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Ce que je crois - Page 44

  • Maroc-Algérie : Genève, c'est pour rigoler un peu..! (paroles MAE-dz Messahal)

                                                                                     

           

                                                                 Palais des Nations à Genève

    Pas d'interlocuteurs.. Prédire,c'est pas facile!. Hé voilà, mes pronostiques sur la table ronde de Genève autours du problème régional du Sahara Marocain, s'approchaient, ou presque, de ce qui s'est passé au palais des Nations à Genève pendant le deux jours (5-6/12/18) sous l'égide des Nations Unies.

    «L’Algérie prise la main dans le sac et bat de l'aile -AKE Messahal crispé, -Kohler fait le bilan -L'ONU maintient le tempo -le Maroc exprime ses réserves -Les élus du Sahara traités de "traîtres" par les séparatistes d'Alger -Nouveau rendez-vous pris pour début 2019».

    Un rendez-vous de plus, qui sera pour Messahal une autre occasion pour rigoler davantage. Rigoler, voir se moquer du sérieux, c'est  de l'intelligence aveugle, l'ignorance et le rejet de l'autre, ce sont les symptômes d’égoïsme, d'orgueil et d'arrogance qui affectent la mentalité Algérienne.

    Faut-il souligner que les algériens, pas tous, surtout ceux du nord et du cente d’Algérie, sont particuliers de nature, ils sont seuls dans la région nord-Africaine qui portent les maladies de - supériorité et de leadership -.

    Une particularité exprimée explicitement devant tout le monde, dans ce cas de Genève par Messahal, car pour lui et pour ces commanditaires d'Alger, cette table-ronde de Genève ou celle qui suivra ne valent  pas la chandelle pour alimenter la bête politique de l'Algérie dans ses divergences avec Maroc..!.

    ُEn fait, les mauvais calculs des services secrets algériens des temps de Ben Bella, Boukharouba et de Boutefrika, la précipitation excessive et l'hyper arrogance des dirigeants Algériens (parti de France) sont à l'origine de tous les maux du Maroc avec l'Algérie.

    Les principales graves erreurs d'Algérie, souvenez-vous se caractérisaient par -la guerre des sables,-le problème du Sahara Marocain, -les événements de mars 1973 et -l'agression barbare de l’hôtel ASNI à Marrakech en 1994 suivie par la fermeture unilatérale de la frontière.

                                                                                                                                              Mr.Hörst Kohler 

    Quoi de neuf..?.Je vais pas rentrer dans les détailles, par manque de capacité journalistique de ce que disait l'un et l'autre, mai je préfère analyser à ma modeste façon de pessimiste le bilan de cette première rencontre de rigolade .

    Ce n'est pas moi qui le dit.c'est le charlatan de la diplomatie Algérien de mensonges et de rigolades  - AEK Messahal - qui, reflétant la position de ses parrains d'Alger, se moquait, dès le premier jour, de cette rencontre de Genève, une rencontre importante recommandée par le Conseil de sécurité dans la résolution 2440, qui, dans son paragraphe 2 assigne à cette table ronde «un objectif précis qui est de parvenir à une solution pragmatique, réaliste et fondée sur le compromis».

    Après ces premières discussions à Genève, le Maroc et l'Algérie pour ne pas dire ses mercenaires du Polisario ont prévu de se revoir début 2019 pour parler du statut du dossier de discorde sous les auspices de l'ONU, qui espère pouvoir relancer des négociations difficiles.La poursuite s’annonce d’ores et déjà compliquée alors que les parties continuent de camper sur leurs positions.Rien n'est encore mis en exergue.

    Six ans après l’échec de négociations directes, le Maroc et l'Algérie, qui se sont fait la guerre jusqu’au cessez-le-feu de 1991, ont participé pendant deux jours au Palais des Nations, siège de l’ONU à Genève, à une table ronde sous la supervision du représentant personnel de Mr. Guterres en présence du représentant de la Mauritanie en sa qualité d'observateur-témoin.

