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Ce que je crois - Page 24

  • Quand la générosité Marocaine était plus forte que la haine Algérienne. Feu Hassan II demandait la protection de (Boukharouba)

                                                                                                                drapeau-du-maroc-image-animee-0008

     
    feu Hassan II accueillant Boukharouba à Rabat
     

    Au début des années 1970, Sa Majesté feu Hassan II a demandé l’aide des Etats-Unis sous Richard Nixon, pour protéger son homologue ennemi  Algérien Houari Boumédiane. Selon Sa Majesté feu Hassan II  Gamal Abdel Nasser aurait usé de tous les moyens pour prendre le dessus sur le monde arabe, quitte à envisager d’éliminer Boumédiane qui a réussi en juin 1965 un coup d'état blanc contre l'adjudant Ben Bella, devenant de plus en plus, l'élève fidel à Abdel Nasser au point de pouvoir décréter L'Algérie en (mohafadha misrya) 

    Le soutien militaire et diplomatique entretenu entre le Maroc et le Front de libération nationale en Algérie, pendant la Guerre de libération qui a abouti à l’indépendance algérienne en 1962 a laissé place à un froid dans les relations entre les deux pays, en raison des divergences sur la démarcation des frontières.

    Les tensions sont montées de plus d'un cran, jusqu’à la confrontation armée qui a donné lieu à ce qu'on appelle la Guerre des sables, en octobre 1963. Une guerre décrétée vraisemblablement pour déstabiliser le Maroc sous la parapluie de Abdenasser. 

    Pour rappel, les affrontements ont pris fin avec une médiation de l’Organisation de l’union africaine (OUA) et les deux pays ont signé un accord de cessez-le-feu, le 20 février 1964 à Bamako (Mali).

    Ainsi, le 19 juin 1965, Houari Boumédiène, jusque-là ministre de la Défense et vice-premier ministre, a mené un coup d’Etat militaire contre  Ahmed Ben Bella, démis ainsi de ses fonctions.

    Au Maroc, ce changement a été perçu positivement par feu Hassan II, au point que ce dernier a envisagé de tourner la page de ces péripéties à travers une normalisation des relations avec le pays voisin.qui deviendra après un pays d'ingratitude

     

     

    Le Roi appelle à protéger l'ennemi

                                                                                                                                                                                                           

                  Une rencontre sous haute tension

    Les relations entre les deux pays ont commencé à s’améliorer progressivement. En 1969, Boumédiène s’est ainsi rendu au Maroc, où il a rencontré Hassan II à Ifrane. Un traité éponyme a été signé dans la ville, prévoyant l’abandon des revendications marocaines sur les territoires appelé en "orphelinage" le Sahara Marocain  oriental. 

    Selon les récits historiques, le Maroc a continué sur la voie de la normalisation des relations avec l’Algérie, comme en atteste un document daté du 7 janvier 1970, déclassifié par le Département d’Etat américain. Dans celui-ci, Hassan II prévient même d’un possible assassinat visant Boumédiène.

    Ainsi, Sa Majesté le Roi a demandé à l’ambassadeur américain au Maroc, Henry Tasca, de prévenir Richard Nixon et de demander protection du président algérien auprès de ses services de sécurité, en raison des menaces d’un coup d’Etat soutenu de loin par son homologue égyptien, Gamal Abdel Nasser, aidé par son allié libyen, le colonel Mouamar Kadhafi.

    Dans ce contexte, Hassan II a fait part de «profondes préoccupations» face aux danger auquel les pays du Maghreb seraient confrontés, à cause du «nouveau régime militaire en Libye».

    Aussi feu Hassan II a-t-il exprimé ses craintes que la prochaine étape du leader égyptien après son soutien au renversement de la monarchie de Driss Snoussi en Libye soit celle de viser le président algérien,Boukhrouba susceptible d’être remplacé par une «personne plus malléable au sein des dirigeants arabes».

    Dans la même vision Royale feu Hassan II a expliqué que l’éviction de Boumediene «contribuera grandement à accroître l’influence de Gamal Abdel Nasser et de l’Union soviétique en Tunisie et au Maroc».

