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  • 2-Mr.Abdelatif FILALI,le commis d'Etat témoigne. ..(2° partie)

    (..Vous dites que je suis royaliste plus que le roi tolérant.!,Oui, je le suis,et j'en suis fier de l'être. L'objet de chaque nouveau article que je posterai, n'est pas que nous ayons une paix politique avec ces voisins têtus (algériens)!,mais que nous ayons encore avec eux, une nouvelle année d'ennuis,en grand froid !!.Quoi qu'il en soit, pour parer à toutes éventualités,le Maroc,ce grand Royaume du Maroc, restera droit dans ses bottes jusqu'à ce qu'ils reviennent à la raison..) L'admin.Chihab25.

     

    (suite et fin).

                       Je me permets de souligner que les Algériens veulent créer et imposer une histoire à leur mesure inventant éffets et étapes qui n'ont jamais existés,ils s’attachent à des bizarres anécdotes issus de l'imagination de deux soit disant,personnes intellectuelles chargées pour la circonstance,pour en réciter des conneries.Un algérien et un Français qui ont tenté de décoloniser l’histoire à leur manière :  Mohamed Cherif Sahli  et Pierre Péan. Le premier écrit :« l’Algérie était en fait et en droit un pays indépendant depuis 1710 ! » ; le deuxième, Pierre Péan allait plus loin prétendant,vingt ans plus tard que: « La régence d’Alger n’entretient en 1830 que des liens formels avec la France ? ».Il ajoute encore que l'Etat algérien avait existé sous les Ottomans, en tant qu’État différencié disposant d’une flotte, d’une armée, d’un drapeau, d’une administration, d’une monnaie, d’un appareil judiciaire ?. Il récédive sans avoir honte qu'il a même établi des relations diplomatiques très tôt avec l’Angleterre et la France sous le règne d’Henri IV et a conclu directement avec celle-ci  jusqu’en 1830 quelques 60 traités et conventions. Il a été parmi les premiers États à reconnaître l’indépendance des U.S.A. proclamée.??

                          Toujours jalouse et trés curieuse de l’histoire riche du Maroc, l’Algérie éteint sa soif dans le mirage par bonifier le visage et dire : «  Que dans sa résistance contre la conquête coloniale, le peuple algérien s’est mobilisé derrière Abdelhamid Ben Badiss, l’Émir Abdelkader et Ahmed Bey, et le charlatan cheikh Bou Amama Bouchikhi, pour assurer la continuité de cet État, pendant 18 ans, avec tous les attributs de souveraineté. C’est donc à juste titre, selon les propos que les Algériens veulent mettre en libre circulation,ils s’efforcent de faire croire aux autres que : la proclamation du 1er Novembre parle de restauration de l’État algérien, car ce qui s’est passé en 1830 était qu’une guerre d’agression suivie d’occupation militaire contre un État indépendant et reconnu.(l'Etat Turc sûrement!) Regardez cette invention de bluffe plus incroyable encore.. ?

    Les Algériens ne sont pas maghrébins

                           Mr. Abdelatif Filali poursuit en citant que les Algériens ne sont pas maghrébins « parce qu’ils n’avaient pas choisi dans leur développement la vie maghrébine »  . Il va même jusqu’à confirmer : « Je ne crois pas que les responsables algériens puissent devenir des Maghrébins au sens noble » . Pourtant,les Algériens se rappellent avec amertume des gifles du général Driss Ben Omar dans le Hamada de Tindouf,ce qui les rend  toujours sous pression de la nervesité, incapables d'admettre implicitement leur première défaite militaire contre le Maroc en octobre 1963,et qui en est la seule derièrre  la régression et l'affaiblissement du projet unitaire maghrébin : Effectivement « C’est la guerre des Sables qui a mis fin et enterré l’idée d’un Maghreb arabe vivant » et qui a même torpillé la décision prise à la Conférence de Tanger en avril 1958 par  les responsables politiques des trois pays du Maghreb,et c’est l’Algérie par sa politique de l'autruche qui met le bâton dans la roue du Grand Maghreb, depuis  son  indépendance ! malgré que la charte de Marrakech de 1989 fut signée en son nom par le président Chadli Benjdid «Or, écrit-il,c’est exactement le contraire que nous avons vu à travers cette malheureuse guerre algéro-marocaine», dont il fait allusion au caractère prémédité lorsqu’il précise que le Maroc avait été trahit et surpris,trouvant en face de lui une armée Algéro-Égyptienne qui manquait de loyalisme,de bonne volonté fraternelle.Elle s'est jettée  frivolement dans cette aventure,dépourvue de cadres, d’expérience et de matériel,même avec l’aide logistique du pharaon Jamal Abdenaceur.Ce que Ben Bella, Boumediene, et les autres Algériens qualifieront à ce jour de « coup de poignard dans le dos ».  

