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Algérie : mythes et hypocrisie d'une fausse grandeur?

                      
 

L'hypocrisie et antiphrase de Bouteflika..C’est au moment où les relations algéro- marocaines connaissent une crispation presque inédite que survient la célébration du quinzième anniversaire de l’accession de Sa Majesté le Roi Mohamed VI au trône. Une occasion pour le président Bouteflika de lui faire parvenir un message hypocrite de routine dans lequel, en substance, il lui fait part de sa détermination de "consolider les relations de fraternité et de coopération fructueuse entre les deux pays!". C’est bien de sacrifier à la courtoisie qui, comme tout ce qui n’a pas de prix, ne coute rien. Dans la bouche de Bouteflika c’est un miroir aux alouettes. Il ne faut donc pas le prendre au pied de la lettre quand dans ce message il réitère : «sa volonté, d’œuvrer de concert avec le souverain à la concrétisation pour les deux peuples davantage de gloire, de grandeur et de prospérité». Les linguistes ont un nom pour cette figure de style, -une antiphrase-.

En revanche, il faut accorder du crédit au niveau de représentativité des responsables algériens à la réception organisée pour l’occasion par l’ambassadeur du Maroc à Alger Mr.Saâd El Alami. Elle a été d’un niveau nul cette année, quand l’année dernière de nombreux ministres, dont celui de l’intérieur en tête, ont honoré de leur présence la chancellerie Marocaine à Alger.

Il faut aussi ajouter foi au ministre Algérien des Affaires étrangères, Ramtane Laamamra, lorsqu’il fait une sortie le jour même de la fête du trône, fiel dans le miel, pour assurer le Royaume de son amitié et le polisario de l’indéfectible et inlassable soutien de l’Algérie, pays « au million et demi de cons et connards», chiffre, sujet à caution, qui, ne le sait-il pas encore, n’impressionne personne. Pour toujours se vanter il affirmait, entre autre, que l'Algérie est soucieuse d'établir des relations "normales" avec le Maroc et de construire l'UMA (Union du Maghreb Arabe) dans le cadre, je cite : du respect du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination conformément au Droit international? .

Entre les quatre murs de son ministère Lamamra chantait la symphonie Algérienne habituelle, que l'Algérie réaffirme aujourd'hui, son engagement en faveur de l'établissement de relations bilatérales normales avec le Royaume du Maroc "frère" et de l'édification de l'Union du Maghreb arabe au mieux des intérêts des peuples de la région, mais sans oublier ses aboies de toujours, ajoutant la phrase 'point de mire', sur ce qu'il appelle.." la légalité internationale et le droit du peuple sahraoui (!) à l'autodétermination", lors d'un entretien accordé à une chaîne de télévision algérienne (EnnaharTV), dont le propriétaire n'est que l'heureux gâté de l'Algérie. Lorsque l'Algérie avait misé, sur l'établissement de relations bilatérales normales avec le Royaume du Maroc frère et sur la création de l'Union du Maghreb arabe pour instaurer un climat nouveau dans la région qui ouvrirait des perspectives prometteuses aux peuples de la région, elle partait de l'idée que le Maroc allait admettre les évidences et n'imposerait pas une solution dans la région que ni la communauté internationale, ni le peuple sahraoui frère n'accepteraient", a tenu à préciser encore.

Et pour la consommation médiatique locale, Lamamra, a eu la mémoire forte pour se rappeler de la responsabilité historique et juridique de l'Espagne vis-à-vis de la question du Sahara Marocain. Il a déploré, désinformant les choses, en conformité de la version diplomatique de son patelin, le recours, dit-il, par le Royaume du Maroc depuis 1975 à une image stéréotypée d'une Algérie qui serait en train de mobiliser le monde et de mener des actions diplomatiques anti-Marocaine, mue en cela par une prétendue animosité injustifiée à l'égard du Maroc.  

