Maroc-Algérie : le Visage hideux d'un régime au bord du gouffre....!
Le Royaume du Maroc d'autrefois, percuté par de sales bottes
Ingérence Européenne (le parlement)..
En actant une résolution appelant à la libération d'un journaliste condamné pour viol et en citant le Royaume du Maroc dans des allégations de corruption, les voix extrémistes au Parlement européen créaient un écran de fumée pour occulter des scandales concernant cette institution et attaquant un Maroc qui dérange. Une position stérile déplorée sévèrement par le Pouvoir Supérieur de l'Autorité Judiciaire Marocaine..
Cela souligne l'ambivalence de l'UE et de certains de ses pays membres avec le Maroc. Des pays pauvres des 27, en l'occurrence les chefs de ces états qui s'accaparaient du pouvoir, soit par trucage des urnes, soit par complot sanguin. Je ne fais pas d'allusions ni d'atrocités des fils d'esclaves de chez nous en Afrique.
Les non influents de valeur, venant de la rue et qui se parfumaient de la mauvaise odeur du bitume Algérien, s'en foutant de la souveraineté étatique devant la puissance du pétrodollars, devant laquelle, ils pourront même se sacrifier l'honneur de leurs peuples.
L'Algérie devenue le carrefour d'instigation et de maux ait réussi à percer le mur de dignité de certains pays de l'Union, surtout des plus pauvres de l'Europe de l'Est qu'elle considère, au demeurant, amis adhérant au pavoisement socialiste des années Soixante-dix, un socialisme révolu partout, mais qui plane encore sur la mentalité Algérienne.
Le visage hideux d'Alger...Le soi-disant ministre Algérien de l’Industrie (!) a encore fait des siennes. En tournée d’inspection des unités de l’industrie pharmaceutique, il a fait escale au siège de la filiale Saoudienne -Tabouk Pharmaceuticals-, spécialisée dans la fabrication de médicaments génériques. Et face aux responsables de la filiale, il a tenu un discours très discourtois et maladroit.
Il a sèchement ordonné aux dirigeants du groupe de changer la carte du Maroc en amputant le royaume de son Sahara. «changez-moi cette carte, vous êtes en Algérie et vous connaissez bien la position de l’Algérie avec le Maroc au sujet disait-il du (Sahara occidental)», avant de rajouter une couche, «il ne faut plus présenter ce type de carte en Algérie».
Le portrait sans concession d’une Algérie au bord du gouffre, passant au scalpel d'illusions sur le Maroc.. «L’Algérie s’effondre, entraînera-t-elle la France dans sa chute?», l’ex-ambassadeur de France à Alger Mr. Xavier Driencourt questionne sur les colonnes du Figaro, où la franchise le dispute à une clarté nourrie par une connaissance de la junte d’Alger. Une interrogation qui prend notamment source dans «la répression qui s’est abattue sur l'Algérie», et qu'il juge être élaborée et mise en œuvre par une armée qui ne cesse de glorifier les combats, parallèlement en égalité, contre le Maroc et la France, qu'elle considère ses «ennemis éternels».
Pour cet ancien diplomate qui a exercé ses fonctions à Alger pendant huit ans, cela ne fait pas l’ombre d’un doute, la France a face à elle un pays aux mains d’un «régime (qui) a montré son vrai visage : «celui d’un système militaire brutal», et qui a fini par avoir raison des espoirs mis un temps dans le Hirak pour démocratiser le pays. La presse en Algérie a été bolchévisée, traitant des mêmes sujets, soufflés par des rédacteurs en chef des médias Algériens portant l’uniforme vert kaki. «Aujourd’hui, cette presse est muselée, les journalistes arrêtés ou privés de leur passeport».
Ô peuple Algérien! Pardonnez à l’administrateur de la rédaction que je suis de m’adresser à vous par un écrit et non par des onomatopées. Tout cela pour tourner en dérision la façon honteuse dont vous êtes adressés à nous, peuple Marocain qui jamais ne vous a fait un quelconque mal, jamais ne se serait permis d’utiliser une tribune sportive de cette envergure pour la transformer en cour de récréation pour enfants mal éduqués.
