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Ce que je crois - Page 21

  • Maroc-Algérie : L'Algérie va-t-elle, succomber à la logique du bon voisinage?

                                                                                                     drapeau-du-maroc-image-animee-0008 

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                                                                                      Attention à la bande de généraux d'Alger                         

    Avant propos..Tout d'abord, nos ennemis algériens doivent prendre en compte que malgré leur haine  et hostilité,  le Royaume du Maroc, progresse et évolue dans tous les sens. Il marche à pas sûrs pour être à la hauteur de son leadership et préserver son invincibilité au moment où leur Algérie met de la poussière sur le tapis, vivant les soubresauts de ses mauvais temps avec un sale duo (Teboune-Chengriha) tout en formulant en porte-à-faux la fusion entre notre Roi et le Peuple Marocain…

    Non Messieurs, on est pas à Bab L'oued où à Kasba d'Alger pour y croire toute connerie-dz perturbant les intérêts Marocains ..Ce qu'on sait vraiment c'est qu'il y a des situations-dz qui laissent perplexes.

    C’est le cas du comportement de la diplomatie Algérienne dans l’affaire "Ghaligate", Alias Benbatouche, qui a fait preuve d’un amateurisme inquiétant pour l’Etat espagnol lui-même.

    Dans cette affaire, ni l’Espagne ni l'Algérie n’en sortiront pas  grandies et la crise avec l'Espagne à ce sujet sera longue certes, car en complotant contre le Maroc, l’Espagne devenant «le bal des hypocrites», a accepté le risque d’une crise ouverte avec le Maroc..!

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    On se demandera pourquoi je n'ai pas, jusqu'ici écrit de chroniques sur le Sahara Marocain oriental? Une question qui mérite bien le détour. J’étais devenu, un certain moment, l’écrivain dont il ne fallait pas parler de lui aux réseaux sociaux Algériens. Je suis aujourd’hui encore sur la liste noire des services secrets Algériens. Je ne me plains pas, mais je constate les failles de nos ennemis Algériens et j'informe mon lectorat qui, parait-il, se constitut de trois sortes de générations blogeuses.

    La première : Cherche d'amples renseignements pour s'informer sur le passé Marocain avec l'Algérie, qu'elle soit une Algerie Française ou indépendante.La deuxième : Est constituée sûrement d'Algériens agissant hors normes de politesse pour s'attaquer au blog, insultant entre autre, l'admin pour ce qu'ils considèrent d'injures portant atteinte aux Algériens et à l'Algérie en général.La troisième : Suit mes écrits, pas par curiosité, mais par obligation pour détecter, le cas échéant, diffamation ou injure portant atteine à l'ordre général, aprés quoi il serait possible pour lui de prendre la rédaction du blog par des pincettes conformement à la nouvelle loi y afférente.

    Peut importe, il y a longtemps un lecteur m’a reproché le fait de ne pas avoir consacré une chronique sur le Sahara Marocain oriental. Effectivement, pas seulement je n’ai rien à dire là-dessus, mais aucune nécessité ne s’est imposée à moi pour le faire, malgré que le problème persistant de ces terres Marocaines spoliées est toujours dans l'esprit de tout Marocain.Et depuis la guerre des sables 63,le temps passe et la question demeure inchangée. 

    Le Sahara Marocain oriental est une terre Marocaine occupée par l’Algérie et occupe toujours l'esprit de Marocain que je suis.La spoliation par l'Algérie du sahara Marocain oriental continue de préoccuper les esprits des Marocains, surtout de ceux résidant aux zones limitrophes à l'Algérie. C’est au tour des tribus vivant dans ces endroits, de se prononcer sur le sujet chaque fois qu'on évoque le Sahara Marocain dit "occidental".

    Les résidents de ces terres, qu'ils soient d'origine Marocaine ou autres colons Algériens venus du "tell Algérien", du centre où de l'est Algériens gardent bien cette réalité et cachent par peur des autorités Algériennes, d'entamer ou d'évoquer ouvertement le sujet même en privé.Ils se rappelent de leurs Caïds et notables nommés par Dahirs des Sultans du Maroc pour gérer, chacun en ce qui le concerne son fief entouré des terres réservées à sa tribu.

    Les territoires composant le Sahara Marocain oriental actuellement sous domination Algérienne ont été amputés du Royaume par la France et ajoutés à l'Algérie Française depuis la fin du 18éme siécle et le début du siècle dernier (1870/1912) quand la France projetait par agenda colonisateur étendre sa colonisation au Maroc, une clonisation soldée par un "protectorat" imposé à la faiblesse de la Monarchie de l'époque. 