Hypocrisie médiatique.. La presse algérienne du pouvoir se déchainait de son coté pour la énième fois contre le Maroc, enroulant son opinion publique locale, fidèle à sa principale ligne de rédaction consacrée au Maroc, loin du respect à la déontologie, maintenant la déformation de la réalité. La chronique algérienne disait dans ce sens, je cite... "Dans un discours adressé le 30 juillet à son peuple à l'occasion du 15e anniversaire de son accession au trône, le roi du Maroc ne s'est pas privé, encore une fois, de porter des accusations contre l'Algérie..Les relations Algéro-Marocaines sont au plus mal. Mohamed VI possède ce don d'éteindre la moindre lueur d'espoir de les voir s'apaiser. C'est, en effet, au lendemain d'un message appelant à la consolidation des relations de fraternité et de coopération fructueuse entre les deux pays qui lui a été adressé par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, que l'héritier de Hassan II a, une nouvelle fois, fait étalage de son agressivité à l'encontre de notre pays".Fin de citation

Nous simples Marocains observateurs, nous sommes constamment obligés de rappeler, pour la millième fois, que la faute de cette situation stérile avec l'Algérie, incombe à l'Algérie qui persiste à maintenir fermée sa frontière terrestre avec son voisin de l'Ouest. Si la construction de l'UMA est au point mort, c'est encore la faute à l'Algérie. «Ce qui est regrettable, c'est de persister à entretenir le désaccord pour enrayer la marche vers tout consensus. Quelle que soit la portée du différend, cela ne saurait justifier par exemple la persistance de la fermeture des frontières. Dans son derniers discours Sidna l'a rappelé clairement par ce passage «le Maroc n'a cessé d'appeler, depuis plus de six ans, à la recherche d'une issue à cette situation étrange».

Manque de transparence..Compte tenu de la menace constante de leur terrorisme interne, de l'insécurité qui prévaut et du flou en politique qui planent toujours sur l’Algérie et ses habitants, les autorités algériennes augmentent périodiquement le volume de divergences avec le Maroc, chaque fois qu'il leur parait nécessaire pour faire préoccuper leur opinion publique par des futilités en la faisant éloignée de toute décision capitale en politique, qu'elle soit à l'intérieur ou à l'extérieur.. surtout sur le récent axe "Alger-Caire" , sur l'intervention algérienne certaine en Libye et sur l'échec du dernier marchandage perpétré par Alger sur les factions antagonistes au nord du Mali. (les Azawad et les Touwareg).  Ramtane Lamamra, souhaite que la deuxième phase du dialogue inter-malien inclusif, sous l’égide de l’Algérie, débutera prochainement et abordera des questions de fond, car, rappelons-le, la première phase de ces négociations qui a duré du 17 au 24 juillet a échoué […]

Depuis plusieurs mois déjà, des informations invérifiables circulent entre bouches à oreilles, font état d’une présence militaire de l’armée algérienne en Libye.Il est légitime à chacun des algériens de s’interroger et interroger ses dirigeants.. Sous quelle forme ? Quel nombre ? Pour quel objectif ? Impossible de vérifier sans éléments concrets et avérés, étant donné que le chiffon papier algérien dit "constitution"  fait état d'interdiction d'envoyer ou de déployer l'armée algérienne hors territoire algérien. Officiellement, le gouvernement algérien, se trouverait de facto en violation avec la soi-disant constitution algérienne et ne peut reconnaître ouvertement l’envoi de soldats sur le sol libyen.

Confusion et chaos..L'Algérie s’enfonce chaque jour de plus en plus dans l’anarchie. Le pays est devenu un vaste terrain d’affrontements pour les tenants d'armes, l'ANP du général bougre Gaid Ahmed Salah qui n' arrive pas à anéantir - professionnellement - les terroristes et milices algériens 'made in DRS' d'une part, et d'autre part, faire face, objectivement, aux soulèvements populaires qui se propagent ici et là, de la grande Kabylie, au sud Algérien, aux aboies des modestes courants politiques qui ont émergé depuis la chute du FIS en 1992 et les tribus antagonistes à Ghardaia. Ce chaos provoque naturellement, des cauchemars chez les voisins de l’Algérie, surtout au Maroc qui a des comptes à régler avec, en Mauritanie, au Niger et au Mali.