Sans doute êtes-vous des supporters de frivolités, mais alors vous en êtes de bien piètres. Sans doute n’avez-vous fait que répéter ce que vos dirigeants (encore faudrait-il qu’ils méritent ce nom) vous ont demandé de dire. Sans doute n’avez-vous pas mesuré la portée de vos paroles.
Mais là où les choses deviennent graves -pour vous, pas pour nous- c’est qu’en vous comportant ainsi, vous donnez du grain à moudre à tous ceux qui de par l’Europe professent le racisme. Vous leur avez fourni un argument de poids, eux qui peuvent dorénavant s’abriter derrière votre comportement, en répétant à l’envi «racistes.
Pour terminer, c’est à l’ensemble du peuple Algérien et surtout à ceux qui lui servent d’élites que je destinerai mes propos : Aucun politique, intellectuel ou figure de votre société n’a fait entendre son désaccord. Aucun n’a rendu audible la moindre protestation contre votre honteuse attitude. Personne n’est venu se démarquer de vos insultes sur les réseaux sociaux.
Attention... à l'intention des Algériens, les plus curieux du sigle fantoche (dz). Regardez ci-dessous, malgré votre «vantardise arrogante», regardez votre maudit -Boukharouba-, devant son maitre, Sa Majesté le Roi feu Mohamed V, baisant la main que vous emmerdez les Marocains pour l'avoir faite en -une opportunité spirituelle-. C'est une main propre.! mais pas une sale botte.
D'autre part... Ce que je crois au sens propre, une nouvelle crise serait de mise à cause du possible 2e mandat de Teboune qui ne pourrait avoir la chance d'être plébiscité une nouvelle fois par les Algériens étant qu'il était venu à bord d'un camion militaire, dont l'ordre de mission n'était pas légitimé par les urnes?. Il était imposé par l'inhumé général (Gaid Ahmed Salah) assassiné sans faire ses adieux, avec lequel il partageait le goût du tabac à chiquer (Chemma).
J'en profiterai, de mon coté, de l'analyse de ce connaisseur des futilités d'Algérie, qui évoquait, en passant à la loupe analytique le mandat présidentiel de Teboune, s’interrogeant notamment sur le bilan de son mandat et sur les leçons qu'en devraient en tirer les Algériens.
De son avis, s’il fallait résumer brièvement et brutalement la situation de l’Algérie nouvelle, selon la formule communément empruntée à la junte, «est en train de s’effondrer sous les yeux des siens et qu’elle entraînera, probablement la France dans sa chute, sans doute plus fortement et subtilement que le drame algérien qui avait fait chuter en 1958, la 4° République en France».
Il n'y a plus à hésiter. Un constat grave, alarmant que le diplomate explique ainsi : «la réalité algérienne n’est en effet pas celle qu’on nous décrit». Ainsi «le régime corrompu de Bouteflika est tombé en 2019, et, après des soubresauts, comme dans toute révolution, l’Algérie issue du «Hirak béni» serait, dit-on, progrès, stabilité et démocratie».
Pour ce diplomate chevronné, c'est le début de la fin en quelque sorte du régime Algérien , car énonce-t-il, «après peut-être quelques semaines d’espoir, le régime a montré son vrai visage : celui d’un système militaire (formé aux méthodes Soviétiques), brutal, tapi dans l’ombre d’un pouvoir civil, sans doute autant affairiste que celui qu’il a chassé, obsédé par le maintien de ses privilèges et de sa rente, indifférent aux difficultés du peuple algérien».