                  Sans vouloir rouvrir les plaies du passé mal cicatrisées chez les passéistes, ou évoquer des souvenirs gênants pour certains, il est bon de rappeler pour la justesse de l’analyse, que notre pays a été toujours à l’avant-garde de la cause maghrébine : Militairement, le Maroc a payé un lourd tribut du sang de ses enfants pour hâter son accession à l’indépendance. En effet, l’Algérie a continué avec l’aide des Marocains sa lutte armée ,et ce par l’existence d’au moins deux accords secrets créant un front commun de libération et excluant des cessez-le-feu séparés : le premier, conclu début 1955, entre les dirigeants du FL N, et le parti Marocain de l’Istiqlal et le Néo-Destour Tunisien,le deuxième, dévoilé par feu Allal El Fassi lui-même, leader de l’Istiqlal, qui proclama le 4 octobre 1955, alors qu’il venait d’être élu secrétaire général du «Comité de libération du Maghreb Arabe » après Habib Bourguiba, que « le Front de libération algérienne et la résistance marocaine ont unifié les deux mouvements en une seule Armée de libération du Maghreb arabe » .

                         Les dirigeants politiques ici au Maroc gardent toujours en mémoire ces nobles sacrifices au profit du Grand Maghreb. Allal El-Fassi en était un, lui qui déclare à la séance de clôture de la Conférence de Tanger  en 1958: « Gloire à nos frères Algériens qui, vaillamment, continuent d’accomplir leur devoir de libération. Leur persévérance dans la lutte a été le facteur déterminant pour la résurrection de la Réalité Maghrébine » Devenue indépendante, l’Algérie a contribué à donner le revers à ce rêve unitaire,et une assise à la fois politique et économique inutile :  Jetant à la largeur du mur tout engagement avec le Maroc au sujet de la délimitation des frontières qui étaient autant de bombes à retardement léguées par le colonialisme pour maintenir une atmosphère d’hostilité et de suspicion. Gênant aussi la réconciliation maroco-mauritanienne, créant en parallèle à la région un nouveau conflit pour se cacher derièrre,celui du Sahara Marocain occidental. Boumediene s’était toujours porté volontiers de profiter de la bonne foi et de la sagesse de la monarchie marocaine pour provoquer sa chute au moment où celle-ci était au bord du précipice. Pourtant, la coexistence ne peut être facile entre deux régimes politiques aux orientations diamétralement opposées : une monarchie conservatrice fondée sur les liens d’allégeance d’un peuple fidèle au trône de la dynastie chérifienne Alaouite, et un régime révolutionnairement aveugle émanant d’une volonté populaire sauvage.

                         Il suffisait pour Boumediene, par exemple, d’avoir eu l’idée de porter aide et assistance logistique aux putshistes lors de la sanglante tentative de coup d’État militaire de Skhirat en juillet 1971 pour que l’histoire prenne un autre cours,et une autre tournure dans notre pays. J’étais si jeune,mais conscient, et je me rappelle, ce jour-là du 10 juillet que les Algériens applaudissaient l’événement,. Aujourd’hui tout le monde sait que, l’Algérie avait souhaité de faire tout de son mieux afin de soutenir les putschistes ? Hélas, Sa Majesté  le roi du Maroc n’est pas la même attitude,ou de la même patte à l’égard de l’Algérie chaque fois que celle-ci se heurtait à des difficultés internes,car sa clairvoyance ne lui permet pas,par principe, d'ingérence dans les affaires d'autrui.