    Est-ce que c’est normal qu’un pays comme l'Algérie d'aujourd’hui, créée et rassemblée en toutes pièces par la France, colonise en clarté, en toute simplicité, des terres Marocaines qui lui sont faites passées sous table par ce qu'on appelle vachement les accords d'Evian-France ayant prescrit l'indépendance de l'Algérie. Ce n’est pas normal bien sûr si on fait comparaison de taille d'un grand Royaume ancestral et une toute petite Algérie qui vient de naître à ses cotés !. 

    Cela étant créa une crise de relations chroniques tendues entre les deux pays. L’origine de cette crise est dans l’attitude de l’Algérie qui a admis de se comporter en seul garant d'un principle qu'elle créa et y le défend unilatéralement sans procuration "-L'intransigsance de frontières-" , telles quelles sont héritées de France.

    «L’Algérie sait plus que d'autre que l’affaire de l’intégrité territoriale du Maroc est une cause primordiale sacrée et que le Maroc ne lâchera pas forcément la lesse, il se baterait, tôt ou tard, pour rapatrier son Sahara  Marocain oriental»

    Le Maroc proppose alors aux Algériens, aux honnêtes Algériens s'il en a encore des honnêtes Algériens d'éviter de se sauver "en avant" avec l’éventualité d’instrumentaliser cette affaire de frontires pour faire pression sur le Maroc d'accepter "le fait accompli".

    Si le Maroc voulait faire pression, il aurait ouvert ce dossier épineux de frontières avec l'Algérie qui lui sont beaucoup plus importantes, telles que Colomb-Béchar, Kenadsa, Touat, Ain Salah et toute la Saoura sans parler de Tindouf que Ben Bella reconnaissait lui-même à feu Hassan II, sans lui demander qu'elle était toujours Marocaine jusqu'au 1953, date à laquelle elle se fût amputée des terres Marocaines par la France pour l'ajouter à son Algérie Française.

    Cette déferlante, qualifiée de tsunami Algérienne, n’est pas le fait du pays des lions de l’Atlas, mais de l’Afrique du Sud et des petits-Etats pions, corrompus de nature, consommateurs du pétrodollars Algérien d'autrefois. Je m'explique...

    Je ne suis pour quiconque, mais avec l'attitude abrupte prise par l'Algérie indépendante contre la générosité de la main Marocaine qui la soutenait durant plus de ses 8 ans de guerre de libération, on se sent complètement patraque. J’étais même prêt à déclarer forfait aux chroniques anti-dz.
     
    Mais, je n’ai pu résister à l’appel du devoir, surtout à celui bien réel de mon lectorat qui exigeait la livraison -illico prestó- des écrits, soit  sur le passé du Maroc avec l'Algérie Française qu'il ignore totalement, soit sur ce qu'ayant trait à l'histoire populaire récente non écrite des deux pays et que, généralement, porte individuellement chacun de nous. Le lectorat qui suit avec assiduité mes écrits anti-dz ne cesse de me provoquer, me réclamant honnêtement et avec insistance de dévoiler davantage les malaises et l'ingratitude des Algériens contre le Maroc. 
     
     
                   IMG_87461-1300x866     IMG_87461-1300x866                                           Arancha González                                 Carmen Calvo                                          Chin-riha et Ghabi
                                                                                         
     
    Je m’exécute, donc, choisissant comme thème un autre sujet que l’affaire Brahim Ghabi, alias Mohamed Benbattouche qui envinime actuellement les relations Hispano-Marocaine, étant que je ne suis pas habilité à faire preuve de connaissance plus que Mr. Nacer Bourita.
    Ce silencieux commis d'Etat qui par devoir, se place là où il lui faut pour suivre de prés si la justice espagnole n’a pas retenu de mesures adequates à l'encontre de Brahim Ghabi, en criant "au voleur", devoilant le plan d’évasion suggéré "en urgence et en vol spéciale" par les généraux d'Alger qu'ayant attérie à cet égard en Espagne pour envenimer davantage la crise avec le Maroc.

    Alors que la tension monte entre le Maroc et l’Espagne, que le langage du défi et de la rupture domine les échanges entre les deux pays, tout le monde s’interroge sur les possibles solutions qui peuvent clôturer cette crise d’une manière ou d’une autre et casser ce statut quo tendu entre deux pays voisins censés entretenir les meilleurs rapports que leur imposent la géographie, l’histoire et les défis contemporains.  