La répression, c’est le mot qui claque comme un coup de fouet à plusieurs reprises dans cette tribune alarmiste d’un grand connaisseur du régime algérien. Il compare l’Algérie à une vaste prison où sont enfermés «non seulement les politiques, fonctionnaires liés à l’ancien régime –et auxquels l’Armée Algérienne doit son statut actuel–, mais aussi les journalistes qui ont eu le tort d’écrire des articles hostiles ou réservés sur le régime, et ceux qui, naïvement, ont posté sur les réseaux sociaux un jugement ou une opinion dissidente. début citation :
«L’Algérie va mal, beaucoup plus mal que les observateurs ou les rares journalistes autorisés le pensent ; les Algériens n’ont qu’une obsession : partir et fuir. Partir où, si ce n’est en France, où chaque Algérien a de la famille? On ne compte plus aujourd’hui ceux qui demandent un visa dans le seul but de ne faire qu’un aller simple, c’est-à-dire de rester d’une façon ou d’une autre en France avec l’espoir d’être un jour régularisé...
Ainsi, je suis très amer pour décrire sans aucune concession une réalité chaotique occultée, ignorée et volontairement minimisée par les autorités françaises qui veulent réussir leur réconciliation en cours avec le régime algérien.
Il insiste sur la corruption née de la rente pétrolière, le découragement non seulement des élites des grandes villes, mais aussi du peuple des campagnes et de l’Algérie profonde, découragement stimulé par la générosité de la France, font qu’à ce rythme-là peu de gens resteront en Algérie.
Le prix de notre aveuglement ou de nos compromissions s’appellera donc immigration massive, sans rapport avec ce qu’elle est aujourd’hui, islamisme conquérant, ghettoïsation de nos banlieues, repentance mémorielle », prévient ainsi le diplomate chevronné présenté, et reconnu aussi, pour être l’un des plus importants connaisseurs de l’Algérie et de ses complexités.
La France fait face à un double paradoxe : d’une part celui de l’alliance, autrefois contre nature, entre une armée antifrançaise et des islamistes qui nous détestent, les deux ayant en commun la haine de la France et la ferme volonté d’éradiquer les survivances linguistiques ou culturelles de la colonisation tout en nous faisant payer, par l’émigration et les excuses, le prix de notre passé colonial ; le second paradoxe est celui, soixante ans après l’indépendance algérienne, de traîner toujours et encore le problème algérien auquel précisément les accords d’Evian devaient mettre fin.
L’Algérie, en ce sens, a gagné le combat contre l’ancien colonisateur: elle reste un problème pour la France, elle s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chute. La IVe République est morte à Alger, la Ve succombera-t-elle à cause d’Alger? », prophétise enfin Xavier Driencourt qui avait occupé de nombreuses autres fonctions prestigieuses en étant l’ancien directeur général de l’administration du Quai d’Orsay et anciennement chef de l’Inspection générale des affaires étrangères
Pour l’ambassadeur, la crise politique en Algérie va s’accentuer dans les années à venir et produira certes des conséquences très dangereuses pour la stabilité même de la France. Il appelle en substance les dirigeants français et à leur tête le président Macron à adopter une «ligne de fermeté » considérée comme «la seule que l’Algérie comprenne, le rapport de force, plutôt que l’angélisme». Faute d’une telle attitude, l’Algérie posera énormément problème dans un avenir proche notamment à la lumière d’un 2e mandat de Teboune qui se profile à l’horizon.
Selon Mr. Xavier Driencourt, l'Algérie pousse encore plus loin son analyse de ce terrain hostile en appelant un chat un chat et en l’occurrence en précisant que cet «étranger» qui suscite une levée de boucliers du régime en place en Algérie est précisément incarné par la France. Driencourt sans oublie de citer le Maroc, mais pensant au jour très incertain où le régime algérien dépassera la rente mémorielle d’où il tire sa légitimité, ce jour-là, le pouvoir en Algérie sera lavé également de sa haine pathologique du Maroc.
Loin des discours de fraternité et de la trame d’une histoire renouée malgré les tumultes du passé, l’ancien ambassadeur invite ainsi à ne pas tomber dans le piège des apparences, car, juge-t-il, «la force de ce régime est de faire croire au monde que l’Algérie n’est peut-être pas une démocratie à l’occidentale, mais qu’elle s’achemine, selon ses moyens propres, vers un système un peu autoritaire, gentiment policier, mais sans jamais être une dictature» et de continuer...
