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  • Des femmes Algeriennes de charme dopaient les recettes

    Des femmes Algeriennes de charme dopaient les recettes de: (Ma-Mansouriah) la défunte mère de Bouteflika.?

     

     

                           La publication de cette histoire,qu'elle soit vraie ou fausse,vient en réplique à ce que les algériens,par leurs mauvais esprits inventaient sur nos valeurs sacrées humaines. Ils fabriquaient des histoires plus pires que celle-là, en diffamation et atteinte à la pudeur à des personnes marocaines symboles, issues de la dynastie en règne,par la défiguration de l'arbre généologique et biographique Alalouite, tout en continuant à la maintenir dans des différentes pages sur internet. Ce qui représente pour nous Marocains un crime de lèse majesté.

     

                                Nous Marocains,nous connaissons trés bien que nos voisins algériens anragés n'en épargneront pas d'éffort pour simuler des causes artificielles et des futilités pour entacher davantage ce Maroc irréel selon leur presse locale?! ce Maroc virtuel,selon leur fausse conviction, ce Maroc qui les en tracasse,par son emplacement géographique priviligié,par son histoire fleurissante plus riche que la leur,et d'ailleurs ils n'ont en général que quelques bruits de botte trés récents d'un duo-connards ( AEK et BAM ),Ce Maroc qui jouissait déjà avec mérite d'une renommée mondiale,ayant atteint un degré performant que le pétro-dinar algérien ne pourra l'acheter ni l'acquérir de la décharge sauvage de la Havanne .

     

                                L'écrivain,journaliste et ancien ministre Marocain, Si Mohamed Larbi Lamssari,écrivait il y a huit ans dans son petit book : قصف الواد الناشف، او المغرب الافتراضي في المخيلة الجزائرية ) que l'Algérie a affaire à un Maroc virtuel aprés avoir mobilisé à l'imagination sa presse locale,toute tendance confondue, à parler d'un bombardement présumé de l'Oued Nachef à 20 kms d'Oujda.. -tandis que "Oued Nachef" n'est en réalité qu'un simple quartier de la municipalité d'Oujda-?.  Les algériens créent le bluff à eux pour l'y croire aprés.Ils se mettaient dans une peur constante inéxistante,dans laquelle ils y plongent à leur guise,et y demeurent volontiers, pour se transformer ensuite en diverses phases aboyantes, de grandes turbulences,agitées,émaillées de haine et de jalousie contre notre pays,pas pour des raisons concrêtes,mais pour rien !

                               Je réciterai cette histoire telle qu'elle que je l'avais prise par voix orale durant mon dernier passage à Oujda, et ce n'est pas le genre des paroles flottantes de notre cheminot d'Oujda (Abdelkader32) qui ne dépassaient guère le stade de la vulguarité (?). Je la reproduis ici avec fermeté, en vengeance et sans commentaire.Car je sais que les algéchiens n'arriveront pas à l'admettre,comme ils ne sont  jamais arrivés à accepter leurs défaites,durant tous les moments les plus délicats,qu'ils nous aient imposés depuis plus de quatre décennies, par des fissures qu'ils perpétraient souvent ,et opéraient avec une forte ingérence,dans notre unité nationale marocaine pour républicaniser le Royaume du Maroc.

                                Tentatives heureusement toutes échouées aux nids,nonobstant de la complicité et le concours de certains chiens érrants,et traitres marocains sur place,qui malheureusement étaient douloureuses,depuis l'ère de Abdenaceur qui s'habillait en uniforme de l'adjudant Ben Bella, Haouari Boukharrouba,passant par l'état major de Ben Aknoun à ce Zelou-Maik,alias Bouteflika.

                                Même, si on vient de le constater ,il y a quelques jours à peine, que Boutaflika était destinataire d'un message de condoléances de haut niveau..  En ce qui concerne,mon blog et moi, je lui présenterai pour la circonstance des condoléances,mais à ma façon décevante.Puisque je viens de découvrir par cette histoire,ce que j'ignorais avant,et probablement beaucoup d'autres personnes l'ignoraient aussi,sur lui en tant que Bouteflika et sur sa famille.

                               Dieu merci,nous Marocains ne nous sommes pas en Algérie pour être commandés par des Papa-Delta,nous sommes (wa alhamdou lillah) des sujets-chanceux vivant sous une aile ombreuse et ombrée de Sa Majesté le roi,le déscendant prophètique, issu d'un arbre gigantesque chérifien, à saveur spirituellement délicieuse,émettant continuellement la semence la plus sélectionnée de dignité, arbre qui n'allongeait pas heureusement ses branches en algérie ,où sévit un engrenage anarchique de merde.

