Dakhla : les dirigeants algériens sombrent dans le ridicule..!

 

                                                                    

                 Le Suisse Mr.Jean-Paul Carteron, président du Forum Crans Montana.

Forum Crans-Montana.. J'avais pas l'intention d'anticiper les circonstances, ni de mélanger les idées dans mes notes.Mais en rapport avec une de mes précédentes notes, en «pages jointes» portant le titre مدينة الداخلة تهنئ الجزائر., je me trouvais dans l'obligation d'exposer à mes lecteurs la énième pièce théâtrale que nous attendions de la comédie algérienne se rapportant avec cette ville Marocaine. Il s'agit de la tenue du forum Crans-Montana prévu le 13-15 mars prochain à Dakhla dans le sud Marocain. L’Algérie qui s'y oppose a lâché ses chiens pour aboyer et faire du bruit pour éviter la tenue de ce forum, croyant ainsi qu'elle peut faire pression sur cet homme libre qui n'a jamais été sous l'effet de son pétrodollars.

Le Forum Crans-Montana campe sur sa décision de tenir son congrès consacré aux thématiques économiques et sociales, à Dakhla, en dépit de la protestation de l'Algérie, de l’Union africaine et des ONG " prépayées" qui soutiennent la thèse algérienne.

A noter à cet effet que l'UA (Union Africaine) a une nouvelle fois mis sous haute tension son préposé aux attaques contre le Maroc après avoir échoué l'année dernière d'imposer à l'ONU la désignation de ce quelle appelait son "envoyé spécial au Sahara?". Échec qui a fait très mal à Alger qui cherche vainement à voir son UA assumer  le prestige d'acteur opérationnel dans le règlement de son conflit avec le Maroc. A ce propos elle n'arrive pas à digérer, que le Maroc refuse à l’Union Africaine la moindre légitimité pour jouer un quelconque rôle même en soutien au processus politique sous les auspices des Nations Unies. et a aussi notifié au Secrétariat général des Nations Unies son opposition catégorique à tout rôle qui pourrait être confié à l’UA à quelque niveau que ce soit.

UA, fausse contraste?..Cette année l'UA récidive encore. Dans une atmosphère contrastée qui émane de sa dernière réunion, les chefs d’Etats réunis à Addis Abeba ont écouté sans broncher le secrétaire général des Nations Unies prononcer un discours moralisateur les incitant à ne pas manipuler leurs constitutions pour rester au pouvoir. Cela n’a pas empêché l'assistance présente d’apporter deux autres gaffes, les plus flagrantes de son histoire, en l'occurrence :

Primo: Son soutien aveugle à la désignation du banni de l'Afrique profonde,  le Robert Mugabé (un dictateur de 91 ans),le président Zimbabwéen, comme Président tournant de l’Union, ce qui fait que le pragmatisme propagandiste algérien l’emportait dans une Afrique déchirée par de nombreux conflits territoriaux ou idéologiques.

Secundo: Le soi-disant conseil de paix et de sécurité de l'UA a appelé, entre autres, à dénoncer la tenue à Dakhla du  "Forum Crans Montana" prévu en ce mois de mars, demandant à ceux qui croient encore à ses conneries de le boycotter. Etant obnubilée par sa course au leadership régional et ses vieilles rivalités datant de la guerre froide, l’Algérie se retranche constamment derrière le soi-disant rôle d’observateur neutre pour justifier son absence de volonté politique. Alors qu’en réalité elle est le mentor et le protecteur de sa création le Polisario, poussant les frivoles de l'Afrique à la substituer dans des cas pareils en leur distribuant les rôles..

De leur coté, les Chef d'Etats Africains pro-Marocains, voire les pro-raison,ont crié au voleur pour indiquer, haut et fort, qu'il n'y a pas que le Maroc dans la vie africaine pour l'évoquer à chaque réunion annuelle et en son absence !. C'est du moins une réaction de leur part, pour tenter de faire bonne figure face à la honte éprouvée par leurs pairs, les autres présidents corrompus de l'UA. Ces modérés de l'Afrique venaient de découvrir avec effarement l'affligeant amateurisme avec lequel le ministre Algérien, ou plutôt  la diplomatie algérienne, gère ce dossier qui traîne depuis plus de 40 ans sans que l'Algérie réussissait à obtenir son objectif fallacieux, comme l'a dévoilé avec subtilité, un site web algérien, réputé pour son indépendance et la pertinence de ses informations, ainsi que son audience médiatique internationale.(!).