    La tenue de cette table ronde intervient dans un contexte marqué par la montée du soutien apporté à la position du Maroc et à son plan d’autonomie dans les provinces du Sud.

    Elle intervient aussi par la présence de l’Algérie à Genève. C'est une nouveauté significative puisque le Maroc a toujours monté des doigts son implication dans les efforts Onusiens, compte tenu du soutien politique, diplomatique et financier qu’elle apporte à ses séparatistes.

    D’ailleurs, dans sa résolution 2414 du 27 avril 2018, le Conseil de sécurité avait demandé aux pays voisins, et donc à l’Algérie, d’«apporter une contribution importante au processus et de s’engager plus fortement pour progresser vers la solution politique».

    Ces développements positifs confirment la conviction croissante quant à la justesse et le bien-fondé de la position de notre pays. Une conviction confortée par le dernier rapport du SG de l’ONU d'octobre dernier qui a préservé tous les acquis du Maroc, consolidés par les résolutions précédentes, à savoir la prééminence de l'initiative Marocaine d'autonomie, le caractère sérieux et crédible des efforts du Maroc.

    En tout cas, la réponse positive du Royaume, à l’invitation traduit son soutien constant aux efforts du Secrétaire général et de son Envoyé personnel pour la relance du processus politique.

    C’est dans ce contexte favorable que le Maroc participe à la table ronde de Genève avec clarté et foi dans la justesse de sa cause. Une clarté qui procède, comme l’avait souligné Sa Majesté le Roi dans son discours de la Marche verte(6/11/18) des principes et référentiels immuables.Ce sont ces mêmes fondamentaux qui ont constamment guidé l'action de notre pays jusqu’à présent»  

                                   Ce qu’il faut retenir de la table-ronde

    Une ambiance..Il suffit de voir les visages détendus des délégations, des nôtres en particulier, ayant pris part aux pourparlers pour se rendre compte que la table ronde s’est déroulée,dit-on, dans une ambiance sereine. 

    Un 2e round..Les quatre délégations ont convenu de participer à une deuxième table ronde, selon le même format, qui aura lieu au premier trimestre de 2019.

    L’Algérie impliquée..Alors que jusqu’ici, l’Algérie se considérait comme un «simple» observateur dans le processus des négociations, la table ronde de Genève a définitivement intégré l’Algérie comme partie prenante des pourparlers.

    Les élus légitimés..La délégation marocain à Genève a brillé par la participation d’élus sahraouis. Tous les trois ont pris part activement aux discussions de Genève, «ce qui constitue une consécration irréversible de leur légitimité démocratique».

    Plans enterrés.. Mr.Hörst Kohler,l’envoyé personnel du SG de l’ONU confirme l’enterrement définitif de tous les plans précédents proposés par l’ONU. Le processus onusien redémarre donc sur de nouvelles bases.

    Mr.Köhler optimiste..Lors de son point de presse, il n'a pas caché son optimisme à l'issue de la table ronde. déclarant qu "Une solution pacifique à ce conflit est possible et que personne ne gagne à maintenir le statu quo".

    Faut-il rappeler pour l'occasion, à ceux qui en doutent encore, les 4 fondamentaux irréversibles de la position Marocaine, soit avec ou sans Genève.

    Collationnement..Le Maroc a toujours insisté sur son attachement au processus onusien, conformément aux fondamentaux de la position du Maroc, précisés dans les Discours Royaux à l’occasion de la commémoration des 42e et 43e anniversaires de la Marche verte.

    1.Aucun règlement de l’affaire du Sahara n’est possible en dehors de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, et en dehors de l’Initiative d’autonomie, dont la communauté internationale a reconnu le sérieux et la crédibilité.

    2. Les expériences passées devraient permettre de méditer sur une évidence : le problème n’est pas tant de trouver une solution à cette affaire, mais plutôt d’arriver à définir le processus à suivre pour y parvenir. Il appartient, donc, à l'Algérie et à personne d'autre, d’assumer pleinement sa responsabilité dans la recherche d’un règlement définitif.

