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  • Le Bon voisinage sera-t-il un jour une réalité avec l'Algérie! Peut-être oui, si elle se débarrasserait de la tutelle des casernes!

                                                                   
                                                                                                   

                                                                                    L'Algérie blacklistée par l’UE (interdite!)

                                                                           

    Une petite entrée avant menu....Après la fuite de Bachar, les caporaux d'Alger lancent un seul cri de guerre: sauve-qui-peut! alliés inconditionnels d'Al-Assad, ils se découvrent soudainement allergiques aux refrains qu’il chantait si fort. Les caporaux font déjà leurs valises, parait-il, pour être les premiers à quitter le bateau qui va couler.                         

    Nombre de pays multiplient les «opérations mains propres». Pourtant, rien ne change à Alger, tant qu'on y peut rien faire devant la force des corrupteurs et des corrompus. Élément permanent du débat public et privé à Alger et à ailleurs, la corruption continue de démontrer sa résilience sur tout le territoire Algérien, surement parce qu’elle y profondément enchâssée et encrée dans les dysfonctionnements de l'État.

    «Si l'Algérie considère que le but selon lequel, les  Marocains auraient pour mission de déstabiliser l'Algérie, cela étant est faux et  une «pression de rêve», la vérité serait un but honorable de libérer les Algériens du gouffre de la junte du pisseur».

    L'interopérabilité diplomatique crédible est souhaitée davantage, partout au monde pour tout interlocuteur crédible. Le cas de l'Algérie ne l'est pas, et ne le sera jamais, tant que l'odeur de casernes persiste et rempli tous les espaces en Algérie. Tandis que le Maroc progresse et joue son rôle fondamental dans le renforcement du partenariat avec la communauté des pays du Sahel leur permettent de  favoriser leur accès à l'atlantique. 

    Grâce à l’initiative Royale pour l’Atlantique, le Royaume occupera la bonne place aux manettes des pays du tiers mondes et donnera, si nécessaire, le Savoir-faire Marocain à toutes les espèces humaines avec qui nous partageons la même vision de crédibilité politique constructive.

    Et à l'autre coté de cons, les gouvernants resteront submergés, chaque jour, par une marée tellement folle de mensonges et de propagandes.  Jusqu’au moment où le soleil se couche, quand nous enfilons nos pyjamas et chaussons nos charentaises, il n’en reste plus rien alors, que ce n’est une bouillie d’où n’émerge aucun fait concret. Et pourtant, il y a des conneries Algériennes qu’il faudrait garder en tête, dont il faudrait s’obséder pour acquérir une vision à peu près nette de sagesse  en respect de ce qui se passe autour de nous.

    Le Royaume demeurera ainsi en position d'humilité, soutenant les pays enclavés du Sahel,  à respirer librement, de l'atlantique.
    Un espace où les relations se sont concentrées pendant très longtemps entre le Maroc depuis son retour à l'UA et bien même avant et les États de l'Afrique de l'Ouest. Pour la Confédération de ces États, le divorce avec le mensonge Algérien est acté et remplacé par le sérieux Marocain...Mais que va changer l'initiative Royale pour le continent Africain? L'avenir le dira certes!
    Témoignage imminent ...Le témoignage d'un des ex-subalterne un (ancien officier Habib Souâdia), actuellement exilé en France donne froid au dos. Ce témoin oculaire qui servait sous les ordres militaire a vécu une des séquences criminelle et a consigné son témoignage dans un livre intitulé : «La sale guerre» dans lequel il témoigne de la sauvagerie des forces spéciales Algériennes.
     
    En 1994, alors qu’il n'était encore que colonel Chengriha, a commis un crime, de sang-froid, devant ses hommes. Il a sans raison exécuté un homme civil désarmé, d’une balle dans la tête. Cela étant, me rappelle, évidemment, de Algérienne, dans une perspective impériale en 1830, façonnée de multiples entités égarées et devenue la preuve de la nature créative humaine qui avait, à l'époque, perdu de sa valeur.

    Le livre, a été déterré par le journaliste algérien Hichem Aboud, exilé en France, dans une vidéo qu’il a postée sur sa chaine Youtube le 30/8/2021, permettant de dévoiler lieu et secret du crime. Le conteur, a été en effet, le témoin oculaire de plusieurs scènes macabres durant la décennie noire, déclenchée par le coup d’Etat électoral-1991 contre la victoire du FIS (Front islamiste du salut) de Abassi Madani et Ali Belhaj.

    La parution du livre était très importante, parce qu’en 2001, rien ne destinait Saïd Chengriha à être l'uniforme de l'homme fort, dans laquele il a été catapulté en décembre 2019, suite au décès «surprise» du maudit général Ahmed Gaïd Salah. Ce qui rend d’autant plus crédible le témoignage de quelqu'un de la maison.

    L'auteur décrit qu'«au mois de juin 1994, je cite : J’ai reçu l’ordre du colonel Chengriha, de l’accompagner dans la wilaya de Bouira, en Kabylie. Je constatais en général, la peur dominant les hauts gradés, dont Chengriha.

