Maroc-Algérie : Alzheimer politique Algérien, est le plus drôle de toute autre maladie..!
Reconnaissance d'Etat à Etat.. Le Maroc est le seul pays de l'Afrique du nord qui s'enfonce dans l'antiquité, il a plus de 14 siècles d'histoire. Il était le premier pays Arabo-Musulman et Africain reconnu avoir été un Etat Souverain à part entière, parmi d'autres, Européens et Asiatiques meublant la planète. En tant que tel, il reconnaissait, haut et fort, l'indépendance des Etats-Unis d'Amérique en juillet 1776. Une reconnaissance inspirée par la philosophie de lumières, malgré le désenchantement et la puissance de l'empire Britannique, devenue abusive en cette période.
En 1776, la déclaration d’indépendance des treize colonies Britanniques fait perdre aux navires Etats-Uniens la protection du pavillon britannique. L’occasion était belle pour le Sultan Sidi Mohamed III, qui nourrissait l’ambition de développer le commerce atlantique, faisant du Maroc, le premier, qui autorisait les navires portant le drapeau du nouvel État Américain à entrer dans ses ports, en début d’une relation spéciale entre les deux pays. Une relation qui fut aujourd'hui reconnue et appréciée par tout Américain, visitant ou parlant du Maroc.
Quant à l'Algérie, à ce moment-là, elle n'existait même pas dans les esprits d'imagination? Elle était encore un germe dans l'intestin grêle du diable. C'était une certaine -Numédia- sous domination -Ottomans-, la puissance qui était un pouvoir puissant face aux -Perces- qui occupaient tout le Golf et ses confins. Un mélange de populations venues de toutes parts pour se remodeler en un seul peuple baptisé au nom d'El Jazaer-.
Actuellement, cette sale entité avec sa "force de frappe", rêve être la force dominante dans la région, concurrent, vainement, un lion, qui n'est que le Royaume du Maroc. Un Grand Maroc, veillant à son bien-être, face à une veuve perdue dans l'hypothèse de fugue et d'égarement politiques, bannie par presque toutes les puissances du monde actuel.
Au cours de l’hiver 1776, la guerre d’indépendance menée par les Américains contre la Grande-Bretagne entre dans une phase particulièrement importante. Deux batailles qui ont lieu à Saratoga, dans l’État de New York, du 19 septembre et du 7 octobre, s’achevaient par une victoire pour la jeune nation qui vient de naitre sur les décombres d'une dynastie en voie de disparaître et par son choix du régime démocratique contre sa tyrannie Monarchique.
Pour faire triompher les idéaux contenus dans sa déclaration à vocation universelle, le général de l’armée continentale, George Washington, ne ménageait pas, depuis les premières escarmouches, ses efforts pour remporter une guerre difficile contre l’une des armées les plus aguerries du monde. Le 19 décembre, un mois après la victoire de Saratoga, ses soldats prenaient leur quartier d’hiver dans l’État de Pennsylvanie, sans savoir qu’ils sont sur le point de remporter une autre victoire, symbolique celle-là, de l’autre côté de l’Atlantique, caractérisée par la reconnaissance de leur Etat par le Maroc .
Ainsi, le Maroc était le premier arabe à préserver les efforts de paix et de fraternité depuis des générations pour garantir la sécurité et le bien-être de ses communautés et protéger son patrimoine culturel. Et c'est sous le règne d'une Monarchie -Alaouite-particulière- que les relations entre les pays de la planète ont connus une floraison de partenariats entre gouvernants et peuples. À un niveau culturel.
Je souhaiterai désespérément offrir une vision encourageante aux personnes qui lisent mes articles, à fournir les preuves que nous pouvons éviter –et que nous éviterons– le pire. Mais ce n'est pas mon travail de fabriquer de l'espoir chez mes détracteurs qui sont apparemment attachés à mes écrits anti-dz. Cela peut aussi s'avérer contreproductif. Étant donné le sentiment d’urgence que je ressens face à la crise avec la veuve Algérie, j'aspire à dénoncer explicitement ce que je sais être nuisible ou erroné, et à défendre ce que je pense être la bonne ligne de conduite.