Que les choses soient claires, Lamamra avait récemment fait savoir, dans une sortie médiatique de routine que l'Algérie n'accepte jamais la présence du Maroc à ses frontières sud, au Mali précisément. Ce que je crois, de mon point de vue personnel, il ne s’agit pas ici, pour le Maroc, de participer à l’élan guerrier qui s’est emparé de la région Sahelo-Saharienne, au Mali par exemple, et d’ajouter un front de guerre lointain à sa guerre traditionnelle qu'il mène, depuis plus d'un demi siècle, avec le régime algérien pour sauvegarder sa dignité et son intégrité territoriale. Au contraire Lamamra devait normalement adresser ses paroles au ministre des Maliens de l’extérieur Mr.Abdrahmane Sylla, qui a salué à Rabat, “Le fort engagement de Sa Majesté le Roi Mohamed VI envers le peuple du Mali” pour la réalisation du développement durable et de la reconstruction nationale de son pays.

La question fondamentale qui devait être posée à ce mauvais élève, est de savoir : Si l'Algérie aura le courage d'ouvrir un débat national sur le problème du polisario et est ce débat peut-il se dérouler publiquement, afin que les décisions éventuelles, qui pourraient en découler à ce sujet, soient partagées par la majorité des Algériens.Une question, pas si bête pour tout observateur, mais majeure, que les décideurs algériens n'en auront pas de réponse certes.

Mise au point oblige..l'Algérie devrait assumer pleinement ses responsabilités dans la recherche d'une solution à la hauteur de son implication militaire, politique et diplomatique dans la genèse et le maintien du différend régional sur le Sahara Marocain. Le Maroc insiste sur l'impératif pour l'Algérie de "comprendre que l'exercice du Maroc de sa souveraineté sur son Sahara est irréversible, et que la détermination du Royaume est inébranlable face aux gesticulations déplacées, agissements improductifs et joutes verbales infructueuses auxquelles l'Algérie nous a habitués.

Nul dans le monde n'ignore l'implication directe de l'Algérie dans ce différend notamment à travers l'assistance financière, militaire et logistique, généreuse et soutenue à sa création de Tindouf. Alger devrait cesser cette ambivalence entre ce qu'elle est réellement et ce qu'elle cherche à faire croire aux autres. Les attitudes, les prises de position et le comportement de l'Algérie depuis le déclenchement de la question du Sahara marocain, ont fait d'elle, bel et bien, la principale partie dans ce différend régional..Au sujet des récentes déclarations à la presse du ministre algérien des Affaires étrangères, qui liait la normalisation des relations "au respect", de la position algérienne sur le Sahara Marocain, Nous sommes déçus et pas du tout surpris, et car nous connaissons à cet effet, comme tout le monde, que l'Algérie met son apposition à l'intégrité territoriale du Royaume au dessus de toute autre considération.  
 
Malheureusement, les gouvernants algériens sacrifient les liens forts et historiques entre le peuple marocain et algérien, hypothèquent l'avenir de toute la région et prennent en otage les cinq peuples de l'Afrique du nord. Ils entravent, ainsi, toutes les perspectives d'une coopération fructueuse pour faire face aux nombreux défis de sécurité et de développement auxquels fait face le Maghreb. Sachant que la position de l'Algérie est d'autant plus singulière que plusieurs autres groupements régionaux ont été construits, malgré les divergences profondes entre ses membres. Comme c'est le cas notamment de l'Union Européenne et le Conseil de Coopération des payas du Golf. L'Algérie assumera donc, devant l'histoire, devant les générations futures et devant la conscience maghrébine la responsabilité de ce blocage.