Les propos qui y sont tenus par cette écurie Africaine sur le Maroc et sur la ville Marocaine de Dakhla n'engagent que leurs auteurs, étant donné que le Maroc n'est pas membre de cette écurie continentale depuis qu'il a claqué la porte de l'ex-OUA en novembre 1984 pour se porter aujourd'hui partie prenante pour plaidoyer ou s'attaquer à une position qui lui porte préjudice. Pour mémoire, je précise ci-après pour ceux qui ne savent pas pourquoi le Maroc s'est retiré de l'OUA en 1984, les invitant à lire ces paragraphes pour mieux comprendre le fait...

««L'incohérence de l'OUA, l'a conduit à faillir à sa mission initiale, celle de prêter sa médiation à l'une des parties belligérantes, en l'occurrence à l'Algérie. Au lieu de préserver sa neutralité, elle s'est impliquée dans ce dossier, sous l'effet du pétrodollar algérien en acceptant le pseudo "Rasd" à siéger comme état à part entière, ce qui a provoqué le départ du Maroc de l'organisation,dont il est membre fondateur, ainsi que le retrait de la question du Sahara de son ordre du jour et son exposition devant l'ONU.

Sachant que lors du sommet de Nairobi en 1981, le Maroc a démontré son intention de régler l'affaire saharienne, lorsque feu Hassan II, a déclaré l'acceptation du Maroc de recourir à la voie du référendum. Mais, la volte-face de l'OUA a obligé le Maroc de se retirer en 1984 et se rendre aux Nations Unies où il pourrait présenter son dossier et éviter toute autre complication qui pourrait gêner son règlement. Depuis, le Maroc n'assistait plus aux travaux de l'OUA et non plus dans ceux de l'Union Africaine (UA) qui a continué à pratiquer la même politique en ce qui concerne la question du Sahara»».

Et dans sa diatribe, l'Algérie, continue à charger cette Union Africaine de sa culpabilité singulière de ne pas observer de neutralité dans le conflit du Sahara Marocain.Cette organisation prise dans le collimateur du pétrole algérien mène malheureusement une campagne diplomatique acharnée contre le Maroc sur la scène internationale, et affiche ouvertement son soutien au Polisario et son adhésion aux positions algériennes contre le Royaume du Maroc.

L’Algérie fait montre, entre autre,qu'elle n'est pas partie dans ce dossier, ce n’est pas en qualité de pays voisin qui pourrait rapprocher les points de vues. Mais dans l’esprit d’expansionniste, elle est en toute sorte la force de blocage du processus de règlement de ce conflit, elle n'a pas la volonté politique nécessaire pour faire sortir le processus de l’impasse actuelle.

Par contre le Maroc à pris sérieusement  avec l'ONU et le Conseil de sécurité ses engagements dans la recherche d’une solution politique, durable et mutuellement acceptable à ce différend artificiel notamment à travers son plan d’autonomie. Tandis que l’Algérie est à l’origine du statu quo et qu’a ce titre elle devra prendre ses responsabilités.

En changeant  de capes, toujours fallacieux, le 5 février dernier, le cabinet d’avocats européen constitué par les algésarios a saisi, les responsables du Forum Crans Montana, les sommant de mettre un terme à l’organisation de cette manifestation dans une "ville occupée", sous peine d’être poursuivis pour «complicité à une occupation militaire et financement de celle-ci, avec toutes les conséquences que cela suppose en matière de crime de guerre et du droit humanitaire international».  