    Dans ce sens, il a appelé à la prise des mesures nécessaires pour mettre un terme au projet régional nassérien, notant que si la question n’était pas prise au sérieux, il existerait «un danger réel sur toute la côte du sud de la Méditerranée, qui pourrait basculer vers un contrôle communiste».

    En effet, la volonté divine cachait à la surprise de tout le monde ce que personne ne pourrait deviner, même dans le bon sens des Marocains trahis par l'abus de leur générosité. 

    Le 18 octobre 1963, reste une date solennelle dans l'histoire contemporaine Maroc-Algérie. Le bon Dieu devoila les ambitions secrètes Nasserites contre le Royaume du Maroc qu'il croyait à tort, faible et simple à sa portée est un tout petit mur facile à surmonter, comme il avait réussi de faire contre le faible Yémen de Mohamed EL'badr. 

    Un hélicoptère Algérien (un de quatre offerts par feu Hassan II à l'Algérie à l'occasion de indépendance) atterrissait accidentellement en terre Marocaine, dans une petite localité frontalière Marocaine (Ain Chouater) qui dépendait administrativement de la province de Ksar Es Souk (Errachidia actuel) avec à bord huit officiers supérieurs (4 Algériens dont l'ex-président Algérien Lyamine Zeroual et 4 Égyptiens dont l'aviateur Housni Mobarek, l'ex-président Égyptien venus en rescousse pour sauver l'Algérie dans sa guerre contre le Maroc, étant que Ben Bella est devenu un simple élève de Abdel Nasser.

    Quand les passagers à bord apprenaient avec amère qu'ils se sont trempés de chemin, perdant la liaison avec les autorités d'Abadla à l'aval d'oued Guir où ils étaient attendus, ils (les passager) ont tenté de faire croire aux Marocains sur place à Ain Chouater, qu'ils sont que des journalistes venus couvrir la guerre Algero-Marocaine et qu'ils sont obligés de décoller ? hélas, l'étau était déjà serré autour des coups du pilote et de son équipier. 

    Important.Une vérité et un témoignage personnel pour l'histoire. Cette proie prestigieuse captée par le caïd de Doui Menia, (Seddiqi Seddiq) est transformée en mirage. Eliminant à coup de théâtre l'attribution de cet exploit de ce caïd, le maudit Oufkir,alors ministre de l'intérieur attribua l'honneur à son frère lhassan qui se trouvait à Bouanane, loin du lieu de la scène à 20 kms, le lieu dont dépend Ain Chaer, la localité à laquelle, lui et tous les Ait Oufkir s'en vantaient êtres originaires.

    Dieu merci a en jugé cette trahison de l'histoire par la mort de "chien" d'Oufkir, pour avoir était infidèle, un traître de l'histoire contemporaine, traître de son genre qui mordait la main Royale, quelle soit de Med V ou de Hassan II qui le liberait des griffes de la guerre d'Indo-Chine (1954) quand il était qu'un sale éclaireur pour ses maîtres Français. 

    La volonté divine n'était pas aussi clémente pour tout traître niant la générosité Royale, puisqu'elle était parfois très têtue pour les uns et souple, en quelque sorte pour les autres. 

    Du fait que l'caid lhassan Oufkir récompensé par feu Hassan II, lors de la visite du Souverain à Boudenib en 1965, par décoration et par d'autres privilèges, visiblement par (Ouissam Al istihqaq Lwatani min daraja l'momtaza) pour n'avoir rien fait dans ce domaine.

    En contre partie, un simple coup de pied était réservé à l'autre caïd Seddiq, à ses cinq Mokhaznis avec des "mousqueton", appuyés de quelques villageois qui ont collectivement bien mené l'opération avec succès, en attache et menotage des hôtes et qui, ce Caïd, était indésirable, lui et sa tribu qui possèdent historiquement un très fort lien avec la Monarchie Marocaine, pas comme n'importe quelle autre tribu au Royaume. 