     

                   Le fiasco d'Alger et le génial univers Bourita.!

                                                  Pedro Sánchez - Abdelmadjid Tebboune - Brahim Ghali 

               

    La comparution, actée, de Brahim Ghabi devant la Justice espagnole, signe l’échec d’une stratégie d’évitement adoptée le polisario et ses soutiens à Alger et Madrid. Voici le film des événements qui ont, au final, donné raison au Maroc, même si la confiance de Rabat envers son voisin du nord est largement entamée. 

    D'autre part, au sujet de ce qu'on appelle désormais, le «GhaliGate». Une autre espagnole Carmen Calvo, la première vice-présidente du gouvernement espagnol hausse le ton contre le Maroc pour masquer le profond malaise de l’Exécutif espagnol. Elle laissait entendre, je cite :

    L’Espagne entretient des relations avec tout le Maghreb pas qu'avec le Maroc?

    Cette déclaration lourde de sens de Carmen Calvo, sur Canal Sur-TV, reprise par Europa Press, ne passera pas "sin qua non", car elle traduit toute la duplicité et le double langage du gouvernement de Pedro Sanchez et de sa ministre des Affaires étrangères Arancha González Laya et de son adjointe Carmen Calvo à l’égard du Maroc. Cette derniére responsable espagnole accuse également le Maroc d’avoir violé “la limite de bon voisinage en autorisant un assaut” de migrants sur la ville de Sebta (Ceuta), la ville Marocaine occupée par l’Espagne depuis plus de 500 ans.

    Cette Carmen Calvo, qui réagissait à la déclaration de l’ambassadrice du Maroc en Espagne Mme Karima Benyaich qui a déploré que la cheffe de la diplomatie espagnole “continue de présenter des faits erronés et de tenir des propos inappropriés” sur la crise entre le Maroc et l’Espagne, et a défendu aussi l’accueil par l’Espagne du criminel de guerre, le chef des milices du Polisario que je préfére d'appeler Brahim Ghabi.

    Dans ces propos d’une rare violence, la première vice-présidente du gouvernement espagnol, s’en est pris au Maroc, l’accusant d’avoir dépassé «toutes les normes du bon voisinage». Madrid, selon les sorties médiatiques de ces deux femmes, disons "des hautes responsables" opte ainsi pour l’escalade qui peut conduire à la rupture des relations diplomatiques avec l'Espagne. 

    Sans aller plus loin avec l'attitude de ces femmes espagnoles qui auraient brillé en politique espagnole locale, je souhaiterais uniquement rappeler les défaites de leur pays dans les batailles des trois rois aux environs du Ksar L'Kebir et qu'il leur appartient, à elles-même et à leurs acolytes de relire l'histoire y afférente pour connaitre la grandeur de ce Maroc qu'elles prennaient en ennemi, avec lequel elles veulent jouer aux carrés de petites filles.                                                                                                                                                                                                            IMG_87461-1300x866                                                                                                                                                                                   -:- 

                   L'Algérie enterre l'accord frontalier avec le Maroc ..!                                                                                                                                                                                                  IMG_87461-1300x866                                                                                    

    Arrêt obligatoire.. Je me souvient d'un article, que j'ai lu il y a deux decennies ou presque qui revient sur la question des frontières Maroco-algériennes et sur ce qui est arrivé à l'integrité territoriale Marocaine en termes de déracinement et de démembrement systématiques par les colonialistes français depuis leur occupation de l'Algérie.

    Cet article traite également la trajectoire de la question frontalière et de ses évolutions de la fin du 19éme siècle jusqu'à l'indépendance du Maroc et de l'occurrence de ce qu'on a appelé la guerre des sables d'octobre 1963, évoquant la prise de conscience et l'inquiétude du Maroc sur ses frontières territoriales depuis l'occupation de l'Algérie en 1830, et le soutien Marocain à la cause algérienn et à son indépendance pour résoudre ce problème en suspens.

    L'article évoque le parcours de la question frontalière Maroco-algérienne, et la solution de ce problème «dans l'esprit de fraternité entre les deux pays voisins ,le Maroc et l'Algérie, qui a été inclus dans un accord daté du 6/7/1961  passé entre Sa Majesté le Roi feu Mohamed V et le GPRA (Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne) présidé par feu Ferhat Abbas».