                         On peut mieux comprendre aujourd’hui, à la lecture de ce livre, pourquoi le Grand Maghreb, cinquante ans après l’accession de ses membres à l’indépendance, tarde à voir le jour, et pourquoi les relations algéro-marocaines demeurent tendues, aggravées par la fermeture des frontières terrestres et la crise de confiance qui sévit entre les deux capitales. C’est que « le Maroc avait toujours, depuis un passé lointain, choisi la ligne de force Nord-Sud, plutôt que l’Est et l’Orient » choisie par les Algériens .Libéé de cette obligation morale que dictent une histoire commune et un destin commun sur une même étendue géographique, il s’est longtemps associé avec conviction claire à toute œuvre unioniste maghrébine pour mieux marquer l'inspiration certaine de son peuple. Les propos de  Mr.Filali le confirment. Tandis que l'Algérie fait partie d'une tendance anti-maghrébine forte, mais isolée au sein d'elle même,et qu’ielle aurait d’ailleurs souhaité désorienter son peuple pour ne pas vivre dans un entourage « indigne »  selon les termes de Abdelaziz Belkhadem. Les Algériens sont devenus malheureusement infréquentables . La Tunisie pour sa part,est devenue un pays de la peur où les gens n’osent plus parler devant la main de fer du régime du président Zine El-Abidine Ben Ali. Maamar Kadhafi  de son coté,perché sur le pouvoir en libye depuis plus de quarante ans dans sa "Tour d'ivoire" avec sa politique d'arrogance signlièrement frivole.La Mauritanie elle,plongée dans une spirale permanente de complots et de coups d'état gratuits, pour se ruiner par faiblesse politique,dans le tribalisme,dans l'instabilité,et dans l'insécurité naissante de terrorisme imposé.

                         Ce n’est pas possible d'aller à l'avant avec cette situation lamentable, pour y redémarrer la locomotive Grand Maghreb en panne.On peut, peut être, trouver une explication sentimentale à cet acharnement de l’Algérie contre le Maroc, dans l’effet de frustration dont elle souffre,et dans le souhait ressenti par l’auteur,  de voir Bouteflika,sa génération ,et le régime militaire imposé  aux Algériens dans un tissu de velours, quitter la scène politique au soir de leurs vies, sur un échec, sans laisser de trace dans l’histoire, sauf le sang et la terreur, sans aussi de bilan positif ,sauf une ride sur l’eau :  -provoquant en 1981 la sortie du Maroc de l’OUA, le Maroc qui avait  avec dignité claqué la porte d'une Afrique corrompue!. Sans  autant pouvoir éviter le rejet de la demande Algérienne de partenariat avec la communauté économique européenne,pour manque de normes, de stabilité politique,de droit d'homme ,et pour l'insécurité  flagrante qui déchire le pays, impliquant  ainsi l'Algérie dans une ère permanente de confusion et de désordre. - Maintenant la fermeture de la frontière algéro-marocaine,aggravant les difficultés sociales du pays,provoquant la multiplication et diversification des grèves ,sit in et protestations des Algériens,.Enlisement  de l'Algérie dans les sables du Sahara Marocain ,mettant le régime Algérien dans une impasse sans issue...En tout état de cause,et dans l'absence des autres partenaires maghrebins, le Maroc restera éveillé pour user de ses moyens d'auto-contrôle pour évoluer,avancer sur des pas solidement concrets pour préserver les enjeux de son économie,afin de ne pas être écrasé par le rouleau compacteur de la mondialisation sauvage qui avance sans pitié.Nous devons pour notre bien être, nous débrouiller seuls,aux couleurs marocaines,avec la complicté des capitaux d'investisseurs étrangers.