    Une histoire d'honneur avec l'ancêtre de cette tribu qui a réussi de bien  convoiter et superviser la venue au Maroc de Moulay Lhassan Ch'rif (Hassan Eddakhil) l'ancêtre de la Dynastie Alaouite en règne. (...). Hassan Ch'rif, rappelons-le, était le petit de trois fils de Mohamed Abou L'kacem, un grand notable de racines Cherifiennes à J'bel Radoua, à Yanbou'aa Annakhil au Hijaz. 

    Une tribu qui a comme toutes les tribus Marocaines, un attachement indéfectible avec la Monarchie, mais cela a un lien particulier avec la Dynastie Alaouite. (....) l'histoire en est très claire elle le mentionnera certes dans ses plis.

    C'est le grand-père de cette tribu qui emmenait (à la sauvette ! ) Hassan Eddakhil des terres de Hijaz à la prés-Île Arabique (Arabie Saoudite actuelle) et pourtant elle était toujours bannie par les Ait Oufkir qui sont en fait, d'origine Algérienne, de Ain Cheikh, lbayadh actuel à la frontière ouest de l'Algérie.

    Notons enfin qu'à cette époque, ma génération et moi nous étions à l'âge d'adolescence et  nous comprendrions politiquement rien de ce qui se tramait autour de nous, sauf qu'il y a une guerre entre notre pays et le voisin ingrat de l'est. 

    Mais au moment de passage du convoie militaire de l'armée Royale qui convoitait le transfert de l'hélicoptère et de ses passagers Algéro-Égyptiens,(dix détenus au total) nous remarquions certains concitoyens Marocains de confession juive, de la localité de Boudenib où nous habitions tous, étaient en train de souffler, voire de crier "à bas Bakbachi Abdenasser et Ben Bella et vive sa Majesté le Roi Hassan II".

    Dès lors, nous comprenions que la grandeur du Maroc est unique, était toujours une grandeur gigantesque préservée par la volonté divine et par une Monarchie ancestrale d'honneur forte, malgré la brutalité et la traîtrise aiguëes d'un mauvais voisin, qui prend comme armes à sa faiblesse la haine et l'hostilité au Maroc, qui l'hebergeait d'ailleurs de façon très généreuse lors de ses peines de libération qui ont duré presque huit ans.

    A propos le chiffre de 1 million et demi de martyres Algériens est une invention du maudit Abdenasser, que la malidiction divine soit sur lui qui lança ce chiffre à sa guise, comme ça à la légère pour plaire aux Algériens et à son élève Ben Bella en particulier, après quoi, les dingues Algériens se sentaient vachement fiers de ce mirage et de reprendre et répéter ce faux chiffre de la honte collé à la sale lutte de libération de l'Algérie 

    Notons bien qu'il y à lieu de préciser dans ce volet que Ain Chaer au Maroc et Ain Cheikh à l'ouest d'Algérie ont une liaison de trahison. La rédaction du blog compte d'y revenir prochainement et parler, de manière très large en quelque sorte, étant que l'espace actuel est conçu, comme ça se voit, à élaborer d'autres sujets plus bénéfiques que de traiter la trahison d'un maudit Oufkir et sa sale origine Algérienne. 

    La capture des officiers supérieurs Égyptiens constituait alors une grande giffle Marocaine à la sale figure de Abdel Nasser.Une forte carte de pression que détenait feu Hassan II et qu'il exploita l'année suivante en maître de la scène politique.

    En 1964 feu Hassan II rentra en Égypte en grand vainqueur avec lui le grand cadeau inattendu pour Abdel Nasser. Il lui remettra en grande pompe devant la presse internationale qui s'y trouvait sur place pour couvrir les travaux d'un sommet arabe, ses 4 officiers supérieurs détenus en flagrant délit contre la souveraineté Marocaine.

    En fait, Abdel Nasser avait préparé auparavant en face de la sale d'honneur de l'aéroport du Caire les familles des prisonniers pour supplier feu Hassan II de faire libérer les leurs dans une atmosphère de honte qui envahissant presque toute l'Égypte. 