«Nous croyons connaître l’Algérie parce que nous l’avons colonisée, mais l’Algérie nous connaît et nous possède bien davantage», poursuit-il, appelant à se garder des illusions, et à se méfier de l’euphorie qui pourrait prédominer en 2023 au lendemain de la visite présidentielle d’Emmanuel Macron l’année dernière.--Sans état d'âme ni scrupules..
Mr.Xavier Driencourt martèle une vérité: le système algérien tient sa légitimité du discours antifrançais, de (ses chouhadas..!) dont les chiffres sont hypertrophiés (voire truqués), Teboune parlant même de 5,6 millions d’Algériens tués par la France. C'était l'une de ses sorties spectaculaires de toujours.
Il disait bien 5,6 millions de tués, cependant le chiffre d'un million et demi était un chiffre fomenté, inventé par le maudit Jamal Abdenacer, lors d'une de ses visites à son gamin Ben Bella, tendant par cela, à glorifier le combattant Algérien qui n'avait pas encore, selon sa conviction, enlever ses bottes d'insurrection
Il sait aussi que les relations conjoncturellement apaisées entre la France et l’Algérie ne résisteront pas à la campagne présidentielle dans laquelle s’est déjà engagé Teboune. Et de prédire : «2024 verra inéluctablement une nouvelle crise, tant le discours antifrançais est le levain d’une campagne électorale réussie».
Mr.Driencourt fustige un «aveuglement» dans la croyance du gouvernement français qu’un simple déplacement officiel en Algérie ou le fait de céder «aux Algériens sur les dossiers qui leur sont chers, mémoire et visas» les fera gagner à la cause de la France. C’est «un leurre», conclut-il à ce sujet.
De son avis, Paris ferme «les yeux sur la réalité algérienne», et fait mine de croire «que le pouvoir algérien est légitime à défaut d’être démocratique, que le discours antifrançais est un mal nécessaire, mais transitoire, que la démocratie est un apprentissage qui prend du temps».
Car dans le discours rationnel et des arguments cartésiens brandis par la France, ces militaires au pouvoir voient, quant à eux, «inconsistance, naïveté, méconnaissance du système, et pour tout dire angélisme». C’est une gifle tonitruante que cet expert de l’Algérie inflige à son pays, en poussant la sévérité de ses propos jusqu’à dépeindre les coulisses du lendemain des visites officielles du président et des ministres français en Algérie.
Sans concession, Mr.Xavier Driencourt déployait son imagination jusqu’à imaginer «les regards échangés (entre les caciques du régime algérien) avec le sentiment d’avoir, une nouvelle fois, embobiné leur partenaire par un discours culpabilisateur». La crédibilité politique.. c’est à ce point précis de sa tribune que Xavier Driencourt questionne la position d’Emmanuel Macron, auquel il rend hommage dans un premier temps pour ses «propos percutants», alors qu’il dressait un portrait sans concession en octobre 2021 d’«une histoire officielle réécrite par Alger construite sur la haine de la France», qu’il dénonçait comme jamais aucun de ces prédécesseurs n’avait osé le faire auparavant «la rente mémorielle» et «un système politico-militaire fatigué».
Et de lancer un appel, à nouveau sous forme de question ouverte, invitant de manière pressante à des réponses, mais aussi à adopter une attitude différente, bien plus stricte: «pourquoi ne pas s’en tenir à une ligne de fermeté, la seule que l’Algérie comprenne, le rapport de force, plutôt que l’angélisme». Cette «sinuosité politique» aura, selon Xavier Driencourt, des conséquences et un impact sur la France, car «l’Algérie va mal, beaucoup plus mal que les observateurs ou les rares journalistes autorisés le pensent».