                         Que propose-t-il tout de même le régime Algérien, pour l’édification d’un Maghreb arabe uni ? Pour sortir de impasse Sahraoui ? Pour le règlement du litige frontalier au Sahara Marocain oriental ?  Il n'y peut rien,tant qu'il est dirigé par une veille racaille. Rester comme ca sur place !!,  à l'évidence, c’est-à-dire perpétuer l’état de tension et de belligérance dans la région, et maintenir la menace d’ingérence à nos frontières. Pour le reste, je pense pas qu'il peut satisfaire le besoin local de démocratie et d’alternance au pouvoir au profit du peuple avec la grande Kabyle protestante, et les Touareg encerclés dans le désert..?, sans toutefois pouvoir préciser également,si cela doit concerner aussi ceux qui règneront aprés ,et prendront le relais et les destinées du peuple algérien, en vertu du droit d'héritage et de parenté, au sein des républiques monarques.? La Syrie en éxemple, et à l'instar de ce qui est entrain de se préparer sous table en Libye,en Egypte et au Yamen.

                        Mr.Filali  jette toute ambiguité,invitant ses lecteurs à suivre l’exemple des « Européens qui n’avaient pas autant que nous de ferment d’unité », l’étude de cette expérience démontre que l’Union européenne s’est construite avec des hommes qui ont su transcender les antagonismes et les rancunes du passé pour se projeter dans l’avenir. D’abord, Adenauer et de Gaulle qui ont scellé la réconciliation franco-allemande en 1963, puis le chancelier Helmut Kohl qui a eu le courage de trancher en faveur de la réunification des deux parties de l’Allemagne, en acceptant la frontière Oder Neisse avec la Pologne.
    Il l’a fait avec autant de mérite et de courage qu’il a risqué son devenir politique, en se mettant au dessus de la surenchère électorale de l’extrême droite qui revendiquait les territoires du Grand Reich. Décision difficile, certes - comment reconnaît-on autrement un homme d’Etat ? Car il fallait abandonner à la Pologne près de cent mille km2 du Reich allemand d’avant-guerre. Il n’a pas pour autant sacrifié les Allemands expulsés de la Silésie polonaise et de la Tchécoslovaquie en 1945. Tous se retrouvent aujourd’hui citoyens à part entière de l’Union européenne, circulant librement, sans passeport ni entraves douanières, et pouvant élire domicile sur n’importe quel point de l’espace formé par les 27 Etats membres de l’Union, y compris à l’intérieur des territoires autrefois contestés. La construction européenne a été une solution au problème franco-allemand. Son modèle pourra servir d’exemple au conflit maroco-Algérien. Et comme dans le premier cas, l’Allemagne de Bismarck ne reviendra plus, nos voisins doivent avoir suffisamment de sagesse et de réalisme pour admettre que le Maroc du Grand Maroc fait partie d'une grande histoire riche encore vivante et vulnéraire.

                         Il nous faudra donc, nous les Maghrébins, une nouvelle approche pour ne pas rester en retrait du développement historique et continuer à être entrainés vers une mêlée confuse où nous réagirons à nos malheurs en nous déchirant les uns les autres. Il nous faudra des hommes Algériens de conviction et non des hommes de circonstance,pour se libérer du présent fugitif et gérer le cours de l’histoire au mieux des intérêts de nos peuples,réunis dans une union librement consentie de Nouakchott à Bengazi. Dans ce cas, le livre  de feu Abdellatif Filali, qui a comblé  sincèrement les vœux du clan maghrephobe,et se déchaine avec preuves à l'appui contre l’Algérie, sera servi au moins, à relancer le débat sur une toile de fond claire.

                       Par contre, quel est l’apport de l’Algérie à la construction du Grand Maghreb ? Le bilan est triste : deux guerres d’agression contre notre pays, en 1963 à Hassi Beida et Tinjoub dans l’extrême sud-est du royaume, et contre notre intégrité territoriale dans nos provinces de sud depuis 1975 – les batailles d’Amgala 1 et 2 en février 1976 en étaient la preuve pertinante del'ingérance algérienne - ouvrant la porte à une course d’armement effrénée,trés médiatisée par le régime Algérien au détriment du développement national des deux pays,et du bien-être de leurs peuples.  Deux autres tentatives de déstabilisation de la monarchie Marocaine ont suivi heureusement en vain !,celle du général Oufkir en août 1972 et les événements de mars 1973 commandités conjointement par l’Algérie et la Libye . On peut ajouter aussi à ce « livre d’or », le retard de 48 ans mis pour la ratification de l’accord frontalierer avec l’Algérie, semant ainsi une crise de confiance entre nos deux pays ; et c’est l’ancien président mauritanien  feu Mokhtar Ould Daddah qui le dit : « En vérité, la guerre du Sahara n’aurait pas eu lieu, si le Royaume du Maroc et l’Algérie avaient ratifié les accords de Rabat ? ».