Sommé par les algériens de revenir sur sa décision d’organiser cette rencontre à Dakhla. Mr. Jean-Paul Carteron, président du Forum était clair à ce sujet. Il a laissé entendre aux algériens que  le Forum ne lâche pas prise., affirmant d’emblée que «nul ne saurait prétendre empêcher des hommes et des femmes de venir voir, penser et parler, dans un cadre privé, d’essayer de faire un progrès politique». Affirmant que le Forum est entièrement consacré à des thématiques économiques et sociales». Ce forum représente pour les responsables d'ONG intéressées, une démarche ouverte et démocratique pour lequel ils soutiennent fermement le principe.Ils pourraient aussi y rencontrer et converser avec les interlocuteurs de la société civile Marocaine venue de toutes les régions du Royaume à Dakhla pour y assister.

le Forum et l’Isesco (Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture, dont le siège est à Rabat) ont décidé conjointement d’essayer d’apporter une modeste contribution au débat qui ne saurait durer encore 40 ans (!), d’informer ceux qui le désirent et de permettre aux interlocuteurs potentiels de nouer les liens et des de contacts individuels. Pour Mr. Jean-Paul, organiser un forum de discussions est un droit fondamental dans toute société qui se respecte. 

Il n’abordera pas les enjeux politiques qui sont en attente, car ceux-ci ne sont pas de sa compétence». Mieux, le Forum trouve que la question soulevée par l'Algérie relative au «territoire non autonome» n’est pas pertinente, car selon lui, la lecture attentive de l’article 73 de la Charte des Nations unies permet de voir, «ligne par ligne et mot par mot, que l’initiative du Forum de Crans Montana et de l’Isesco est en pleine harmonie avec ses prescriptions».

Visiblement irrité par les réactions de soutien au "peuple sahraoui", le responsable du Forum Crans-Montana avertit à la fin de sa déclaration qu’il n’y aura pas d’autre communication sur le sujet de la part de son ONG. Celle-ci semble décidée à tenir sa manifestation à Dakhla, malgré les oppositions,  aussi bien de l’Union africaine que du  polisario.

L'OCI n'est pas l'UA..Après leur échec monumental à convaincre les dirigeants du Forum Crans-Montana d'annuler cet événement et face au dédain accordé par les médias étrangers à cette tentative puérile digne d'une bande de voyous, les responsables algériens n'ont rien trouvé de mieux que d'ordonner à leurs pantins du polisario d'adresser d'autre part, le 15 février 2015, une supplique au Secrétaire Général de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) l'invitant à œuvrer pour son annulation. 

Mais voila, aveuglés par leur haine à l'égard du Maroc et de ses réussites politiques, diplomatiques, économiques, sociales et sécuritaires les responsables algériens ont totalement oublier que l'OCI ne reconnaît pas le jeu algérien et appuie avec fermeté la légitimité du Royaume du Maroc dans ses provinces sahariennes. 
Dans cette supplique, il est invoqué, je cite : "une injustice flagrante contre un peuple musulman".A quel peuple musulman font-ils allusion ?  Mais alors de quel peuple musulman s'agit-il ? De la poignée de dirigeants algésarios certes, qui viennent d'être épinglés à Bruxelles sur les détournements des aides alimentaires Européennes ? Un rapport qui a mis à nu un vol bien orchestré par les barons algéro-polisariens pour amasser des fortunes colossales sur la misère des séquestré embastillés à Tindouf. 

Les luxueuses résidences de la marionnette Mohamed Abdelaziz, de son épouse Algérienne (Commandant Drs Khadija Hamdi) et de son pseudo ministre de la défense, Ould l'Bouhali, dans la région de Marbella en Espagne mais également les appartements grands standings dans les quartiers chics de Paris et ailleurs détenus par les dignitaires algériens en constituent la preuve la plus incontestable. 
C'est assurément de ce peuple que l’Algésario fait allusion dans sa lettre pour ne pas perdre ce fonds de commerce très lucratif qui perdure depuis 40 ans. Une hypothèse validée. 

Que cela soit bien clair, le Forum Crans-Montana aura lieu à Dakhla et les centaines de participants étrangers ainsi que la presse écrite, radio et télévisuelle pourront constater de visu et in situ les progrès réalisés sur tous les plans et que le Royaume du Maroc est un pays sûr, respecté et respectable, hautement qualifié pour assurer des événements d'envergure internationale tant sur le plan de l'organisation, de la logistique que de la sécurité.  