    3. Le plein respect des principes et fondamentaux retenus par le Conseil de sécurité pour le traitement de ce conflit régional artificiel ; l’organe onusien étant, de fait, la seule instance internationale chargée de superviser le processus de règlement. Tans dis que Smail Chergui, le jockey algérien et l'ex-jeton Sud Africain Dlamini Zuma qui misaient en vain sur leur "cheval de Troie" Joaquim Chissano, ex-président Mozambicain en tant qu'envoyer spécial de l'UA au Sahara, doivent chercher ailleurs.(Pourquoi pas en Kabylie ou en M'zab).

    4. Le refus catégorique de tout dépassement ou tentative de porter atteinte aux droits légitimes du Maroc et à ses intérêts supérieurs, de toute proposition obsolète visant à écarter le règlement de ce différend du référentiel du Conseil de sécurité. 

    5. Confirmer la responsabilité directe de l’Algérie dans ce conflit et l’impliquer dans le processus politique de règlement de la question du Sahara ;

    6. Impliquer les élus Marocains du Sahara dans la table ronde en leur qualité de véritables représentants des populations locales et casser le mythe du Polisario comme leur représentant légitime ;

    7. Soutenir l’application de la résolution Onusienne 2440 qui conforte le plan crédible de sortie de crise proposé par le Maroc, le projet d’autonomie de 2007. 

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                                                          Il en reste que  des chaussures pour rentrer au Maroc

    Analyse en profondeur.. Tous les points que j'énumérais là-dessus sont le miroir et le panier dans lesquels Mr. Hörst Kohler met tous les œufs d'espoir et de désespoir pour mener à bien une mission très délicate, une mission passée au cribles par 4 envoyés spéciaux au Sahara, M.Peter Van Walsoum/James Beker1/James Beker2/Christophe Ross.

    Sachant que c'est les deux derniers entachés de pétrodollars algérien; qui l'ont compliquée pour quelle devienne presque moisie aux étagères de la 4e commission des Nations Unies.

    Que dira-t-il Mr. Antonio Guterres à la veille de "l'épouvantail" rapport périodique, que doit présenter au Conseil de Sécurité au mois d'avril prochain comme en a l'habitude de faire chaque année?.La réponse ne sera pas forcement un poisson d'avril car cette fois-ci l'ONU passera au sérieux et la volonté de Mr.Hörst Kohler de parvenir aux vraies négociations est plus grande que la mauvaise foi des Algériens. D'ici là, la volonté divine interviendra pour interpeller les démons du cimetière Al Aâli d'Alger pour qu'ils ouvriront la tombe et enterrer le cadavre d'un sale ingrat.

    A part ça, Mr.Hörst Kohler  sera contraint de passer par les ronds de Manhattan sans arriver au concret.Toutefois, si les deux parties -Le Maroc et l'Algérie - n’excluront pas de reprendre, à nouveau, les pourparlers. L'échec probable des négociations à huit-clos amènera Mr.Kohler à faire de nouvelles tournées dans la région, afin de «consulter davantage les parties prenantes».Et on reprendra des épisodes inutiles.

    C'est comme ça, que je vois le pessimisme dans cette affaire.Et j'en profite de cette occasion pour rappeler aux Algériens, gouvernants et autres, que le problème de notre intégrité territoriale nous a appris la nécessité de voir les choses par l’œil Marocain pas par la myopie des autres. Je leur passe la phrase irréversible suivante, sculptée dans tous les cœurs Marocains. «Aucun règlement de l’affaire du Sahara n’est possible en dehors de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, et en dehors de l’Initiative Royale d’autonomie, dont la crédibilité reconnue par la communauté internationale».