La justesse d'esprit, la neutralité et surtout la perception de ces qualités sont le fondement de ma crédibilité en tant que conteur assidu d'organes d'information populaires. Pendant que les médias occidentaux regardent ailleurs, la dérive autoritaire du régime Algérien a son apogée? Quand il s’agit du Maroc, la moindre décision est scrutée, analysée et est, quasi par défaut, matière à critique dans les médias occidentaux qui n'occultent guère la chose Algérienne.
Un journaliste Ibérien (Ignacio Cembrero), connu par ses attitudes au service à l'Algérie, pour ne citer que lui, en sait quelque chose, lui qui, s’agissant du Maroc, n’hésite pas à faire feu de tout bois par lequel il s'engage au profit des thèses d'Alger contre le Maroc, avec une obsession pétrolière qui tient de la pathologie, et qui déploie une intelligence folle pour légitimer, ou du moins fermer l'œil à ne pas bafouiller, ce que la junte d'Alger commet contre son propre peuple..
A propos de ce journaliste, une eurodéputée (Maite Pagazaurtundua), une Espagnole a envoyé une lettre au Haut représentant de l'Union européenne (UE) pour les Affaires étrangères, Josep Borrell, dans laquelle elle l'appelait à protéger la liberté de la presse face à ce qu'elle considérait vachement.. "la stratégie d'harcèlement judiciaire" que le Royaume du Maroc exerce contre le journaliste Ignacio Cembrero, je cite :
«Je vous écris pour dénoncer la stratégie de harcèlement judiciaire que le Royaume du Maroc exerce contre le journaliste Ignacio Cembrero». Elle est la vice-présidente de la Commission parlementaire des libertés civiles qui a pu dénoncer dans sa lettre comme : la "stratégie constante visant à réduire au silence ce journaliste spécialisé dans la politique Marocaine, par une série de procédures judiciaires".
A cet égard, cette dame a passé en revue la "liste des événements qui se déroulaient contre la liberté de la presse qui, selon elle, remontent à janvier 2014, lorsqu'à l'époque, Abdelilah Benkirane, alors chef de gouvernement a déposé une plainte pénale contre Ignacio Cembrero pour "glorification du terrorisme" auprès du bureau du procureur général Madrilain, plainte qui a été classée sans suite. Elle a été suivie par une autre action en justice contre ce journaliste pour "apologie du terrorisme", qui a également été classée sans suite en juin de la même année.
Elle rappelle aussi qu'en 2015, l'homme d'affaires Marocain Ahmed Char'ai s'est constitué partie civile pour "atteinte à l'honneur". Cet homme d'affaires a été lié, selon ses inventions aux services secrets Marocains par divers médias comme le journal El Mundo, qui l'a qualifié "d'espion du Maroc". Elle souligne, en outre, qu'en avril 2022, le Maroc s'est constitué partie civile dans l'exercice d'une action de vantardise afin que le tribunal déclare que le journaliste espagnol n'a jamais été victime d'espionnage de la part du Maroc.
De son coté, Ignacio Cembrero avait affirmé, voire avait inventé -comme l'ont fait plusieurs médias-, que le Maroc était derrière l'espionnage opéré via le logiciel suspect «Pegasus» qu'on attribuait au Maroc sans aucune preuve.
On dépeigne l'Algérie comme paradis, mais c'est un gouffre d'enfer
Frustration-dz.. Le premier menteur de l'Algérie Tebboune à la tête de ce qu'il considère "la force de frappe" affirmait publiquement et sans aucune honte avoir rompu les relations diplomatiques avec le Maroc pour «ne pas faire de la guerre». Le plus étonnant, c’est l’indifférence quasi absolue de «l’opinion publique internationale» face à une telle logique, ouvertement répressive et pleinement assumée, de la junte, c'est bien la preuve patente d’une Algérie qui roule droit dans le mur.
Un des rares quotidiens français à avoir pris la mesure de la vague d’oppression qui sévit en Algérie, Le Monde, n’y va pas de main morte pour décrire, je cite : «Une calamiteuse surenchère autoritaire du régime» en Algérie et, plus loin, une «fuite en avant répressive d’un régime en pleine revanche après avoir craint pour sa survie» fin de citation.