Car à trop vouloir se faire mousser auprès de son fan-club privé fatiguées de supporter son narcissisme chronique, L’Algérie a fini par faire voler en mille éclats le peu de crédibilité dont pouvait encore jouir son UA au sein des respectables instances internationales, qui n'en finissent plus de gloser sur la fâcheuse tendance de l'Algérie à se prendre pour le centre du monde en gaspillant d'interminables enveloppes-pétrodollars algériens pontifiants sur le très sérieux sujet des droits de l'homme, comme le feraient des minettes "d'histoire secrète"

En plus des bourdes en série de sa responsable du programme "Maghreb moins l'Algérie" et ses castings ratés pour les guignols des infos, les dirigeants de l'Algérie n'ont pas non plus supporté la manière éloquente avec laquelle le ministre Marocains des affaires étrangères et de la coopération a récemment balayé d'un geste de la main les flatulences droits de l'hommiste d'Alger, tout en se félicitant de la position de Mr.Ban Ki Moon, des progrès notables accomplis par le Maroc en matière de défense et de promotion des droits de l'homme pour la consécration de l'Etat de droit, notamment après la ratification par Rabat du protocole facultatif de la convention contre la torture en décembre 2014... contrairement à l'Algérie.

Cela en était trop et il n'était plus possible de laisser l'Algérie faire et dire n'importe quoi dans ce domaine qui n'est pas le sien d'ailleurs, d'autant plus qu'il y a le risque qu'elle fasse exploser la baraque de l'ONU avec ses "prouts", comme cela s'est produit de manière insolite dans une étable mal aérée de la 4°commission, en raison d'une trop forte accumulation du méthane, produit par les flatulences des micro-états Africains qui s’alignent encore derrière la sale fumée de sa Sonatrach.

D'où le récent chargement apporté par l'UA dans sa stratégie de communication envers la question du Sahara, dans la mesure où ses commanditaires (Algérie et son Afrique du Sud) ne savent plus qui est mandatée pour parler des plaintes contre le Maroc, mais c'est toujours Jacob Zuma, président Sud Africain, un patronyme pro-algérien bien connu, qui voue gratuitement lui aussi une haine viscérale aux Marocains, au point qu'on peut allègrement l'appeler "Star-Afro-Sud-Algérien...peut-être avec cette épellation en moins, pour forcer sa distinction de autres cons.

Cela n'est pas véritablement une surprise, lorsqu'on sait que pour nuire aux relations entre l'ONU et Rabat, l'Algérie n'a aucun scrupule a mobiliser tous les ressources de sa diaspora, particulièrement celles de l'UA qui ont eu l'occasion de marquer une autre escale pour parler Maroc et qui, aujourd'hui, manifestent des "états dame", pour torpiller les retrouvailles Maroco-Onusiennes symboliquement scellées par la conversation téléphonique de Mr.Ban Ki Moon avec Sa Majesté le Roi Mohamed VI  sur la neutralité  de l'ONU dans cette affaire qui s'inscrit d'ailleurs dans la crédibilité des Nations Unies, bien au delà de l'infâme et déshonorante instrumentalisation des droits de l'homme pour la Minurso, dont les visses algériens ont fini par sauter.

Il faut dire qu'à chaque fois qu'elle se sente vaincue, l’Algérie augmente d'un cran son hostilité chronique à l’image Marocaine. Une image qu'elle veut constamment malmener dans ses médias par des attaques qui dépassent toutes les règles de la bienséance et la décence. Elle a été sermonnée à plusieurs reprises pour ses sorties de piste par des déclarations intempestives de son convoyeur diplomatique Ramtane Lamamra, qui mettent toute son opinion publique locale dans l’embarras, donnant l’impression aussi à l’opinion internationale d’assister, à cause de la vacance présidentielle, à une véritable cacophonie qui fait désordre en Algérie

Déontologie de trottoir..Au cours du dernier ronde de bla-bla de l'UA, avec une poignée de journalistes bien sélectionnés pour faire de la "Une", Ramtane Lamamra, ministre algérien des affaires étrangères a lancé une véritable bombe propagandiste annonçant que l'Afrique est aux coté de l'Algérie dans son conflit avec le Maroc au sujet de l'autodétermination de son "peuple Sahrawi" (sic) et elle aura, dit-il,la capacité de lever toutes ambiguïtés et qu’elle y travaille actuellement pour évaluer les conséquences de la tenue du Forum Crans Montana à Dakhla "occupé" dans son imagination.