                               Chez nous,nous sommes à l'aise,par contre les algériens doivent attendre venir un fontôme-mystère de l'espace sûrement ,pour les désincarcérer. Ici au Maroc, pas comme chez vous,les droits minimes dont vous êtes privés, nous sont assurés en abondance dans une ère de démocratie absolue : la paix - la sécurité - le droit à l'éxpression - le droit de circuler librement,sans escorte et sans garde-du-corps- tous nos droits civiques - nos devoirs et obligations nous sont garantis par une loi suprême,non taillée comme chez vous,à la mesure de locataire du palais d'El Moradiah,qui instaure sa démocratie de vitrine par   compte-gouttes, éblouissant les yeux d'un peuple aveugle, dépourvu de maturité politique,plongé dans de longues périodes d'endormissement, par l'éffet d'anestésie d'une bande de profiteurs rejetés par la socièté,groupant dans sa totalité :  Le fkih des tombeaux Abdelaziz Belkhadem - le charlatant Mohamed Ouyahya - le charmeur de serpents au C.N.P. (Parlement) Abdelkader Ben Salah - Le général Ahmed Gaid Salah,le chef d'état major de Ben Aaknoun,nouveau pion-miltaire-flexible de Bouteflika.

                               Si notre justice est créée,comme dans d'autres pays démocratiques pour dépasser la vengeance et parer à la loi de la jungle. et si les peines sont censées refléter l’équilibre entre le sang des meurtres et celui des fouets. Il vous en manque l'état de loi et de droit ,l’entourage Étatique (Présidence et gouvernement) à rayures d'apparat entachées de tabac-chic,dont vous êtes malgré vous, les subordonnés est bien déclaré infructueux, du fait qu'il est passionné toujours par les retombées négatives de la guerre froide,d'où le doute règne,le soupçon bat son plein,et la confiance fait défaut, ce qui prescrivait et imposait chez vous, -nécessité oblige- le mode de gouverner à directoire. Tant mieux,et tanpis pour vous !!,car celui qui voit plus haut,plus que sa capacité de vision ,se fatiguera sûrement. Et c'est  le culminant de votre sort et essort,qui se déssinait déjà à l'horizon.

                                                                                  -=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-

    Enquête. Soupçonnée de « proxénétisme », la gérante du bain-maure,de chambres de passes, dormait souvent en garde à vue. Trois oranaises vendaient leurs charmes à coté.

                                        A l'occasion de la mort de la mère de BOUTEFLIKA .. Un Oujdi d'origine Algérienne (de Tlemcen) vient de raconter une histoire étrange concernant le vivant de la maman de Boutf,il a laissé entendre que celle-ci exerçait autre que la gérance du Bain-maure,le métier de patronne de maison-close. A rappeler que  la mère du président algérien Abdelaziz Bouteflika, Mansouriah Ghezlaoui, est décédée dans la nuit de dimanche à lundi (4/5/7/09) à son domicile d'Alger.  Mansouriah Ghezlaoui, qui aurait succombé à une longue maladie, était âgée de plus de 90 ans. Elle a été inhumée au cimetière Ben Aknoun d'Alger.

    DEBUT CITATION :

                                       Dans les années cinquante,les soirées Algériennes de « Oujda-city »  en avaient du plomb dans l'aile. Les vins et  les Mahya  coulaient à flot dans le bar de l'angle avenue  Derfoufi et du boulevard principal au centre d'Oujda. Son patron, né depuis 41 ans sous le soleil des Ben Znassen, dort depuis déjà une bonne semaine à la maison d'arrêt centrale. En cause, son lien supposé entre son établissement et les activités d'une prit-ch-close où trois jeunes femmes algériennes, originaires d'une ville similaire d'Oujda se trouvant à l'autre côté de la frontière (Oran), offraient leurs charmes à des clients « recrutés » sur les bords de la place  Bab-Sidi Abdelwahab dès la nuit venue,par les filles valets d'El Mansouriah.