Au sujet de l'obsession de certains responsables algériens à se référer à une soi-disant doctrine des Nations Unie, il est évident de leur rappeler qu'il n'existe pas de doctrine de l'ONU. Les Nations unies préfèrent se référer à une pratique flexible et dynamique qui prend en compte la spécificité de chacune des situations considérées et du contexte historique et géopolitique qui leur est propre. Que s'il existe "une doctrine", elle est conforme à la démarche Marocaine qui privilégie la négociation pour progresser vers la solution politique tant souhaitée par les Nations unies qui, parait-il, ont exprimé dernièrement leur désir de voir Mr. Christopher Ross sortir de sa coquille pour faire bouger et remuer la boue.

Mythes Algériens.. Je répondrai à tout cela par la réalité que les algériennes refusent de regarder en face et nient la teneur, tels que..: Les mythes de la supériorité de tout ce qui est algérien, y compris la dernière sortie, telle que - l'Algérie force régionale, capable d'éradiquer le terrorisme! - sont des inventions ignobles que les plumes médiatiques pro-pouvoir prennent de la peine d'écrire sur tous les murs d'Algérie, sont que des conneries, dictées d'une fausse grandeur  de la particularité mentale et humaine des algériens, qui se racontent pour passer le temps, pour se rassurer, pour avoirs de faux ancêtres dont on fait croire à l'être algérien sans honte et sans rougir, ou pour remonter le moral des troupes contre l'ennemi potentiel de l’Algérie, qu'est le Royaume Chérifien du Maroc, qui, rappelons-le, subit continuellement des harcèlements sporadiques verbaux, de la part de la diplomatie Algérienne à chaque point de presse et de l'armée algériennes, tout au long de nos frontières Est et Sud-Est.

Pour rappel, cela a commencé dans la nuit des temps, dans la nuit des cavernes, chantées déjà par le maudit président algérien Mohamed Boukharoub, alias Houari Boumediane, à son époque, où éclairés par ses torches, par ses héritiers de reconnaissance hypocrite qui les dessinaient encore sur les murs du palais d'El Moradia d'Alger et ailleurs, déjà, pour raconter leurs chasses et leur réussite contre le Maroc, sous forme de galéjades grandioses. Là, nous le reconnaissons, sont nés les mythes avec leurs créatures frivoles surtout, car de nos jours l'algérien -je veux dire le pauvre algérien- est nourrit aux grands principes du scepticisme, safre de rationnel, et se fait croire, par pression des moyens suspects du pouvoir, aux rhinocéros laineux, alors qu'il sait, dans son fond, que dans toutes les périodes braises de l’Algérie indépendante, l'herbe était rare et que les promesses d'une vie meilleure n'avaient jamais été à la portée de tous, que de se tricoter de faux rêves.

Mais la mode lancée en Algérie, les mythes étatiques ont crû, parce qu'on les crus, tout crus ou assaisonnés de sauces parfumées à l'air du temps d'anarchie et de corruption flagrante, et furent farcis des héros nécessaires à la l'élévation du peuple algérien. On peut même avancer que les mythes furent les précurseurs de la fille de l'instruction publique, elle qui se contentait d'instruire les enfants algériens, l'éducation nationale algérienne aussi chargée constamment de façonner et badigeonner les jeunes esprits de concepts nouveaux d'hostilité contre tout ce qui est Marocain.

L'homme Algérien a constellé son esprit de mythes, politiques, religieux ou personnels, avec leurs héros imaginaires, universels ou familiaux, car il ne pourrait pas vivre sans eux. Il en bourre ses rêves pour toucher enfin à une vie irréelle qui le fuit, en un mot les mythes le maintiennent en position verticale.. pour se soulager dans ce sens, l'algérien en général répète : (ou, mazelna waqfine..!) si ce sont les idées qui mènent le monde vrai, les idées algériennes elles-mêmes, ne sont que mythes.