Nombre de leurs figures qui pèsent sur le champ local sont acculées à l’exil pour échapper à la prison, toute critique du système dirigeant relevant dorénavant d’incriminations de «terrorisme et de sabotage», lit-on dans un article apparu dans ce journal Français. L’atmosphère est devenue étouffante à tel point que les Algériens en viennent à regretter les ères de leurs ex-dirigeants, comme Chadli, Zeroual et aussi Bouteflika, même avec les travers de corruption et de népotisme dont elle ont été marquées.
Mon esprit de raconteur privé comporte une analyse nuancée des raisons pour lesquelles quelque chose s'est produite (ou pourrait se produire davantage avec cette Algérie), mais elle ne franchit pas la limite entre "ce qui est et ce qui devrait être" avec une folle voisine enragée. Plus que jamais, le monde a besoin d'un journalisme fondé sur des faits incontestables, même si les informations sont parfois ignorées ou déformées.
J'ai récemment interviewé mon esprit d'acteur de premier plan dans le domaine de récit volontaire, sans me rendre compte à quel point j'étais inconsciemment à la recherche de conseils sur la façon de m'en sortir de ce que je mégotais en face d'un voisinage ennuyeux, voire un voisinage d'un monde de fous, pierreux et risqué. Tous avaient été aux prises avec les problèmes qui me faisaient lentement perdre pied, et chacun de mes instants avait des conseils de sagesse à partager.
Plusieurs sources abreuvent le réservoir d'espoir exceptionnellement grand qu'une Algérie perdue entre les falaises de l'anarchie et de l'isolement total : ma conscience, est une vision charitable de la nature humaine. "Grâce à celle-là, je sais viscéralement que ce que nous faisons a une incidence", notant qu'en l'espace d'une décennie les engagements en matière de fortes tensions ont permis de ramener les projections de la température d'hostilité Algérienne à la surface de la Terre, par rapport à la référence permanente de haine déjà en ébullition entre nos deux pays. Enfin, Alzheimer chez l'être normal ce n'est pas drôle.
Les déclaration de Teboune au journal Français, le Figaro, sont rejetées par des voix Algériennes en exil.. La rédaction du blog a déjà pointé et analysé dans ses différents écrits les contradictions et les mensonges du président algérien, notamment au sujet des relations Maroco-algériennes. Dans son entretien «lunaire» accordé au Figaro Teboune a suscité également de nombreuses réactions indignées au sein des milieux de l’opposition algérienne, contrainte à l’exil.
C’est ce qui expliquerait cette francophilie, affectée et forcée, de Tebboune. Il est devenu laudateur et même flagorneur comme pas possible au cours de cet entretien! Il y a donc lieu de s’interroger sur ces soi-disant réactions épidermiques du régime algérien et de sa doxa douteuse sur sa propre «souveraineté!».
Les voix de la diaspora algérienne, très actives sur les réseaux sociaux, ont une fibre maghrébine remarquable. Elles ne cessent de dénoncer le régime algérien qui fait tout pour saboter l’idéal maghrébin. Ces voix qui tiennent à sauver la dignité et même l’honneur de l’Algérie ont été consternées par la «jactance» de Tebboune. Elles ont démonté les arguties de leur président que la rédaction déclinera en cinq points.
Tebboune a affirmé que «c’est une accumulation de problèmes depuis 1963 et l’agression des forces Marocaines pour prendre une partie de notre territoire, allusion certes au Sahara Marocain oriental spolié par l'Algérie, qui expliquent cette rupture avec le Maroc» oubliant ou se faire ignorer que cette agression a été belle et bien perpétrée par Ben Bella qui obéissait, aveuglement, à son maitre Jamal Abdenacer lequel tentait exporter sa révolution au Maroc après avoir imposé son putsch contre le Roi Mohamed ElBadr au Yémen..
Le fait que Tebboune remonte à la guerre des Sables de 1963 pour justifier, encore, l’origine de cette crise est une manœuvre usée. D’abord, il se contredit. Dans des entretiens antérieurs, il a affirmé plusieurs fois que l’Algérie n’avait aucun contentieux avec le Maroc. Ce n’est donc qu’un des multiples revirements d’une girouette!