                                       Le manège avait été repéré par des agents informateurs qui s'appelaient à l'époque " des gardes-champêtre" lors de patrouilles de nuit. Si les prostituées ne manquaient pas dans les quartiers de la gare et de la vieille ville, les trois Oranaises revenaient systématiquement vers « les alentours du bain d'El Mansouriah ». Un lieu inhabituel pour donner du plaisir à des clients toujours pressés et qui, les grands soirs, faisaient même la queue aux abords de l'établissement…

    Beaucoup de liquide:

                                      Les surveillances mises en place par les enquêteurs de la brigade des moeurs de voie publique et de la police locale du résident général de la ville,chef des bureaux arabes-indigènes n'ont pas tardé à confirmer les soupçons des gardes champêtre.  C'était fin juin, en pleine nuit, ils sont passés à l'action et ils ont interpellé les trois femmes, âgées succéssivement de 30, 31 et 32 ans avec leurs clients complices.

                                      Le patron de l'établissement ( la maison-close ou tout simplement, un mille d'Algérie. Le mille à savoir : est un endroit où on pratique librement le métier le plus ancien avec une surveillance médicale périodique) ce patron qui n'était que Si Ahmed  le père de Boutaflika qui serait originaire de Tlemcen ou d'Aïn-Temouchent au nord-ouest de l'Algérie. Ce si Ahmed, l'ouvrier saisonnier qui ne sait rien faire comme métier, est le mari d'El Mansouriah Ghazlaoui,venu d'algérie durant les trois premières décennies du 20°siécle,pour  trouver refuge au Maroc et s'installer à l'oriental, à Oujda et prendre comme 1ère épouse une dame Oujdia dite Rabia3 Belkaid,puis se marier avec la mère de Bouteflika El Mansouria Ghazlaoui qui lui donne Abdelaziz Bouteflika,ses frères Abdelghani,Mustapha,et Abderrahim,et ses soeurs Latifa et Rabia3 . El Mansouriah pour subir aux besoins de sa petite famille,elle faisait gardienne de bain maure à Oujda,une des soeurs Bouteflika l'est encore. 

                                        L'époux présumé d'El Mansouriah a été interpellé à son domicile le lendemain matin. Sur lui, les policiers ont découvert la coquette somme de 2 500 milles francs en coupures de 5 et 10 milles, qui représentait à l'époque une fortune . « Mes économies » aurait expliqué ce suspect aux enquêteurs qui, instruits par leurs investigations et les tarifs pratiqués par les dames de nuit, n'ont guère été convaincus. Et pas davantage par la générosité affirmée de cet homme qui, par solidarité sud-oranaise, aurait offert « gratuitement » le gîte à ces presque compatriotes…(Hmama,Rabia3,et Louisa).

                                       Les policiers de la sûreté croient encore moins les arguments de leur suspect depuis qu'ils ont regardé de près ses livres de compte. Sur les cinq derniers mois, la comptabilité pourtant peu fringante de « Bain-maure Mansouria » a enregistré dans un cahier de huit feuillets,dans sa colonne crédit  : 42 000 francs de dépôts en liquide. Certes le Mahya( Eau de vie) est une boisson à la mode mais cela paraît quand même beaucoup. Pourtant le patron-époux de la patronne El Mansouriah s'accroche à sa version et il l'a défendu avec force devant le magistrat  d'instruction.

                                       Mis en examen pour « proxénétisme », il a rejoint la maison d'arrêt . Une destination beaucoup moins excitante que les plages de Sa'aidia, où l'homme complice de bar devait se rendre pour les vacances.! laissant ses « pensionnaires compatriotes » en toute liberté. et sa femme El Mansouriah avec ses enfants dans une paûme de démon.

                                         Quant au  Znassni,le patron de bar, il entretenait déjà des relations compliquées avec son principal bailleur, la ville d'Oujda,la source de sa clientèle, qui souhaitait récupérer les murs… Ses démêlés, et leurs suites judiciaires, risquent de ne rien arranger.  Cette affaire de si Ahmed Bouteflika  pour lui ,est une affaire courante parmi d'autres.

    Une figure de la nuit  d'Oujda en prison :

                                        Interpellé après une descente des Renseignements Généraux dans un club de jeux de cartes qui organisait des pokers clandestins. C'est un coup de tonnerre dans le monde de la nuit  d'Oujda. Un certain Bourzama,éleveur bien fortuné d'ouled sidi Abdelhakem de Berguent (Ain Beni Mat'har), une des figures les plus connues en vue d'Oujda, patron de nombreux commerces,restaurants,cafés-maure branchés, a été incarcéré au cours du soir à la maison d'arrêt. Deux autres personnes du même valeurs, un cheikh président de tribu de Debdou, et  le trésorier d'une association locale ont également été écroués. ce sont bien trois autres clients assidus des femmes oranaises ramassés en flagrant délit dans l'enceinte de si Ahmed Bouteflika et de sa femme El Mansouriah.Une rencontre désagréable non souhaitée, de part et d'autre,dans des circonstances pareilles imprévues qui aurait avoir pitié aux incarcérés y compris leur proxénitiste dévolu.