Pas à un dérapage près, avec son opposition de tenir le forum à Dakhla, elle vient d’en rajouter une couche qui dernièrement a sorti de ses gonds notre ministre des affaires étrangères et de la coopération Mr. Salah Eddine Mezouar..Lasse d’apprendre à chaque fois que l’mage marocaine a été piétinée par des médias algériens et étrangers pré-payés, l'offensive diplomatique Marocaine qui défend avec détermination les intérêts du pays, est décidée de mener sans relâche un combat à l’échelle planétaire pour mettre fin aux idées fâcheuses algériennes et renverser l’ordre algérien dans le dossier de notre intégrité territoriale.

Avec une stratégie de veille et de riposte sur les diplomaties et Ongs ennemies et dans les médias des pays d’où partent régulièrement des attaques ciblées et des atteintes répétées à l’image du Maroc, notre diplomatie est contrainte de pousser les représentations diplomatiques des pays amis à s’impliquer davantage et se mobiliser à ses côtés dans le combat que compte mener notre pays au Conseil de sécurité de l'ONU en avril prochain. quitte à réunir des bonnes coordinations afin de régler, une fois pour toutes, ce conflit artificiel, et mettre terme au recours chaque année, à la communauté Onusienne..

Que dit-il l'UE ?..He bien, si l’Algérie avec son Union Africaine s'opposent et maintiennent verbalement leur verdict contre la tenue du forum Crans Montana à Dakhla..! que diront-ils à Mr.Enrico Brivio, le porte parole de la commission  de l'Union Européenne chargée des affaires maritimes et de la pêche qui affirmait solennellement , il y a quelques jours, que je cite.. : «l'accord de pêche entre le Maroc et l'UE est en pleine conformité avec le droit international et s'applique comme les autres accords de l'UE dans la région du Sahara Marocaine».Ils ne peuvent prononcer aucun mot certes, devant l'Union Européenne, une instance aussi forte et imperméable par les conneries algériennes , pas comme l'UA et ses autres entités simples à emporter par le mensonge  et l'odeur du pétrodollar algériens.

Pour Mr.Jean-Paul Carteron, président du Forum Crans-Monta, il confirme que son initiative, est aussi conforme aux thématiques économiques et sociales gérées par le droit international et ne voit de différence entre son ONG et l'UE pour s'y trouver à Dakhla. D'autant plus, la ville de Dakhla surtout, à l'instar des autres villes impériales Marocaines, connait sa floraison dans tous les secteurs et en particulier sa renommée touristique qui a atteint un niveau mondial record.

Jeu et set. Toutefois, on se demande ce qui pourrait advenir, Ja cob Zuma et Mohamed Abdelaziz Lmarrakechi? Certains leur ont suggère d'unir leur compétence pour organiser la première gay-pride d'Alger, un événement qui leur permettra de jouer les stars qu'ils ont toujours rêvés d'être, avec à la clé une décoration de l'ordre du mérite national algérien.

Pourquoi pas si on croit Mr.Bachir Ben Yahmed, le patron de l'hebdomadaire Français  Jeune Afrique qui sur son site web, vient de catégoriser  les présidents Africains (Abdelaziz Bouteflika, Jacob Zuma le Sud-Africain, le Djiboutien et le Sud-Soudanais) parmi le chefs d'Etats Africains n'ayant aucune formation et n'étant titulaires d'aucun diplôme. C'est ce déficit apparemment qui unit les deux premiers contre la cause Marocaine et contre la volonté clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohamed VI qui est, par contre classé parmi les chef d'Etats Africains les plus formés et les plus instruits, tant qu'il empoche un doctorat en droit constitutionnel de l'Université Sophia Antipolis en France.