     

                          feu Hassan II au front 

     

    En septembre 1970, Houari Boumédiène, le président mauritanien Mokhtar Ould Daddah et le roi Hassan II assistaient à la conférence de Nouadhibou en Mauritanie, où le chef d’Etat algérien a déclaré n’avoir aucune prétention stratégique dans l'affaire du Sahara Marocain et qu'il soutenait l'effort du Royaume du Maroc dans ce sens.

    Sachant que  ce dossier faisait déjà l'objet d'une revendication officielle d'état auprès des Nations Unies, exprimée par le Maroc depuis 1956 ainsi que pour Tarfaya et Sidi Ifni, revenus à la mère patrie. Tarfaya en 1958 et Ifni en 1969. 

    Quant au Souverain Marocain il a évoqué le rapprochement Maroco-algérien en ce début des années 1970. Lors d’une conférence de presse tenue en septembre 1974 et publiée dans le second volume de la série «Cahiers du Sahara» par le ministère de la Communication en novembre 2015, Hassan II réagit ainsi au sujet de la position algérienne concernant le Sahara Marocain :

    «Je suis satisfait tant que l’Algérie ne revendique pas ce qui appartient au Maroc. Le gouvernement algérien a officiellement annoncé, comme me l’a dit le président Houari Boumédiène, que c’est un homme qui a jusqu’à présent démontré respect et engagement. Il m’a dit que l’Algérie n’avait pas de convoitise dans le Sahara Marocain. Plus encore, il m’a demandé de le prévenir 48 heures à l’avance en cas de manœuvre militaire [contre l’Espagne, pour qu’il puisse nous soutenir (…).»

    En 1974, la position algérienne était plus proche de celle du Maroc sur la question du Sahara, alors sous occupation espagnole, comme l’a déclaré le Souverain lors de la même conférence de presse :

    «Je compte sur le président de la prochaine session (des Nations unies), il est originaire de la frontière Algero-Marocaine Abdelaziz Bouteflika, ministre des Affaires étrangères.

    Il veut éviter que son pays ne choisisse entre la nécessité de soutenir la Mauritanie ou le Maroc, et que c’est une situation à laquelle de nombreux pays arabes, africains et européens sont également confrontés.»

    Moins de trois mois après la Marche verte du 6 novembre 1975, l’Espagne a signé avec le Maroc et la Mauritanie l’Accord de Madrid sur la partition du Sahara entre le Maroc et la Mauritanie, ainsi que le départ des forces espagnoles de la région en février 1976.-

     Marche verte et les Amgala

     

            Armes et équipements Algériens abondonnés sur terre Marocaine

     

    Contrairement à ses positions antérieures, l’Algérie a mal accueilli la signature de cet accord, surtout à l’approche du départ de l’armée espagnole du Sahara Marocain L’embarras a été tel que l’Armée algérienne s’est infiltrée le 27 janvier 1976 dans le village d’Amgala, au sud de la ville d’Es-Smara, et près de la frontière mauritanienne.

    Selon des sources locales Marocaines, une brigade d’infanterie de l’armée algérienne a attaqué la ville d’Amgala, tandis qu’une autre a mené l’offensive sur la région de Tifariti. Une troisième brigade blindée s’est placé dans la région de Mahbas, adjacente à la frontière mauritanienne

    Après avoir reçu des instructions l’armée Royale s’est empressée de repousser l'intervention algérienne, poussant l’armée Algerienne  à déserter les champs de bataille, laissant derrière elle des voitures calcinées et équipements et matériels militaires endommagés.

    Officiers et hommes de troupes Algériens paniqués devant l'ampleur des coups de gifles que leur en ont sommé les FAR sur tous les fronts, arrivant au stade de "sauve qui peut" et les principaux déserteurs des opérations  et du champ de bataille n'étaient que les apprentis de guerre tels que les maudits chefs d'elites opérationnelles de l'armée Algetnne engagées  dans une affaire perdue d'avance qui coûtait à L'Algérie  50 milliards de dollars pendant cinq décennies et qui perdure encore. 