                                        Ce Bourzama nourrit une passion pour le poker, une passion qui est d'ailleurs de notoriété publique. C'est ce goût prononcé pour ce jeu d'argent qui lui vaut aujourd'hui ces nouveaux ennuis judiciaires.  Un Jeudi soir, les policiers de la direction centrale des Renseignements généraux, en charge de la police des jeux, et les RG d'Oujda, ont fait une descente dans un club de bridge installé en plein centre ville, à l'angle des allées de la rue de Marrakech et du boulevard en intersection, dans l'immeuble d'une personnalité influente de Figuig. Ce club, constitué en association qui a pignon sur rue, organisait clandestinement aussi des parties de poker, ce qui, dès qu'il y a de l'argent à la clé, est interdit. Depuis près d'un an, les tournois se sont multipliés au point de devenir réguliers.C'est là aussi que la défunte Bouteflika guêtait ses proies,en utilisant  tous les moyens de proxénitisme par d'autres filles traineuses qui investissaient chaque jeudi soir les lieux pour se trouvaient autour des tables.

                                           Vraiment El Mansouriah était une patronne trés perfectionnée si j'ose dire.dans ces lieux de notorièté publique, des personnes remarquables se trouvaient autour des tables. Mais tous ne jouaient pas au même niveau. Si la majorité des mises restaient modestes, les émissaires féminins d'El Mansouriah,toutes jeunes filles traineuses,ne manquèrent guère aussi les grosses parties pour lâcher les filets et boucler les cordes par des gestes d'exhibitionnisme recommandés. 

                                          En quelques années, La famille Bouteflika, qui a toujours été précédé d'une réputation sulfureuse de proxénitisme, a acquis une notoriété importante dans son entourage de prostitution. par le biais de la radio trottoir qui émissait régulièrement à partir du Bain-maure que gardait El Mansouriah. 

                                           On l'aime ou on le déteste. Ahmed Bouteflika, 45 ans, qui n'a rien perdu de sa faconde et de son accent algérien, est de retour à sa vie normale aprés avoir purgé sa peine d'emprisonnement, il s'est retrouvé à la tête de la même maison huppée., il avait même cherché à ouvrir d'autre en périphériques d'Oujda et faire appel à d'autres filles compatriotes de Tlemcen, jouissantes de jeunesse,de charmes et de fraîcheur. Mais l'ami des plaisirs n'a jamais échappé à une image trouble héritée de son passé judiciaire.

                                            Dès l'aube de l'indépendance, les autorités locales marocaines d'Oujda,par l'intémédiaire de la brigade des moeurs et des lieux publics a démantelé plusieurs réseaux différents d'exploitants de maisons closes dont celles de la famille Bouteflika dans toute l'agglomération d'Oujda et dans d'autres localités avoisinantes de l'oriental, et ce dans le but d'éradiquer ou du moins de limiter la propagation du phénomène,but souhaité par le premier gouvernement national Marocain,dont la primatie était bien sous les commandes de Mr. M'Barek El Bekkay de la famille Lahbil,un natif de la région.  

                                            Cette activité illicite de proxénitisme est rémunératrice plus que d'autre activité,mais avec un risque judiciaire moindre puisque la peine maximale sanctionnant ce délit  fût réactivée,doublée même pour les récidivistes. Pourtant, l'appât du gain semble plus fort que la crainte de la sanction et certains viennent à nouveau goûter à ces plaisirs interdits malgré leurs précédentes condamnations,ou de reprendre clandestinement cette activité (Les Bouteflika en exemple). D'ailleurs, plusieurs proxénitistes, mis en cause au cours de ces derniers moments du protectorat, sont des multi-récidivistes qui viennent prendre le relais de ceux qui viennent d'être arrêtés. Un cycle tournant sans fin, tant qu'il y aura des parieurs invétérés installés aux comptoirs.

    fin de citation.

