Algérie : « Les plus mauvaises voix, non conformes à la logique, sont les voix d'ânes ». (le saint coran).

                                                              

                                                                        siège du MAECI à Rabat

 

Introduction Qu'est-ce qu'il faut tenir avant d'entrer dans le vif de ce maleureux sujet?..Oui, tu ne sais pas tout cela, toi cher lecteur… Tu ne sais pas ce qu’il y a d’irrésistible dans le pouvoir Algérien à savoir : La proximité, voire l'indulgence dans les plus forts degrés..d’égoïsme, d'orgueil, d'arrogance !  de l’ivresse d’être aigle, sur le sommet d’une montagne de mirage, survolant l’humanité rampante ! La seule manière d’être vu et salué par le plus grand nombre de larbins ! Etre au dessus de tout le monde ! Régner en leadership par la seule violence ! La violence du mensonge contre la nature des choses ! la violence de déformation, de désinformation ! La violence du sang contre tout un peuple composé dans sa nature de troupeaux de dingues !.(mes excuses aux algériens honnêtes).

 

Ici-bas, ce n’est rien d’autre que permission donnée aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie contre leur ennemi de toujours, le fameux fantôme Marocain effrayant. Cette folie qui m'envoûtait en partie prenante, forcement concernée,, dès mes premiers boutons d’acné, et que tout à chacun peut lire, ces jours-ci, sur les rides de n'importe quel Algérien, le simple algérien opprimé, je veux dire !.

 

C'est bien les identités, les plus qualificatives, qu'on peut donner aujourd'hui, au pouvoir  algérien pourri, à qui nous avions eu affaire depuis son apparition à la mi-1962, et à qui le Royaume du Maroc aura toujours affaire, par punition géographique malheureusement.

 

Mais à l’heure de sa mort, que personne ne voit venir très prochainement, il n’oublie pas de renouer avec le prestige de l’absurde. Il aura moins peur de la mort que de l’amnésie des siens, des Algériens. Son derniers réflexe sera de rester …immortel dans leur mémoire, pas dans la notre.

 

Aurions-nous le peu de patience et surtout d'audace qui nous avait auparavant permis de juguler la dépression des années de folie Algérienne depuis Hmimid-Boukh.à Boutef. à nous tapait avec insistance à la porte pour nous provoquer davantage, nous imposer leur haine.

Et si Bouteflika mourrait effectivement par déclaration officielle? Y aura-t-il toute cette pagaille,dont les médias ne cessent de gaver? Les clans au pouvoir (civilo-militaies) vont-ils tirer les épées de leur fourreau pour s'étriper? Le sérail se transformera-t-il en arène sans foi ni loi ?

 

Les masses vont-elles sortir dans la rue pour manifester et crier à tue-tête : "ça suffit!" ? Et puis qui va payer tous les pots cassés, de toutes ces années anarchiques de dilapidation, qui supportera les conséquences de la "planche à billets¹" que Ouyahya, le premier thuriféraire, a fait tourner pour noyer davantage l'Algérie dans le pire? Peu importe, c'est leur oignons. .