Et si les algériens tiennent et persistent toujours à contrarier et à concurrencer notre pays pour sa grandeur, ils doivent intensifier leur intelligence hypocrite, dans les domaine de réformes politiques et économiques et pas dans le vide, et demander à dénoncer ou boycotter un forum de renommée internationale qui se tient, dans des conditions normales au Maroc, la terre de toutes les rencontres à haute échelle. C'est dans ce concept  d'évolution et de progression que l'Occident, considère le «Maroc est meilleur élève que l'Algérie».

Je m'explique pourquoi..: C'était durant les révolutions arabes, au tout début de l'année 2011, le président américain, Barack Obama, dépêchait à Alger et Rabat Mr.John Brennan, son conseiller pour la sécurité intérieure, pour prendre le pouls de la situation qui prévalait dans les deux pays et inciter les dirigeants à prendre des initiatives dans le sens des réformes politiques.

Trois ans après ou presque, en avril 2014, c'est au tour de Mr.John Kerry, le secrétaire d'Etat américain, qui fait le déplacement à Alger pour prendre conscience des blocages qui existent en Algérie. Et juste avant, le 27 mars, c'était l'Union européenne, qui, dans un geste diplomatique, rappelait le manque de réformes politiques en Algérie, avant même de souligner l'absence de changements économiques, cause pour laquelle  elle avait décidé de ne pas superviser la présidentielle Algérienne d'avril dernier. Seul point positif enregistré avec une grande décence : les changements dans les structures du DRS [services de renseignements] effectués à l'automne dernier. Mais, là encore, ces changements n'ont pas produit les effets promis sur les libertés publiques en Algérie.

En 2014, la situation politique en Algérie est aussi mauvaise qu'avant le printemps arabe. Avec deux nouveautés : un sommet de l'Etat divisé, voire disloqué et un président grabataire qui se présente pour un quatrième mandat sans faire de campagne électorale.

Par contre et pour une révolution douce, le 9 mars 2011 Sa Majesté le Roi Mohamed VI prononçait un discours plein de réformes démocratiques avec à la clé, une nouvelle Constitution bien avancée, adoptée par voie référendaire en juillet 2011 qui devait changer la face du Maroc. En réalité, cette Constitution «fourre-tout» aura surtout permis, lors des élections législatives qui ont suivi [le 25 novembre 2011], de voir l'accession à la tête du gouvernement Marocain des islamistes modérés du PJD.

Depuis,le Souverain continue ses visites du royaume pour lancer de grands projets, poser des premières pierres ou inaugurer des réalisations. C'est une manière pour lui d'incarner habilement une permanence de changement et de modernité. Sur ce point, le Maroc apparaît bien meilleur élève que l'Algérie qui fouille dans ses poubelles diplomatiques incitant le monde corrompu à dénoncer et à boycotter un forum à caractère économique, dans une ville Marocaine qui est Dakhla dans le sud Marocain, qui grâce à sa baie et ses potentialités touristiques marque des performances, acquérant une grande renommée internationale.

D'autant plus, le Maroc est bien apprécié par la communauté internationales.Il connait une abondance d'investissements étrangers de tout bord, et ce  en raison de la bonne gouvernance d'un Souverain dynamique diplômé, de sa stabilité politique, de sa sécurité et de son ouverture, contrairement à une Algérie Drsiste (!) qui, par son hostilité aiguë contre le Royaume du Maroc, fait de sa  marque et de sa politique étrangère la locomotive adéquate pour commercialiser des futilités mensongères et des foutaises, ce qui contribue davantage à son isolement diplomatique et à son blocage interne mortifère et elle reste perpétuellement dans sa tour d'ivoire avec sa politique d’autruche que mène un président, n'ayant aucune formation et n'étant titulaire d'aucun diplôme, sauf de l'expérience d’errance qu'il a acquit des déserts pour diriger l'Etat algérien vers un blocus d'enfer.Bonne lecture.

                                       Cordialemen,Chihab25