    Dès le début, nous croisions un homme... Je le pris en joue avec ma Kalachnikov, tout en le sommant de lever les bras.  L’homme était en fait sorti pour acheter des allumettes. C’est alors que Chengriha descendit de sa voiture et ordonna de procéder à la perquisition de son domicile. Aussitôt entré, un coup de feu éclata et j’ai été le témoin direct d’assassinat. Ceux qui pratiquaient les exécutions étaient des militaires venus d’Alger».

    Activités délictueuses. : En 1994 donc, et en pleine Kabylie, Chengriha a exécuté froidement et sans raison un civil désarmé. Il n’a jamais démenti les faits rapportés en 2001 par son subalterne Habib Souâdia. Seul un officier sans morale et sans honneur peut tirer froidement sur un homme désarmé. Et c’est ce même gradé, entaché par un crime qui déshonorait toute l’Algérie, que dirige aujourd’hui la  junte d'escrocs .

    Deux autres généraux, aux mains entachées de sang pendant la décennie noire, composaient avec l'inhumé Khaled Nezzar, de Chengriha et Toufik chef du DRS, le triumvirat qui dirigeait l’Algérie. Tous considéraient l’Algérie leur domaine privé. Avec les recettes qu’ils ont appliquées en crime, sont dépassés par les mutations du monde actuel et freinent l’essor de l’Algérie. La place de ces deux criminels de guerre qui en restent encore en vie, ne doit pas être au gouvernail du pays, mais dans une cellule de prison ou enterrés dans une fosse commune.

    «J'ai envie de dire, l'Algérie est crée d'une dynamique sauvage, apolitique ne relevant pas de l’utopie, l’histoire ne peut être décrétée selon son vouloir d’Etat normal, de même qu’elle ne tolère jamais que l’on mette la charrue avant les bœufs».

    Peut-être serait-il plus pertinent, et ce bien avant de spéculer sur l’intérêt géopolitique, de voir dans quelle mesure la dimension Algérienne de mal pourrait constituer un socle solide et inébranlable pour une région prétendant devenir l'endroit de quiétude de ses populations.

    La liberté sans scrupules!...Un influenceur manipule son audience pour son propre intérêt pécuniaire. Sa manière attirait des Algériens sans scrupules, arrogants, abjects, insultant gratuitement le Marocain, capables de tout pour l’argent et pour plaire à la junte aux commandes.

    Un avocat Algérien engagé évoque la liberté d’expression dans son pays. De quelle liberté parle-t-il? Pas de celle pour laquelle plusieurs générations locales, surtout en Kabylie, ont milité afin d'instaurer, localement, une vraie démocratie, dénoncer les abus, contribuant au respect des droits de l’Homme et pousser l'Algérie à l’évolution politique, et pas à l'isolement comme elle l'est aujourd'hui!…

    Avant, les personnes politiques qui influençaient étaient respectables et respectueuses, crédibles, connues pour être performantes dans leur métier et ayant des comportements exemplaires. Aujourd’hui, on parle en Algérie d’influenceurs, dont certains sont des dépravés, aux mœurs douteuses.

    Le comble, c’est que plus ils sont vulgaires et injurieux, plus ils font le buzz, et  gagner de l’argent! «Les réseaux sociaux sont un tremplin qui peut offrir une audience massive, des opportunités lucratives et une reconnaissance sociale instantanée.» Certains se défendent en prétendant faire de l’humour noir.

    La quête de célébrité rapide et du gain motivent la diffusion de discours haineux, d’informations erronées, de polémiques, de scandales contre la Grandeur Marocaine… Beaucoup d'Algériens, dont un fou jurait sur sa gueule que le Prophète «Sidna Aissa Ibno Maryem (asws)» était un simple forgeron quelque part en Algérie, créant exprès des conflits internes pour insulter, avec une extrême vulgarité le Maroc…!

    Par contre chez nous, le leadeurship Marocain suscite des sentiments honorables variés à travers le monde, provoquant la myopie Algéroise. Certains pays accueillent son retour à l'UA avec appréhension. Un retour bienvenu, entrevoyant de nouvelles opportunités diplomatiques notamment en Afrique, portant avec lui une ambition explicitement affichée de remodeler le système des pays amis Africains. Parmi ces partenaires stratégiques, émerge naturellement le Royaume comme acteur clé en Afrique, renforçant ses positions dans les cercles géopolitiques les plus influents.

    Après la chute du régime Al-Assad, tous les regards se tournent vers son «alter ego»,(الانا البديلة) le système algérien. Au suivant, disent aujourd’hui en chœur les rebelles et les diasporas réunis, qui ont indexé le régime algérien comme la dernière dictature à abattre. Paniqué, le régime algérien, qui a soutenu jusqu’au bout les Bachar, a réagi en tournant casaque pour se solidariser avec le «diable» désireux, uniquement, affaiblir le Maroc et lui porter préjudice.

    Cherchant, vainement, un leadeurship introuvable, qui repose sur le pétrole et le gaz, l'Algérie joue des coudes pour se faire une place dans l'Eldorado Africain, elle n'y arriverait jamais pour entacher ou concurrencer le Maroc dans sa grandeur!.