    Sahara Marocain: L’Algérie derrière tous les maux !


                       Parlant de la question du sahara, Mr.Filali ajoute que « l’Algérie de Boumediene et des généraux après, s’en est emparée pour en faire une machine de guerre contre le Maroc . Il y trouve « une des raisons qui fait -qu’elle- ne croit plus au Maghreb arabe » et ce qui se fait de temps à autre comme rencontres institutionnelles, ici ou là, n’est que du cinéma à la Maghrebienne pour les consomations locales et extérieures, alors que l’idée de celui-ci a déjà été enterré. Pour les Algériens, on se moquent de parler de cette unité régionale, tant que ce Maroc évolu davantage pour devenir le pays fort de la région ! Je dispenserai le lecteur ici de l’argumentation Algérienne pour justifier l’attachement inconditionnel à sa thèse d’autodétermination d’un peuple qui n'existe que dans l’imagination du régime Algérien, tant il est si bien connu qu’il n’a même pas convaincu l’opinion Internationale par un plan adverse concret au plan Marocain d’autonomie. Je me contenterai d’un exemple d’interprétation tendancieuse qui masque le désarroi de la diplomatie d’Alger, passée maîtresse dans l’art de semer la confusion. L’auteur se félicite et écrit à propos de la compréhension de l’ONU et de l’opinion publique mondiale de la légitime position du royaume du Maroc dans cette affaire artificielle depuis la 1ière résolution y afferente du Conseil de sécurité  aux Nations Unies en décembre 1975  à la dernière (1871) en avril 2009.

                        Rien d’étonnant dès lors, si l’Algérie se déchaîne contre le Maroc, c’est qu’elle « n’ose même plus regarder en face pour répondre aux multiples appels de Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu le glorifie,et ouvrir sa frontière avec le Maroc», mais, elle a été « malheureusement obligée de travailler toute seule hors commun, sans que le cœur n’y ait été. Bien au contraire » Ainsi lit-on, les Algériens ont réussi à « manipuler l’ONU pour l’introduire dans la solution du conflit » , à faire « le siège de l’Afrique moyennant son pétrodollars »… « à acheter, oui avec de l’argent, les pays,les plus pauvres du monde à caractère socialiste et révolutionnaire révolu,ainsi que certains présidents tiers-mondistes qui venaient à peine d’arrivés au pouvoir par fraudes,pour soutenir son senario du peuple imaginaire sahraoui,dévoilé à ciel ouvert par le monde d'aujourd'hui.

                        Mr Filali  n’a pas omet de rappeler que le régime Algérien vit encore malheureusement dans une situation à «ton très têtu dépassé» qui se caractérise dans les propos de Boumediene,que la malédiction de Dieu soit sur lui, qui se ventait dans son vivant par le dire :  « Je connais la chanson que Hassan II répète à qui veut l’entendre. Il veut conclure un marché avec moi : je chasse le Polisarioet il ratifie l’accord des frontières. Mais je ne conclurai pas de marché avec lui pour deux raisons. D’une part, parce que rien ne me garantit qu’il respectera son nouvel engagement plus qu’il n’a respecté le précédent. D’autre part, parce que pour moi, le fait de donner refuge au Polisarioet de l’aider à libérer son pays découle d’un principe de base de la politique de la république algérienne : le soutien à tous les mouvements de libération qui luttent pour l’indépendance de leur pays. » fin de citation.   Cela étant, sert aux algériens d’alibi, avec l’objectif affiché en supplément : ne jamais permettre au Maroc une supériorité régionale ou continentale remarquable,et dominante dans la région.