    Mais malheureusement, l'Algérie ne l'a pas respectée, considérant que cet accord, selon le maudit président Algérien Houari Boukharouba, alors ministre de la défense de Ben Bella, n'est qu'un simple «papier-chiffon!». C'était donc la guerre des sables et c'était la survie de ce problème qui demeure en suspens jusqu'à présent, par manque de sincerité et de crédibilité du coté Algérien qui rame contre-courant en l'objet. 

    Contrairement à sa vision et à sa présence au Maroc, la politique d'annexion par la France des terres Marocaines et leur incorporation à l'Algérie Française a été le fruit de sa conviction qu'elle resterait à jamais en Algérie, et pour réaliser ses ambitions stratégiques. dans la région, elle a exploité toutes les conditions politiques que connaissaît le Maroc.

    Ce Maroc qui, lors de son indépendance en 1956, refusa de reconnaître tous les accords antérieurs qu'il avait avec la France, à l'exception de l'accord de Lalla Maghnia en 1845. Ainsi, pour reconsidérer la question des frontières entre eux, un comité mixte Franco-Marocain a été formé. Le Maroc décida de s'en retirer, préférant reconnaître un gouvernement intérimaire algérien en éxil conduit par M.Ferhat Abbas et aprés lui par Ben Youssef Benkhadda, conscients de leur pouvoir de négocier avec le Maroc à cet égard.

    Les développements politiques qui se sont soldés par l'accord secret Maroco-algérien, devant traiter la question des frontières entre les deux pays, en échange du soutien du Maroc à la révolution algérienne, ont fait aucun doute que la question frontalière Maroc-Algérie est l'une des questions politiques en suspens les plus complexes entre Etats souverains. La question est encore une grande controverse entre chercheurs et politiciens, de part et d'autre, en raison de ce qu'elle alimente et crée de tensions constantes concernant la sécurité et la stabilité de la région nord-Africaine.

                              L'anecdote d'ingérence étrangères                                                                  IMG_87461-1300x866                                                               Tebboune -  Chengriha - Nezar -  Toufik-

     

    L'Algérie avait choisi de fuir en avant dans le traitement de ce dossier, en évoquant l'importance de préserver ce qui a été laissé par le colonialisme en héritage terrestre, qu'elle voyait comme une voie possible, avec une recherche d'un site pour la question et sa liquidation à travers un effondrement dans le pari d'une Union de ce qu'on appelle le «Grand Maghreb» .

    Concernant toujours la question frontalière Maroco-algérienne après l'occupation de l'Algérie, il est utile de signaler qu'après l'entrée du général Français «Peugeot» à Oran et l'invitant Marocain à l'époque, le gouverneur d'Oujda, à parler les développements politiques et militaires dans la région, et après ce qui s'est passé à la suite d'une attaque soudaine par une division de l'armée Française.

    Le gouverneur du côté Marocain l'a stupéfait lors de la réunion. Du coté Français Mr.Peugeot l'a considéré comme une trahison au point de son intention d'occuper Oujda sans le concentement du coté Marocain. Après tout ceci et cela, la réponse de Peugeot a été la suivante, je cite :

    «Le plus important est la question de l'émir Abdelkader et de la définition des frontières qui étaient entre vous et le gouvernement turc algérien, et nous ne voulons pas dire ce qui vous concerne. Nous vous exhortons à ne pas l'accepter dans votre pays et à ne pas l'aider contre nous. Votre acceptation de résidant sur votre terre, nous la considérons que c'est une guerre contre nous et une inimitié, pas une amitié Franco-Marocaine.

    On sait que les frontières du Maroc avec les Ottomans d'Algérie comprenaient Bechar, Touat, Ain Saleh et la Saoura, car ils étaient considérés comme des régions du Maroc dont les notables portaient les timbres inauguraux des Sultans alaouites, tels que Hassan Ier et Moulay Abdelaziz....et il a été convenu par la première condition de définir les frontières entre le Maroc et  l'Algérie Française.

    En l'an 1844 et aprés les évenement d'Isly dans la région d'Oujda, la France avait préféré de garder la frontière telle qu'elle était auparavant chez les Rois des Turcs en Algérie et des anciens Sultans du Maroc, sans agression, sans construction, ni discrimination par les pierres, mais reste plutôt comme il était avant que les Français ne prennent le contrôle de l'Algérie en 1830».