    Le changement en Syrie va-t-il mettre terme à l'axe-anti-Maroc (Damas-Alger!) et la redistribution géopolitique des cartes va-t-elle mettre fin au conflit artificiel autour de la Marocanité du Sahara, dont la vision Royale s'obligerait, tôt ou tard, d'ouvrir, l'autre dossier du Sahara Marocain Oriental.

    Quoi qu'il en serait : ça va trop barder à l'avenir avec la folie Algérienne qui ne sait sr quel pied danser et s'armer de crédibilité pour y trouver, la sortie adéquate, de ses périodes menstruelles propagandistes. et de sa maladie leadeurship contre la supériorité diplomatique Marocaine?.

    La lâcheté à ses combles...Le caporal Chengriha, baptisé en général de racaille de Hitistes¹, est un lâche de son temps, un type, sans dignité ni courage, tant qu'il s'est permis d'encrer dans son livret militaire, «l'Apostat brillant», le «voyou de premier rang de la racaille Algérienne» dite armée!.

    Il a pris la fuite durant les batailles Amgala² au Sahara Marocain. Ce n’est pas étonnant de la part d’un héritier de la barbarie Algérienne, telle qu’elle lui a été enseignée par ses maitres de mal de l'écurie d'AlMouradia d'Alger.

    Il est un minable qui patine dans le vide à un rythme soutenu, dans une Algérie, devenue une infrastructure d'ennuis, symbole de tous les maux à son voisinage et ailleurs surement!. Tétanisé par la chute fulgurante de son allié Syrien, son régime militaire entier craint de subir le même sort!

    Ce voyou est interpelé pas son passé de criminel de guerre.  Il serait bel et bien un des exécutants de cage de la décennie noire (1991-2001) qui a ensanglanté l’Algérie. Il est aujourd’hui rattrapé par son passé d’assassin-pisseur, le passé qui donne froid au dos, raconté par le témoignage d'un  de ses ex-subalternes . 

    Particularité-ma : Sur YouTube, on peut trouver des animations cartographiques qui résument l’évolution de l'Empire Marocain sur mile ans d’histoire. Si l’on pouvait en faire de même pour la région du Maghreb, nous verrions de manière limpide que tous les empires qui se sont succédés l’ont fait dans un mouvement d’expansion maximale (AlMowahidine et AlMourabitine) jusqu’au Royaume Alaouite actuel.

    Ce Grand Royaume, qui de contraction et de perte de ses territoires amputés, dans une logique cyclique, apparaît, dès lors, évident qu’il s’agit d’un Royaume unique vivant, animé par des impulsions dont il était et y est encore, le cœur et le noyau centralisateur de toute la région.

    De même, des reliquats du passé colonial de l'Algérie Française et ses prismes idéologiques actuelles, désormais anachroniques, font qu’un pays comme l’Algérie continue d’entretenir des foyers de tensions et d’entraver aussi bien la paix que le bon voisinage entre les pays de la région. 

    Car là où l’Algérie pourrait de par sa position géographique jouer un rôle de relais politique en vue de fonder une grande union, elle choisit faire cavalier seul, au détriment de l’intérêt collectif au détriment de ses propres intérêts!

    Mais cela parait somme toute logique, dès lors que l’on pose le bon diagnostic. A savoir que le blocage ne réside pas dans le peuple algérien que Sa Majesté le Roi a qualifié à plusieurs reprises de «Peuple frère», mais dans un régime qui phagocyte tout le potentiel de prospérité du peuple algérien.

    Un régime qui, à travers une propagande haineuse, n’hésite pas à distiller une haine du Maroc au sein de sa propre population par pur calcul politique. Le Hirak en Algérie aurait pu faire bouger les lignes si le Covid n’était pas passé par là.

    Et l’on voit bien que la récente escalade de tensions diplomatiques enclenchées par Alger à l’encontre du Maroc ne visait, au fond, qu'à éviter la résurgence d’un nouveau Hirak, d’un vent de changement salutaire pour tout le monde dans la région, sans violence et sans bain de sang.

    Une vieille stratégie comme le monde  qui sévissant dans la mentalité des gouvernants Algériens : «la diversion, ou l’invention d’un ennemi extérieur, pour occulter et faire taire les contradictions internes».

    Le régime d'Alger semble perdre pied dans sa brouille avec toute la crédibilité et la raison diplomatique !. Jusqu’à quand, une poignée de caporaux continuera-t-elle à prendre en otage un peuple en Algérie?. En attendant n'importe quelle réponse...«le Maroc trace son chemin, et se tient prêt à tout moment à rejouer son rôle historique millénaire, celui d’être un pôle régional et un centre d’impulsion de dynamiques intégratrices». Bonne lecture.

                                                                              Cordialement, Chihab25

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    ¹Hitsite c'est le chômeur Algérien qui met le dos face au mur, tout au long de la journée. 
    ²Les batailles d'Amgala (  au Sahara Marocain, où des unités-dz anéanties, avec 106 prisonniers