À la fin c'est toujours la défaite d'Isly de leur Abdelkader old Mohyeddine,alias Emir AEK qui en est la cause de leur ingratitude et de leur rage contre le Maroc, tout en négligeant ou faisant le semblant, qu'à cause de leur pseudo Émir Abdelkader que les troupes Marocaines, venues à sa rescousse, fient vaincues à la bataille d'Isly dans la région d'Oujda en août 1844. A leur cause, le Maroc a perdu face à la France une partie de ses territoires, constituant l'ensemble du Sahara Marocain orientale, spoliée actuellement par l'Algérie en vertu de ce qu'on appelle, les accords Franco-Algériens d'Evian sur l'indépendance de l'Algérie Française. Et par notre soutien inconditionnel, à leur guerre de libération, tout le peuple Marocain a bu l’amer et l'âcre pendant huit ans.

Le terrarium-dz..Un jour de mai 1973, le régime algérien soulevait le couvercle de son terrarium dans lequel il se livrait à sa nouvelle expérimentation sur laquelle il fondait de grandes espérances, l'opinion publique algérienne fût frappée sans pouvoir l'exprimer, contrariée, contristée même, par le grouillement vernaculaire intense et désordonné du fruit de sa nouvelle recherche d'hostilité contre le Maroc.

Il refit ses calculs vérifia qu'il n'avait pas oublié une retenue ni ne s'était trompé dans la virgule et après moult réflexions comprit que cette fois l'argile et les éléments indispensables à une expansion territoriale, du moins comme il concevait la chose jusque là, telle que l'ouverture d'une fenêtre sur l’atlantique, ne suffisaient plus à sa nouvelle invention d'un peuple et d'une république fantôche dans le Sahara Marocain, fraîchement récupéré par une glorieuse marche pacifique Hassanienne du siècle.

Il faut dire que le maudit Boumédiane comportait maintes innovations et avancées idéologiques lesquelles induisaient des comportements non encore observés, donc non publiés dans aucune revue spécialisée. Il médita longuement et décida donc d'ajouter quelques ingrédients qui permettraient à sa nouvelle trouvaille de dissiper son énergie excessive, tumultueuse et confuse, due vraisemblablement à une erreur dans le dosage des produits d'un régime autoritaire qu'il avait pourtant les moyens diplomatiques et pécuniaires pour manipuler, à travers le monde, les micro-états corrompus pour réussir sa sale initiative de mettre "la pierre dans le solier de Hassan II" comme il  se réjouissait de répéter dans son vivant à son entourage mafieux.

C'est ainsi que le fabricateur souverain de cet acte malencontreux disposa dans la cuve à essais qu'il avait baptisé «Sahara occidental » divers accessoires, des creux et des bosses, des pics et des abîmes, des forêts et des marais, et même d'immenses étendues d'eau salée, pour donner l'occasion à un ensemble de mercenaires venu de tout bord, avec lequel il se faisait échoué dans sa concurrence, face à des hommes d’État forts, feu Hassan II et  son héritier Sidi Mohamed VI. Une concurrence qui faisait dure, très dure même, pour la gagner dans le cénacle encombré des créateurs expansionnistes de son genre.

Et malgré ses défaites miliaires dans les deux Amgala en 1976, sans compter ses autres défaites, il se montrait insistant d'occuper un petit tronçon du territoire du sud Marocain en s'amusant et surtout de canaliser, sinon d'épuiser, son ardeur chaotique et sa soif de voir, en vain, sa racaille militaire dite "ANP" gagner au moins une seule bataille contre la glorieuse Armée Royale Marocaine, lui permettant de tout faire pour imposer la version algérienne d'autodétermination pour un peule imaginaire qui vient de tout bord et arracher ce milieu Sahraoui Marocain  de ses racines, sans prendre garde de tomber dans une aventure boueuse dans laquelle il vient de se mouver.