    Doit-on s'attendre à des miracles :

                                             Reste à signaler d'autre part, dans le même contexte que l'enfant gaté de la patronne (?) ne manquait pas de bons pécheurs,il bénéficit lui aussi de bonnes séances de plat-ventre, dont les acteurs n'étaient  que ses copains de classes qui se succédaient,dans une atmosphère de satisfaction, pour lui faire le bon ménage dans des coins de rue sombrés de la place Bab-Sidi Abdelwahab. Cet  enfant est connu dans l'entourage de ses collègues de classe à l'école sidi zyane,par "moutchou- qui signifie en espagnol : le petit" ,.(je ne peux éxpliquer ici la significaion déshonorée que les oujdis de sa génération se contentaient  de lui donner et de lui en coller au dos).

                                             Alors,revenant  à notre plat,à la discussion qui peut vendre l'âne !,comme disaient souvent les Oujdis au souk à bestiaux ! Que peut-on attendre ,de bien ou de miracle ,de quelqu'un qui vivait durant toute son éxistence dans cet environnement marqué de proxénitisme?, dans cet entourage entaché de prostitution ?. Je veux dire par là : que peut faire pour nous Marocains et Algériens?, que peut faire pour le bon voisinage à sens obligatoire?  ce fameux : Abdelaziz Bouteflika ?  peut-il  en faire créer le miracle durant son nouveau mandat,? peut-il atteindre ce qu'il n'a pas pu le faire au cours de ses deux précédents? je ne le pense pas du tout ! et j'en suis convaincu qu'il n'aura pas de courrage pour trancher,il va surement cumuler des incartades anti-Marocaines comme à l'accoutumée, et jouer à la politique de la chaise vide, dans les affaires en suspens entre son pays et le notre, pour se contenter par faire, à chaque circonstance ou occasion qui se présentait,des déclarations d'irresponsabilité vagues,jouant le malin en vue de torpiller toute bonne volonté et la main tendue du Maroc, jusqu'à ce qu'il diparaitera comme d'autres.

                                            Bouteflika en devenant adulte, il en avait la possiblité de revivre,de revoir le film de ses détours tourné avec les Beni Znassen,il se sentait surement trés empoisonné par les mauvais souvenirs qu'aurait vécu avec sa famille déshonorée à chacune des étapes de sa vie à Oujda. Vu ce qui précède qui lui entache encore la figure ,Il en a la certitude qu'avec les Marocains, surtout avec ceux de l'oriental, il n'aura jamais de dignité,du fait à ce qu'il cherchera à se dissimuler dans la paille ou se sauver en avant ,sans  se retourner pour ne pas les voir et éviter les cauchemards qui en découleront ? Et c'est là !? où se trouve la source originelle de son déchainement calomnieux contre notre pays. La facheuse volonté qu'il affiche, caractérise une position néfaste qui rend toujours les vrais canaux de communication obstrués,se tenant à un niveau de rage avancé, pour se venger d'une socièté trés généreuse,la socièté Marocaine qui l'accueillait à bras ouverts, pendant  des décennies de sa vie.

                                           Peu importe,je me réjouis - comme tout d'autre Marocain d'ailleurs- de répondre aux algéchiens qui sillonnent ce virtuel avec égoïsme, pour se vanter de dire que l'algérien est l'unique des peuples de la région, ainsi que de leur leadership creux,  Je leur réponds calmement par cette publication-surprise,avec leur même monnaie courante, tout en projetant de leur doubler la mise,gagner le pari,et relever le défit ! Le Maroc n'a jamais été candidat à l'adoption et si l'Algérie avec son doyen-célibataire, tiennent à imposer leur paternalisme proxénitiste sur leurs Prof-Marocains ! il n'arriveront pas.  Qu'il aille ce Bouteflika et son Algérie au diable,et à l'enfer.!!? A vous Messieurs les visiteurs-internautes,Marocains d'en discuter, de développer,et de juger,.! Mais avant de quitter cette page, je vous prie d'avoir l'amabilité de lire cette anécdote :

                                             Un vieillard du sud marocain,agé de cent ans ou presque, qui aurait bien cotoyé durant la trajectoire de sa vie,la mauvaise race algérienne, répétait souvent sur une banquette en pisé qu'il prenait chaque jour venu,en chaise,ou en lit de camp,au grand portail à l'entrée-coupole d'un prestigieux ksar à Rissani dans leTafilalet,il répétait à une voix cassée, fatiguée,une prière fortuite,suppliant le haut puissant avec insistance de : "plier le drapeau et éteindre la bougie d'Algérieالله يطوي رايتها ويطفي شمعتها "  

                                                                         Cordialement,Chihab-25