                                                                                           -:-

                        Une diplomatie aveugle contre les courants 

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                                                                             AKE : La mule d'Alger

    Le symptôme-dz  (arrogance).. Quant à l'Algérie, elle a son propre scénario qui convient à l'anarchie et le statu quo à cause de la vacance du pouvoir.On s'attend pas de miracles d'Alger, tant qu'il n'y a pas de décideurs responsables qui tranchent au nom de la haute magistrature du pays. Dans ce contexte et normalement, c'est Abdelkader Messahal, le pseudo-ministre des affaires étrangères de l'Algérie qui se met à l'écran.

    En effet, le premier jour, à sa rentrée au palais des Nations de Genève où s'est tenue la table-ronde de Mr. Kohler, Ce Abdelkader Messahal soufflait aux journalistes, avec grimace "On est venu pour rigoler un peu" (sic). Hé bien oui, rigoler, comme faisaient ses maîtres décideurs d'Alger depuis plus de 56 ans sur les mentons des algériens. Il a droit de faire, tant qu'il est le représentant du gouvernement de marionnettes d'Alger.

    Les Algériens méritent en son temps tous les mépris et humiliations et méritent aussi d'êtres la rigolade du monde."Oui, si la réponse de Messahel était ainsi d'une telle impolitesse, d'humiliation et enfantin, c'est parce qu'il est un simple technicien d'école professionnelle, connu partout, comme vergogne et qui n'a rien à voir avec la diplomatie.

    Les Ait Bouteflika (Said et Naceur et les sorcières de la résidence présidentielle Zeralda) qui détiennent actuellement les ficelles du destinée de l'Algérie auraient lui ordonné de participer au nom de l'Algérie, sans engagement aucune, marquant uniquement présence de l'Algérie (!), en attendant l'imprévu, éventuellement du miracle : 

    «-Combler la vacance du pouvoir par un des leurs en prolongeant la momification du cadavre - Pousser le bouchon au fond par mise en ouvre 5e mandat au profit de l'absent - Reporter les présidentielles 2019 - Faire appel à l'ancienne garde (Belkhamej) pour contrecarrer la vague d'Ouyahya -Attendre, s'il plait à Dieu, "feu vert" du cimetière Al Aâlia d'Alger  ».

    Je disais quelque part en blog que AEK Messahal garde le troupeau de la sorcière. Effectivement, cela rentre dans les contributions des dirigeants algériens qui ne font que marcher les" affaires courantes" du pays dans l'attente de l'incertain qui, dans le meilleurs des cas, menace la continuité du royaume de Tlemcen, dont dépend la dynastie  - Ait Bouteflika  et ses valets de chambres  en autorité-.

    Les décideurs Algériens ont envoyé Abdelkader Messahel à la table ronde de Genève pour y participer à la résolution du "dilemme" qui perdure depuis plus de 45 ans et qui a dévoré le corps du peuple algérien et déversé son sang à Tindouf pour une affaire d'expansion perdue et un leadership jamais acquis.

    Officiellement, le pouvoir Algérien campe, de nature, dans un champ particulier de haire et d'hostilité, à cause de défaites endossés par l'armée Algérienne dans la "guerre des sables 1963, et dans les Amgalas 1976, dont les malaises ronronnent et piquent encore les tympans des Algériens - surtout de la première génération de l'indépendance - et enfoncent davantage Alger, avec ses autres générations, dans des illusions interminables de vengeance contre le Maroc. 

    Revers cuisants..Pour la première fois en quarante ans de conflit autour du Sahara, l’ONU traite l’Algérie comme une partie prenante de ce conflit. Ce pays s’est, en effet, toujours considéré comme un simple «observateur».Un faux slogan épluché par la réalité, comme s'était le cas de "territoires libérés pour le polisario.

    Quelques heures à peine avant l’ouverture de la table ronde sur la question du Sahara, l’Algérie a essuyé deux revers cuisants. D’un côté,Mr.Ahmed Ould Sidi Baba, l’ancien ministre des Affaires étrangères Mauritanien sous le président Mokhtar Ould Dadda,  a fait une déclaration pour le moins gênante pour le voisin de l’Est. Il a ainsi divulgué des informations inédites concernant une rencontre entre le président de son pays et son homologue algérien, au moment où ce dernier préparait la guerre des sables contre le Maroc. Soit bien une décennie avant la création du Polisario.  