L’Algérie n'a jamais procréée de gouvernants crédibles depuis les hommes du GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne), de feu Ferhat Abbas et BenYoussef Benkhadda,  il n'existent que les corbeaux et les connards, jamais vus de la planète terre, et le phare algérien de guidage est hors usage sur une côte découpée, comme le désert, dont l'aridité n'a de justification que par le dromadaire à une bosse sur une dune au soleil couchant.

La clarté des lampes.. Pour dissuader l'avidité algérienne et vexer davantage les algériens qui nous envient pour la grandeur de notre pays, je dois m'arrêter, en arrêt facultatif de mise au point et dire à nos voisins haineux, qu'il n'auront jamais de quoi faire écouler le minerai de Ghar Jbilat, ni la sympatrie du Maroc leur permettant de se baigner librement aux "playas" de nos provinces du sud, ni avoir une fenêtre pour voir sans jumelles la grandeur de l'océan atlantique..Car la mer Marocaine enfin de compte, surtout celle de l'atlantique a le charme des choses qui ne se taisent pas la nuit, elle ne nous abandonne jamais pour conforter la solidité du plan royal d'autonomie de nos provinces du sud formant tout le Sahara Marocain, son bruit rassure l'enfant comme une veilleuse. C'est la complice du ciel, ils se transfondent, convolent sur une ligne là où par pudeur s'arrête le regard de tous les Marocain de Tanger à Lagouira. Elle épouse ses humeurs, son bleu reflète sa gaieté, et s'ensanglante avec lui lorsque le soleil vient mourir en leur sein.

Lorsqu'elle est calme elle paraît lisse car elle ne garde aucune trace des choses ni des hommes, le sillage de la barque haineuse algérienne s'efface bientôt, le naufrage de la convoitise algérienne ne nous laissera aucun vestige, tout s'engloutira dans son giron, elle dissimulera ses reliques et ses mystères dans les profondeurs de ses entrailles toujours mouillées. Elle montre alors un visage Marocain serein et séduisant, tentatrice elle invite au voyage et donne aux Marocains libres qui la chérissent, des pulsions d'horizon qui nous feront préférer l'air marin à la douceur angevine, en nous présentant ses routes, ses dune de sables, les plus attrayantes celles qui mènent aux destinations flamboyantes mais qui sont aussi les plus certaines et les plus prometteuses dans le cadre de la décentralisation nationale et de la régionalisation élargie que veux instaurer Sidna dans tout le Royaume.

Ah! Que le Maroc est grand à la clarté des lampes!..Pour montrer son caractère parfois, dans de vaines et houleuses colères dont les mouettes se rient, avec rage, notre mer atlantique fracasse ses vagues contre les digues et ébrèche ses lames sur les rochers, mais son lassant ressac toujours recommencé n'est plus qu'un bruit de limonaire détraqué.

Le bucolique..Il est de campagne...Ah, la campagne au Sahara Marocain ! C'est l'endroit le plus agréable au monde, pour en revenir. Propice au nonchaloir des conversations molles il n'intimide pas, il berce doucement tout visiteur pour mieux l'absorber. On entre facilement dans son intimité et ne quittera plus jamais le nouveau venu qui visite le Sahara pour la première fois.

C'est le ruisseau chaud, la partie de pêche à la ficelle à Boujdour et à la baie de Dakhla, l'éclair du marin-pêcheur dans la buée au golf d'Oued Eddahab, le chant des grenouilles à foum El Oued de Laâyoune, la complainte des trembles et la sainteté des lieux à Smara. Je n’exagère pas si je dis au printemps..la prairie fleurie agacée d'abeilles et de papillons d'Awsred où la brise tiède musarde pour lui chaparder des odeurs; la caille, la tourterelle et la jolie perdrix y viennent faire leur nid, il sent la barbe de maïs, la feuille de saule mouillée, et les confitures (le jus de dattes appelé R'rob) cachées sur le dessus de l'armoire encaustiquée de la femme Marocaine Sahraouiya.

