune activité illégale liée à ce cadeau. affirmant, entre autres, n'avoir interféré, ni servi de médiateur en sa faveur dans aucune transaction administrative ou politique.
A noter que l'affaire des 701 kilos n'a toujours pas été résolue, sept ans après les faits et ce par peur de découvrir d'impliquer d'autres noms d'influence aux alentours de l'écurie d'AlMoradia et la racaille-armée. El Bouchi, quant à lui, a été condamné à huit ans de prison ferme, réduits à quatre ans dans une affaire d'octroi d'avantages indus, dans laquelle le maire de -Ben Aâknoun et l'ancien directeur de la police ont également été condamnés. El Bouchi, a été trainé aussi dans d'autres affaires liées à la corruption et à l'atteinte aux biens d'autrui, ce qui portait sa peine totale à neuf ans.
Concluons en bref : Je pourrais dire que : Si le mal-être ne se voit pas dans les pays sous-développés, il parle visiblement de lui en Algérie. Les signes d'alerte existentielles du male Algérien, sont actés dans la plupart des notes en blog. Mais le sourd d'oreilles de ce voisin de mal, désoriente sa boussole presque toujours, le poussant a se diriger davantage vers toute direction préjudiciable à autrui.
Paniqués par leur isolement du monde crédible, les militaires de ce pouvoir s'imposent à leur peuple opprimé, en tant que tels, le contrariant davantage à dessiner et redessiner plus de fils d'attente, en conjoncture humiliante.
Le simple observateur que je suis, je m'interrogeais curieusement : «Comment peut-on faire la différence entre quelqu’un de vraiment cultivé qui est (le Maroc) et quelqu'un qui ne fait qu'aplomber sa frivolité dégénérée par tous (l'Algérie!)»
Je croix, que seuls qui pourront acter la bonne réponse à cela, ne seront que les politologues : Le Français Bernard Lugan et Mustapha Sehimi du côté Marocain, lesquels métrisent par connaissance, les divergences Algero-Marocaines, compétents avérés et en mesures en plus, de faire l’audit de mécomptes Algériens, force est, pour nous Marocains, de négliger par conviction, la frivolité de cette voisine.
Ça veut tout dire que, plus qu'Alger oserait marcher contre courant, pieds nus, se contraignant, par force de raisons, de marcher sur des braises, dont Nacer Bourita ne cesse d'étaler en continu, gardant leur niveau le plus brulant pour griller son homologue Algérien Attaf et ses subordonnés.
Et pourtant, ce régime de mal tente de recycler, ou du moins d'essayer, une fois de plus, son vieux fantasme discréditant, «la Grandeur Marocaine» par des manipulation cousues de fil blanc, éveillant, voire secouant ses apaches bannis, pour s'emparer encore plus du pétrodollars Algérien et d'y maintenir le maximum de bruit contre la caravane Marocaine qui avance et avance, sans se tenir compte des aboies de chiens errants d'Alger.
Pour cela, le Maroc restera vigilant et plus pessimiste, loin de toute opportunité d'optimisme ou de réconciliation avec les ingrats ennemis d'à côté qui, malheureusement, ont perdu toute crédibilité, en l'absence de leurs sages d'autrefois, lesquels savaient bien comment respecter et baiser, même la main généreuse Marocaine qui les a soutenu durant leur peine de guerre de libération.
C’est fini, tout ça avec une Algérie perdue dans des illusions et bafouillée par des sales bottes. Il y a quelques semaines, je suis entré dans un amphithéâtre de rigolade internaute où m’attendait le duo bien entrainé en décryptage de gaffes ou de méfaites d'Algérie. Bien qu'il s'agit d'humour entre As'aad Char'ei, le type qui se comporte en défenseur de la chose Marocaine et l'Universitaire Marocain Abderrahim Manar Selimi qui, au cours d'une séquence de moquerie, rigolaient des failles de Tabboune, jusqu'au point d'imiter le slogan Palestinien courant «Avec Tebboune oppresseur ou opprimé».
Le simple observateur que je suis, je m'interrogeais curieusement : «Comment peut-on faire la différence entre quelqu’un de vraiment cultivé (le Maroc) et quelqu'un qui ne fait qu'aplomber sa frivolité dégénérée par tous! (l'Algérie)». Je croix, que seuls qui pourront acter la bonne réponse à cela, ce ne seront que les politologues : le Français Bernard Lugan et Mustapha Sehimi du côté Marocain, lesquels métrisent par connaissance la chose Algérienne, compétents à faire avec objectivité, audit et analyse des mécomptes Algériens.
Ça veut tout dire : -Que plus qu'Alger oserait marcher pieds nus, contre tout courant, elle se contrainte, par force de raison, de marcher sur des braises, étalées par la diplomatie Royale innovante, plus que son régime, se contraint de marcher sur les braises, dont la diplomatie Royale étale a niveau le plus douloureux aux locataires de l'écurie d'Al Moradia d'Alger.
Les Saoudiens en avaient raison d'exiger aux Algériens de prouver, par certificat médical «leur bonne santé mentale». Regardons bien cette photo en bas, un fou Algérien tendant sa ligne dans la perspective de pêcher du poisson sous un pont d'autoroute en béton. C'est de la folie la plus totale avec des symptômes de souffrance mentale à huis clos qui touche presque tout Algérien!. Bonne lecture.
Cordialement Chihab25
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