    Et «Ba Ahmed» était le régent du trône après la mort du sultan Hassan Ier, lorsque la nouvelle de l'occupation française de Touat a atteint le pays. Larbi Al-Meniai a envoyé à Tanger pour protester devant le major pouvoirs sur ce qui s'est passé, mais il n'a obtenu que leur sympathie. Et après la mort de «Ba Ahmad» (Ahmed ben Moussa) et en raison de l'absence de moyens suffisants pour que le sultan Moulay Abdulaziz fasse le nécessaire pour l'integrité territoriale du Maroc, il a choisi d'abandonner pendant un certain temps, se dirigeant vers la mise en place des frontières qu'on lui laisse le plus possible de la région du sud-est Marocain.

    Une partie importante des terres marocaines a été lorsque Moulay Abdelhafid a signé le contrat de protection 1912 sous la surveillance effective de l'armée française, de sorte que pendant trois décennies la France s'est progressivement infiltrée sur le territoire marocain sous prétexte de sa coopération parfois et extension des frontières algériennes à d'autres moments.

    Les historiens n'ont pas peur des interventions coloniales françaises avant d'imposer une protection au Maroc, imprimée par quatre étapes militaires et politiques de base, d'abord l'occupation de Casablanca en juillet 1907, puis l'occupation des côtes marocaines (Chaouia) pendant les deux prochaines années (1909).

    Au cours de la seconde moitié du 19eme siècle, des affrontements ont eu lieu entre les tribus marocaines et les divisions militaires françaises le long des frontières nord-est qui ont pris fin avec l'occupation d'Oujda au cours de la même année. Quant aux oasis du Sahara central (Gourara, Touat et Tadkalit), elles étaient rattachées à l'Algérie Française entre 1901, d'où les Français se sont mis à envahir les pays touareg et d'autres tribus du Sahara Marocain oriental tels que les Aâmour, Doui-Menia, Ben Guil et Ouled Jerir, et de là ce qui s'est passé depuis une entrée intermittente au sud-est du Maroc vers Oued Ziz et le grand Tafilalet.

    L'accord de Lalla Maghnia concernait la délimitation des frontières sur la base du respect des frontières qui se trouvaient entre le Maroc et les Ottmans en Algérie, ce qui était stipulé au chapitre V de l'accord de Tanger en mars 1945. Les limites ont été divisées en trois sections, la première a été déterminée avec précision de l'embouchure d'oued Kiss dans la mer Méditerranée à Thenyat Assassi.

    Nous savions que Sa Majesté le Roi feu Mohamed V, que Dieu lui fasse miséricorde, était une personne honnête, bonne et généreuse, et c'était un Roi qui croyait en la fraternité Maroco-Algérienne...et pour cette raison, il a rejeté une proposition conditionnelle Française (!) délimitant les frontières avec l'Algérie Française et il a pu l'en faire..tout en préférant laisser la question à trancher par les frères entre eux (Marocains et Algériens)..se rendant compte que la France a originellement créé l'Algérie en volant, par amputations, des terres du Maroc, de Tunisie, de Libye et de Mali pour les transformer en un cancer qui empêcherait éventuellement tout regroupement fraternel dans cette région d'Afrique..

    Car si nous avions pris le Sahara Marocain oriental aprés la guerre des sables d'octoble 1963 conformément au désire visionnaire de guerre exprimé par le général Driss Ben Omar qui dirigeait les opérations contre l'armée Algérienne de Ben Bella, le problème du Sahara Marocain dit  "occidental" n'aurait pas été. Et l'Algérie n'aurait pas eu de frontières avec la Mauritanie en premier lieu.

    Nous savons bien que diriger le pays et fortifier son intégrité territoriale ne peut se faire par des émotions...et les décision du Maroc en la matière sont la meilleure preuve ... Le proverbe nous apprend.. «Quand vous êtes lésés et que vous avez droit, alors l'humanité et les diables, pas seulement Chrétiens et juifs se moqueront de vous»..

    Sachant que peu de politiques Marocains qui osent manipuler les fréquences au sujet de frontières avec l'Algérie, pas plus que les juifs Marocains qui y sont les plus féroces défenseurs de notre intégrité territoriale, répendant toujours présents à l'honneur Marocain.Bonne lecture.

                                                                      Cordialement,Chihab25 

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    Les gouvernants d'Alger dépassés par les événements internes ne font que s’accrocher aux perdants pour justifier leur présence sur la scène régionale, il n’ont compris que la situation est acquise au Maroc, ils doivent de ce fat se faire soigner de la Marocophobie qui les ronge. Bouguadoune se retirer pour laisser la ministre Espagnole des AE Arancha González   prendre la parole au nom de l'Algérie. L'oppposant Algérien Hicham Abboud s'exprime..   

                         
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