Ce mal-être peut d’ailleurs être chiffré et s’élève, rappelle le diplomate, à ces 45 millions d’Algériens qui «n’ont qu’une obsession : partir et fuir», dans le seul pays où «chaque Algérien a de la famille», la France, pour échapper à un pays ravagé par «le choix désastreux de 1962, la crise économique, la corruption née de la rente pétrolière, le découragement non seulement des élites des grandes villes, mais aussi du peuple des campagnes et de l’Algérie profonde».
Le constat est là, implacable, «peu de gens resteront en Algérie», et déjà les conséquences se profilent en France avec, pour prix de son aveuglement et de ses compromissions, «l’immigration massive, sans rapport avec ce qu’elle est aujourd’hui, islamisme conquérant, ghettoïsation de nos banlieues, repentance mémorielle». Comment réagira la France empêtrée dans un double paradoxe, celui d’une alliance contre nature «entre une armée antifrançaise et des islamistes qui nous détestent», et celui, soixante ans après l’indépendance algérienne, «de traîner toujours et encore le problème algérien auquel précisément les accords d’Evian devaient mettre fin»?
Mr.Xavier Driencourt dresse un avenir sombre du pouvoir en France, rongé par l’angélisme dans sa relation avec le régime d’Alger. A ses yeux, «l’Algérie s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chute. La 4e République est morte à Alger, la 5e succombera-t-elle à cause d’Alger et de son régime mafieux? Un interrogation qui resterait sans réponse tant l'Algérie est mise à l'oppression des militaires. fin de citation.
Souab wal Adheb : Un message à adresser à un, pseudo-humoriste Franco-Algérien, qui s'est moqué d'Achraf Hakimi..! Il ne s'agissait pas, bien sûr de Mohamed Fellag, le vrai humoriste Franco-Kabyle. Il s'agit autrement d'un sale Franco-Algérien, le fils d'un Harki certainement, se présentant comme chroniqueur, quelque part dans la presse jaune d'Algérie, qui s’est attaqué à Achraf Hakimi, le désignant, à de multiples reprises, comme le chien, le toutou de Kyliane Mbappé en aboyant.
Je vais être, une fois dans ma tangente de conteur, sciemment, délibérément, volontairement vulgaire contre un Français. D’habitude, je ne le suis pas. Mes parents et ma culture Marocaine m’ont appris à respecter les personnes, quels que soient leur niveau, origine et profil. Pas de mots qui blessent, qui humilient, qui gênent, même pas pour rigoler.
Mon lectorat me permettra certes, de me lâcher, comme l’avait fait ce pseudo-Franco-Algérien, de faire -fi- de toutes les valeurs humaines. Laissez-moi m’exprimer sauvagement, sans respect, bafouer toutes les règles de -Souab wal Adhab- du Marocain que je suis, la politesse et la courtoisie, dont chacun de nous Marocains est redevable vis-à-vis des autres pour tisser des liens de fraternité et de respect à autrui. Mais, pas de leçon exaltante sur la liberté d’expression.
De mon coté; je suis un libre, militant virtuellement pour la bonne foi et la démocratie, mais respectueux de l’être humain sauf la sale race d'à coté. Je sais où s’arrête ma liberté d'expression. Le respect de la devise Française «liberté-fraternité-égalité» derrière laquelle certains Franco-étrangers se cachent devra s’arrêter là où commence la dignité des autres nobles de nature.
Ces autres que le frivole humoriste Franco-Algérien ne doit pas les considérer comme une race inférieure à la sienne, ce qui ne lui donnera nullement pas le droit de les mépriser. Alors je m'adresse à ce connard qui suit certes mes écrits... «Je vais vous en servir de mes oignons. Alors riez aux éclats, à gorge déployée. Moi, je ne verse pas mes larmes, même si sont rares, face à des propos qui fragilisent le respect des êtres humains.
Certes, voyez-vous, c’est tout un peuple que vous avez humilié. Comment justifier votre hargne? Envie, haine, jalousie ou tout simplement la bêtise humaine d’un prétentieux, aveuglé par sa vanité, sa haine, son orgueil démesuré et son arrogance…embottant ainsi les pas de la junte de son pays d'origine l'Algérie. Faire rire des esprits étroits en humiliant de talentueux footballeurs Marocains, qui se sont distingués par leurs hautes performances, qui ont tenu le monde en haleine lors du Mondial 2022 au Qatar serait déplorable… Franchement vous êtes un lâche, un vrai froussard!