    Le général inhumé Ahmed Gaid Salah alors un petit lieutenant et le général actuel homme fort de l'Agérie Saif Chengriha qui lui aussi était un simple subordonné, ils ont abandonné toute la  racaille pour sauver leurs peaux.

    C'était pour le président Algérien Boukharouba les grandes défaites Algériennes qu'elle subissait son armée devant la force des FAR dans des batailles en terre Marocaine. Dans son ouvrage «L’histoire du mouvement national»,  Karim Ghellab, le jeune écrivain Marocain évoque cet épisode :

    «La victoire à Amgala a marqué la fin de la guerre du Sahara, car les batailles qui ont suivi n’étaient que des guerres entre bandes. Si l’Algérie avait gagné la bataille d’Amgala, la région serait devenue un point stratégique pour une reprise de contrôle armée dans le Sahara Marocain»

    Deux semaines après la bataille, feu Hassan II écrit à Houari Boumédiène à ce sujet. Il s’est exprimé par ces mots : «Ce qui est arrivé est aussi surprenant qu’absurde. Les Forces armées royales se sont retrouvées, le 27 janvier 1976, face à l’Armée populaire nationale algérienne à Amgala, zone qui fait partie intégrante du Sahara Marocain»

    Et d’ajouter : «Du sang a coulé entre nos deux peuples, parce que vous n’avez pas tenu vos promesses. Aussi voyez-vous que l’armée Marocaine restée sur place a été trahie (…) Elle s’est confrontée à des unités de l’Armée  Algérienne lourdement armées et équipées, ce qui révèle son intention évidente de mener une opération destructrice, qui a d’ailleurs fait des dizaines de victimes parmi mes enfants et ceux qui se battent pour mon pays.»

    Un développement des divergences

    Le conflit maroco-algérien s’est développé après la guerre des deux Amgala, pour prendre d’autres dimensions. Le Front Polisario, depuis les tentes de Tindouf, a autoproclamé ce que les Algériens considèrent vachement leur «République arabe sahraouie», le 27 février 1976.

    Feu Hassan II a répondu à la décision prise par le Polisario et son créateur Algérien par une lettre adressée à l’armée Royale où il déclara ainsi :

    «Je ne vous cacherai pas la gravité de la situation sans non plus dramatiser la situation que vous connaissez. Nous sommes déterminés à défendre notre unité territoriale par tous les moyens possibles et assurer la sécurité de notre peuple.»

    Le 27 décembre 1978, le ministre algérien des Affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika, a annoncé la mort du président Houari Boumédiène, à qui Chadli Ben Jedid a succédé et le défaites de ses généraux-successeurs se multiplient et se ressemblent tant sur terrain Marocain de "suicide" que sur le volet diplomatique bien tenu par des faucons Marocains bien entraînés.

    N'oublions pas l'important de tout ça il n'y aura pas d'ouverture sur l'atlantique pour L'Algérie, même si ses cons qui sont en train d'engloutir leur haine, décideront de se suicider pour y arriver.

    Nos FAR sont toujours là pour gifler fort et égorger avec couteau mal affûté tout assaillant Algérien qui s'approcherait aux intérêts Marocains et qui serait amèrement contraint de déguster ses défaites devant la sincérité et à la crédibilité Royales.

    C'est ainsi que l'Algérie avec ses positions malencontreuses contre la Marocanité du Sahara, elle vend les illusions aux États corrompus du monde pour appuyer sa thèse expantionniste au sujet d'un problème qu'elle a créé de toutes pièces autour du Sahara Marocain et aussi vendre aux enchères de haine et d'hostilité la peau de l'ours Marocain avant même de l'avoir tué.

    Sachant que la mentalité malade Algérienne ne cessera pas ses conneries et continuera certes à nouer avec toutes les merdes afin de répandre davantage ses hostilités à la grandeur du Maroc, malgré la distribution, à tort et à travers par Bougadoum du dollars Algérien pour y rester en position en politique portant préjudice aux intérêts Marocains.Bonne continuation. 

                                                                                      Chihab25