                       Mr.FILALI ajoute avec beaucoups de regret:  "Cessons de grâce de jouer sur la sensiblerie des foules pour mieux noyer les protestations dans le sang et justifier tous les abus ". Initialement, la propagande Algérienne présentait le problème du Sahara comme « une affaire de principe de l’Algérie de Boumediene » ; avec le président Chadli Benjedid, Ahmed Taleb Ibrahimi, alors ministre des Affaires étrangères de l’Algérie, s'érigeait comme le meilleurs défenseur de ce vieux principe, dépassé au fils de temps, face à Driss Basri,alors ministre Marocain de l’intérieur qui faisait à leurs yeux, l’obstacle à la solution.  Ahmed Taleb Ibrahimi et  Driss Basri sont partis, mais on entend encore dans les couloirs de l’O.N.U. à New-York  qu’« Alger ne baisse jamais les bras ». Aujourd’hui encore, c’est Bouteflika qui constitue l’obstacle parce qu’il cherche à détruire le Maroc, le pays qui l’abritait durant toute son enfance,et lui rendre en récompense du plomb chaud à la figure.

    Boumediène, Bouteflika,Ahmed Taleb Ibrahimi.
                       C’est cette politique de l’autruche qui maintient toujours la région dans un état de tension préjudiciable aux intérêts de nos peuples qui aspirent à un avenir meilleur dans une solidarité fraternelle retrouvée. Et c’est cette politique des deux poids deux mesures qui obstrue l’avenir des deux peuples. L’Algérie enviable le peuple Marocain, sa quiétude, sa stabilité  politique et sécuritaire. Trois dirigeants algériens sont nommément cités dans l’ouvrage :  Haouari Boumediène, Abdelaziz Bouteflika et Ahmed Taleb Ibrahimi,pour cause: les deux premiers avaient l’ambition de faire de l’Algérie « le maître et le gendarme de la région »  et d’« atteindre d’une façon ou d’une autre, l’Atlantique » . Pour cela, « ils se sont mis en 1974 au service de Franco dans l’affaire saharienne ». C’est pour cela que l’Algérie,tente toujours d’agrandir son territoire, par appétit gastronomique trés ouvert, qui lui prête des intentions de domination et d’hégémonie ? Ce qui n’est pas admissible, c’est que l’Algérie dans la perspective de créer des ennuis au Maroc,avait de sa jouissance de perfidie joué le double jeu, se mettant d'une part, au service de Franco, abritant en même temps sur son territoire un mouvement d’opposition au régime de Franco, hostile à la fois au Maroc et lui fournit aide et assistance ,d'autre part? : « Vous imaginez Ahmed Taleb Ibrahimi dont le père était un penseur algérien et un ami de feu Sa Majesté Mohamed V, continu à délatter la position néfaste qu’il a prise concernant le Maroc et ses relations avec l’Algérie ? »

                         Néanmoins,la citation qui disait : "Celui qui a subi le mal,peut l'oublier..Mais celui qui l’a fait ne l’oublira jamais "(Victor Hugo) ne peut en aucun cas nous être applicable, nous n'oublirons jamais le mal de l'Algérie, car celui qui fait le plus de mal au Maroc, c’est Bouteflika  et les Marocains qui constituent la junte qui l'accompagne,parce qu’« il continue de miser fort sur la carte anti-marocaine, Et on se demande en conséquence : « Comment le Maroc peut-il vivre au sein du Maghreb Arabe, avec un chef d’Etat exclusivement obsédé par la destruction du Maroc où il est né, et où il a grandi, avec une volonté hégémonique, avec l’ingratitude que ce dernier partage avec son prédécesseur Ahmed Taleb et les généraux de Ben Aaknoune. Bouteflika, en raison de son lieu de naissance, et Taleb à cause de l’amitié de son père avec le roi Mohamed V. Tous les deux auraient dû servir les intérêts de « Sa Majesté », sans pour autant, trahir leur propre pays ! Dans ce même cas, feu Filali aurait mis en doute le patriotisme de certains Fassis,nés au Caire, au moment où les relations étaient tendues entre l’Egypte et le Maroc ?

