2).-Algérie : Les ingrats déverssent les larmes de crocodile..?
15 NOVEMBRE 2013
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Carnets de commerce diplomatique..Ramtane Lamamra, ministre des affaires étrangères de l'Algérie, marque ses premiers pas dans l'hypocrisie algérienne et revient au testament d'Abuja de son mourant , il rentre par une autre porte, qui l'ouvre à sa guise, à chaque fois que nécessaire; c'est l'issue habituelle de la diplomatie algérienne qui la manipule en cas de détresse. En fouillant dans les carnets de commerce diplomatiques de son prédécesseur Mourad Medelci, il trouve que la fondation Robert.F Kennedy écrit à John Kerry à la veille de sa visite au Maroc après avoir annulé celle de l'Algérie. Lamamra veut manger de l'ail avec la bouche de la frivole et ivrogne Kerry Kennedy, faisant savoir aux siens le contenue que lui avait soufflé, à son arrivée à la tête de la diplomatie algérienne., je cite :
«««Monsieur le Secrétaire Kerry:..Nous vous écrivons au sujet de votre visite diplomatique au Maroc le 7¹ Novembre ainsi que la prochaine visite du Roi Mohamed VI à Washington le 13¹ Novembre(dates erronées). Nous croyons qu’il est impératif que le dossier des droits humains sahraouis se doit d’être une priorité diplomatique pour le gouvernement américain.
Comme vous le savez, le Sahara occidental a été occupé par le Maroc depuis 1975, en dépit du fait que les Nations Unies et la grande majorité des pays n’ont jamais reconnu la souveraineté du Maroc sur la région. Le référendum permettant au peuple sahraoui d’avoir la possibilité d’exercer son droit à l’autodétermination a été promis en 1991¹ par le Maroc et la communauté internationale et à ce jour, cette promesse n’a pas été respectée.
Nous avons tous les «deux²» visité le Sahara occidental et dans les camps de réfugiés en Algérie où des milliers de Sahraouis vivent en exil. Nous avons écouté les témoignages de première main sur de nombreuses violations des droits humains commises par l’État marocain. Nous avons entendu des rapports directs de nombreuses victimes sahraouies sur les disparitions forcées, la torture, les arrestations arbitraires, la brutalité policière, l’intimidation, la surveillance et les coups. Ces exactions se poursuivent sans relâche, en partie, parce qu’il n’y a pas de groupe ou mécanisme international sur le terrain pour surveiller les violations.
La Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO) est la seule mission de maintien de la paix des Nations Unies créée depuis 1978² qui n’inclut pas un mandat pour suivre et signaler les violations des droits de l’homme. Le Maroc a constamment bloqué la création d’un tel mécanisme. Au printemps dernier, le gouvernement américain a joué un rôle crucial dans la protection des droits de l’homme des Sahraouis en proposant qu’un mécanisme de surveillance des droits humains soit ajouté au mandat de la MINURSO. Cette proposition n’a pas été adoptée, mais nous espérons la voir de nouveau discutée lors du renouvellement annuel du mandat de la MINURSO.
Nous vous remercions de l’engagement continu du secrétariat d’État pour corriger la atteintes aux droits humains du peuple sahraoui, et vous demandons d’exhorter le gouvernement marocain d’accepter un mandat des droits de l’homme de la MINURSO et à adhérer au référendum promis de longue date pour permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination»»».fin de citation.
John Kerry au Maghreb..La visite que devait effectuer en Algérie le secrétaire d’État américain, John Kerry, a été annulée a annoncé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, dans une déclaration à l’APS. Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a reçu, disait-il, une communication téléphonique du secrétaire d’État américain, John Kerry, qui l’a informé que le président Barack Obama lui a demandé de se rendre à Genève dans le cadre des négociations en cours sur le programme nucléaire iranien.
Peu importe, ce sénateur du Massachusetts et président du Comité des affaires étrangères au Sénat Américain, un poste qui lui permettait de coordonner avec Susan Rice, l'ex-ambassadrice US aux Nations Unies, loin des yeux de Mme Hillary Clinton, alors Secrétaire d’État aux affaires étrangères, et d'en profiter de l'offrande «pétrolière» algérienne pour soutenir le mirage dit " peuple sahraoui". Il prenait cette position de mauvais esprit, sans pour autant, se concentrer sur l'origine du problème artificiel du Sahara Marocain, ou du moins sur les fonds marins au large de la richesse historique du Maroc, qui fût du Maroc, le premier pays à reconnaitre l'indépendance de son pays.
Ce que je crois, Mr.John Kerry aurait été imposé par le lobby Rice, durant la guerre des pôles "Démocrate et Républicain USA", de clans - Clinton-Rice - à l'approbation du Congres Américain, pour accéder au Secrétariat d’État Américain en remplacement de Mme Hillary Clinton. Même en cette qualité, il n'aura pas certainement, la main mise sur la politique étrangère de la Maison Blanche envers le Maroc, devant la crédibilité de son patron Mr.Barack Obama, qui au printemps dernier, avait fait preuve, de sagesse,de compréhension et de retenue, lors de la farce de Susan Rice avec les droits de l'homme et la MINURSO.