    Le deuxième revers vient de l’ONU qui a bien corrigé sa vision au problème du Sahara mettant au clarté le rôle de l'Algérie dans ce conflit, l'impliquant ouvertement au coté de son Polisario, en parties concernés.

    Ce n’est plus le cas. En effet, dans sa déclaration officielle, quelques heures avant cette table ronde, l’adjoint du porte-parole du SG des Nations Unies n’a fait aucune distinction entre le Maroc, le Polisario et l’Algérie qu’il a présentés comme des parties du conflit.

    De même, poursuit ce responsable, que Mr.Antonio Guterres «réitère son soutien indéfectible à son Envoyé personnel et ses efforts pour relancer le processus de négociation conformément à la résolution 2440 du Conseil de sécurité du 31 octobre 2018».

    Par ces déclarations, l’ONU rejette ainsi les thèses du Polisario et de l’Algérie qui ont toujours nié à cette dernière, toujours présentée comme «un observateur», son rôle principal dans ce conflit, en tant que partie prenante. Le responsable onusien a également exhorté, au nom du SG, chacune des parties, y compris l’Algérie, à s'engager de bonne foi, sans conditions préalables et dans un esprit constructif dans les discussions.   

    Le Maroc prenait part à cette table ronde tout en étant convaincu de la justesse de sa cause nationale et confiant quant au processus onusien. La participation marocaine à cette table ronde, qui ne peut en aucun cas être assimilée à des négociations directes est l’expression concrète de l’adhésion du Maroc à la dynamique de relance du processus politique, lancée par le SG de l’ONU, en collaboration avec son Envoyé personnel, encadré par la résolution 2440 du Conseil de Sécurité.

    Le clap de fin..Enfin je pose la question : «La prochaine rencontre sera-t-elle davantage fructueuse?».Sachant que Mr.Horst Kohler est soutenu par la communauté internationale et notamment par les Etats Unis d'Amérique. Il compte ainsi contenir le tempo avec deux friefings programmés au Conseil de Sécurité avant fin avril de rapporter de l'avancée des pourparlers.

    On retiendra que c'est la toute première rencontre du genre où l'Algérie est non pas un pays observateur mais une partie prenante au conflit autour du Sahara. Le ton avait d'ailleurs été donné par l'ONU bien avant le lancement de ces discussions

    Nous souhaiterons, en parallèle, que la volonté divine en participera à la préparation par l'enterrement définitif du cadavre-Taflikien émettant, de jour en jour, de mauvaises odeurs aux alentours du palais d'Al Mouradia et de la résidence présidentielle Zeralda à Alger et on entendra certes, «le clap de fin» de l'empire du mal d'Oulad Mansouria, l'ex-gérante du bain maure d'Oujda et la fin de la main mise de la junte au service du pouvoir qui se trompent tous d'analyse sur ses enjeux avec le Maroc depuis plus d'un demi siècle d'apprentissage politique.

    Et pourtant les dirigeants algériens ont les têtes dures en politique étrangère. D'aprés ce qu'ils ont fait pendant toute la vie de l'Algérie de 1962, on trouve, ici et là, que des fresques murales mal peintes, entachées de la mauvaise odeur du tabac à chiquer (Chemma) avec "made in Algéria".Toutes leurs œuvres représentaient, malheureusement  des figurations politiques, pleines d'orgueil,d'arrogance, affichant  plus d'air désespéré en politique étrangère avec tout le monde, pour ne pas se limiter au voisinage. Bonne lecture

                                                                              Cordialement,Chihab25

    --------------------------------------------------------------------------------------------------ImportantUn Témoignage cuisant sur le parti de France en Algérie (ex-caporaux de France devenus généraux pour gouverner l'Algérie indépendant - Abdelhamid Ihrahimi).