                       Oui, Monsieur Filali, allait avec ces sincères propos dans la bonne voie, pas si vite avec de besogne,selon les propos de l’ancien diplomate Algérien ! Personne ne peut déstabiliser le Maroc,ni de le priver de son droit d’occuper un rôle régional et continental mérité,dans une position confortable que lui dictent ses moyens, l’idée qu’il se fait de son histoire, de son intégrité territoriale, et de sa position géostratégique et géographique superbe. La politique de puissance n’est pas toute fois à confondre avec la politique de grandeur et d’histoire. C’est notre bon destin dont nous sommes fiers et c’est Sa Majesté le feu Hassan II qui le répète : « la géographie est la seule composante invariable de l’histoire ». De même que, personne ne peut choisir son lieu de naissance, à moins que Bouteflika soit l’exception qui confirme la règle,puisqu’il ignore délibérément que l’hérédité se transmet par le sol et le sang. Ayant bu l’eau purement saine du ruisseau de sidi Yahya Ben Younes, et grandi dans les petites ruelles de Bab Sidi Abdlouahab à Oujda, il devait certainement faire la différence entre jus soli dans un pays généreux comme le Maroc, et jus sanguini dans son pays. Et c’est précisément l’une des conséquences de sa faiblesse, de son cas d’enfant mal élevé, imitant la marche de pigeon,il perdait la pédalle et sa marche sur terre. 

                        Le diagnostic posé récemment par un émérite journaliste libanais, dans le quotidien  "Al Mostaqbal " au sujet, notamment, des relations entre le Maroc et l’Algérie est d’une rare pertinence. En clair, et en extrapolant, il affirme que le «complexe Algérien» empêche le Maroc d’octroyer avec lucidité et clairvoyance sa place et son avenir dans la région de la méditerrannée. Ce même complexe ne lui permet pas de trouver des solutions durables aux graves problèmes de ce mauvais voisinage qu’il rencontre depuis des années avec l'Algérie, pour mieux s'engager dans une large, et globale, coopération régionale, notamment avec un Grand Maghreb en mouvement. L'Algérie refuse pour des raisons infondées de lui permettre cette ambition, il lui sera difficile de juguler, voire de contenir,cette attitude qui a trop durée. 

                       Pour cause,aujourd’hui, l'Algérie ,ce pays qui étouffe à l'étuvée,a besoin d’air nouveau!. La Concorde nationale,ou plutôt la discorde nationale.. instaurée par le président Bouteflika n’a pas produit les résultats escomptés malgré la compagne médiatique du palais d'ElMoradiah. Le terrorisme perdure et l’insécurité se généralise. Les milliards de dollars de la rente pétrolière n’amènent ni croissance, ni bien-être, ni prospérité aux Algériens.La corruption bat son plein à ciel ouvert au pays (Affaires: Autoroute Est-Ouest,Sonatrach,Thon,Gazoduc,Sonalgaz,la grand mosquée de la décharge d'ElHarrach,et encore..!) Le pays est enclavé au bord de la merde. Et la sourde bataille de clans autour de la succession du président Abdelaziz Bouteflika par la recrudescence de la violence qui l’accompagne repose de nouveau la fameuse, et fatidique, question de «qui tue qui?». Le duel Ahmed Ouyahia,chef de gouvernement-Abdelaziz Belkhadem,ministre d'Etat sans portefeuille,et représentant personnel du président Bouteflika aurait pu, dans des conditions normales, se placer au niveau des idées qui peuvent renouveler le rôle et la place de l’Algérie dans la région. Ou offrir aux Algériens un projet de société moderne adapté à leurs aspirations et à leurs besoins. Au lieu de cela, les doctrines du passé continuent à générer les malheurs du présent. Les cécités d’hier continuent d’alimenter les aveuglements d’aujourd’hui en Algérie. Et le peuple en a marre de cette situation catastrophique que Bouteflika,durant ses campagnes électorales,avait promit d'y remédier àla situation,et d'y éradiquer les maux dont souffre le corp de la socièté Algérienne.!?, mais y a que du blabla..aucun résultat ressenti par l'Algérien dans son quotidien.Tant mieux.

                                     Bien Cordialement,Chihab25

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