Algériens réveillez-vous!..Depuis de longues années, le Maroc a toujours opté pour la politique de la main tendue envers l’Algérie. Le Royaume est convaincu qu’une normalisation des relations entre les deux pays offre beaucoup d’avantages, pour les deux peuples frères, mais aussi pour tous les pays de la région dans le cadre du Grand Maghreb. Le régime en Algérie a non seulement tout fait pour éviter la normalisation des relations entre les deux pays, mais il adopte des positions pour le moins hostiles vis-à-vis des intérêts du Maroc.
Le temps est venu d’exprimer le ras-le-bol du Royaume face à des agissements totalement incompréhensibles et sans intérêt pour le peuple algérien. Nous souhaitons que le même ras-le-bol soit exprimé par les Algériens, dont les richesses sont dilapidées systématiquement par une oligarchie militaire et de voyous qui asphyxie le pays.
Une partie des milliards de l’Algérie est dépensée dans des contrats d’armement ferraille aux montants astronomiques, alors que la partie restante est consacrée à l’achat de voix et organisations hostiles au Maroc. L’intérêt des Algériens est définitivement mis au placard. Réveillez-vous !
Une militante ose parler..Jamila Bouhired a parlé d'une situation générale inquiétante en Algérie, assurant que si Bouteflika se présentait pour un quatrième mandat, elle descendrait dans la rue pour manifester contre lui et pour dénoncer tous les maux qui ont atteint le pays pendant son ère, notamment la corruption, les pillages et les détournements de fonds ainsi que l'étouffement des organisations de la société civile.
Cette dame, la symbole de lutte de la femme Algérienne durant la guerre de libération Algérienne, elle avait milité et offert sa jeunesse à l'indépendance de son pays, est délaissée à son destin, tout au long d'un demi siècle par la mafia du pouvoir algérien; elle n'a pas caché son inquiétude quant à l'avenir de l'Algérie, expliquant que si Jean-Paul Sartre avait dit "L'enfer, c'est les autres", elle préfère dire l'inverse: "l'enfer, ce sont ceux qui gouvernent l'Algérie". La militante algérienne, a conclu en assurant que la scène politique algérienne est, actuellement, un champ de mines et que le véritable FLN d’autrefois n'existe plus, puisque ce parti est dominé, aujourd'hui, par des faussaires et des usurpateurs d'identités.
Bouteflika a reconnu la marocanité du Sahara.. Il reconnait l'amère vérité et n'ose pas la déclarer ouvertement à ses "Khawa" et à ses parrains militaires. Selon un document aux archives Françaises,diffusé par la chaîne d'Al Jazeera, Abdelaziz Bouteflika,l'actuel président algérien, a appuyé, en 1975, date de la Marche Verte, la position du Maroc quant au Sahara Marocain.
Ce document est un communiqué du 5 juillet 1975, Bouteflika, alors ministre des affaires étrangères, écrit : Suite à sa visite à Rabat, une visite "placée sous le signe de la coopération, du dialogue, de la concertation, de l'assistance mutuelle dans le cadre du Maghreb Arabe conformément aux rencontres historiques entre les deux chefs d’État", annonce que "L'Algérie réaffirme qu'elle n'a aucune visée sur le Sahara" mais "enregistre avec pleine satisfaction l'entente intervenue entre les deux pays". Selon ce même document,Bouteflika assure, par ailleurs, que "Les deux pays sont convaincus de la nécessité de parfaire la coordination de leur action, en vue de mettre fin, dans les plus brefs délais, à l'occupation espagnole". Regardez vous-même ce document. http://youtu.be/ILkioweXNwMPrier pour les Algériens..Le chef du gouvernement Mr.Abdelilah Benkirane consacre les premières minutes de chaque conseil hebdomadaire du gouvernement, à des commentaires d’actualités qu’il fait devant les caméras, au conseil du 7 courant, Benkirane a eu quelques mots pour l’Algérie.
«Les ennemis de notre intégrité territoriale vivent dans la fourberie et l’aberration, ce qu’ils font ne concernent en rien le peuple algérien, mais seuls ceux qui le dominent y sont impliqués.
Tous ce qu’on peut faire, c’est de prier pour nos frères algériens, puisse le tout haut les guide vers le bien et la vertu» a ajouté le chef du gouvernement. Il conclut en disant qu’avec le peuple algérien «nous sommes frères, nous somme un seul peuple à travers l’histoire, mais ils doivent savoir que ne gagnera que celui qui a bonne foi, et nous marocains, le sommes».Bonne lecture.
Tous ce qu’on peut faire, c’est de prier pour nos frères algériens, puisse le tout haut les guide vers le bien et la vertu» a ajouté le chef du gouvernement. Il conclut en disant qu’avec le peuple algérien «nous sommes frères, nous somme un seul peuple à travers l’histoire, mais ils doivent savoir que ne gagnera que celui qui a bonne foi, et nous marocains, le sommes».Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
A Suivre...
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1.Les dates sont erronées.Le 7 nov. reporté - le 22 et non le 13 nov -1981 au lieu 1991.
2.-1991 pas 1978 - Tous les deux? John Kerry et Kerry Kenndy sont deux amis du polisario, confirmation de Khaled El Jamai dans une de ses chroniques de corvée.