Les observateurs algériens ont tenu à déconstruire ce mythe algérien, frelaté, de la guerre des Sables de 1963. Au-delà du fait que le Maroc était dans son droit de revendiquer ses territoires intégrés par la puissance coloniale à l'Algérie Française où elle croyait rester à l'infini…,
Le régime algérien à l’époque a procédé à une machination pour camoufler des luttes internes féroces pour le pouvoir, menées par le clan d'Oujda contre celui qu'on appelait en Algérie "les armées des frontières" venant de Tunisie.
«Hagrouna»..Il a été rappelé qu’en octobre 1963, Hocine Ait Ahmed menait une insurrection en Kabylie pour s’opposer au régime des usurpateurs Ben Bella et Boumediene. Coïncidence troublante, c’est exactement le 8 octobre 1963 (au cours du même mois de cette insurrection) que l’armée algérienne a déclenché la guerre des Sables en attaquant un détachement Marocain des Forces auxiliaires à Hassi Beida et Tinjoub dépendant administrativement de la province d'Ouarzazat..
Apres avoir lancé la sinistre formule «Hagrouna» qui veut dire que : (les Marocains nous ont méprisés), Ben Bella a appelé à l’unité nationale contre le prétendu «ennemi Marocain». La guerre des Sables a été provoquée par des problèmes internes algéro-algériens, métamorphosés en la plus grande manipulation de l’histoire contemporaine de l'Algérie.
Suivie évidemment par la fable du peuple dit "sahraoui", également inventée par le pouvoir Boukharouba. La formule trompeuse «Hagrouna» est fondatrice du récit mensonger du sérail militaire… pour s’auto-légitimer!
Tebboune dramatise à l’excès et outrageusement cette guerre des Sables que lui et les généraux tiennent à exploiter à l’infini. Cette guerre a duré trois semaines… et elle pousse aujourd’hui le régime algérien à fermer les yeux sur les conséquences, autrement plus néfastes, de 132 ans de colonisation française. Avec à la clef plus de 1 million et demi de cons-martyrs selon la vulgate officielle Algérienne inventée par Abdenacer qui voulait par toute occasion glorifier le guerrier Algérien.
Des voix algériennes affirment que toutes les crises avec le Maroc ont été générées par des causes internes au pouvoir algérien, paniqué par son illégitimité. Le Maroc est instrumentalisé dans cette stratégie de diversion.
C’est encore le même schéma qui se répète aujourd’hui et pour toujours avec un sale pouvoir militaire de mafia. Ce genre de déclaration de Tebboune relève aussi du sabotage de l’action de l’ONU dans l'affaire du Sahara Marocain et des entraves imposées à Mr. Staffan de Mistoura l’Envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU au Sahara Marocain.
«Aucun pays ne peut se poser en médiateur entre nous», affirme de nouveau Tebboune. Une position préméditée qui a jeté son ombre sur l'échec du dernier sommet arabe d'Alger tenu le 1-2/11/2022 sans éclat ni importance!
Effectivement, toute médiation est inacceptable pour Alger. D’abord parce que la «crise est plus unilatérale que bilatérale». Elle est fabriquée et entretenue d’un seul côté. Pour qu’il y ait crise, il faut qu’il y ait au moins deux protagonistes. Le Maroc pacifique, serein et sûr de son droit, reste indifférent à toutes les provocations.
Tout médiateur qui demanderait à Alger d’apporter les preuves n’obtiendra jamais de réponse. Il n’y a que la partie algérienne qui hurle, menace, dénonce, ment et accuse sans fondement. Il ne reste aux généraux que l’escalade et la fuite en avant qui se traduit par ce refus viscéral de toute médiation, face à la sornette de «l’ennemi absolu»!
La junte d'Alger a créé son problème et appelle de ses vœux son règlement. Il ne se passe désormais plus un jour sans que le régime algérien n’invente des médiations arabes en vue d’un rétablissement de ses relations avec le Maroc.
Si rien n’est moins vrai, la manœuvre répond à d’autres impératifs et apporte, surtout, la preuve de l’échec de la stratégie de rupture adoptée par Alger.