Vous devriez plutôt prendre exemple sur eux pour vous élever car vous êtes bien bas. Vous rampez telle une limace, gluant, incapable de vous élever en homme, en maitre chez lui, là où on ne peut pisser que sur ordre militaire. Vous devriez vanter l’effort déployé par ces footballeurs Marocains et les citer en exemple à vos auditeurs.
Merci, à l'humoriste à la noix de coco, de m’avoir permis de me transformer en bête sauvage, de m’exprimer sans limites, hors habitude de conteur, de cracher mon dédain avec un langage que je n’ai jamais utilisé, même pour un chien Algérien. Voilà ce que vous m’inspirez, un chien engagé par ses maitres militaires d'Alger pas plus. Non pas le chien, cette bête affectueuse, meilleur ami de l’homme, mais un chien errant en France, enragé, dangereux pour lui-même et pour toute personne honorable. Voyez-vous; il n’y a pas que vous qui êtes capable de déborder tel un égout puant.
Nous en sommes tous capables, mais nous nous interdisons de le faire car nous sommes bien-élevés à la grande école Royale. Alors revisitez votre humour douteux pour faire rire tes maitres Français et ceux d'Alger dans le respect de la dignité humaine. C’est le rôle de tout humoriste civilisé, pas par un pseudo-humoriste qui habite chez l'autre, hors de chez lui, là-bas en terre de "fierté et de dignité Taflikienne".
Prenez exemple du Franco-Belge -Raymond Devos- qui fait rire sans jamais heurter une sensibilité ou blesser une personne, juste en jouant avec les mots et les tournures de phrases. Mais pour y arriver là, il faut être intelligent, subtil, cultivé et instruit à la Gauloise! Quant à votre mentalité malsaine disant "Française", qui vous permettait de débiter vos âneries, elle devrait s’inquiéter de votre sort mal élevé de marque et de notoriété, entachée par vos propos. De pareils débordements ont été observés dans plusieurs médias après les exploits des «Lions de l’Atlas». C’est mesquin de votre part! L’humour a ses limites, sinon il devient anarchie! Des voix se sont élevées pour condamner les propos blessant l'innocence de tout téléspectateur. Mais apprenez que qui sème la haine la récolte».
Gloires-ma...On vient d’apprendre que la Fédération Internationale de l’Histoire et des Statistiques du Football (FIHSF) a honoré par pointage les meilleurs éléments de l'Equipe Nationale de foot après son exploit au Qatar 22. 1)Walid Regragui 3ème meilleur entraîneur du monde. 2)Yassine Bounou 3ème meilleur gardien au monde. 3)Hakim Zeyach 10ème meilleur joueur.
Nos exploits au festival mondiale de foot (Qatar 2022) épatent vos gouvernants, au point de vouloir mordre leurs doigts avec amertume. Et bien c’est raté : la banane est un fruit dont l’immense majorité des gens raffolent et nous, au Maroc, nous en avons l’immense chance d’en trouver sur tous les étals de nos commerçants et nous ne privons pas d’en déguster, au prix presque gratuit. Avec du banane nous nous s'amusons avec en chassant les singes dans la forêt d'Azrou. Votre dépit, à vous Algériens, doit être grand, car il est de notoriété publique que vous ne pouvez en procurer que dans vos rêves…!
Allez-y, vous Algériens, vomissez votre venin? dires-le à vos parrains militaires d'Alger et profitez de l'anarchie sévissant à votre Algérie en consommant le maximum de cocaïne des 701 kgs saisis à Oran le mai 2018 dans les mallettes du fils de Teboune et ses complices, ce qui a provoqué à l'époque une véritable vague d’indignation à travers toute l’Algérie .Bonne continuation
Cordialement,Chihab25
-----------------------------------------------------------------