C'est la douce étoffe dans laquelle on découpe les si nécessaires souvenirs de nos ancêtres qui prendront place sur la plus haute étagère au musée de l'histoire de la Monarchie Marocaine. On se résiste à l'envie de le revoir pour retrouver un moment ce que nos concitoyens dans les provinces du sud Marocain avaient été jadis, car il y a bien eu quelque chose de pluralité, de temporel qui a envahi notre destin, distillé par les plaisirs vrais, sincères, de ceux qui fuient le bruit,le mensonge et l'exaltation de l'ennemi de notre intégrité territoriale, qui ne réclament ni applaudissements ni reconnaissance mais qui emplissent notre être d'un bonheur de grandeur, candide et authentique.

Ce bonheur est maintenant possible à partager entre tous Marocains,les sujets de Sa Majesté le Roi,du Nord au Sud,de l'Est à Ouest du Royaume, l'heure de la vérité Marocaine trouble ainsi la limpidité de nos ennemis Algériens. C'est cette douceur qui a pénétré notre âme par la petite porte secrète d'une pairie qui s'appelle le Sahara Marocain, maintenant recasée à jamais à la mère patrie miséricordieuse, par un temps connecté à la faveur de notre cause nationale. Désormais l'atout de nos voisins ingrats n'est accessible que par la songerie unilatérale de la junte militaire algérienne et du locataire du palais d'ElMoradia d'Alger, quel qu'il soit, l’handicapé actuel ou un futur frivole, car on sait que comme le chat de l’Allemand Erwin Schrödinger, il meurt sitôt qu'il se sent observé.

Au résumé..À chacun son point de vue, nous ébréchons constamment le notre à la faveur de notre cause nationale et à notre intérêt, mais celui des algériens n'est qu'une profondeur abîmée, il en lui manque de la hauteur pour qu'il soit observé et admis, d'abord par nous, contraints de nous planquer dans un front de guerre infinie, pour flanquer un ennemi têtu et enragé de nature, puis par la communauté internationale. infranchissable par l'odeur de la Sonatrach Algérienne.

Dernière confusion pour la diplomatie Algérienne à Washington en témoigne. Le sommet Américano-Africain qui s’est déroulé cette semaine à Washington n’a pas été un moment de joie pour la diplomatie algérienne, acculée à justifier en aparté l’absence de représentants de la sa pseudo "république sahraouie", à l’heure de cette grand-messe entre les États-Unis et l’Afrique. Lamamra est habitué à jouer qu'avec les petits, en l’occurrence les micro-Etats pauvres, les régimes bannis et les organisations corrompues, car son Algérie et sa diplomatie ne peuvent être à la hauteur de ce genre de messe, dont Ssi Abdel Illah Benkirane, le chef du gouvernement, représentant de Sidna, était l'hôte de marque à la table du président Américain Mr.Barak Oubama.

D'autre part, dans le courant de traitement de ses affaires de jeux diplomatique, Lamamra, endosse silencieusement un énième échec au niveau international. C'est ainsi que l'Algérie, malgré son potentiel financier (pétro-dollards) et ses efforts inlassables, elle n'a pas pu pousser la communauté internationale à reconnaitre ou admettre son envoyé spécial, représentant le polisario, (Le Mozambicain) au Sahara Marocain avec son étiquette Unio-Africaine. De tout ceci il faut retenir que le grand architecte du problème Algéro- Marocain, est bien le maudit soit il président Boumédiane que la malédiction divine soit sur lui, après lui le régime mafieux algérien, a bien fait continuer les choses, qu'il a gardé la main sur un lourd héritage d'hostilité au Maroc et a perdu son temps, son argent, de l'altitude et la vitesse dans une affaire artificielle perdue.Bonne lecture.

                                                                    Cordialement,Chihab25

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